Saturn's Children
Auteur
- Charles Stross (Écrivain)
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extrait
"I'm a robot. Yes, I used the R-word; I know it's an obscenity. Use it to an aristo's face, and it's a mortal insult, grounds for a challenge on the field of honor between equals. Its connotations of subservience and helpless obedience are abhorrent, much as the word "nigger" once was between humans. But there's nobody left but us robots today. That's the dirty little hypocritical lie that's at the root of our society; they, our dead Creators, made us to serve them, and they forgot to manumit us before they died."
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Pas désagréable à lire; très inspirée de "Vendredi" de Robert Heinlein, la narration à la première personne nous plonge dans la "peau" (si l'on peut dire) de la narratrice androïde, et nous permet quelques découvertes amusantes dues à sa nature de robot. Ce qui me chiffonne un peu est le caractère trop catégorique et impitoyable de la société mise en place par ces derniers, ainsi que le désespoir que Freya est condamnée à traîner avec elle, puisque, c'est le postulat de base, si son utilité première était de répondre au désir des humains, ces derniers se sont éteints depuis longtemps. L'auteur se rattrape par un certain nombre d'idées originales (à commencer par celle du "graveyard" portatif), ainsi que par le recours à des univers variés lors de l'exploration du système solaire par Freya. Pas indispensable à 100%, mais pas à proscrire non plus, donc !
Contrairement à ce qu'annonce l'éditeur, on trouve quelques scènes d'érotisme, mais plutôt soft : les relations sont suggérées plutôt que décrites.
Afficher en entierPrix littéraire
Date de sortie
Saturn's Children
- France : 2009-06-30 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Sex oozes from every page of this erotic futuristic thriller. In a far-future class-driven android society, most of the populace are slave-chipped and owned by wealthy aristos. When low-caste but unenslaved android Freya offends an aristo and needs to get off-world, she takes a courier position with the mysterious Jeeves Corporation, but the job turns out to have dangers of its own. Designed as a pleasure-module, Freya isn't quite as obsolete as she could be, as androids have sex with each other incessantly. Hugo-winner Stross (Halting State) has a deep message of how android slavery recapitulates humanity's past mistakes, but he struggles to make it heard over the moans and gunshots. Readers nostalgic for the SF of the '60s will find much that's familiar (including Freya's jumpsuit-clad form on the cover), but that doesn't quite compensate for the flaws.
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