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Toutes les séries de René Barjavel

3 livres
182 lecteurs

À la fin du XIXe siècle, l'Irlande vit toujours au rythme de ses légendes : forêts enchantées et mystérieuses ensorceleuses.

Nostalgique de sa terre, Sir John quitte Londres pour s'installer sur l'île d'Albans, à l'endroit même ou il est né.

Griselda, la troisième de ses cinq filles, rêve d'ailleurs. Rebelle dans l'âme, la jeune femme à la chevelure d'or se languit dans la demeure de ses ancêtres, vaste prison gardée par l'océan. Du haut de ses murailles, elle attend qu'on vienne la délivrer...

34 livres
4 lecteurs

Au sommaire de ce numéro :

Le Recrutement de ARCADIUS

Colomb de la Lune de René BARJAVEL

Fond sonore de Marcel BATTIN i de Jacques BERGIER Pierre VERSINS

Monsieur, Madame et la petite bête de Hervé CALIXTE

Five o'clock sélénite de Michel CARROUGES

Le Baiser de la vie de Francis CARSAC

C'est du billard ! de Philippe CURVAL

La Vana de Alain DORÉMIEUX

L'Heure du départ de Michel EHRWEIN

La Nuit du 24 avril de Clarisse FRANCILLON

Chapitre 13 de Fernand FRANCOIS

Pêcheurs de lune de Charles HENNEBERG

Prima Donna de Michel JANSEN

L'Observateur de Gérard KLEIN

La Chose de Ilka LEGRAND Alec SANDRE

Le Piège de Jean-Claude PASSEGAND

Le Règne des Plusieurs de Kurt STEINER

Bonnes vacances ! de Jacques STERNBERG

Escale en permanence de Jean-Paul TOROK

Le Réfractaire de François VALORBE

Araignées dans le plafond de Claude VEILLOT

Soyez bons pour les animaux de Julia VERLANGER

L'Autre de Bruno VINCENT

3 livres
19 lecteurs

Insensé !

Le cataclysme qui a failli faire périr le monde est-il déjà si lointain qu'un homme de ton âge ait pu en oublier la leçon ?

Tous les livres de René Barjavel

Tarendol est un roman de l'écrivain français René Barjavel, paru en 1946. Contrairement aux œuvres les plus connues de son auteur, il ne s'agit pas d'un roman de science-fiction. Tarendol raconte les amours de deux adolescents, Jean Tarendol et Marie Margherite, qui découvrent la vie dans une région imaginaire inspirée de la Drôme natale de Barjavel, pendant l'Occupation.

Une gigantesque manifestation réunit, place de la Concorde, des milliers de femmes enceintes venues dénoncer les effets de la bombe U. Mais il est déjà trop tard... Le cataclysme se déclenche. La planète Terre est réduite à néant. Cependant, Lucie, l'une des manifestantes, échappe mystérieusement à la déflagration.

Seize ans plus tard... Lucie vit avec son mari et ses enfants dans un univers étrange où le temps n'existe plus, où il suffit d'appuyer sur un bouton pour obtenir vêtements et nourriture.

Que s'est-il passé? Pourquoi ont-ils échappé au cataclysme? Qui est l'énigmatique Monsieur Gé que les enfants assimilent confusément à un Dieu?

Vous êtes vivant.. Savez-vous bien ce que cela veut dire ?

Savez-vous, par exemple, que chaque cellule de votre corps contient, inscrits sur des molécules qui ressemblent à des rubans télégraphiques, les ordres concernant toutes ses fonctions, et toute votre hérédité depuis la nuit des temps? Et que si on mettait bout à bout les "rubans" contenus dans tes cellules d'un seul corps humain leur longueur couvrirait mille fois la distance de la Terre au Soleil ?

Chaque détail d'un être vivant est un foisonnement de stupéfiants mystères. El Ie plus grand de tous est la vie, dont nul ne sait ce qu'elle est. Or la voici menacée de destruction. Par le nucléaire. Militaire. Et civil.

Un accident qui laisserait s'échapper le contenu d'une seule centrale au plutonium répandrait dans la nature de quoi tuer l'humanité tout entière... Et le plutoniumn répandu, que rien ne pourrait détruire, continuerait d'être mortel pendant plus de mille siècles.

Peut-on prétendre qu'il n'y aura jamais d'accident ?

Mais le pétrole va devenir rare et risque de manquer brutalement à la suite d'un conflit. Pour le remplacer il n'y a rien d'autre de prêt que les centrales nucléaires. Sans elles, la fin du pétrole. c'est la fermeture des usines, le chômage total, la famine dans les villes et la guerre civile. Pour décrire cette situation, Barjavel retrouve les accents de son roman prophétique, Ravage, écrit il y a 35 ans...

Sans le nucléaire, c'est le désastre. Mais avec le nucléaire c'est la catastrophe...

Barjavel propose de s'évader de cette alternative infernale par une troisième voie qui aurait, en plus, l'avantage de favoriser la transformation pacifique de notre civilisation en une forme nouvelle de société décentralisée où l'homme retrouverait, avec la nature, un accord qu'il n'aurait jamais dû rompre.

L'objet de sa lettre ouverte est de nous rappeler, au-dessus des querelles politiques et nationalistes, qu'il y a aujourd'hui quelque chose de plus important que de choisir de vivre de telle ou telle façon : c'est, impérativement, choisir de vivre.

Le grand secret, c'est l'histoire d'un couple séparé par un extraordinaire événement, puis réuni dans des circonstances telles que jamais un homme et une femme n'en ont connu de pareilles. C'est aussi l'histoire d'un mystère qui, depuis 1955, a réuni, à l'insu de tous, dans une angoisse commune, par-dessus les oppositions des idéologies et des impérialismes, les chefs des plus grandes nations. C'est ce "grand secret" qui a mis fin à la guerre froide, qui a été la cause de l'assasinat de Kennedy, qui rend compréhensible le comportement de De Gaulle en mai 1968, qui a rendu indispensables les voyages de Nixon à Moscou et à Pékin. Il n'a rien à voir avec la guerre ou la bombe H. C'est le secret de la plus grande peur et du plus grand espoir du monde. Il ne faut pas oublier que c'est un roman. Mais si c'était vrai?...

Mon premier voyage après l'accident me ramena au lieu même où il s'était produit. Sous la coupole, dans la lumière des champignons, les débris de chair de mon maître mettaient leurs taches sombres sur l'or roux de la chevelure de la tête coupée. L'expression de celle-ci n'avait pas changé. Les yeux clos, les lèvres enfin calmées esquissaient un sourire de paix totale.

Pendant que la Mort Blanche étend sur la Terre son linceul glacé, rançon de la dernière guerre mondiale, un ultime combat fait rage au sein de l'Arche souterraine où les femmes se battent pour le dernier mâle.

Mais voici qu'entre en jeu la douce et terrifiante loi de l'espèce : l'amour. Sera-t-elle assez forte pour sauver le dernier couple ? Et qui l'emportera dans cet ultime face à face : le Diable, qui ne se résout pas à voir détruit son jouet préféré, ou Dieu, jamais découragé par sa créature, et prêt à rejouer le premier acte de l'Eden ?

L'homme se trouve devant deux destins possibles : périr dans son berceau, de sa propre main, de son propre génie, de sa propre stupidité, ou s'élancer, pour l'éternité du temps, vers l'infini de l'espace, et y répandre la vie délivrée de la nécessité de l'assassinat.

Le choix est pour demain.

Il est peut-être déjà fait.

René Barjavel raconte son enfance dans la boulangerie provençale de ses parents. Au fil des pages et des souvenirs, parfois précis, parfois flous comme des couleurs dans la brume, nous voyons vivre un petit garçon naïf et ébloui, qui découvre les merveilles familières du monde. Autour de lui, c'est un bourg de Provence qui surgit, au temps de la Grande Guerre de 1914. Et si les hommes qui sont loin, au front, s'entre-tuent avec des moyens très modernes, à Nyons c'est encore la civilisation paysanne et artisanale qui subsiste, la civilisation de la main et de l'outil. Et les enfants regardent le charron fabriquer pièce par pièce un chef-d'œuvre : la grande charrette bleue qu'un paysan lui a commandée et qui va porter dans cette histoire le signe du destin.Mais déjà le premier aéroplane, aux ailes de toile, se pose dans un champ...

On doit jouer Jules César dans les arènes de Nîmes. Le commissaire Mary reçoit une lettre : CE SOIR LES CONJURES TUERONT VRAIMENT CESAR. Un assassin, dans l'ombre, monologue. L'acteur Faucon s'écroule, à la fin de la représentation, devant vingt mille personnes, sous les applaudissements - un merveilleux moment de théâtre. A ceci près qu'il a été réellement tué, dans la lueur, des projecteurs. Mary enquête entre le réel et l'illusion, interroge les acteurs qui répondent à leur pseudonyme, à leur propre nom, à celui du personnage dont ils jouent le rôle. Ils ont entre eux des relations aussi complexes que dans la pièce de Shakespeare. Et voilà que Brutus, à son tour, ne se relève pas pour saluer les spectateurs...

C'est sur un coup de théâtre, bien sûr, lui aussi soigneusement mis en scène, que s'achève La peau de César de Barjavel - une passionnante intrigue policière menée sur le terrain du simulacre.

Un humour assez féroce, une anticipation qui est presque une actualité, une logique un peu perverse, une grande tendresse, et des « coups de poésie » comme des coups de vent, c'est l'histoire rationnelle et déraisonnable du premier homme qui se posera sur la Lune. S'y poser ce n'est rien. Il faut pouvoir en revenir. A condition que là-haut rien ne vous retienne...

C'est aussi l'histoire de sa femme. Ce n'est pas très drôle d'être la femme d'un homme qui va dans la Lune. Un homme qui n'est jamais là... Et la femme de Colomb se jette dans une aventure qui est sans doute plus dangereuse que la conquête des étoiles. Cela se nomme l'amour...

♦ Voici, réédités à l'occasion du dixième anniversaire de la mort de l'écrivain, les romans de science-fiction de René Barjavel (1911-1985).

Science-fiction... ou littérature tout simplement ?

Le roman traditionnel, disait Barjavel, est à bout de souffle et nos interrogations d'aujourd'hui s'y trouvent à l'étroit. Seule la science-fiction ouvre des voies nouvelles à des horizons sans limites et aux angoisses qu'ils font naître.

On ne trouvera ici ni monstres extravagants ni extraterrestres. Les personnages de Barjavel sont toujours des hommes ou des femmes qui nous ressemblent, et ses histoires qui parlent de la fin des civilisations, des voyages dans le temps, des dangers accumulés par des idolâtres du progrès, sont aussi des histoires d'amour.

Ou l'on découvre l'imagination, l'humour, la poésie, le goût de la vie d'un voyant et d'un grand écrivain de notre siècle.

♦ Sommaire :

1 - Jacques GOIMARD, Préface

2 - Ravage, Roman

3 - Le Voyageur imprudent, Roman

4 - Le Diable l'emporte, Roman

5 - Colomb de la Lune, Roman

6 - La Nuit des temps, Roman

7 - Le Grand secret, Roman

8 - Le Prince blessé, Recueil de nouvelles

9 - La Tempête, Roman

Dans une Bagdad imaginaire vit le Khalife Haroun al-Raschid. Il décide, pour parfaire l'éducation de son fils le prince Ali, de l'envoyer à Paris afin qu'il se confronte à l'amour. Sous le patronage du Génie Omar, Ali commence son initiation, jusqu'à ce qu'il rencontre la passion...

Le prince blessé rassemble l'intégralité des nouvelles de René Barjavel, entre fantaisie et fantastique, satire et humanisme.

Le narrateur raconte, lors de la fête de Collioure, une histoire aux enfants et aux personnes qui veulent bien s'arrêter. C'est l'histoire de Saint Vincent, une histoire de bandit qui émerveille et qui terrifie quand Jésus apparait dans l'histoire.

Destin parallèle de Barabbas et de Jésus.

♦ Le monde de René Barjavel (1911-1985) est plein de merveilles. Qu'il nous conte son enfance drômoise (Tarendol, La Charrette bleue), la quête de Merlin (L'Enchanteur) ou la belle histoire des descendantes de la licorne (Les Dames à la licorne), il nous amène sur des rivages inconnus et familiers où la crainte et la peine s'estompent, où dans le chaos des fins de monde comme dans une naissance tout se confond et se met en place.

L'allégresse, l'enchantement que procure la lecture de ces Romans merveilleux, qui sont toujours des romans d'amour, le message inattendu de sagesse qu'ils nous délivrent, sont sans doute ce qui fait la force, la jeunesse et l'universalité d'une œuvre que l'on redécouvre aujourd'hui.

♦ Sommaire :

1 - Tarendol, Roman

2 - La Charrette bleue, Roman

3 - Les Chemins de Katmandou, Roman

4 - Une rose au paradis, Roman

5 - L'Enchanteur, Roman

6 - La Peau de César, Roman

7 - René BARJAVEL & Olenka de VEER, Les Dames à la licorne, Roman

8 - René BARJAVEL & Olenka de VEER, Roman

9 - Jacques GOIMARD, Postface

10 - (non mentionné), Tableaux généalogiques, Notes

Après la savoureuse et naïve Charrette Bleue, René Barjavel nous offre une nouvelle tranche de souvenirs. Le petit garçon de la boulangerie de la rue Gambetta a grandi - comme il a grandi vite ! - mais il n'a pas tellement changé. Le voilà déjà écrivain débutant, marié, vivant avec ses deux enfants, sa femme, son chien et sa tortue dans une appartement grand "comme une paire de draps". Son regard est toujours plein de curiosité et d'amusement. Ce qu'il a acquis, en ces quelques années, ce n'est pas "de l'expérience" mais un humour constant qui lui permet, en se moquant de lui-même, de ne pas juger les autres, et de s'emerveiller de la bêtise de l'homme autant que de son génie. C'est ainsi qu'il traverse sans devenir un adulte aigri ces épreuves que sont la guerre, l'occupation, l'impécuniosité, la maladie. Jusqu'à l'espoir toujours...

Le Journal d'un homme simple avait fait l'objet, en 1951, d'une édition à tirage limité. Pour l'édition présente, René Barjavel a beaucoup coupé et beaucoup rajouté. Le temps qui passe change les souvenirs comme les vins : il en est qui prennent du goût, d'autres qu'il faut jeter...

LE DERNIER LIVRE DE BARJAVEL : DEMAIN LE PARADIS

DEMAIN LE PARADIS : Titre prémonitoire... Voici un des plus beaux livres de Barjavel. En tout cas, celui qui va le plus loin et se lit comme un passionnant roman d'aventures.

D'où vient l'homme ? Et jusqu'où peut-il aller ?

Jamais l'espèce humaine ne s'est trouvée devant un choix à faire aussi net, devant d'aussi formidables possibilités d'essor ou de destruction. Le carrefour est déjà visible. Plus que quelques pas...

Les sciences et les techniques que nous croyons très avancées sont encore, en réalité, sur la ligne de départ de leurs possibilités, tout au début de leur développement. Barjavel survole d'abord les principales disciplines scientifiques pour montrer qu'elles ignorent l'essentiel.

La biologie, par exemple, sait tout, dans le moindre détail, de la vie d'un chêne ou d'un être humain, mais elle ignore ce qu'est la vie. La médecine guérit la plupart des maladies, mais elle ne sait pas empêcher les hommes de tomber malades. Les dentistes soignent efficacement les dents, mais ils ne savent pas les faire repousser...

En s'appuyant uniquement sur les découvertes scientifiques de nos temps, Barjavel avec la logique la plus rigoureuse et l'imagination la plus fantastique, développe à l'infini les possibilités qui nous permettraient d'accéder à un avenir de bonheur.

description

♦ Anicette a le sourire doux comme l'aurore. Genête est un trésor pur, le germe à la pointe de l'amande dans le noyau du fruit de la plus haute branche. Péniche, lui, est un naïf aux grands pieds, solitaire au milieu des bois, incapable d'apprendre le pas des militaires. Celle-ci encore est fée, bénie de Dieu mais tourmentée d'innocents désirs.

A eux, coeurs purs, les secrets révélés de l'amour, son éternelle et pleine félicité. Quant aux autres : ergoteurs, jaloux envieux, confits d'absurdité et de savoirs, toujours en quête d'une improbable et vaine perfection, à eux les guerres sans fin, les cataclysmes et les misères d'une stupide condition humaine...

Mais dans la poudre et le sang, à coups de canon et d'explosions atomiques, aujoud'hui, demain, sur terre, au ciel ou dans les mains miraculeuses d'une fillette, le même destin s'accomplira jusqu'à son terme...

♦ Sommaire :

1 - Les Enfants de l'ombre

2 - Les Mains d'Anicette

3 - Péniche

4 - La Fée et le soldat

5 - L'Homme fort

6 - Béni soit l'atome

Ceux qui se rendront à Katmandou ne reconnaîtront pas ce qui est écrit dans ce livre.

Ceux qui suivront les chemins qui y mènent ne reconnaîtront pas les chemins de ce livre.

Chacun suit son chemin, qui n'est pareil à aucun autre, et personne n'aboutit au même lieu, dans la vie ni dans la mort. Ce livre ne cherche pas à donner une idée de la réalité, mais à s'approcher de la vérité.

Celle de Jane, et celle d'Olivier, dont il raconte l'histoire.

Il s'agit d'un essai sur les formes futures du Cinéma

Un prince paré de toutes les vertus désespéré par un chagrin d’amour ; une petite ville thermale dont les zélés citoyens, dévoués au profit, s’ennuient à mourir ; un groupe de survivants réchappé d’une guerre nucléaire à la recherche d’un nouvel Éden… Issus de tous les horizons, les personnages de Barjavel portent « en eux le regret des ans où ils étaient des enfants aux yeux clairs, où la réalité visible ne bornait pas leur univers, où toutes les aventures étaient possibles ».

Trois nouvelles pour réenchanter un monde meurtri par la folie des hommes, pour renouer avec la magie de l’esprit d’enfance.

Analyse du thème de l'Amour dans l'Oeuvre de Colette.

Adaptation d'une conférence faite à Vichy le 21 Février 1934 et à Moulins le 13 Mars de la même année, revue et augmentée d'une lettre et de quelques citations.

Charlemagne, l'empereur à la barbe fleurie, Marsile, le redoutable roi païen, Olivier le brave, Roland le preux, Aude la douce, le fourbe Gamelon... ce sont toutes les hautes figures de La Chanson de Roland que René Barhavel fait revivre dans ce texte qui fera aimer aux jeunes lecteurs le chef-d'oeuvre de notre littérature héroïque !

Publié en 1945, « La Fée et le soldat « est une petite plaquette rassemblant trois nouvelles de René Barjavel. : « La fée et le soldat », « Péniche (ou "Maisons volent") » et « Les Mains d'Anicette ».

Trois magnifiques textes délicatement illustrés de onze dessins de Pribyl, dans un style qui s'apparente à Jean Marais et/ou Cocteau.

« La fée et le soldat » : Dieu est en colère contre les hommes et s'apprête à les anéantir. Arrive la fée Pivette qui le convainc de lui confier une mission. Elle jette son dévolu sur un beau soldat pilote d'une machine infernale qui distribue la mort. L'instant d'un baiser et l'homme et sa machine seront détruits…

« Péniche » : une histoire de fée qui donne trois vœux. Péniche, le héros de ce récit les trouve et trouve intelligent, employé pendant la guerre à transporter des cailloux d'en utiliser un pour alléger sa charge et rendre les cailloux plus légers… Les maisons s'envolent…

« Les mains d'Anicette » : Anicette possède un don. Dans ses mains remplies d'eau, on peu voir son propre avenir…

Trois courts textes faussement naïfs, d'une très grande poésie, où l'on retrouve quelques uns des engagements de l'auteur ; illustrés de dessins tout aussi faussement naïfs aussi stylisés que beaux… quelques traits, quelques mots, on entre dans le merveilleux au sens où Michel Tournier l'entend...celui du conte.

Ce livre constitue une sorte d'histoire de notre temps par petits morceaux, les uns joyeux, d'autres amers, vus par l'oeil d'un pessimiste gai, qui ne se fait aucune illusion sur notre civilisation mais se réjouit de la vivre, tant il la trouve passionnante, malgré ses erreurs et ses injustices, et ses crises d'épilepsie.

La Lune et les jupes longues, Ploom, Dali et le dollar, Belfast et Marylin, le sang, l'aurore et les étoiles, quelques grands morts et la foule des petits vivants, l'essentiel est là, l'essentiel de trois années qui sont peut-être parmi les plus importantes de l'histoire des hommes, années-clés d'une période où tout finit et tout recommence. Ce livre est pour nous aider à nous en souvenir, aujourd'hui et dans vingt ans.

Brigitte Bardot aime les Bêtes, les Bêtes aiment Brigitte Bardot. L'amour qu'elle leur porte est d'une nature essentielle, profonde, qui tient autant de l'instinct vital que du sentiment. Elle et elles s'aiment parce qu'elles sont du même clan. Brigitte Bardot est lionceau, gazelle, et un peu éléphant. Je veux dire qu'elle partage un peu la sagesse minérale de la grande bête intelligente qui juge le monde avec clairvoyance, affection et humour, mais est obligée de s'en tenir écartée, car elle n'a pas les mêmes dimensions. Dans la savane, l'éléphant vit à part. Il est beau, il est fort. On le regarde de loin, on l'admire. On n'y touche pas...

http://barjaweb.free.fr/SITE/ecrits/BARDOT/bardot.html

« Les jours se font courts…

C’est la saison des douleurs et des doutes. La neige est tombée sur l’arbre de la forêt. On commence à oublier qu’il y a eu des feuilles, des fleurs, l’été…

C’est la période dont les hommes, si longtemps, ont eu si peur. Le soleil s’éloigne un peu plus chaque jour. Va-t-il continuer de s’écarter, partir, disparaître, nous abandonnant aux ténèbres et à la mort ?

Pour le faire revenir, pour lui rappeler son devoir de père universel, qui ne doit pas abandonner ses enfants, chaque peuple réagit jadis à sa façon, mais au même moment : au milieu de la nuit la plus longue, au 25 décembre de notre calendrier actuel.

Dans le Nord glacé, on lui fait de grands signaux lumineux avec des torches, et on sacrifie son fils préféré : le sapin, l’arbre-qui-reste-vert au milieu de la grande débâcle végétale. On le coupe et on le brûle. Sa flamme, son âme, rejoint celle du père et lui transmet le message des hommes.

De cet appel désespéré il reste une coutume gentille : l’arbre de Noël avec ses bougies. Et une superstition : « le vert est couleur de l’espérance ».

L’herbe qui meurt chaque année, l’arbre qui semble mourir, sont les premiers enfants du soleil. Par eux la vie est conservée et sans cesse recrée. Tout ce qui vit les mange ou les sacrifie. L’arbre est la victime prédestinée, dont les morceaux seront éparpillés. La hache tranchera ses énormes muscles immobiles, il deviendra planches, table, lit, parquet, manche d’outil, fenêtre, violon… Et pour finir, au bout de ses avatars, il brûlera comme le soleil.

La table sur laquelle j’écris a été faite par un artisan avec une poutre d’une maison construite au XVIIè siècle et détruite il y a trente ans. La table durera-t-elle autant que la poutre, autant que le chêne dans lequel celle-ci avait été taillée ? Qui en brûlera les débris ? Cheminée, feu de campement, incendie ? Que sera alors devenue la poussière de nos os ? Peut-être un arbre, ou marguerites…

Hiver après hiver, se produit toujours immanquablement ce phénomène extraordinaire : le printemps revient. Pendant que là-haut, dans les arbres, le peuple des feuilles, tranquillement, pointe le nez et se déplie, ici, au ras du sol, on se hâte. On n’a que deux saisons pour naître, devenir adulte, et tout achever : pousser, fleurir, semer. Il faut vivre rapidement, superbement, dans la splendeur minuscule. Au bout de l’été, c’est fini… Mais la mort, dans ce petit monde, on ne sait pas ce que c’est. Et nous, le savons-nous ?…»

Source: Rene Barjavel Les Fleurs, l’Amour, la Vie…

L'Antarctique. A la tête d'une mission scientifique française, le professeur Simon fore la glace depuis ce qui semble une éternité. Dans le grand désert blanc, il n'y a rien, juste le froid, le vent, le silence.

Jusqu'à ce son, très faible. A plus de 900 mètres sous la glace, quelque chose appelle. Dans l'euphorie général, une expédition vers le centre de la Terre se met en place.

Un roman universel devenu un classique de la littérature mêlant aventure, histoire d'amour et chronique scientifique.

Quatrième de couverture

Une jeune Américaine, Judith, va devenir l'héroïne la plus extraordinaire de l'histoire de l'humanité. Mais avant il y aura eu une guerre gigantesque, puis la paix, une prospérité fantastique, mais dangereuse. Un péril monstrueux menace alors l'humanité d'une destruction totale. Et c'est Judith qui est choisie par le destin pour tenter de la sauver, en se trouvant confrontée à un homme qu'elle avait connu le jour de ses quinze ans, et qu'elle avait voulu oublier. Une histoire d'amour exceptionnelle.

Si j'étais Dieu...

Je referais tout avec jubilation :

les hommes, l'amour, la Terre, l'Univers, toute la création, tout, sauf...

Nous sommes au XIIème siècle, les temps ont changés, la technologie est omniprésente et facilite la vie des hommes au point qu'ils ne se fatiguent plus à rien faire. C'est vrai, lorsque les trains vont à plus de 600 kilomètres à l'heure et que les légumes, fruits et autres aliments, poussent dans des usines pour devenir parfaits, pourquoi se fatiguer à se déplacer à pied ou a travailler la terre à la main ? Sans oublier que les crimes, vols, meurtres et autres délits ne sont plus qu'un mauvais souvenir depuis que l'on conserve nos morts dans nos maisons et que l'on les expose tels des mannequins, puisque ce privilège d'une existence physique éternelle est interdite aux criminels...

C'est à cette époque que vivent Blanche Rouget, la future super star de la télévision, et François Deschamps, un fils de paysan aspirant à devenir ingénieur en chimie agricole. Mais au moment où Blanche s'apprête à faire sa première apparition à l'antenne, La catastrophe se produit. L'électricité se coupe, dans le ville, dans le pays, mais aussi dans le monde entier ! Les gens paniquent, se piétinent en sortant en toute hâte des bâtiments, les avions s'écrasent sur les villes, tombants du ciel en plein vol, le monde est plongé dans le noir... François va alors retrouver Blanche, qui est son amie d'enfance et ils vont constituer un groupe de personnes bien décidées à s'en sortir quoi qu'il leur en coûte. Ils vont fuir les villes où règne le chaos pour rejoindre la compagne, où ils espèrent trouver une vie meilleure.

À la cour d'Arthur, le jour de Pâques, un jeune homme portant des armes argentées se présente au roi pour être adoubé. Son nom ? Lui-même l'ignore. Orphelin élevé par l'enchanteur Merlin et par la Dame du Lac, il répond au sobriquet de « Lancelot ».

D'une bravoure et d'une pureté sans égales, l'adolescent semble être celui que tout le royaume attendait : le chevalier capable de mener à bien la quête du graal. Mais encore lui faut-il réussir à déjouer les pièges du Diable et de la fée Morgane, et choisir entre les enchantements de l'amour et ceux du graal...

S'attachant au cycle de Lancelot, cette édition constitue une reprise partielle de l'un des derniers romans de Barjavel, L'Enchanteur (1984). L'écrivain y déploie toutes les séductions de la légende arthurienne dans une succession d'aventures palpitantes.

Il y a plus de mille ans vivait un Enchanteur qui se nommait Merlin.

Il était jeune et beau, il avait l'œil vif, malicieux, un sourire un peu tendre, un peu moqueur, des mains fines, la grâce d'un danseur, la nonchalance d'un chat, la vivacité d'une hirondelle. Le temps passait sur lui sans le toucher. Il avait la jeunesse éternelle des forêts.

Pour les hommes, il était l'ami, celui qui réconforte, qui partage la joie et la peine et donne son aide sans mesurer. Et qui ne trompe jamais.

Pour les femmes, il était le rêve. Elles n'étaient pas amoureuses de lui, ce n'était pas possible, il était trop beau, inaccessible, il était comme un ange. Seule Viviane l'aima, pour son malheur, pour son bonheur peut-être, pour leur malheur ou leur bonheur à tous les deux, nous ne pouvons pas savoir, nous ne sommes pas des enchanteurs.

C'est l'histoire de leurs amours, et des amours de Lancelot et de la Reine, et de Perceval et Bénie, et les exploits des grands chevaliers légendaires, en des pays fabuleux, que Barjavel raconte dans ce livre, avec une simplicité d'écriture qui rejoint la fraîcheur naïve des récits anciens. Et avec sa poésie et son humour habituels.

Oeuvres majeures qui permettent de s'interroger sur l'idée de progrès scientifique et posent la question des rapports entre les sciences et la littérature, ces textes incontournables, présentés par Bernard Werber, mettent en valeur les singularités des récits de science-fiction et d'anticipation, et en proposent une représentation claire et vivante.

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