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Nous sommes au XIIème siècle, les temps ont changés, la technologie est omniprésente et facilite la vie des hommes au point qu'ils ne se fatiguent plus à rien faire. C'est vrai, lorsque les trains vont à plus de 600 kilomètres à l'heure et que les légumes, fruits et autres aliments, poussent dans des usines pour devenir parfaits, pourquoi se fatiguer à se déplacer à pied ou a travailler la terre à la main ? Sans oublier que les crimes, vols, meurtres et autres délits ne sont plus qu'un mauvais souvenir depuis que l'on conserve nos morts dans nos maisons et que l'on les expose tels des mannequins, puisque ce privilège d'une existence physique éternelle est interdite aux criminels...
C'est à cette époque que vivent Blanche Rouget, la future super star de la télévision, et François Deschamps, un fils de paysan aspirant à devenir ingénieur en chimie agricole. Mais au moment où Blanche s'apprête à faire sa première apparition à l'antenne, La catastrophe se produit. L'électricité se coupe, dans le ville, dans le pays, mais aussi dans le monde entier ! Les gens paniquent, se piétinent en sortant en toute hâte des bâtiments, les avions s'écrasent sur les villes, tombants du ciel en plein vol, le monde est plongé dans le noir... François va alors retrouver Blanche, qui est son amie d'enfance et ils vont constituer un groupe de personnes bien décidées à s'en sortir quoi qu'il leur en coûte. Ils vont fuir les villes où règne le chaos pour rejoindre la compagne, où ils espèrent trouver une vie meilleure.
_ Tout cela, dit-il, est notre faute. Les hommes ont libéré les forces terribles que la nature tenait enfermées avec précaution. Ils ont cru s'en rendre maitres. Ils ont nommé cela le Progrès. C'est un progrès accéléré vers la mort. Ils emploient pendant quelques temps ces forces pour construire, puis un beau jour, parce que les hommes sont des hommes, c'est-à-dire des êtres chez qui le mal domine le bien, parce que le progrès moral de ces hommes est loin d'avoir été aussi rapide que le progrès de leur sciences, ils tournent celle-ci vers la destruction.
C'est un livre incroyable. L'histoire presque plausible de toute une société qui s'effondre et se détruit elle même à cause d'une chose aussi banale qu'une coupure d'éléctricité. C'est terrifiant, et pourtant ça n'est pas totalement impossible que ça nous arrive un jour! Enfin bref, un livre magnifique.
Après un début prometteur ce livre m’a finalement beaucoup déçu. On parle de celui-ci comme d’un roman précurseur de l’anticipation en France mais finalement ça ressemblait plus pour moi qu’à une délation du progrès et de l’intellectuel. Barjavel ne fait aucune nuance dans l’opinion que prône son roman si bien que son dénouement se fait presque au détriment de la morale. Ce livre, qui était bien parti pour nous faire réfléchir et nous questionner sur notre confort et notre oisiveté n’était au final qu’une critique hargneuse de la technologie, de la modernité et même de l’éducation, sans oublier l’omnipresence de sexisme tout au long du livre qui m’a assez dérangée. Le personnage de François m’a également beaucoup énervée, surtout la manière dont l’auteur le faisait passer pour un personnage parfait, juste, avec une morale et un courage infaillible. Les descriptions et les évènements sont très bien écrits et d’une très grande qualité, mais au contraire j’ai trouvé que les émotions des personnages étaient très insuffisamment développées pendant leur odyssée. Par ailleurs, j’ai trouvé que celle-ci ressemblait beaucoup à une exhibition de la créativité de l’auteur pour trouver les situations les plus originales où faire mourir ses personnages. Cependant je dois admettre que la créativité de l’auteur, notamment au début lors de la description de son monde est impressionnante.
L’humanité vit dans l’opulence. Les états d’Europe sont unifiés. Paris est pleine de gratte-ciels, les voitures volent. La création de nourriture n’est plus un problème. Pourtant l’humanité n’a jamais été aussi dépendante. Une panne d’électricité survient et la plonge dans l’antiquité. L’humain devient animal et tente de survivre et de recréer la civilisation.
Mon avis
Ce roman est un long guide touristique d’une France postapocalyptique suivi d’un road movie qui s’achève par une morale réactionnaire affligé par la lourdeur de longues répétitions.
Il recèle tellement d’idée que parmi elles, certaines, comme la création de nourriture, sont très bonnes. Malheureusement, beaucoup semblent complètement désuètes et donnent un air périmé à l’affaire. Je ne parle pas des voitures volantes, c’est un cliché récurrent dans lequel tous les écrivains d’une période se sont vautrés. Je veux parler des détails qui font l’homogénéité du livre. Les caricatures de personnages comme ce général qui se promène avec sa cravache et les relations entre les personnages, la possession des femmes par les hommes et l’érotisation malaisante de l’adolescence vue par un personnage respectable : « Des épaules nues, des bras ronds de l’adolescente montaient une lumière et un parfum de moisson. Dans leur nid de dentelles, ses deux seins semblaient deux pigeons blottis. »
Quand vous êtes mis dans de telles dispositions au début du livre, il est difficile d’apprécier la suite. La fin n’est qu’un bouquet final dans la continuité de ces idées rétrogrades.
Alors, oui, on ne pourra pas retirer à Barjavel son statut de précurseur de la SF en France. Pour autant, je considère que sa place est maintenant dans les archives.
Un roman qui peut résonner avec notre époque. La modernité permet à des personnes de devenir les maitres du monde pendant que d'autres sont en bas de l'échelle sociale, mais quand tout s'effondre les rôles peuvent s'inverser et certaines choses reprennent alors leur place naturelle.
Prête à réfléchir sur l'homme et son besoin d'améliorer toujours plus sa condition de vie.
Un roman qui peut résonner avec notre époque. La modernité permet à des personnes de devenir les maitres du monde pendant que d'autres sont en bas de l'échelle sociale, mais quand tout s'effondre les rôles peuvent s'inverser et certaines choses reprennent alors leur place naturelle.
Prête à réfléchir sur l'homme et son besoin d'améliorer toujours plus sa condition de vie.
Ce fut une lecture un peu mitigée. J’ai beaucoup aimé le début, un monde futuriste où la technologie est poussée à son paroxysme. Le décor et les protagonistes sont bien posés. Ensuite, la catastrophe arrive. J’ai trouvé celle-ci très bien décrite, réaliste et très créative.
La plume de l’auteur est agréable à lire et c’est vraiment plaisant de suivre le petit groupe à travers leur périple. Les obstacles qu’ils rencontrent sont vraiment différents et plausibles. Je trouve que l’auteur a vraiment crée son univers et l’exploite à la perfection.
Maintenant, il y a deux choses qui font que je n’ai pas totalement apprécié ce roman : le personnage de François et la fin. En effet, j’ai trouvé François trop parfait. Il a toutes les qualités possibles, est très intelligent et respecté par tout le monde, bref il n’a aucun défaut. Même si je comprends qu’il représentait le contraire du monde oisif futuriste, j’ai quand même trouvé le personnage peu plausible. Enfin, la fin a un peu gâché ma lecture. La société recrée prône le sexisme et rejette toute forme d’éducation, de lecture ou d’évolution humaine. Et puis comme par hasard, François devient le chef de tout.
Ainsi, je conseille ce roman très bien écrit, avec beaucoup d’événements bien décrits et originaux. Malgré quelques points négatifs, c’est tout de même un roman de science-fiction ayant eu un grand impact à son époque.
Un très bon Barjavel, comme beaucoup des livres qu'il a écrit. l'histoire est captivante, pour ceux qui aiment la SF. L'idée : dans une société plus avancée technologiquement que la nôtre, une catastrophe survient, qui fait que toutes les machines utilisant de l'électricité ne marchent plus. S'ensuivent un effondrement de la société, avec scènes de pillages et de violences (on pense au blackout sur New York), et un grand exode des citadins vers la campagne.
Il faut lire ce livre comme une métaphore politique. Les anticipations de Barjavel sont d'une grande actualité pour le lecteur d'aujourd'hui: dérives de la société urbaine, atificialisation du monde... A la fin du livre, on ne peut que s'interroger sur le sens de la vie telle qu'elle est vécue aujourd'hui.
Cependant, ce roman souffre d'un trop grand simplisme: simplisme de l'histoire et de l'idée maîtresse mais surtout simplisme des personnages dont la psychologie n'est vraiment pas travaillée.
J’ai aimé le début mais la deuxième partie est tellement longue que j’ai un peu perdu de l’intérêt à l’histoire. La troisième est un peu bâclée je trouve et la dernière nous dépeint quasiment une société sectaire. A vrai dire je ne sais pas si j’ai aimé ce livre ou non
Résumé
Nous sommes au XIIème siècle, les temps ont changés, la technologie est omniprésente et facilite la vie des hommes au point qu'ils ne se fatiguent plus à rien faire. C'est vrai, lorsque les trains vont à plus de 600 kilomètres à l'heure et que les légumes, fruits et autres aliments, poussent dans des usines pour devenir parfaits, pourquoi se fatiguer à se déplacer à pied ou a travailler la terre à la main ? Sans oublier que les crimes, vols, meurtres et autres délits ne sont plus qu'un mauvais souvenir depuis que l'on conserve nos morts dans nos maisons et que l'on les expose tels des mannequins, puisque ce privilège d'une existence physique éternelle est interdite aux criminels...
C'est à cette époque que vivent Blanche Rouget, la future super star de la télévision, et François Deschamps, un fils de paysan aspirant à devenir ingénieur en chimie agricole. Mais au moment où Blanche s'apprête à faire sa première apparition à l'antenne, La catastrophe se produit. L'électricité se coupe, dans le ville, dans le pays, mais aussi dans le monde entier ! Les gens paniquent, se piétinent en sortant en toute hâte des bâtiments, les avions s'écrasent sur les villes, tombants du ciel en plein vol, le monde est plongé dans le noir... François va alors retrouver Blanche, qui est son amie d'enfance et ils vont constituer un groupe de personnes bien décidées à s'en sortir quoi qu'il leur en coûte. Ils vont fuir les villes où règne le chaos pour rejoindre la compagne, où ils espèrent trouver une vie meilleure.
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