Gérard Mordillat

Lecture qui me laisse perplexe à certains égards. Si globalement j’ai aimé ce roman j’ai trouvé l’écriture désagréable à certains passages (vulgarité et langage particulier). Cependant il faut reconnaître que l’auteur dresse, par le biais d’une entreprise et des personnes gravitant autour, un portrait critique et non sans justesse de la société capitaliste et de l’impact de celle ci sur tous les niveaux de la société. C’était intéressant à lire et assez prenant, j’ai passé un bon moment de lecture.

Je n'ai pas vraiment accroché avec ce livre. Je pensais pourtant que j'allais bien m'y intéressé et beaucoup apprécié mais ça ne l'a pas fait malheureusement.

Tous les ouvrages de ces auteurs sont à lire pour essayer de découvrir qui était vraiment Jésus. En matière d'auteurs français, ce sont les meilleurs, à mon avis. Leur série Corpus Christi est aussi à lire, ainsi que leurs autres livres. Sinon, je recommande La construction de Jésus de Bart Ehrman, ainsi que les autres livres du même auteur.

LE livre à lire sur Jésus. Facile à lire, agréable à lire, pas trop épais, très pédagogique, il explique tout clairement. Quitte à heurter ceux qui auraient des convictions trop affirmées sur Jésus. Les auteurs ont écrit plusieurs livres sur Jésus et les débuts du christianisme. A lire tous !

C'est drôle (comme le titre l'indique) et (un peu) politiquement incorrect ! Savoureux et d'une belle plume !

Histoire vraiment pas passionnante malgré un joli graphisme

Livre que l on m a conseillé mais mon avis est mitigé. Un premier de cet auteur, je ne connaissais pas du tout. Lecture fluide, chapitre court, un peu de mal a rentrer dans l'histoire. Cette lecture m a plue mais sans plus loin d'être un coup de coeur.

Sans un challenge lecture, je n’aurai pas découvert cet auteur et ce roman qui nous plonge au cœur de la misère sociale dans une cité de la banlieue parisienne. On suit le quotidien de Xenia, jeune femme isolée de sa famille et qui survit au jour le jour en accumulant les petits boulots mal payés. L’entraide entre voisins et collègues de travail est au cœur du roman. L’auteur insiste (parfois lourdement et répétitivement) sur les préjugés racistes, les délits de « sale gueule » de la police et les patrons exploitant la misère sociale. Ce roman a une écriture fluide mais j’ai parfois eu l’impression de lire une pub pour une adhésion à la CGT ou à la France Insoumise mais il est vrai que les problèmes sociaux décrits dans ce roman de 2014 sont toujours d’actualité.

Premier tome intéressant qui prend un cadre historique qui tient la route. On suit l'histoire d'une nonne, donc milieu ecclésiastique, qui se retrouve confronté aux mensonges et à la tromperie. Un contexte où les reliques deviennent presque plus importantes que la foi.

Un tome qui dépeint bien la période, on s'y croit. pour le moment, l'histoire bien maitrisée, qui fourmille de détails. Et finalement, même si le sujet ne me touchait pas trop, le cadre historique et les personnages rendent cette lecture vraiment intéressante.

Avec ce roman, vous prendrez le risque d'un rendez-vous manqué.

Le début du livre, qui nous décrit les nombreux personnages de l'intrigue, vous donne envie d'abandonner, et semble relever d'une maladresse d'écriture : comment le lecteur peut-il s'intéresser à des personnages qu'il ne connaît pas encore, et auxquels il ne peut s'attacher puisque l'intrigue ne commence pas ? Il faut passer les 80 premières pages au moins pour entrer dans le vif du sujet, qui vaut le coup d'oeil incontestablement. Ne vous en voulez pas, et à la limite, reprenez le roman à son début une fois que vous l'aurez terminé. Là, vous aurez envie d'en savoir plus sur les personnages attachants que vous aurez appris à connaître.

A noter que la petite troupe du roman fait penser à l'équipe Malaussène de Pennac.