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Commentaires de livres faits par diane3mills

Extraits de livres par diane3mills

Commentaires de livres appréciés par diane3mills

Extraits de livres appréciés par diane3mills

Viens un moment dans la vie où l'on se demande comment on en est arrivé là où on en est. Je jetai un coup d'œil au duc et à la corbeille à pain contenant mon bébé. Assise à côté de M. Thackery à une table recouverte d'une nappe blanche, j'essayais de comprendre comment j'avais pu à ce point me fourvoyer. Agassou ne pouvait pas me venir en aide. Les ruses de Maman, l'argent et les muscles de Papa ne m'étaient d'aucune utilité. C'étaient Repington et son Jupiter qui gagnaient. Ils avaient même vaincu Markham pour le moment.
C'était mon châtiment, et j'étais en colère et effrayée.
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Un torse nu. Un torse nu. J'avais atterri sur le duc !
Il n'y avait aucun endroit où poser mes mains qui ne soit cicatrices, muscles, épaules minces ou ventre ferme.
- Désolée. Désolée. Monsieur le Duc.
Il n'y avait aucune règle, aucun protocole pour cela.
Il passa le bras autour de mon dos et me maintint immobile.
- Ne bougez pas, Madame.
Il n'y avait aucune règle pour me dicter ce que j'étais censée éprouver entre ses bras. Les joues me cuisaient.
- Arrêtez de vous débattre, enfin ! Ma jambe est blessée. Vous allez aggraver les choses.
Aggraver les choses ?
Comment était-ce possible ?
J'étais affalée sur lui. Son souffle ne sentais pas le rhum sucré comme la veille au soir, il était acidulé. J'arrêtais de m'agiter. À chacun de mes mouvements, il accentuait la pression de ses paumes.
Mes jambes s'enfoncèrent davantage dans la mollesse du matelas et des oreillers qui entouraient le duc.
Je levais les yeux et croisai son regard. L'amusement se lisait dans ses yeux malicieux, bleu clair zébrés de gris.
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J’étais encore réticente, car le seul fait de penser à me lever pour aller vers la porte me donnait le vertige.
Deux heures plus tard, je compris que ce n’était pas normal.
— Noah, tu me fais peur… commenta Jenna en voyant que je me tordais de douleur.
— Emmène-moi aux urgences, la priai-je d’une voix tremblante.
Marcher jusqu’à la voiture fut une torture, mais le trajet jusqu’à l’hôpital le plus proche le fut encore plus. En arrivant, je marchai comme je le pus jusqu’à la salle d’attente tandis que Jenna remplissait les formulaires qu’on nous avait donnés à la réception.
Tandis qu’on attendait et que je devenais de plus en plus nerveuse, j’éprouvai une sensation étrange à l’entrejambe et je vis qu’une tache rouge s’étendait sur mon pantalon de pyjama. Jenna émit une exclamation étouffée et, la seule chose dont je me souviens, c’est que tout à coup j’étais assise dans un fauteuil roulant et qu’on m’emmenait dans une salle pour m’examiner sur-le-champ. Jenna dut attendre au-dehors.
— Tu m’entends, ma puce ? me demanda une infirmière tout en m’aidant à me déshabiller et à enfiler la chemise d’hôpital. Le médecin va venir tout de suite, mais j’ai besoin que tu répondes à quelques questions…
Je levai les yeux. L’infirmière avait les cheveux roux et était en surpoids ; elle ressemblait à Tweedledum et Tweedledee, dans Alice au pays des merveilles, sauf que c’était une femme et qu’elle n’arrêtait pas de parler.
— Tu en es à combien de semaines ? me demanda-t-elle alors.
— Non, ça ne m’est arrivé qu’aujourd’hui…
L’infirmière m’observa, les sourcils froncés, puis tout à coup sa question, sa maudite question, me ramena à la réalité, comme si on m’avait jetée depuis le dixième étage et que je m’étais écrasée la tête la première contre le sol.
— D-de quoi parlez-vous ? demandai-je d’une voix tremblante.
L’infirmière me dévisagea, d’abord étonnée, ensuite avec peine.
— Tu es sûrement en train de faire une fausse couche, mon petit.
Que disait donc cette femme ? Mon Dieu ! Tout autour de moi sembla se pétrifier et les mots « fausse couche » s’abattirent sur moi comme un coup de marteau géant.
« Fausse couche », « fausse couche », « fausse couche »… J’avais beau le répéter en boucle dans ma tête, c’était impossible. C’était impossible parce que pour faire une fausse couche il faut d’abord être enceinte, ce qui n’était pas mon cas.

(extrait tiré de l'aperçu du livre sur le site Hachette)
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Nous étions toujours en train de nous tordre de rire sur le perron quand Jessica ouvrit la porte. De là où nous nous trouvions, nous ne voyions que l'énorme protubérance constituée par son ventre et, beaucoup plus haut, son petit visage ridé par la surprise. (Marc avait dû comprendre que j'allais bien et rentrer en boitant dans la maison. Note à moi-même : lui présenter des excuses de la part de Sinclair. Tout expliquer à mes amis. Les supplier de me pardonner. Rincer. Recommencer.) Elle ne dit rien pendant plusieurs secondes, ce que nous trouvâmes encore plus hilarant.
- Coucou. Marc est parti bouder dans un coin; il a une grosse bosse sur le front. Il a déclaré que ce serait bien fait pour vous si vous attrapiez des engelures sur vos "parties intimes". Alors… vous voulez que je vous laisse entrer quand vous aurez terminé ?
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- Comment c'est possible que je…
- Soirée tequila, tu te souviens ?
- Euh… Je n'ai pas… On n'a pas… Il s'est passé quelque chose hier soir ?
Mon Dieu. Dites-moi qu'on n'a pas couché ensemble. Rien que l'idée me donne envie de gerber. Daniel me fixe avec des yeux de veau.
- Non, non, non, c'est pas vrai, on n'a pas fait ça !
Une sueur froide dégouline le long de mon dos. J'essaye de rassembler mes souvenirs. Rien.
- Mais, tu es encore habillé et moi aussi ! je m'exclame, en constatant tout de même que mon soutien-gorge est dégrafé.
Daniel explose de rire, un rire de hyène hystérique.
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Au début, je suis trop sonnée pour émettre le moindre son. Mon cœur s'emballe tellement qu'il va me lâcher. J'ai les jambes sciées, je m'assois. Au bout de quelques secondes, l'adrénaline circulant à nouveau dans mes veines, je réagis enfin :
- Pardon ???
Fiancée à Daniel Kerrington, c'est quoi ce bordel ? Pour une fois, lui et moi sommes sur la même longueur d'onde, parce qu'il explose tout autant.
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Moi je n'aurais plus jamais ça, après tout ce qui c'était passé. A présent, en voyant ce que j'avais perdu, je comprenais à quel point j'avais été stupide. La peur qu'on ne me fasse du mal avait empêché qu'on m'aime vraiment, parce que Nick m'avait aimée de toute son âme et que je l'avais écarté encore et encore jusqu'à finir par le faire plonger avec moi dans ce puits d'obscurité où je me trouvais quasiment en permanence.
C'était cela qui me faisais le plus de mal, parce que moi, j'étais habituée à la douleur. Bien que j'en aie peur et que j'essaie d'y échapper du mieux possible, quand je la ressentais, je pouvais la supporter. Ce qui était insupportable était de faire face à la sienne.
Toutes les fois où il m'avait dit qu'il m'aimait, toutes les fois où nous nous étions disputés pour des sottises, tous les baisers volés, ces caresses, cet amour qu'il ne ressentait que pour moi… Tout avait fini par devenir son cauchemar.
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Sa voix se brisa sur le dernier mot, et cela me suffit pour comprendre que je venais de nous détruire tous les deux. Si j'avais pensé auparavant que ma douleur avait été suffisante pour que mon cœur cesse de battre, à présent, en voyant la sienne, en voyant ce que je lui avais fait, je compris que ça, c'était encore pire: si c'est déjà horriblement douloureux qu'on te brise le cœur, c'est infiniment plus douloureux de briser celui de la personne que tu aimes de toute ton âme.
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- Je crois qu'on a besoin d'un break, lança-t-elle, les yeux toujours baissés.
Je pris son menton entre deux doigts et l'obligeai à me regarder.
- Tu ne le dis pas sérieusement.
Elle ne pleurait pas, mais ses yeux étaient brillants de larmes.
- Je crois qu'on a tous les deux besoin de réfléchir, de se dire que l'autre nous manque, Nick… Parce qu'en ce moment, je ne te reconnais pas, je ne nous reconnais pas. Tout ce que je vois, c'est de la jalousie, et ça ne me plaît pas.
- Ne fais pas ça, ne t'éloigne pas de moi.
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Sophie, elle, ne semblait pas surprise, ce qui me contraria encore plus. Si elle savait que nous étions ensemble, pourquoi donc ne s'était-elle pas tenue à distance de Nick? Je laissai mes yeux se poser sur ma mère quelques secondes après avoir lâché la bombe et je regrettai aussitôt mes paroles: j'allais mourir ce soir, sans aucun doute.
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La femme qui nous renseignait, attendant patiemment que nous choisissions une couleur pour la chambre de Maddie, décida qu'il était temps d'intervenir.
- Le vert est très à la mode. Mais, si vous n'êtes pas encore sûrs... Vous en êtes à combien de mois? demanda-t-elle ensuite en regardant mon ventre avec un sourire.
Je mis quelques instants à comprendre ce qu'elle voulait dire.
- Quoi? Non, non.
Près de moi, Nicholas devint brusquement sérieux et lui lança un regard noir.
- Je croyais... commença-t-elle, son regard passant de Nick à mon ventre.
Cette femme avait cru que j'étais enceinte et que nous étions en train de choisir une couleur pour la chambre de notre bébé. Notre bébé... Mon Dieu. J'en eus l'estomac noué.
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Mes doigts glissèrent jusqu'à sa pommette, puis jusqu'à son menton. Comment pouvait-il être aussi beau?
Alors, une pensée complètement inattendue me vint à l'esprit: à quoi ressembleraient nos enfants?
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Dans la voiture, la tension était à couper au couteau. Il était furieux, je le savais, je l'avais vu dans ses yeux.
Et je le comprenais parfaitement, mais que pouvais-je y faire? Ma mère avait organisé et payé le voyage, je ne pouvais pas refuser de partir avec elle. C'était ma mère. Nous parlions depuis toujours du jour où j'obtiendrais mon diplôme, du moment où j'entrerais à l'université, des achats que l'on ferait ensemble pour meubler ma chambre à la résidence; nous avions plaisanté en disant que nous partirions sac au dos en Europe afin de passer le dernier été ensemble, pendant que j'étais encore sa "petite", comme elle m'appelait. Une partie de moi voulait le faire; je ne pouvais pas rater cette opportunité de partager ces moments avec celle qui m'avait donné la vie et tout ce que j'avais. Je ne pouvais tout simplement pas lui dire non.
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Je hochai la tête. Décidément, mon quasi-frère était doué pour mentir. Je pris un petit pain sur la table et sortis dans le jardin. Il était étendu sur un transat, à l'ombre, avec ses lunettes de soleil. Il portait son maillot de bain et son T-shirt, et semblait dormir. Je supposais que lui non plus n'avait pas beaucoup dormi.
Je m'approchai à pas de loup.
- Joyeux anniversaire ! hurlai-je de toutes mes forces, avant d'éclater de rire en le voyant sauter en l'air.
- Putain ! s'exclama-t-il.
Il enleva ses lunettes et découvrit son oeil, qui était à la fois vert, violet et bleu.
C'était tellement comique que je ris à m'en tenir les côtes. Il m'observa quelques instants, l'air vaguement en colère, mais, en me voyant rire, il ne put s'empêcher de sourire lui aussi.
- Tu trouves ça drôle ?
Je levai les deux mains en riant de plus belle. Chaque fois que je pensais au bond qu'il avait fait, ça repartait.
- C'est clair que tu vas être désolée.
Il se jeta sur moi. Je pris mes jambes à mon cou, mais ce fut inutile. Une seconde plus tard, il m'avait rattrapée et me soulevait sur ses épaules en grimaçant de douleur.
- Non, Nick, s'il te plaît ! criai-je en me débattant de toutes mes forces, mais il m'ignora et sauta dans la piscine avec moi sur le dos.
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-Je voulais voir s'il y avait des traces de la présence de Singh et de Bouh. Je n'ai déjà pas grand-chose pour faire le lien entre Howie et Singh… en fait, à part Singh lui-même, je n'ai rien.
Ranger referma la fenêtre derrière nous.
-Je ne vois pas de boîte de croquettes pour chiens, dit-il.
-Pauvre petit Bouh.
Dès que ces mots eurent franchi mes lèvres, je mesurais mon erreur. Trop tard. Je plaquai la main contre ma bouche et regardai Ranger.
-Je pourrais t'aider à assouvir ton instinct maternel, tu sais, dit-il.
-En me faisant un enfant?
-J'allais suggérer une visite au refuge animalier.
Il m'attrapa par le devant de mon tee-shirt et me tira contre lui.
-Mais je peux aussi te faire un enfant, si c'est ce dont tu as vraiment envie.
-C'est gentil de ta part de vouloir me rendre service, mais je crois que je vais repousser tes deux propositions.
-Sage décision, dit-il en me lâchant. Jetons un coup d'oeil au reste de l'appartement.
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Je me sens coincée, collée au siège. Comme si mes poumons étaient collés ensemble. Je réussirai à calmer les sanglots mais soudain je hochais, des larmes se répandant discrètement sur mes joues. "Je veux _Je veux aller à la mai-maison_"
"Tu rentres chez toi", dit-il, toujours souriant. "C’est le but."
Et puis_
"Papa."
Je regarde le son de sa voix. Si calme et sérieux. C’est le garçon aux yeux verts. M. Anderson, je sais, c’est son père.
"Elle est effrayée", dit le garçon. Et même s’il parle à son père, il me regarde. "Elle est vraiment effrayée."
"Effrayée?" M. Anderson nous regarde chacun, puis encore. "Y'a t'il de quoi avoir peur ?"
Je frotte sur mon visage. Essayer d'arrêter les larmes et échouer.
"Quel est son nom ?" demande le garçon. Il me fixe encore, et cette fois, je regarde en arrière. Il y a quelque chose dans ses yeux, quelque chose qui me fait me sentir en sécurité.
« C’est Juliette », dit M. Anderson, et il me regarde.
"Tragique"_il soupire_"comme son homonyme."
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Je suis assise sur une chaise orange dans le couloir d’un immeuble faiblement éclairé. La chaise est faite de plastique bon marché, ses bords grossiers et inachevés. Le sol est un linoléum brillant qui colle occasionnellement aux semelles de mes chaussures. Je sais que j’ai respiré trop fort, mais je ne peux pas m’en empêcher. Je m’assois sur mes mains et je balance mes jambes sous mon siège.
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