Les hommes en général me plaisent beaucoup
Auteur
- Véronique Ovaldé (Écrivain)
Classement en biblio - 23 lecteurs
extrait
La voix de mon père, c'était comme un fond sonore qui criaillerait, vinyle avec craquements, discours de Dodolphe avec marionnettiste.
Afficher en entierCommentaires récents
De tous les romans de Véronique Ovaldé que j'ai lus jusqu'ici, je crois que "Les hommes en général me plaisent beaucoup" est le plus puissant car le plus complexe dans la psychologie du personnage central.
Comme souvent dans ses romans, c'est petit à petit que nous comprenons la situation dans laquelle elle se trouve, l'auteure faisant un véritable travail de tissage de toute beauté dont on comprend toute la trame au fur et à mesure du développement. Cela est d'autant plus important que ce n'est pas une histoire d'amour et que la relation entre Lili et son amant est relativement malsaine.
Cette dépendance dont Lili est sous l'emprise s'explique au fur et à meure que remontent ses souvenirs.
Que dire d'autre sans rien dévoiler de plus de ce court roman, si ce n'est que j'ai particulièrement apprécié les chapitres où les souvenirs de Lili font écho à sa situation présente.
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J'ai pas du tout aimé ce livre. J'en ai lu juste un quart et j'ai pas pu aller plus loin. L'écriture était beaucoup trop lourde à mon goût. L'auteur en fais des tonnes et passent par des métaphores hyper compliquées pour dire un truc tout simple. J'ai trouvé ça dommage. L'écriture m'a beaucoup repoussé. Quant à l'ambiance du roman, je l'ai trouvé étrange et pesante. Beaucoup trop de tension. Il y avait un je-ne-sais-quoi de dérangeant et de perturbant. Bref, c'est une lecture qui ne matche pas du tout avec moi. NEXT!
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je ne sais trop quoi penser de ce roman !! au bilan je n'ai ni apprécié ni détesté !!! je dirai que c'est un roman à lire une fois qui traite de sujets très sérieux ...
https://aufildesheures.wordpress.com/2014/11/23/les-hommes-en-general-me-plaisent-beaucoup-de-veronique-ovalde/
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Un livre qui m'a laissé de marbre...long (malgré seulement une centaine de pages), brouillon, et lourd. Rien ne m'a séduite dans cet ouvrage : personnages, intrigue et surtout le style de l'auteur : vaguement monologue intérieur, sans une once de dialogue, une ponctuation en goguette donnant une lecture désagréable par son aspect bordélique et accessoire. Dommage, l'allégorie du désir bestial s'échappant promettait tellement avec le titre et l'annonce de thèmes traités relativement graves...
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C'est une histoire de dépendance. L'amour peut avoir une telle emprise qu'il en est épouvantable parfois de ne pouvoir y échapper. C'est l'histoire d'une enfance brisée, d'un espoir omniprésent. Une histoire difficile qui pousse la réflexion masculine vers le respect à la vie, au corps et plus particulièrement des femmes et des enfants...
Un bel ouvrage sur le fond, plus que sur la forme.
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Date de sortie
Les hommes en général me plaisent beaucoup
- France : 2013-08-21 - Poche (Français)
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Résumé
Cette nuit, Lili n'entend plus le bruit des animaux. Dans un demi-sommeil, elle se lève. Accroupie dans l'herbe, protégée par le feuillage du jardin, elle voit soudain passer les girafes, les éléphants, les tatous. Immobile sous la lune, Lili observe puis retourne se coucher auprès de son mari. Dans un silence de songe plus rien ne bouge. Au matin la vie reprend. Tout est en place, en équilibre. Mais, au cœur de cet été de chaux vive, il faut cependant vérifier, vérifier que les animaux du zoo sont rentrés. En s'approchant des cages Lili perçoit une silhouette, une ombre, un miroitement et, très vite, l'odeur incandescente du désir lui revient en mémoire...
Roman d'amour et de dépendance, ce livre explore la folie du désir comme autant de lumières qui scintillent et qui claquent. Car dans les villes comme dans les zoos une musique résonne parfois délicatement : le très léger bruissement de l'enfance...
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