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Alison Goodman

Auteur

4 153 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

Melbourne, 18 août 1966, Alison Goodman naît sous le signe du Cheval dans l’astrologie chinoise. «Certes, je trouverais plus adéquat d’être Dragon, explique l’auteur d’Eon et le douzième dragon. Néanmoins, je suis très heureuse d’être Cheval, car ce signe est très créatif et passionné. Mieux, il est associé, cette année-là, au feu, ce qui dope encore ma passion! Jadis, les filles nées sous le signe du Cheval une année de feu étaient souvent noyées à la naissance, car elles étaient synonymes de troubles, de chaos partout où elles passaient. Finalement, c’est peut-être pour cela que je déteste nager…»

Après une première incursion dans la science-fiction avec Singing the Dogstar Blues puis un polar noir sur fond de complot, Killing the Rabbit, l’Australienne plante le décor de son dernier roman dans une Chine ancestrale mythique, où les femmes n’ont pas accès à la magie. Mais derrière l’infirme Eon, 12 ans, candidat au rang d’œil de dragon (pacte alliant un homme et un des douze dragons énergétiques), se cache une jeune fille, Eona. Tout en préservant son secret, elle va s’opposer au chef de guerre Sethon complotant pour éliminer l’empereur. «Je me suis beaucoup documentée en bibliothèque, en voyageant aussi au Japon et à Hongkong. J’ai également pris des leçons de sabre, de manière à ressentir les sensations d’un guerrier… Feu ma tante Nachie, qui était Japonaise, m’a initiée à sa culture, une passion qui ne m’a jamais quittée. Un de mes souvenirs les plus anciens, c’est de m’asseoir dans sa cuisine à manger des lichettes d’algues emballées comme du chewing-gum. Cela explique sans doute mon goût très prononcé pour l’unami (mot japonais désignant la cinquième saveur fondamentale avec le sucré, le salé, l’amer et l’acide). Je préférerai toujours un nori (algue rouge) à une barre chocolatée.»

Cette fascination pour la culture orientale rebondit dans son récit. «Je ne suis pas dans l’autobiographie. Néanmoins, je tire de ma propre vie émotionnelle les éléments psychologiques de tous mes personnages, y compris le méchant Sire Ido! Comme Eon-Eona, j’aime observer, questionner. Toutes deux, nous sommes curieuses de comprendre pourquoi les gens agissent, comment ils négocient les conséquences de leurs actes.»

A l’évidence, Alison Goodman plonge dans le passé pour mieux parler du présent, notamment sur les abus de pouvoir, et pose un regard féminin sur un monde de brutes. «Les aspects féministes viennent d’Eona. Cette jeune femme se déguise en garçon pour survivre à une société dominée par les mâles. Ce subterfuge induit immédiatement l’idée d’explorer les sexes. De plus, un des personnages est transsexuel, un autre est eunuque, deux protagonistes essentiels à l’intrigue. A posteriori, ces cas de figure appartiennent aussi au débat contemporain de la nature des sexes.»

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Quelques chiffres

Note moyenne : 8.23/10
Nombre d'évaluations : 2 597

0 Citations 1 045 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Alison Goodman

Sortie France/Français : 2019-06-20

Sortie Poche France/Français : 2021-04-01

Sortie Canada/Français : 2019-07-15

Sortie Poche Canada/Français : 2021-05-31

Sortie USA/English : 2018-11-20

Les derniers commentaires sur ses livres

Lady Helen, Tome 3 : L'Ombre des mauvais jours

Incroyable 🤭🤭🤭

Une fin extraordinaire avec un retournement de situation incroyable !!

J'ADORE 💜💜💜💜💜❤️❤️❤️

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Lady Helen, Tome 2 : Le Pacte des mauvais jours

Le changement d'ambiance était grisant ! J'ai beaucoup apprécie ce second tome, un peu plus que le 1er. Helen devient pleinement une Vigilante au cours du récit, à travers sa formation mais aussi à travers de ses aventures. L'atout de ce tome, qui a pu paraître long à certains dans le début du livre, est toute la partie psychologique de l'histoire. Il se passe de longs chapitres durant lesquels il n'y a pas, a proprement parlé, d'action. Tout est planifié, prévu, manipulé. Il y a beaucoup de mensonges aussi, de promesses, et les relations sont extrêmement développés durant cette phase.

Puis, vient le dénouement, un grand final pour ce second livre de la saga. L'action prends place, les problèmes sont censées se résoudre ou, si Helen n'y arrive pas, le pire arrivera. On est au comble de la tension. Courses poursuites, combat acharné, alchimie et pouvoir inimaginables, terribles vérités dévoilées... C'était vraiment extraordinaire, avec un rythme que j'ai trouvé très agréable au début, et puis vers la moitié, je n'ai plus réussi à lâcher le livre jusqu'à la fin.

On apprécie toujours autant le contexte du 19ème siècle, documenté de manière très approfondi par l'autrice, dans ce tome comme dans le premier.

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Lady Helen, Tome 3 : L'Ombre des mauvais jours

Une bonne conclusion pour cette trilogie.

Lady Helen est plongée dans ce tome à la fois dans son entrainement avec Lord Carlston et dans la préparation de son mariage avec le duc de Selburn. Tout du long, Lady Helen va avoir énormément de mal à allier les deux côtés de sa vie; future femme mariée et femme indépendante voulant défendre son pays.

Comme prévu, la composante masculine de l'Abuseur Suprême était clairement identifiable (en grande partie avec les énormes indices des tomes précédents), cependant, la composante féminine m'a complètement prise au dépourvu.

La conclusion de cette trilogie était certes attendue mais très correctement écrite pour faire en partie oublier que Spoiler(cliquez pour révéler)pendant trois romans, Lady Helen n'a jamais voulu reconnaître pleinement qu'elle était amoureuse de Lord Carlston.

Une trilogie mêlant avec adresse romance et Fantasy noire.

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Lady Helen, Tome 3 : L'Ombre des mauvais jours

Laissez-moi recontextualiser cette lecture. Dès que je l’ai commencée, j’ai su que j’allais y revenir à reculons car elle ne me plaisait pas trop, mais je voulais terminer rien que pour avoir le dénouement final. Manque de chance, entre temps je suis tombée malade. Ce qui veut dire que j’ai lu la moitié du tome 3 avec des acouphènes pleins les oreilles et le nez bouché, et que j’écris ce commentaire dans le même état. Ça craint d’être malade. Tout ça pour vous dire que cet avis va sans doute être complètement décousu, car ça représente complètement mon état d’esprit du moment. #rhume

Il est difficile de dire que j’ai apprécié ma lecture. Cela fait bien plusieurs mois que j’ai lu le tome 2 et j’avais oublié presque tout des personnages. J’avais vaguement l’intrigue en tête, mais cela a été une lecture difficile. Le mot pour décrire cette série est clairement le mot « lent ». Tout est lent, certains passages tirent en longueur, les dialogues tirent en longueur, l’intrigue tirent en longueur depuis TROIS tomes, bref, on s’ennuie. Et si ça ne suffisait pas, j’ai découvert dès le début le dénouement de l’histoire, donc je ne lisais que pour savoir si j’avais raison. Et j’ai eu raison. J’adore avoir raison. Hé hé.

Bref. Je crois que les seuls personnages que j’ai appréciés sont Darby et Quinn. Absolument tous les autres m’ont tapé sur le système au moins une fois dans le livre pour des raisons plus ou moins objectives. Tous les persos masculins et beaucoup trop de persos féminins à mon goût ont au moins une fois une remarque misogyne (sauf Quinn si je ne dis pas de bêtise. Ou en tout cas je ne m’en souviens pas). Je veux bien qu’on soit au 19ème siècle, mais on est dans le troisième tome, tu penses qu’au moins les persos secondaires peuvent évoluer, mais non. Bref, ça m’a soûlée.

Au bout d’un moment comme rien n’avançait, j’ai commencé à sauter la majorité des descriptions et des dialogues non pertinents, et étonnement ça a été beaucoup plus vite. Ça ne m’a pas empêchée de remarquer le nombre beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP trop important de répétitions : « le vigilant suprême », « la force du vigilant suprême », « le lien du vigilant suprême », « la dyade du vigilant suprême », OK, c’est bon Helen, on a compris ! J’ai inventé un nouveau jeu à boire, prendre un shot à chaque fois qu’Helen utilise les mots « vigilant suprême ». J’en avais tellement marre qu’à la fin je cherchais par quoi il était possible de remplacer ces mots. J’ai trouvé plein d’alternatives si ça intéresse quelqu’un.

Vous l’aurez compris, ce tome n’est vraiment pas une réussite. J’avais apprécié le tome 1, avait été déçue par le tome 2, le 3 c’est la dégringolade. Je pense que cette histoire aurait pu tenir en 2 tomes, cela nous aurait épargné maintes longueurs.

Ah, aussi, j’allais oublier. Il y a des morts dans ce tome. Ça ne m’a fait ni chaud ni froid. Rien du tout. Le même effet qu’un pétard mouillé. J’aurais plein d’autres choses à dire, mais globalement ce n’est que du négatif.

Sur ce, je repars à mes mouchoirs. Bisous 😊

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Lady Helen, Tome 3 : L'Ombre des mauvais jours

J'ai eu un réel coup de coeur pour le tome 1 et 2 et j'osais espérer que cela continuerai avec le tome 3. Quelle désillusion ! C'était long pour RIEN, des répétitions à outrance, l'héroïne qui se posent les mêmes questions encore et encore, une intrigue qui n'avance pas, on tournait en rond. Une vrai déception . L'autrice aurait très bien pu clôturer son histoire en deux tomes. Un vrai gâchis ! Une impression d'avoir perdu mon temps. C'était d'un ennui sans nom.

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Lady Helen, Tome 1 : Le Club des mauvais jours

Lady Helen, tu vas avoir besoin de courage avec tous ce monde !!!

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Lady Helen, Tome 1.5 : Le Charme des mauvais jours

La découverte de leur rencontre est très intéressante ! Enfin plus détails !!!!

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Lady Helen, Tome 2 : Le Pacte des mauvais jours

Lady Helen et Callisto, vous allez devoir tenir bon contre tous vos problèmes !

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Lady Helen, Tome 3 : L'Ombre des mauvais jours

Je ne sens pas du tout le duc de Selburn, il cache quelque choses...

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Commentaire ajouté par Nuit_Incolore 2024-04-25T11:01:19+02:00
Eon et le douzième dragon

Au cœur d'une Chine impériale mythique, Eon s'entraîne avec d'autres jeunes garçons pour être choisi comme apprenti par l'un des douze dragons qui protègent le pays. Mais il porte un dangereux secret. Dans ce monde plein de fausses identités, d'alliances incertaines mais aussi d'amitiés loyales, Eon est en grand péril. Un récit fascinant, une aventure flamboyante, dans la tradition du Clan des Otori de Lian Hearn.

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On parle de Alison Goodman ici :

[Challenge] Les 26 livres (2019)
2019-01-21T13:57:50+01:00
[Challenge] Les 400 points (2019)
2019-01-21T13:47:34+01:00
[Challenge] Les 400 points (2018)
2018-05-25T10:13:28+02:00
[Challenge] Les 26 livres (2018)
2018-03-07T09:49:59+01:00

Dédicaces de Alison Goodman
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Gallimard Jeunesse : 11 livres

Viking Children's Books : 3 livres

Firebird : 2 livres

Gallimard : 1 livre

Editions de La Table Ronde : 1 livre

David Fickling Books : 1 livre

cbj : 1 livre

Blanvalet : 1 livre

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