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Commentaires de livres faits par Acciolivres

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Commentaires de livres appréciés par Acciolivres

Extraits de livres appréciés par Acciolivres

https://acciolivres.wordpress.com/2016/05/29/et-soudain-tout-change-gilles-legardinier/


J’ai vraiment apprécié ce roman, d’une manière différente à Demain j’arrête mais je n’ai pu m’empêcher de le lire d’une traite. En revanche, je vais tâcher de vous fournir une chronique dépourvu de spoils pour garder le mystère intacte…

Camille est une jeune fille intelligente et curieuse. C’est à travers sa voix que l’on découvre son univers, les personnes qu’elle côtoie. La manière dont elle s’exprime lors d’interactions avec les autres est très agréable. Peu prétentieuse, elle est à une période de sa vie où la confiance en soi se construit, elle exprime ses doutes et ses interrogations. C’est justement ce manque de confiance qui la rend touchante et qui permet de s’identifier davantage.

Elle possède en plus ce petit grain de folie et cette maturité paradoxale propre à la prime jeunesse, qui l’incite à faire les choses les plus folles, tout en ayant une approche du monde qui l’entoure tout à fait remarquable. Citons notamment la fameuse fois où, pour éviter que les parents en pleine crise vendent la maison de son amie, elle met en place toute une série de stratagèmes afin de transformer chaque visite en folklore et en échec cuisant.

Elle est accompagnée par sa bande d’amis de toujours qui sont toujours près à la suivre dans ses folies : Léo, Axel, Manon, Léa, Tibor… En tant que jeune fille, elle n’est pas exempte des tracas de l’amour et ne peut s’empêcher de penser à Axel, son amour de toujours qu’elle ne peut avoir sous peine de trahir le pacte conclu avec Léa. Malheureusement, lorsque le malheur touche la petite bande, il leur est bien difficile de se remettre sur pieds et de s’adapter à un nouveau contexte, bien moins frivole.

Chacun d’entre eux va trouver la force d’avancer malgré les difficultés. Grâce à leur candeur, leur optimisme et leur jeunesse exubérante et déjanté, ils vont tout faire pour combattre avec le plus de ferveur possible le drame qui les accable.

Je n’en dis pas plus car le suspens doit demeurer, néanmoins, la tristesse est réellement contrebalancée par la part d’humour distillée par l’auteur ainsi que les nombreuses réflexions sur la vie qui sont un moyen de prendre le même recul que les personnages, dans l’instant présent : “Trouver les réponses n’est pas le plus difficile. La vie te les apporte, tôt ou tard. Le plus dur, c’est de continuer à vivre en les connaissant.”

Une fois de plus, Gilles Legardinier se révèle à la fois touchant et juste dans l’interprétation de la vie qu’il insuffle à ses personnages. Il parvient à faire rire malgré la gravité des thèmes abordés, la mort et la maladie, tout cela avec une finesse et une fraîcheur dont on ne saurait se lasser.

Estelle
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https://acciolivres.wordpress.com/2016/05/25/phobos-victor-dixen/#more-393

À la lecture des premières pages j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire totalement. En effet, l’alternance de point de vue m’a quelque peu déroutée. Cependant, une fois cette impression passée, je me suis retrouvée totalement plongée dans cet univers. J’étais au sein de la navette spatiale, je partageais la vie de ses prétendants et prétendantes qui rêvent d’échapper à leur passé et qui se tournent vers leur avenir et vers Mars.

Le mélange entre télé-réalité et science-fiction est très bien mené. Victor Dixen a choisit de mettre en scène une superproduction « Cosmic Love » qui nous plonge au cœur de la vie quotidienne de ses personnages mais aussi d’un enjeu primordial, que se soit dans le monde réel ou fictif, la conquête de l’espace. C’est un scénario inédit et innovant que nous propose l’auteur !

J’ai apprécié le point de vue de l’héroïne Léonor ; on en apprend un peu plus sur elle mais également sur les autres prétendantes grâce aux confessions qu’elles se font. Je trouve que justement cette alternance de points de vues, de champ et de contre-champ, qui au départ m’a laissé interdite, est un apport à l’histoire. C’est un plus ! En effet, cela nous permet d’avoir une vision extérieure, d’être au cœur des autres speed-dating qui ne concernent pas Léonor et qui permettent de développer l’histoire au-delà de son point de vue. On découvre d’autres personnages féminins mais aussi masculins. J’ai particulièrement apprécié l’histoire de Mozart : ce fut un des passages les plus bouleversants de l’intrigue. Ainsi on peut connaître l’envers du décor en s’immisçant dans les coulisses de la production.

Au fil des pages, on se prend au jeu. On se demande quel(le) prétendant(e) pourrait nous séduire. J’ai eu l’impression d’être littéralement devant ma télé et de les suivre, de les voir évoluer. Plus on avance dans l’histoire et dans cette conquête de l’espace et plus on veut en apprendre sur eux, sur nous finalement – nous être humain.

Phobos est un roman qui nous emmène à l’aventure dans des terres encore inexplorées. Il nous propose une vision pourtant réaliste de l’humanité, de notre société. Cela peut nous faire réfléchir à la place et au pouvoir des médias dans notre monde. Enfin, Victor Dixen possède une plume fluide qui permet à son lecteur de se laisser transporter dans l’univers qu’il propose avec aisance.

Emeline
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https://acciolivres.wordpress.com/2016/05/11/une-braise-sous-la-cendre-sabaa-tahir/

Laïa et Elias sont comme les deux faces d’une pièce, antithétiques et pourtant, complémentaires.

Généralement, je n’apprécie pas les romans à plusieurs voix, or ici, il s’agit véritablement d’une plus-value. Loin de donner une sensation d’éparpillement ou de désordre, cela permet de se plonger davantage dans le récit, d’accompagner les personnages dans leur transformation, leurs interrogations.

Laïa est une jeune fille qui a toujours vécu dans la crainte, mais entourée de sa famille, elle vivait dans une stabilité relative, jusqu’à ce que celle-ci lui soit enlevée. Peu à peu, elle va se dépasser et tout faire pour sauver la seule famille qui lui reste. Une héroïne que j’ai, personnellement, trouvé touchante loin d’être absolument parfaite ni intrépide, elle va faire preuve de bravoure, alors même qu’elle est maltraitée et entourée d’ennemis redoutables. Elias est également touchant à sa manière. Il vit dans un contexte violent, tendu en permanence, sans toutefois perdre l’espoir de s’échapper d’une condition qu’il n’a jamais souhaité. Ils sont tous deux pleins de failles mais possèdent une volonté de s’extraire de leurs conditions, ce qui les rend d’autant plus attachants et captivants.

Bien qu’il s’agisse du premier tome de la série, posant les bases de l’intrigue, j’ai pris plaisir à cette lecture, qui s’est révélée être plus que palpitante. Les personnages mais aussi l’éclectisme de l’univers présenté par l’auteur ont été une belle redécouverte : un mélange de fantasy et de dystopie sur un arrière-fond de contes orientaux et gréco-romains. J’ai été transporté cette hybridation, l’assemblage incongru mais enthousiasmant de djinns, d’augures, de tribus ambulantes et d’une Résistance luttant contre un régime despotique.

En somme, un premier tome qui s’est révélé plein de promesses pour la suite, une véritable bouffée d’air frais sur la « scène » Young Adult. Un must-have envers lequel je n’émettrai qu’un unique point négatif : la sortie bien trop lointaine du prochaine tome en librairie…

Estelle
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date : 24-05-2016
https://acciolivres.wordpress.com/2016/05/04/demain-jarrete-gilles-legardinier/

Gilles Legardinier est un auteur dont j’entends parler depuis quelques temps et toujours en termes positifs. Grâce à deux amies de la fac qui passaient leur temps à s’extasier sur ce “ romancier mystérieux avec des couvertures de chats”, j’ai fini par me laisser convaincre. Et je ne le regrette absolument pas. J’ai littéralement eu un coup de foudre littéraire pour sa plume.
Il est parvenu avec une facilité déconcertante à m’entrainer au sein de l’univers de Julie. Jeune citadine, résidant dans sa ville natale et dont le quotidien est bouleversé par l’arrivée d’un voisin dont le charme ne la laisse pas insensible, avant même d’avoir fait sa connaissance… Celui-ci, inconscient des évènements qui se jouent en parallèle, va la pousser à commettre des actes toujours plus fous et farfelus. Malgré tout, chacune d’entre nous pourra facilement se retrouver dans les traits de cette jeune femme, si vive, à la fois candide et mature, qui alterne entre raisonnements philosophiques profonds et stratagèmes surprenants afin d’aider ses proches. Sa folie est compensée par son sens de la justice qui l’empêche de fermer les yeux sur la face sombre de la société.
Ce roman, qui fût une très belle découverte, est à lire absolument, et à relire sans modération. Il est à dix milles lieux de tout ce qui trait à des mondes parallèles et pourtant, chacun appréciera le fait de se laisser transporter au sein de cet univers franco-français, à la fois familier et insolite.

L’auteur parvient à réinventer, à redonner à la romance un nouveau souffle, à travers la voix d’une héroïne jeune et débridée, d’un brin de folie et de quelques réflexions sur la vie.

Estelle
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date : 24-05-2016
https://acciolivres.wordpress.com/2016/05/08/after-saison-1-anna-todd/

J’ai longtemps hésité avant de chroniquer ce roman parce que j’étais partagée…

Si le personnage de Tessa semble quelque peu évoluer au fil des pages, celui d’Hardin reste fidèle à lui-même malgré une certaine ambiguïté. L’héroïne semble se détendre de plus en plus grâce à l’influence d’Hardin mais reste certes campée dans ses objectifs professionnels et scolaires, ce qui ajoute une pointe de réalisme à l’histoire. Beaucoup de filles peuvent se reconnaître en elle. Toutefois sa rencontre avec Hardin n’est pas de tout repos. En effet, sa personnalité est ambivalente. Un moment il apparaît violent, dangereux ou encore haineux tandis que d’un autre côté, il peut s’avérer être tendre, doux, aimant. Toutefois, un des points positifs de ce roman est le fait que son caractère soit aussi contradictoire. Cela est un fait constant tout au long de l’histoire ce qui permet d’apporter une certaine cohérence.

On retrouve toute l’écriture d’une fanfiction. Les chapitres ne sont ni trop longs, ni trop courts. On peut arrêter la lecture quand on le désire. Anna Todd a son style à elle ; fluide, simple et efficace. On tombe rapidement dans ce tourbillon de sentiments qu’éprouvent les deux héros. C’est limite addictif !

Mais, parce qu’il faut bien un « mais » ; je suis partagée par ce roman et je ne sais qu’en penser. Bien sûr l’auteure surfe quelque peu sur la mode Fifty Shades. C’est un roman new adult (new romance) avec toutes les choses que cela entraîne. Cependant, même si l’histoire semble meilleure et mieux écrite que Fifty Shades (ce n’est que mon humble avis), il n’en reste pas moins que les chapitres se ressemblent encore et toujours. Ils alternent entre moment heureux et dispute, drame familial et tendresse… Bref le lecteur peut très vite se lasser. C’est mon cas même si j’ai été au bout de ma lecture en espérant une fin palpitante… et je l’ai eu ! C’est un véritable retournement de situation que personne ne voit venir. Les derniers mots nous donnent envie de connaître la suite, les détails de tout ça, mais est-ce suffisant ?

Pour conclure After est un livre qui m’a laissé pantoise. Ce premier roman de la série a des qualités comme des défauts et malheureusement j’ai tendance à rester focalisée sur la redondance des actions et des propos.

Emeline
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date : 24-05-2016
https://acciolivres.wordpress.com/2016/05/01/the-book-of-ivy-amy-engel/

The Book of Ivy a opté pour la méthode in medias res. On entre de suite dans l’histoire. Dès la première page on est pris dans un tourbillon d’émotions ressenties par Ivy face au mariage, à l’union qu’elle s’apprête à vivre. Le choix de commencer l’action directement permet de retenir l’attention du lecteur et de l’embarquer, sans qu’il n’ait besoin de réfléchir, dans un flot d’actions et de sentiments. Les pièces du puzzle se mettent en place rapidement et simplement grâce au personnage d’Ivy qui certes a un point de vue biaisé mais donne des informations alors capitales pour comprendre le contexte historique et socio-politique.

Même si le personnage d’Ivy peut paraître totalement manipulé par sa famille, il n’en reste pas moins qu’au fil de l’œuvre, elle produit une pensée indépendante, autonome. Elle se forge sa propre opinion et commence alors à douter du rôle de Bishop dans son plan machiavélique. Elle éprouve des émotions jusqu’alors jamais ressenties et ne sait comment y faire face. Elle n’est finalement qu’une adolescente ordinaire. Se pose alors un dilemme crucial, vital pour elle et qui aura des conséquences, des retombées politiques et familiales : doit-elle tuer Bishop ? À quel prix ? Pour quelle idéologie ?

De plus, le resurgissement de son passé ne fait qu’engrainer la chose. Lui a-t-on menti ? Cette figure maternelle et martyre en est-elle finalement vraiment une ? Ou un autre sombre secret se cache-il derrière cette vengeance purement personnelle et familiale ? Les sacrifices en valent-ils le coup ? Autant de questions qu’Ivy se pose à travers le roman et auxquelles le lecteur a envie de répondre, de l’y aider à répondre, à choisir la bonne solution.

Le personnage de Bishop est également un atout du roman. Celui-ci se veut vertueux, doux, gentil, sexy… Comment Ivy pourrait-elle le tuer ? Le trahir ? Abattre froidement ce mari qu’elle apprend à découvrir et à aimer ? Ce mari si doux et attentionné et tellement différent des préjugés qu’on lui a placé dans la tête depuis son plus jeune âge.

Ivy se rend alors compte que le monde n’est pas manichéen. Il n’y a pas d’un côté le Bien et d’un côté le Mal, le blanc et le noir. Le monde peut être gris ; la vie est de couleur grise. L’issue centrale de l’œuvre semble être celle des mariages arrangés et de la liberté de l’être humain. Cet enjeu est présent tout au long du roman et en devient la question principale. Toutefois, Ivy semble totalement préoccupée par cela et on peut avoir l’impression que l’histoire tourne autour du pot, autour de cette seule notion. Mais il s’agit de bien plus que cela. L’auteure met en scène une héroïne qui se bat pour ses convictions, contre les préjugés familiaux et sociaux, qui prend conscience de son indépendance et de son droit à la parole. Elle les revendique.

The Boof of Ivy est donc un roman à lire ! Ses personnages sont étonnants et guerriers : ils s’élèvent pour ce en quoi ils croient. Ils sont prêts à remettre en cause tout ce qu’on leur a appris durant leur enfance, leur vie afin de se connaître et de se forger leur propre identité. C’est une belle leçon d’indépendance que nous offre Amy Engel…

Emeline
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