Bon, je me décide à écrire sur ce livre une fois le choc retombé, que j'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à commencer, ayant un peu grandit avec cette série, savoir qu'il s'agissait du dernier tome ne m'aidait pas (mais apparemment, je ne suis pas la seule, ça me rassure ^^)

Alors évidemment, Artémis Fowl est l'une de mes série préférée, et même si la nostalgie a une grande part de responsabilité là dedans, je suis absolument convaincue de sa qualité intrinsèque.

Alors, au lieu de passer 40 lignes à détailler ces qualités (je me retiens pourtant), il suffit de lire la série pour s'en rendre compte, je vais plutôt souligner 2 ou 3 points qui m'ont, à vrai dire, gêner dans ce dernier tome (soyons constructifs les amis)

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-Alors, ce qui m'a le plus fait tilter, c'est tout simplement Artémis : je ne comprends pas. En faite si, je crois comprendre mais ça me gène. C'est un personnage que nous connaissons par coeur, et adorons depuis le 1er tome. Son évolution était juste parfaite jusqu'au 6e tome et je crois voir là dedans la volonté d'Eoin Colfer de faire de son anti héro, un "vrai" héro (au sens littéraire j'entends) et ça marchait très bien jusqu'ici (et c'était à la fois diablement drôle, tragique... une des principale force de la série). Mais j'ai eu l'impression que dans ce tome, les ficelles devenaient trop visibles. Je m'explique : il perd ce qui faisait de lui un héro atypique. Avant, pas la peine de nous répéter tous les chapitres que son intellect était hors norme : on le voyait ! Via ses actes, ses pensées... Ici, il semble toujours dépassé par la situation, ce qui pourrait se justifier si les enjeux paraissaient VRAIMENT plus complexes qu'avant, mais... non. Le Artémis de ce tome, n'aurait, à mon sens jamais survécu dans dans les colonies perdues (et je ne site que l'exemple le plus flagrant). E l'auteur semble compenser en nous rappelant que "Malgrés son génie, Artémis était désemparé... ", c'est assez frustant je trouve.

Il perd également toute sa verve, son sarcasme... il devient un héro lambda de littérature adolescente, et je le crie au et fort : CE N'EST PAS (mon) ARTEMIS. Mais je l'aime quand même et puis bon, si c'est bien ce qu'à voulut l'auteur, si je trouve des défauts au résultat, l'intention est bien là, et la tenir pendant 8 tomes, c'est déjà une exception pour être noté.

- Et ensuite, la fin. Apparemment, vous êtes beaucoup à l'avoir adoré. Sans l'avoir détester, je trouve qu'elle est un peu en décalage avec le reste de la série. Si il y a bien un truc qui me faisait rire, c'était ce caractère "et si c'était vrai" de l'histoire, qui s'appliquait à tout justifier, des mythes aux installations cachés des FAR, en passant pas l'explication historique de Stonhenge (ex-pizzeria elfique je tiens à le rappeler x)). Et c'est c'était un point que je trouvait vraiment intéressant, qui donnait beaucoup d'enjeux aux intrigues. Alors une fin aussi distopique et utopiste que celle là, même si elle fait passer un joli message, me laisse un peu sur ma faim : cette aventure n'est plus dans notre monde, et devient purement fictionnelle (elle l'était bien évidemment déjà, je ne sais pas très bien comment exprimer ça mais, elle perd un peu de son sel avec cette conclusion)

Pour rassembler un peu ces 2 points, (et je crois bien que c'est la première fois que je dis ça pour une série que j'adore), j'aurais trouvé une fin tragique plus pertinente, en terme d'évolution de personnage pour Artémis (et dieu sais combien j'aurai pleurer et rager devant mon livre, mais avec le recule... ça aurait coller avec le ton général de la série, le personnage, bien shakespearien sur les bords, faut dire qu'il connait toute la bibliographie par coeur)

Donc voilà, un dernier tome en demi teinte pour moi (comme le 7e en faite), mais qui ne dénature par la saga (faut pas exagérer ^^). Saga qui d'ailleurs, est ma première série de Fantasay, c'est pour dire l'attachement que je lui porte. Merci Eoin

Qu'est ce que j'ai ri en lisant ce livre ! Si je devais le résumer en une phrase :" Percy vous raconte la mythologie gréco-romaine comme un ado le ferait, et en essayant de vous faire rire", et dieu sait si il y arrive ! Non vraiment, il peut à la fois constituer une bonne initiation à mythologie (qui admettons le, est un joyeux bordel) pour quelqu'un ne s'y connaissant pas, car se limitant aux grandes lignes des mythes les plus connus; ou à l'inverse comme ça a été mon cas, une relecture hilarante et heureusement simplifiée de celle ci (les commentaires de Percy tels que "bon, j'attends que vous ayez fini de vomir... c'est bon ? je reprend..." m'ont définitivement achevé x) )

J'ai vraiment adoré, à mettre entre toutes les mains !

Intelligent et indéniablement drôle, ce texte est magnifiquement adaptée au théâtre par Jean Laurent Silvi. Personnellement, j'ai découvert cette oeuvre avec la pièce éponyme (au théâtre du Petit Montparnasse), et est énormément apprécié. On oscille entre une fiction et un respect scrupuleux des faits historiques, dans l'échange vif et spirituel de deux des hommes les plus puissants de cette époque.

A ne pas manquer !

Émotion est bien le mot qui convient. Cette série m'accompagne depuis mes douze ans, et a toujours eu une importance particulière pour moi, et je sais pertinemment que sa lecture a influencé, et influence encore mes lecture actuelles. Et c'est donc ce tome qui conclut la série culte (oui, je pense que l'on peut désormais enployer ce terme) d'Eoin Colfer. Même si l'ambiance n'est plus tout à fait la même qu'à ses débuts, mais si les personnages ont évolués, même si le style même du livre et de l'écriture ont changés, peu importe ! Ce livre conclut la série, et c'est tout ce qu'on lui demande, la boucle est bouclée (c'est bien le cas de le dire) avec (pour ma part) une bonne effusion de larmes, un certain choc, et bien sûre, une grande émotion.

Un petit mot pour la fin ? Merci, tout simplement merci à Eoin Colfer pour m'avoir permit de rêver, et ce durant toute ces années !

(note à moi même : si je retrouve le designer de cette couverture, je lui coupe les deux mains, afin d'empêcher d'autres massacres)

Une histoire difficile à démarrer, mais ma fois sympathique finalement. En revanche je ne trouve pas très malin de la part d'un booknodien d'avoir mit en guise d'extrait l'une des plus grande révélation du livre (certe très prévisible, mais quand même), d'autant que cela ne reflète pas tellement l'esprit du livre...

Une petit oneshot sympa, avec des personnages pas trop niais, une histoire mignonne et un beau graphisme, le tout ponctué de beaucoup d'humour. Que demander de plus pour un manga qui ne compte qu'un soixantaine de pages ?

Je me range aussi à l'avis général, plus qu'autre chose, ce manga manque de qualité. Comme TOUS les autre mangas de l'auteur, on retrouve les 2 même protagonistes avec la même "psycologie"(psycologie ? ou plutôt devrais-je dire "trait de caractère simple et unique reprenant le schéma loup-agneau, existant dans le seule but d'amener rapidement le manga à sa qualification première de mature-shojo"). Parce que franchement, il n'y a que ce caractère qui ressors, avec cette histoire vide limite malsaine, ces personnages stéréotypes de l'auteur (et vraiment, j'ai fait l'expérience, ayant lu plusieurs autres mangas de l'auteur, que ce soit du point de vu graphique ou psychologie, les 2 héros sont de réelles photocopies). Bref, aucune recherche scénariste et graphiques, des situations mais clichées ! En clair, si vous décider de lire une série de cette auteur, n'en lisez qu'une, cela reviendra au même ! Petit note spéciale part contre pour ceux qui auraient aimé "Kaikan Phrase", le héros et l'héroïne apparaissent plusieurs fois dans ce manga, ce qui dénote un semblant de recherche de la part de l'auteure !!

Une histoire intéressante et un très beau graphisme, mais malheureusement, cette série reprend le concept de "l'héroïne insupportable et sans psychologie" ce qui devient réellement pesant au fil des pages. D'ailleurs, ceci s'applique en plus à plusieurs autres personnages ! Franchement, la seule raison qui m'a poussé à terminer la série, mis à part les dessins qui eux sont de haute qualité, c'est simplement la curiosité et le désir de savoir comment cette histoire allait se conclure (conclusion grandement prévisible d'ailleurs). Avis aux amateur de shojo sans prise de tête, d'autant que celui-ci est disponible gratuitement et légalement (j’insiste !) sur internet.

Ha ! Enfin une suite à la hauteur de la série ! Après le tome 5 qui m'avait un peu déçu (mais pas trop quand même, ça reste toujours du Magyk) on retrouve enfin l'esprit et l'humour de la série. Même si j'ai trouvé que le héros était moins présent que dans les autres tomes (et un peu horripilant parfois) j'ai vraiment adoré ! On retrouve enfin l'univers de Magyk, qui semblait avoir été un peu oublié dans le tome 5.

Une bonne série effectivement, une histoire de base franchement bien amenée et un très beau dessin. Seul point noir, l'héroïne est un peu trop soumise à mon goût, je comprendre qu'au début de leur relation elle soit ainsi, mais pas jusqu’à la fin, ça devient légèrement malsain ! Sinon Tsubasa est vraiment adorable, j'aurais bien aimé connaître la suite de son histoire !