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Résumé
À l’instar des conteurs populaires qui s’installaient sur la place du village les jours de foire, Isaac Bashevis Singer raconte. Ici, il s’agit de ses souvenirs d’enfance, dans la Varsovie juive d’autrefois et le shtetl, l’ancienne bourgade juive polonaise. Son père rabbin était juge et arbitre de toutes sortes de problèmes, petits et grands, qui se posaient quotidiennement au sein de la communauté. Tout se passait dans le minuscule appartement des Singer, rue Krochmalna, entre le bureau encombré de livres et la cuisine où régnait Bathsheba, la mère au regard perçant et au solide bon sens. À n’importe quel moment entrait un couple « sa instance de divorce, une ménagère éplorée, un commerçant volé, un voleur sûr de son bon droit, une prostituée repentie, un voisin désireux de bavarder un peu.
Dans l’embrasure de la porte, un petit garçon aux yeux bleus, le teint pâle et les cheveux roux, écoulait avidement, passionnément, les histoires de Reb Asher, le laitier, de la blanchisseuse, du vieux Traitl, de la petite Esther. Il ne savait pas, bien sûr, que ce qu’il entendait allait devenir la matière même d’une des plus grandes œuvres littéraires du XXe siècle. Que ces hommes, ces femmes, ces enfants, il les immortaliserait un jour. Leur monde, anéanti par la barbarie des hommes, revit pour nous dans Au tribunal de mon père.
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