Tout à coup la barrière de bois qui donnait sur le chemin s'ouvrit, et une étrange personne se dirigea vers la maison.
Elle était très maigre, très grande, tellement serrée dans un châle écossais à carreaux rouges, qu'on l'eût crue privée de bras si on n'avait pas vu une longue main paraître à la hauteur des hanches, tenant une ombrelle blanche de touriste.
Sa figure de momie, encadrée de boudins de cheveux gris roulés, qui sautillaient à chacun de ses pas, me fit penser, je ne sais pourquoi, à un hareng saur qui aurait porté des papillotes.
Elle passa devant moi vivement, en baissant les yeux, et s'enfonça dans la chaumière.
Cette singulière apparition m'égaya ; c'était ma voisine assurément, l'Anglaise d'âge dont avait parlé notre hôtesse.

Hé, Hé !
Je vois que vous avez eu assez de cran pour acheter de nouveau Tales from the crypt !
Bravo ! Vous n'allez pas être déçus ! Vous aurez votre comptant de chocs et de frissons, croyez-moi !
Alors vous êtes prêts ? Parfait ! Allongez-vous sur la dalle de marbre, tirez le suaire sur votre tête ...
Je vais vous raconter une belle histoire ! L'histoire de Harry Gordon, narrée par lui-même !
Des chauves-souris dans mon plafond !

Sur le chemin du retour, après avoir assisté à un spectacle de magie, M. et Mme Morlaine accompagnés du commissaire Raffini et de M. Mevel donnent leur avis sur l'interprétation du magicien quant à savoir si il s'agissait bien là d'un véritable tour de magie ou d'une escroquerie. Il est tard mais comme le temps le permet, ils font le chemin à pieds. Passant devant le manoir abandonné depuis une bonne décennie, Huguette Morlaine qui croit fortement aux puissances occultes prend de nouveau la parole :
"Pourtant, il y a des cas où il ne s'agit pas de simples illusions. Il existe de véritables magiciens ! Des gens qui maîtrisent des forces occultes, qui disposent de pouvoirs surnaturels et terribles ! J'en ai connu un, étant petite, qui habitait la grande villa abandonnée que vous avez dû voir à l'angle du petit chemin. Il s'appelait Albert Ténèbre, un grand bonhomme toujours vêtu de noir avec une petite barbe pointue et un regard qui vous transperçait ! Brrr... Rien que d'y songer, j'en ai la chair de poule !Tenez voilà la maison ! ......"

Naruse : Yuki. ça va ? Tu t'es quand même cognée super fort.
Yuki fâchée : ça va, j'ai rien.
Naruse : Qu'est-ce qu'il y a ? T'as l'air énervée;
Yuki fâchée : Je suis pas énervée. D'ailleurs, tu ferais peut-être mieux de retourner vite auprès de tes copines, non ?
Naruse : Tu es jalouse ?
Yuki : ...
Naruse : ? Yuki...

Quand il la retourne, Yuki a les larmes aux yeux.
Naruse : ...
Yuki : ... C'est...
Naruse : ?
Yuki : Tu t'es fait draguer toute la journée... plein de filles n'ont pas arrêté de te coller.... C... Comment tu veux que j'aille bien ? Parce que... T'es quand même mon petit ami.
Naruse est stupéfait de l'aveu de Yuki et l'emmène à l'écart.
Yuki surprise : Qu...
Naruse : C'est la première fois que tu me le dis. Laisse-moi une marque. Fais-en plusieurs si tu veux.

Zen : Shirayuki...

Shirayuki : Oui ?

Zen : Je pense que ce qu'il y a de plus séduisant chez Obi, c'est qu'il cède son lit à toute personne qui débarque dans sa chambre.

Obi s’offusquant : C'est très limite ! ça ne compte pas, Mademoiselle ne comprendra pas de quoi il s'agit !

Zen : Je pensais qu'il valait mieux parler d’événements récents...

Obi n'en démordant pas : Recommencez ! D'ailleurs dormir sur le sofa fait partie de mon quotidien ! Pas vrai, Mademoiselle ?

Shirayuki complètement perdue : Oui... Je ne vois pas vraiement de quoi vous parlez, mais au moins j'ai compris pourquoi vous avez dormi aussi longtemps !

Zen et Obi surpris : !!

Kiki : Bienvenue !
Mitsuhide : Merci... de me consacrer un peu de ton précieux temps...
Kiki : Pas de quoi, je voulais aussi te parler pendant notre séjour à Seleg. Aujourd'hui, il n'y a presque pas de vent...
Mitsuhide observe un instant Kiki avant de se lancer.
Kiki... Dis-moi... Celui à qui tu comptes proposer le mariage... Est-ce moi ?

Minoru : Je suis désolé. On n'ira peut-être pas au temple avec Yutaka.
Tane : QUOI ?!
Minoru : En fait, peut-être même qu'il ne viendra plus à la maison.
Tane : MAIS POURQUOI ?!
Minoru attristé ne répond plus et enfoui sa tête dans ses bras.
Tane : …. Grand frère, vous vous êtes disputés ?
Minoru : …
Tane comprenant que son frère en a gros sur le cœur, le rejoint et l'enserre dans ses petits bras et lui dit tout bas pour le réconforter : J'irai m'excuser avec toi.

Minoru : Encore merci pour aujourd'hui.
Yutaka : C'est plutôt à moi de dire ça.
Minoru : Est-ce que vous accepteriez de revenir ? Tane avait l'air tellement content. Si on le faisait de temps en temps, je pense qu'il serait ravi. Et si vous n'aimez pas manger avec quelqu'un, vous pourriez apprendre à aimer ça avec nous.
Yutaka ému : Oui.

C'est un gentil garçon, mais bon....
Oui, il est si ennuyeux que manger avec lui est un supplice.

- Cuisine à emporter -
La brigade se retrouve en train de festoyer au restaurant « Le Pietra di Verde ». Ils mangent de bon appétit et apprécient grandement la nourriture qui leur a été servie.
Rhâââ.... C'était bon !
Excellent !
C'est toujours meilleur que la fois d'avant ! Bon, ben... quand faut y aller...
Le brigadier en chef se lève suivit de ses coéquipiers et vient féliciter le cuisinier et patron du restaurant.
C'était exceptionnel !
La meilleure table de la région !
Vous allez nous manquer !
Pourquoi, vous êtes mutés ? Tous ?
Nous... pas trop...
Le patron de Le Pietra di Verde se retrouve menotté par la brigade.
TSSS... Quel gâchis ! Quand on cuisine aussi bien, on s'amuse pas à blanchir de l'argent !
Où on va aller manger nous maintenant ?!...

Dès le début, le jeu avait été mal réparti. Deux garçons pour trois filles. Une de trop...

Mandy ? Appela-t-elle de nouveau. Michèle ?
Seul le silence lui répondit. Le silence.... Il avait beau être le plus souvent son ami, en de telles circonstances il pouvait devenir son pire ennemi. Jill posa une main sur la poignée. Elle lui sembla froide. Dans un pays comme Hawaï, c'était plutôt étrange. Tout était censé être chaud et vivant.
Tu es ridicule. Cette poignée est froide parce qu'elle est en métal. Aucun cadavre ne t'attend de l'autre côté de la porte, dans une baignoire ensanglantée.

Malgré elle, Jill enviait Michèle, qui avait dévoré son petit déjeuner un peu plus tôt avec Mandy. D'une part, elle pouvait manger ce qu'elle voulait sans jamais prendre un gramme et, de surcroît, elle pouvait payer toutes ses dépenses avec la carte de crédit de son père.

Jill savait ce que « faire connaissance » voulait dire avec Michèle. C'était une beauté blonde que tous rêvaient d'emmener dans une crique cachée des regards curieux. Michèle n'était pas vraiment l'amie de Jill et de Mandy. Elles s'étaient connues quand elle avait décidé de les accompagner à Hawaï. Michèle s'était tout simplement invitée à faire ce voyage avec elles.
- Comment sont-ils ? Demanda Jill, intriguée.
- Ils s'appellent Dave et Johnny et ils sont moniteurs de plongée. Ils entraînent des plongeurs débutants dans la piscine de l'hôtel et leur apprennent tout ce qu'ils doivent savoir avant de se lancer dans l'océan. Il y a un cours chaque jour, qui commence à onze heures. On y est toutes les trois inscrites.
- Quoi ? S'exclama Jill.
- Tu vas adorer, tu verras. Ils sont super. Ils vont t'apprendre à respirer sous l'eau. Tu n'es pas fâchée que je t'aie inscrite d'office ?
- Est-ce qu'il faut un coupon pour suivre ces cours, ou est-ce que... notre corps suffira pour régler la note ?
- Jill... ne t'en fais pas. Le bateau leur appartient. Mais les leçons se passent dans le cadre de l'hôtel. Il nous faudra un coupon.
- Mais, alors, on ne pourra pas faire la balade en hélico au-dessus du volcan Haleakala ? Se lamenta Jill. Mon guide dit que c'est le plus beau cratère de l'île.
- Si, on pourra. A condition de ne pas faire du para-ski.

C'est mon avion, pensa Jill Farlow, le cœur battant.
C'étaient les vacances de printemps et elle partait pour Hawaï. Le rêve ! Engloutissant la fin de son beignet, elle avala d'un trait le reste de son coca. Le paradis l'attendait... Elle mit son sac en bandoulière, saisit son bagage à main – non sans vérifier pour la centième fois qu'elle avait bien son billet – et se dirigea vers la porte d'embarquement.
Jill ne connaissait pas Hawaï. Elle était née à Los Angeles et n'avait jamais mis les pieds hors de la Californie.

Soyez les bienvenus... Commissaire Brodequin, Inspecteur Lecardunoie !
Commissaire Brodequin : Comment ? Vous nous connaissez ?
HAHA ! Qui ne vous connaît ?
On sait que vous avez gagné la bataille de l' »Iceberg »... Élucidé le mystère de la « Bombe F »... Triomphé de la « Saucisse volante » … Dompté les « Extraterrestres » ! Votre incompétence est célèbre et votre nullité notoire... Vous pourriez prendre pour devise....
« Stupidité et distraction » !
Commissaire Brodequin : Cet éloge nous flatte monsieur... monsieur ?
On ne m'appelle pas « monsieur »... JE SUIS LE GRAND SUPERMAL !!!

Je souhaite de tout coeur que ce sourire demeurera et que mes jours de bonheur auprès de Monsieur Mano, dureront toujours dans cet appartement.

Je crois que cette fois tout est bel et bien terminé...
Souhaitait-il que nous en finissions ainsi ? L'autre jour, il ne m'avait pas paru spécialement triste, comparé à moi. Peut-être n'est-il sorti avec moi que par pitié après tout...

Le seul moyen de sortir de cette île est de tuer sept autres participants !!

Les caractéristiques de nos bombes sont radicalement différentes !!
Les siennes explosent au contact d'un objet ou d'une surface, comme des amorces. Alors que les miennes sont à retardement. Cela ne peut qu'influer sur nos façons de combattre respectives !!
Ils veulent... qu'on apprenne à manier différentes bombes, exactement comme dans « BTOOOM » ?

Peut-être tentais-je simplement de me réfugier dans ce monde fictif si confortable....

Localisez l'ennemi à l'aide de votre radar et faites-le exploser !!
Un jeu d'action de type de Battle Royal, dans lequel vous combattez avec différentes bombes, les « BIM ». En maîtriser chacune des particularités est essentiel, mais le secret de la victoire se cache à coup sûr dans l'utilisation que vous ferez de votre radar.

Apprenez à maîtriser les différentes BIM !!
Votre BIM initiale vous sera attribuée au hasard, à vous d'apprendre à vous en servir. Éliminer vos adversaires vous permettra d'en obtenir de nouvelles !

Des cartes nombreuses et complexes !
Cachez-vous, utilisez votre radar et bombardez votre ennemi dans d'immenses terrains labyrinthiques !!

XIXè siècle, Asie centrale...
L'arrivée de l'Automne marque le début des préparatifs hivernaux. L'hiver est rude dans la steppe et les herbages sont restreints. Les bêtes trop faibles pour résister au froid sont abattues, leur viande servira à tenir pendant les longs mois à venir.

Un vent froid souffle sur la steppe, les bêtes du troupeau se serrent les unes contre les autres. Les gens font des provisions pour la saison froide. L'Automne est là.

XIXè siècle, Asie centrale...
En dehors de quelques oasis à la surface limitée, on ne trouve sur ces terres que des montagnes rocheuses, des déserts et des steppes s'étendant à l'infini. Les faibles précipitations rendent le sol trop aride pour être cultivé... Seule un peu d'herbe pousse. Mais la donner en pâture au bétail permet d'obtenir du lait et de la viande et d'assurer la subsistance des hommes dans ces contrées inhospitalières. Pour les peuples nomades, le cheptel représente aussi un patrimoine économique... On ne tue les bêtes pour leur viande qu'à certaines occasions bien précises. L'essentiel de l'alimentation se compose de pain, de produits laitiers et de gibier.

Des petites joies qui se transforment en bruissement...
Et qui s'entendent au large, comme des vagues...
Cette nuit là...
Nos voisins furent les spectateurs d'étranges mirages...
Mais ces images furent si évanescentes....
Que chacun les garda pour lui, au fond de son cœur, si bien qu'elles ne firent aucun remous.