Justin Cronin
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Note moyenne : 8.16/10Nombre d'évaluations : 437
5 Citations 218 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Envolé par les doux mots de l’auteur, il a réussi à me transporter dans son propre Univers, à la fois complexe et fascinant. La globalité de sa trilogie m’a conquise et j’ai l’honneur de vous annoncer que c’est un coup de cœur, un véritable chef d'œuvre, selon moi, bien évidemment. Il sait manier l’art d’écrire, ses descriptions sont sublimissimes, quelque peu prolixes à certains passages, l’intrigue qui règne dans le récit donne ce côté captivant qui nous empêche de lâcher notre lecture.
Observer de loin les personnages évolués au fil du temps est une vraie réussite, car les ellipses sont bien menées et réussies. Toute l’histoire a un sens, chaque détail est minutieusement travaillé pour rendre son Univers crédible, intéressant et extraordinaire. Cependant, certains moments sont vraiment longs et inutiles, ça alourdit notre lecture et cela freine notre lecture. Malgré les fameuses mille pages du roman, le temps passe à une vitesse qu’on ne s’ennuie quasiment pas.
On en découvre sur l’origine du patient zéro et c’est très intéressant l’image qu’on peut se faire du “destructeur” mondial. Notre image de lui le rend le plus humain, avec son passé terrestre tout en découvrant un autre personnage et c’est une vraie réussite. Tout comme le combat final entre les survivants du Virus et le patient zéro et tous les “vampires”, nommés Viruls dans le récit, est poétique et dévastateur. Une histoire qui m’a touché, perturbé, énervé, mais aussi rendu heureux pour avoir suivi tous ces personnages au fil du temps. Devoir dire au revoir à toutes ces personnes du livre est un déchirement. Les suivre sur 3 300 pages créées un lien.
Afficher en entierTrès bonne fin pour cette trilogie.
J'ai lu ce livre à une période assez difficile (maladie de ma mère et son décès).
Mais en même temps il était un lien car elle l'avait lu avant moi.
Normalement j'aurais discuté avec elle du livre.
Tout de même un très bon moment à lire.
Afficher en entierPas vraiment le genre que je lis habituellement, mais je me suis laissée porter par le récit. Je n'avais pas fait attention au fait que c'était le début d'une trilogie, alors quand au bout de 1200 pages je m'aperçoit que c'est pas fini, j'ai un peu fait la tête, deux romans de plus a trouver et a lire qui se rajoutent sur ma PAL alors que justement, je voulais la réduire la dite PAL. Les longueurs du début du roman auraient du me mettre la puce a l'oreille ceci dit ...
Les longueurs, parlons en ! Quand on a lu le joli petit synopsis au dos du livre on s'attend pas à ce que la mise en place soit si longue ... Mais finalement, c'est cohérent, ça nous plonge tout de suite dans une ambiance lourde, humaine, et aussi un peu onirique.
Il y a beaucoup de personnages, trop, je n'ai pas réussi a m'attacher a eux. En revanche j'ai bien été prise par l'histoire: j'ai envie de savoir comment ils vont résoudre tout ça !
Afficher en entierIl y a beaucoup trop de longueurs avec des descriptions interminable.
Afficher en entier"Le Passage" a réussi à me captiver. Sa particularité ? C'est la première histoire qui se penche sur les "origines" d'une contamination et qui fourni un explicatif complet. Merci.
Pour le reste, l'auteur a réussi à me captiver jusqu'à la page 1265. C'est dire. Petit bémol sur le nombre de protagonistes dans l'histoire, car il y a parfois de quoi se perdre, d'autant plus facilement que certains prénoms peuvent prêter à confusion homme/femme (Hollis, Sanjay etc).
En tous les cas, si vous aimez l'ambiance "after the war", "after the apocalypse", ce livre est pour vous.
Afficher en entierDeuxième lecture de ce roman très dense, très sombre et pas mal angoissant. L'ayant déjà lu adolescente, j'avais surtout retenu l'écriture très immersive et l'ambiance lourde mais pleine d'enjeux créée dans ce livre, et ça ne m'a absolument pas déçue à ma relecture : le premier tiers du roman est consacré à "l'avant", à la genèse de ce qui a décimé la majeure partie de l'humanité, et puis l'histoire fait un bon d'environ 90 ans en avant pour nous faire rencontrer de nouveaux personnages (et retrouver d'anciens), des survivants qui auront un grand rôle à jouer dans le dénouement de l'apocalypse.
C'est simple, dans ce genre de bouquin, la fin du monde est provoquée soit par l'arrivée d'aliens, soit par la curiosité humaine qui, poussée par un besoin de maîtriser de nouveaux virus (pour s'en défendre ou, comme ici, pour attaquer), fini toujours par en subir les conséquences quand ça lui échappe. Et c'est encore plus terrifiant, je trouve, lorsqu'une histoire nous décrit l'extinction de l'humanité due à un virus déjà présent sur Terre, quelque chose qu'il aurait mieux fallu laisser tranquille mais qu'on a été incapables de ne pas aller titiller. C'est exactement la même chose dans 𝐻𝑜𝑤 𝐻𝑖𝑔ℎ 𝑊𝑒 𝐺𝑜 𝐼𝑛 𝑡ℎ𝑒 𝐷𝑎𝑟𝑘 de Sequoia Nagamatsu (et des tas d'autres, mais celui-là est le plus récent dans ma tête), et ça 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥 𝘢𝘶𝘹 𝘵𝘳𝘪𝘱𝘦𝘴.
Bref, tout ça pour dire que ce tome est très bien écrit, que la multitude de personnages n'est absolument pas un frein à la compréhension de l'histoire et que c'était un plaisir de relire ce livre (bien massif, d'ailleurs).
Afficher en entierPlus compliquée, cette lecture-là : moins de pages, mais beaucoup plus de longueurs. L'auteur consacre toute la première partie de son livre à nous écrire l'histoire de personnages qui ne semblent avoir aucun lien entre eux (si ce n'est être américains...) et les chapitres sautent d'un POV à l'autre sans logique et, en tout cas c'est ce qu'on pense au début, sans réel intérêt.
Et même si, OK, d'accord, toutes ces histoires ont un but à la fin, que chaque nouveau personnage rencontré a un grand rôle par la suite, ça reste quand même assez fouillis et surtout, assez frustrant au début. C'est un défaut des histoires, je trouve, que d'avoir une explication à tout, un dénouement à tout : que ce soit dans les romans ou dans les films, l'auteur se sent obligé d'expliquer d'où vient chacun de ses personnages et ce qu'il est devenu par la suite. Il n'y a jamais de questions irrésolue, jamais de scène inutile, jamais de personnage qui n'a aucun rôle dans le grand schéma narratif... Et ça se retrouve là, mais de façon exacerbée : des personnages qui étaient totalement secondaires, voire tertiaires dans le tome 1, deviennent centraux, et les rencontres et coïncidences sont parfois tellement énormes que ça en devient totalement irréalistes. Et les personnages, en constatant ça, se disent juste "ah, c'était écrit". Bah oui, super, merci.
Autre critique, puisque j'y suis : le sens du drama. Je n'ai pas remarqué ça dans le premier tome, ou alors pas autant, mais de nombreuses scènes de ce tome-ci se terminent par des phrases mystérieuses (du type : "elle arrive. - qui ? - notre sœur." *insérer musique dramatique*), par des regards horrifiés sans qu'on sache pourquoi, voire par des actions interrompues totalement au milieu pour qu'on ne sache pas si le personnage s'en sort ou pas (spoiler alert: il s'en sort). Et ça, ça me fait juste penser à ma lecture, petite, des tomes de 𝑇𝑎𝑟𝑎 𝐷𝑢𝑛𝑐𝑎𝑛 où l'autrice faisait ça à 𝘤𝘩𝘢𝘲𝘶𝘦 chapitre ! Mais au bout d'un moment, ça désensibilise juste le lecteur, en fait. A force de conversations interrompues, de scènes coupées et d'échanges mystérieux, on finit juste par n'en avoir plus rien à faire. Quitte à ne rien comprendre, autant ne pas en plus être impliqué émotionnellement dans l'histoire, hein.
Bon, c'était ma tirade. Hormis ça, l'histoire avance, mais à rythme d'escargot (cf. la malédiction des tomes 2 dans une trilogie), les personnages ont pas mal perdu d'intérêt et la fin est si pratique et si rapide qu'on se dit que ouais, vraiment, tout était écrit.
Afficher en entierCe fut vraiment une longue lecture un gros pavé avec presque 1000 pages ça n'a pas était facile de s'accrocher a l'histoire il faut préciser pour ma part c'est à dire parmi mes lectures que c'est la première dystopie qui commence par le tout début des évènements qui ont conduit a ce monde post apocalyptique donc on évolue dans le temps et on suit le devenir de la race humaine suite a ce virus qui transforme l'être humain en une sorte de vampire
Afficher en entierTrop long et franchement ennuyeux par endroit.
J'ai fini ce livre un peu en me forçant car je voulais quand même connaitre la fin. Les 200 premières pages sont assez fastidieuses et j'ai failli m'arrêter là mais j'ai quand même persévéré. Au final, le livre est trop long, les personnages ne sont pas attachants et l'histoire est traitée d'une façon peu intéressante. En revanche, la description de la survie des différentes colonies ou groupes d'humains est bien faite. mais c'est à peu près tout. en bref, je me suis forcé à le finir (et ce n'est pas bon signe) et je ne lirais pas forcement les 2 autres volumes qui doivent suivre puisqu'il s'agit du premier tome d'une trilogie.
Ma note: 2/10
Afficher en entierJ'ai lu ce livre une première fois il y a quelques années. J'avais beaucoup aimé. L'histoire est prenante et bien ficelée. J'ai dû le relire avant d'entamer la suite (les douze) parce que c'est quand même assez complexe. On s'attache aux personnages. Que leur réserve donc l'avenir ?
Afficher en entierOn parle de Justin Cronin ici :
2019-01-19T19:31:58+01:00
2011-11-23T16:18:45+01:00
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Dédicaces de Justin Cronin
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Editeurs
Pocket : 3 livres
Éditions Robert Laffont : 3 livres
Mercure de France : 2 livres
Orion : 2 livres
LGF - Le Livre de Poche : 1 livre
Ballantine Books : 1 livre
Dial Press Trade Paperback : 1 livre
Biographie
Né en 1962, Justin Cronin fait ses études à l'université de Harvard. Il est l'auteur de plusieurs romans dont Huit saisons (Mercure de France, 2003), couronné par le prix Pen-Hemingway. Le Passage a été publié chez Robert Laffont en 2011.
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