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An Nakahara

Auteur

1 542 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

Biographie

Nom : Nakahara

Prénom : An

Surnom : Anchan

Date de naissance : 8 février 1969

Groupe sanguin : O

Signe astrologique : Verseau

Lieu de résidence : Tokyo, Japon

Aime : les gateaux, dormir

Aimerais rencontrer : Marie-Antoinette

L’idole qu'elle serais : une hikikomori-kei

Plus jeune elle aimais : Bonnie Pink

Son manga préféré : Blackjack d'Osamu Tezuka

Look : elle s'habille de manière plutôt chic

Couleur préféré : le noir

Nourriture préféré : le purin (un flan japonais)

N'aime pas : les blattes (elle en a eu un très mauvais souvenir)

Chanteuse préféré : Kusumi Koharu

Chanteur préféré : Soichiro Hoshi

Biographie :

An Nakahara, rêvait de devenir mangaka depuis son plus jeune âge. Elle travaillais avant dans une patisserie japonaise. Elle décide de devenir shojo mangaka, car depuis toute petite elle adorait tout ce qui brillant et qui étais tout rose. Elle poste donc sa candidature dans le magazine de Ciao en 2001, cette candidature est alors automatiquement acceptée par les rédacteurs du magazine. An Nakahara commence donc a être publiée dedans, avec son manga Suki Suki Daisuki, un manga qui sera composer ensuite d'un seul et unique volume. Elle continue tout de même l'histoire de ce beau shojo avec un nouveau on-shot nommer Zutto Zutto Daisuki en 2003. Elle continue ensuite avec Terepari Kiss et Ijiwaru Love Devil. C'est en 2004 que An ressoi une étincelle, elle a l'idée d'une jeune fille, avec son petit chat, tombant amoureuse d'une star. C'est de la qu'est sorti, en 2004, sa plus longue série shojo : Kirarin Revolution, autrment dit la Révolution Kilari, comportant 14 volume. C'est avec ce manga qu'elle connait le véritable succet, avec des goodies sorti tout droit de ce dernier, le manga est même importer en France et aux Amériques !

C'est grace a ce succès que An Nakahara sera conviée a Japan Expo de 2010, ou elle éxpose ses produits Kilari (surtout en manga), accepte de poser avec les fans, de leur faire un dessin ou une dédicace.

An Naahara admire aussi Koharu Kusumi et Hitomi Yoshizawa. Elle confie un jour dans un manga qu'elle ne savais pas qui était ces deux personnalités, qui ce trouvait a l'enregistrement de Kilari en anime.

Depuis, elle admire beaucoup Koharu Kusumi qui est capable de fournir des tones d'éffort aussi jeune !

En novembre 2010, elle donne une interview pour le magazine français Japan LifeStyle. (en souvenir a son passage a Japan Expo)

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.76/10
Nombre d'évaluations : 1 826

1 Citations 1 109 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de An Nakahara

Sortie France/Français : 2020-12-09

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Cyrlight 2023-10-13T00:34:58+02:00
Kilari, Tome 9

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/10/12/kilari-t-9-an-nakahara/

Maintenant que les soucis d’Hiroto sont résolus, Kilari peut se recentrer sur sa carrière d’idole, et surtout sur le nouveau défi qu’elle doit relever : lancer sa propre collection de vêtements ! Mme Kumoi, sa manager, est là pour superviser.

Sa manager « fraîchement débarquée de l’anime », devrais-je préciser. J’avais déjà souligné cet aspect crossover dans une précédente chronique, et il m’agace toujours autant. M’enfin, il faut voir le côté positif : les personnages sont tellement creux que ceux qui proviennent d’ailleurs ne pèchent pas plus que les originaux par leur manque de développement.

Que dire de l’intrigue en elle-même ? Elle n’est pas aussi pathétique que le mini-arc d’Hiroto qui a monopolisé les deux derniers tomes, ce qui est presque une qualité en soi, même si (j’aurais bien écrit « malheureusement », sauf que ça impliquerait que j’attends encore quelque chose du manga, ce qui n’est pas le cas) ça ne va pas chercher bien loin. Pour changer.

L’auteur nous ressort le scénario bateau qu’elle répète en boucle depuis le début : la carrière de Kilari doit franchir un nouveau cap, la jeune quich… pardon, fille, s’efforce de réussir malgré les difficultés et les coups bas portés par de viles individus, et bien sûr, elle triomphe, parce que c’est l’héroïne d’un shojo pour enfants, et une héroïne de shojo pour enfants, ça triomphe toujours.

L’apparition éclair de Fubuki m’amène à déplorer (encore) qu’elle ne soit pas plus mise en avant, étant donné qu’il s’agit de la seule pour qui j’éprouve un minimum d’estime, mais bon… On ne peut pas recycler pour la centième fois les gags autour de Na-san et approfondir une relation qui aurait pu se révéler moins inintéressante que le reste.

Je vais donc m’efforcer de puiser du réconfort là où je suis susceptible d’en trouver, c’est-à-dire dans le fait que je vais entamer les tomes à deux chiffres… La fin est proche, ouf !

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Commentaire ajouté par Cyrlight 2023-10-17T00:36:49+02:00
Kilari, Tome 10

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/10/16/kilari-t-10-an-nakahara/

Un nouvel élève fait son entrée dans la classe des célébrités de Kilari. Au contraire de leurs camarades qui ne manquent pas une occasion de se moquer de lui, la jeune fille l’accueille avec sympathie, une sympathie qu’il lui rend… un peu trop.

Je n’en reviens pas d’écrire ces mots, mais ce dixième tome m’a paru… pas si mauvais. Au regard des neuf précédents, en tout cas. Et j’en suis d’autant plus surprise qu’il est (encore) question d’amour forcé.

Car oui, après Hiroto, c’est de nouveau au tour de Kilari d’avoir un prétendant envahissant, animé de mauvaises intentions cachées. En somme, un énième personnage qui ne se distingue guère des autres empêcheurs de tourner rond.

Qu’est-ce qui fait que j’ai plus apprécié ce volume que les autres, alors ? Déjà, le retour de Seiji, inexistant ou presque depuis un moment. Je le trouve toujours sous-exploité (et les protagonistes eux-mêmes, à commencer par Hiroto, semblent avoir oublié que Kilari est censée être amoureuse de lui), mais on en revient un peu à la dynamique d’origine, centrée sur la relation entre les Ships et la demoiselle.

Les sentiments d’Hiroto sont également mis en avant, tourmenté comme il l’est par la jalousie qui le ronge à l’égard d’Hayami. On sent approcher la fin du manga (ouf !), avec l’amourette principale qui se décante petit à petit, après avoir longuement stagné.

Voilà pour les points positifs. Ce n’est pas grand-chose, mais toujours plus que je n’en ai concédé à cette œuvre depuis… Pfiou, au moins une demi-douzaine de chroniques !

Ne vous faites pas d’illusions, à côté de ça, Kilari reste Kilari, c’est-à-dire un shojo dans lequel il ne faut chercher ni profondeur ni logique. L’héroïne est toujours aussi gourde, à se faire avoir comme une idiote par tout le monde. On pourrait penser qu’avec toutes les crasses qu’elle a déjà subies, elle se montrerait un peu plus méfiante, mais le verbe « penser » ne fait justement pas partie de son vocabulaire.

Je crois aussi l’avoir déjà relevé, mais comment peut-elle manquer d’argent en permanence ? Parce qu’elle dépense tout en nourriture alors qu’elle bénéficie de crêpes gratuites ? Ou parce qu’on oublie que ses concerts, ses publicités, ses albums, ses tournages doivent lui rapporter ? Elle n’a pas non plus droit à des avantages en nature (vêtements, accessoires…), pour en être réduite à piocher dans le stock de son propre magasin ?

M’enfin, ce n’est qu’un détail parmi tous ceux qui font que ce manga ne voit pas plus loin que le bout de sa couverture, et demeure médiocre malgré mes attentes sempiternellement revues à la baisse, au point d’en arriver à trouver un tome presque passable. Allez, on enchaîne !

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Commentaire ajouté par Cyrlight 2023-10-22T00:11:50+02:00
Kilari, Tome 11

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/10/20/kilari-t-11-an-nakahara/

Hayami s’est joué de Kilari et lui a tendu un piège qui la place dans une fâcheuse position. Elle s’efforce de poursuivre sa carrière malgré les fans qui ont entrepris de la persécuter, mais lorsque la situation porte également atteinte à la notoriété des Ships, sa détermination s’étiole de plus en plus.

Eh bien, le moins que je puisse dire, c’est que Kilari ne cesse de m’étonner ! Après un début pourtant calamiteux, porté par les sempiternelles interventions gaguesques des animaux, ce tome se révèle de loin le plus intéressant du manga.

Et pour cause, puisqu’il prend un ton plus sérieux. Plus sombre, aussi, quoique toujours dans les limites d’un shojo niais pour enfants (mais autant dire qu’il s’agit une bouffée d’air frais bienvenue après tant de chapitres édulcorés !).

Kilari perd (enfin) en naïveté, bien que trop tard. Le mal est fait, et elle en est consciente. À cause des stratagèmes d’Hayami, elle se retrouve en une des magazines, qui la prétendent au cœur d’un triangle amoureux entre lui, l’idole montante, et Hiroto.

Les problèmes s’enchaînent, du harcèlement à la mise au ban, et si Kilari tente d’abord de faire face, envers et contre tout, elle est rapidement submergée par l’hostilité ambiante, et surtout par ses conséquences, dont son entourage paye aussi le prix.

Bien sûr, je ne me berce pas d’illusions, je sais que tout va s’arranger, pour la jeune fille comme pour les Ships, mais il est bon de la voir vraiment douter, vraiment vaciller, et se confronter à de plus grandes difficultés que son incapacité à faire réchauffer une préparation pour gâteau au micro-ondes.

Dommage qu’il ait fallu attendre une dizaine de tomes pour avoir quelque chose d’un tant soit peu consistant à se mettre sous la dent, mais bon… Mieux vaut tard que jamais, je suppose.

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Commentaire ajouté par Cyrlight 2023-10-29T00:25:07+02:00
Kilari, Tome 12

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/10/24/kilari-t-12-an-nakahara/

Quel choc ! Kilari a annoncé en plein direct qu’elle se retirait du monde du spectacle ! Cette décision inattendue bouleverse ses amis et ses fans, mais aussi la jeune fille elle-même, qui n’a fait que céder au chantage de Cloudy, afin de préserver les Ships de ses manigances.

Dans mes premières chroniques, j’avais qualifié ce manga de sous-Glass no Kamen, ou plutôt de Glass no Kamen pour les moins de dix ans. Kilari continue à traverser un peu les mêmes épreuves que Maya Kitajima, avec cette fois sa mise au ban du monde du spectacle.

Après deux tomes relativement intéressants, la mangaka tenait encore une bonne intrigue à exploiter, à savoir comment son héroïne allait se relever et reconquérir sa place d’idole, et…

C’était presque trop beau. An Nakahara l’explique dans un petit encart, elle n’a pas été séduite par l’écriture de l’arc de Cloudy. C’est donc ainsi qu’elle en expédie la conclusion (avec Hayami qui tient sa promesse en dévoilant la vérité à la presse quand rien ne l’y obligeait, surtout pas les scrupules dont il paraissait jusque-là dépourvus, ni même Kilari, puisqu’elle n’honore pas sa part du marché – certes injuste – en s’empressant de relancer sa carrière à peine celle-ci interrompue) et en revient à ses grandes amours : les intrigues déb… déjà-vu.

Et quand je dis « déjà-vu », c’est un euphémisme. On atteint le paroxysme du recyclage avec une insupportable rivale de bas-étage (encore), amoureuse d’Hiroto (encore), qui devient l’objet d’un pari entre Kilari et elle (encore), le tout accompagné d’un (énième) personnage masculin qui se travestit.

J’essaye en général de me montrer un minimum respectueuse du travail d’autrui à défaut de l’apprécier, mais là, sérieusement, j’ai envie d’inviter la mangaka à changer de métier si elle est incapable de produire quelque chose qui n’implique pas de répéter en boucle des intrigues au mieux médiocres, au pire mauvaises.

Dire que je me suis réjouie à la vue du sommaire en découvrant que le scénario principal occupait presque tout le tome, et pas à peine la moitié comme c’était jusqu’ici le cas… Quel comble !

Et pour ce qui est de la petite histoire bonus (car oui, il y en a tout de même une)… Que fait Hiroto avec Seiji enfant ? Il n’était pas censé, à l’époque, être ami avec Travesti 2 / Empêcheur de tourner rond je-ne-sais-plus-combien ? (Oui, je vais numéroter les personnages, désormais, ils sont tellement mémorables qu’ils ne méritent pas que je me fatigue à vérifier leur nom sur Google.)

Oh, et Seiji… Il faut se calmer sur les tendances zoophiles, là, parce que ça commence à devenir limite malsain. M’enfin, si c’était le seul problème de ce manga…

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Commentaire ajouté par Cyrlight 2023-10-29T00:28:22+02:00
Kilari, Tome 13

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/10/28/kilari-t-13-an-nakahara/

Kilari est face à un nouveau défi dans ce treizième tome : remporter les sélections pour devenir l’égérie de la gamme de cosmétiques « Princesse Tiara ». Sur sa route, les jumeaux Rin et Ren, prêts à tout pour remporter la victoire.

Passée la désillusion occasionnée par le volume précédent, on en revient à un scénario classique, avec les mini-épreuves que Kilari doit surmonter, les efforts qu’elle doit fournir, et bien sûr la récompense à la clé.

Cette fois, l’enjeu est de taille, puisqu’il s’agit d’Hiroto ! La jeune fille a décidé de lui faire sa déclaration, et il est grand temps, puisque son ami commence lui aussi à ouvrir les yeux sur les sentiments qu’il lui porte. Il me faut bien avouer que, même si l’ensemble reste naïf, ils sont assez mignons, tous les deux.

Quant à Seiji… Hallelujah ! On ne l’a jamais autant vu que dans ce tome. Dommage qu’il ait fallu attendre l’avant-dernier pour ça. Le triangle amoureux ayant été enterré depuis longtemps, c’est un rôle d’ange gardien qu’il endosse, en préparant non seulement Kilari à sa sélection, mais en poussant également les tourtereaux l’un vers l’autre.

Rin et Ren, en revanche, sont toujours aussi inintéressants en tant qu’antagonistes, et surtout… Bon, si vous passez régulièrement sur ce blog, vous saurez que ce n’est pas moi que ça va déranger, bien au contraire, mais leur relation a une indéniable connotation incestueuse. C’est… déroutant dans un manga à destination d’un (très) jeune public, et potentiellement dérangeant pour quiconque ne partagerait pas mon point de vue sur le sujet.

Allez, plus qu’un tome ! Je me demande teeellement comment cette histoire ô combien débordante de suspense et d’originalité va bien pouvoir se terminer. Vraiment, je n’en ai pas la moindre idée !

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Commentaire ajouté par Cyrlight 2023-11-05T20:42:30+01:00
Kilari, Tome 14

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/11/03/kilari-t-14-an-nakahara/

L’ultime épreuve qui permettra de désigner la nouvelle égérie de Princesse Tiara a commencé, mais Kilari peine à rivaliser avec le charme et la galanterie de Ren… Parviendra-t-elle à inverser la tendance à temps et à faire sa déclaration à Hiroto ?

C’est avec ce quatorzième tome que s’achève l’histoire de Kilari, et quelle tristesse, quelle douleur de les quitter, les Ships, Na-san et elle ! … Non, je blague, ça fait au moins douze volumes que j’attends ce moment.

Et attendu, il l’a été, dans tous les sens du terme ! L’auteur essaye bien de créer un rebondissement de dernière minute, mais comme il survient à… Quoi ? Trente-quarante pages de la fin ? Il n’a strictement aucun impact. Je disais dans ma précédente chronique que je trouvais, malgré mes critiques incisives, Kilari et Hiroto mignons ensemble, or ce n’est même plus le cas.

Pour un final, il n’y a aucun passage vraiment fort, vraiment poignant, vraiment marquant. Pire, la mangaka s’enfonce irrémédiablement dans la spirale ô combien pathétique du recyclage. Le parc d’attraction privatisé, ça ne vous rappelle pas quelque chose ?

Et non contente de ça, elle nous rajoute une quatrième épreuve au concours de Princesse Tiara (oui, la société ne savait pas quoi faire de son budget, visiblement), pour un résultat plus superficiel que jamais, avec des « fans » qui retournent leur veste en un battement de cils. Si, parfois, c’est mérité, faire un esclandre pour un compliment mal tourné, en revanche, ça me dépasse…

Rin et Ren s’en tirent trop facilement à mon goût (un euphémisme pour ne pas dire qu’ils s’en tirent plus que bien, en dépit de toutes leurs manipulations et mensonges), en plus d’être absous par l’indulgence imméritée (et excessive) de Kilari.

Enfin, tous les personnages insignifiants et interchangeables de ces quatorze tomes ont eu droit à leur caméo dans les dernières pages. Trop aimable de la part de l’auteur de leur avoir offert cet ultime hommage au lieu d’un vrai développement et d’un minimum de profondeur.

À la décharge de ce manga, je ne suis pas le public cible. Il est clairement destiné à des enfants, et je suis quasi-certaine que si je l’avais découvert naguère, je l’aurais davantage apprécié. Voilà pourquoi je ne crains pas de le recommander aux moins de dix ans.

Au-delà, cependant, je le déconseille vivement. Si vous voulez une histoire similaire dans ses thèmes et péripéties, mais beaucoup plus mature, je vous invite à vous tourner plutôt (vous le sentez venir, après que je l’ai mentionné tant et tant de fois) vers Garusu no Kamen. Il n’a malheureusement pas (encore ?) été traduit en français, mais ses adaptations en anime se trouvent facilement en français ou en vost.

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Commentaire ajouté par NeensDobrevLicorne 2023-11-26T11:44:08+01:00
Kilari, Tome 1

Ce manga a marqué toute ma jeunesse, visionné à l'époque sur Telethoon+. Évoluer avec les trois saisons de Kilari reste une expérience que je revis en lisant le manga, la chanson "lorsque je t'ai vu pour la première fois..." résonnant dans ma mémoire. Redécouvrir l'anime avec mon copain, qui le découvrait, m'a incité à plonger dans les mangas. Le premier tome ne me déçoit pas, ravivant ma joie de replonger dans l'univers de cette adolescente.

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Commentaire ajouté par NeensDobrevLicorne 2023-11-26T17:18:38+01:00
Kilari, Tome 2

Je suis toujours passionné par la lecture de ce manga. Les voix des personnages résonnent dans ma tête, et les images de l'anime prennent vie à chaque page. Cependant, je ressens une pointe de nostalgie en pensant au fait que le père de Kilari et Mamie chan, pourtant présent dans l'anime, n'a pas encore été évoqué. Sachant que son père est son plus grand fan, j'attends avec impatience de les voir apparaître dans les prochains tomes.

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Commentaire ajouté par NeensDobrevLicorne 2023-11-27T14:10:51+01:00
Kilari, Tome 3

Toujours ravie de suivre les péripéties de Kilari, une histoire que j'apprécie énormément ! Ma lecture reste captivante, et les illustrations sont tout simplement incroyables. Cependant, je remarque qu'on a encore l'absence du père de Kilari et de Mamie Chan. De plus, sur ces trois tomes, la manager de Kilari, Kasumi Kumoi, qui l'a accompagnée depuis ses débuts, ne semble ni présente ni mentionnée, alors que dans le dessin animé elle est présent un peu déçu de voir des personnages phares absent dans les mangas.

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Commentaire ajouté par SMoon 2024-03-02T21:56:09+01:00
Kilari, Tome 1

Découverte du manga.

Comme beaucoup j’ai vu l’animé quand j’étais petite. J’aimais beaucoup les personnages et les chansons !

Je suis contente de pouvoir les retrouver.

Une manga simple, sans prise de tête.

(Juste, j’avais oublié que Kilari était si jeune, il y a juste ça qui me dérange…)

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Dédicaces de An Nakahara
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Editeurs

Glénat : 21 livres

Shogakukan : 21 livres

nobi nobi ! : 8 livres

Glénat Manga : 1 livre

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