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Cormac McCarthy

Auteur

Etats-Unis Né(e) le 1933-07-20 ( 90 ans )
1 680 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Lilou 2009-09-30T21:46:52+02:00

Biographie

Ecrivain américain

[Littérature étrangère]

Né à Providence, Rhode Island le 20 août 1933

Troisième de six enfants, Charles McCarthy grandit au coeur du Tennessee, dans une famille aisée dont le père est avocat. Il prend le nom de Cormac, son équivalent en gaélique, porté par un roi irlandais. De 1951 à 1952, le jeune homme étudie les arts à l'université du Tennessee avant de s'engager dans l'US Air Force pour quatre ans. En 1965, son premier roman, 'Le Gardien du verger', est publié et reçoit un accueil chaleureux. Son travail suivant, 'L' Obscurité du dehors', est une fois encore apprécié des critiques et du public mais quand l'écrivain traite d'événements historiques dans 'Un enfant de dieu', les avis sont divisés. 'Suttree', le résultat de vingt ans d'écriture, sort en 1979 et reste l'un de ses plus grands chefs-d' oeuvre avec 'Méridien de sang' (1985). 'De si jolis chevaux', 'Le Grand Passage' et 'Des villes dans la plaine' forment la trilogie des Confins. 'Non ce pays n'est pas pour le vieil homme', daté de 2005, est adapté sur grand écran deux ans plus tard dans l'excellent 'No Country for Old Men' des frères Coen. Le prix Pulitzer 2007 vient couronner 'La Route' paru en 2006 et l'ensemble de son oeuvre. Basés sur des faits historiques, au réalisme morbide et violent, les romans de l'auteur, truffés de dialecte, rappellent ceux de William Faulkner. Cormac McCarthy n'écrit ni sur l'amour, ni sur le sexe, ni sur des thèmes domestiques mais situe ses personnages, souvent des exclus, illettrés et peu sympathiques, dans un monde de western.

Evene.fr

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.51/10
Nombre d'évaluations : 495

1 Citations 284 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Cormac McCarthy

Sortie France/Français : 2024-03-29

Interview

Vidéo ajoutée par RachelSmith 2018-05-29T10:05:58+02:00

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Mathrim_Stormbringer 2024-01-01T10:14:12+01:00
La Route

Un livre à lire pour les apprentis écrivains, une écriture spécifique pour une narration spécifique, un exercice de style aussi fascinant que l'histoire racontée.

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Commentaire ajouté par mehdi-1799 2024-01-27T23:43:58+01:00
La Route

On m'a beaucoup parlé de ce livre ce qui m'a fait monter mes attentes. Je pense que c'est pour ça que je n'ai pas aimé ce livre, j'attendais beaucoup plus. L'univers est sombre, sans espoir, mais j'espérais que ça irait encore plus loin. C'est un classique et il était original à sa sortie, mais quand je l'ai lu j'ai trouvé que c'était assez banal et que ça manquait d'action.

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Commentaire ajouté par HundredDreams 2024-02-02T05:56:57+01:00
La Route

Enfin, je viens de lire le roman post-apocalyptique de Cormac McCarthy. Depuis le temps que ce livre était dans mes étagères à prendre la poussière. Heureusement les critiques de Caro29 et Bartzella m'ont donné envie de lui donner sa chance, car ayant déjà vu le film, cet univers particulièrement sombre ne m'attirait pas vraiment.

*

Dans une Amérique ravagée par un immense feu, un homme et son enfant, tentent de survivre en marchant vers la côte, empruntant une route déserte, recouverte de cendre. Dans l'histoire, ils n'ont pas de nom, on les appelle simplement "l'homme" et "le petit".

Ils ne possèdent pratiquement rien. Leurs maigres possessions sont conservées dans un chariot.

Il n'y a pas vraiment d'intrigue, leur combat paraît vain dans un monde déjà mort, devenu un enfer pour une raison que l'on ignore. Un sentiment d'impuissance et d'absurdité m'a étreinte tout au long de ma lecture.

Peut-il y avoir un dénouement heureux dans un univers aussi morose et déprimant ?

« le froid et le silence. Les cendres du monde défunt emportées çà et là dans le vide sur les vents froids et profanes. Emportées au loin et dispersées et emportées encore plus loin. Toute chose coupée de son fondement. Sans support dans l'air chargé de cendre. Soutenue par un souffle, tremblante et brève. Si seulement mon coeur était de pierre. »

*

Cette longue route vers le sud est particulièrement angoissante.

Le monde est figé, immobile, brûlé, grisâtre, recouvert d'un dépôt cendreux que le vent emporte.

La race humaine a pratiquement disparu.

Le ciel est vide, la mer est vide, les forêts sont vides.

Tout est mort, l'herbe, les arbres, les champs, l'eau.

Tout est monochrome, exempte de couleurs.

La neige qui tombe est grise, le ciel est gris, l'océan est gris acier.

« le noir dans lequel il se réveillait ces nuits-là était aveugle et impénétrable. Un noir à se crever le tympan à force d'écouter. Il était souvent obligé de se lever. Pas d'autre bruit que le vent dans les arbres dépouillés et noircis. Il se levait et titubait dans cette froide obscurité autiste, les bras tendus devant lui pour trouver son équilibre tandis que les mécanismes vestibulaires faisaient leurs calculs dans son crâne. »

*

Cette route est d'une tristesse infinie.

Le désespoir et la solitude sont très présents, disséminés entre les lignes, mais les deux personnages avancent sans se retourner.

Affronter le froid, la pluie, l'épuisement, la faim, l'incertitude, le découragement, la peur.

Faire l'économie des mots, aller à l'essentiel.

Rester en vie et continuer à vivre coûte que coûte.

S'accrocher à la vie avec l'énergie du désespoir.

« Là où tout était brûlé et réduit en cendres devant eux il n'était pas question de faire du feu et les nuits étaient longues et sombres et froides plus que tout ce qu'ils avaient connu jusqu'à présent. Froides à faire éclater les pierres. A vous ôter la vie. Il serrait contre lui le petit qui grelottait et il comptait dans le noir chacune de ses fragiles respirations. »

*

Cette route est terrifiante, oppressante et même glauque.

Les dangers sont omniprésents. En la parcourant, ils sont à la merci de hordes qui n'hésitent pas à tuer Dévoiler le texte masqué.

« Il l'avait entraîné à rester tapi dans les bois comme un faon. »

*

Vous l'aurez compris, cette route est particulièrement terne, sinistre, étouffante, piégeuse. Pour eux qui rêvent d'un futur plus clément, cette route est symbole d'espoir.

Ce que je retiens également, c'est cette lumière que j'ai décelée au milieu de toute cette noirceur.

Cette lumière, c'est celle de cette magnifique relation père fils. Chacun soutient l'autre par la force de son amour.

L'amour de ce père pour son enfant n'a pas besoin de mots. Il a beaucoup de gestes tendres envers son fils. Loin d'être dépourvu de sensibilité, il est, malgré tout, prêt à recourir à la violence et à tuer pour protéger son enfant.

L'enfant m'a touchée aussi. Frêle et apeuré, il n'apparaît pas armé pour faire face à la violence de ce monde qui a perdu toute humanité. Il n'a connu que ce monde de désolation, et pourtant, il fait preuve de sensibilité, de générosité et de compassion.

« Tu voulais savoir à quoi ressemblent les méchants. Maintenant tu le sais. Ça pourrait se reproduire. Mon rôle c'est de prendre soin de toi. J'en ai été chargé par Dieu. Celui qui te touche je le tue. Tu comprends ?

Oui.

Il était assis, encapuchonné dans la couverture. Au bout d'un moment il leva la tête. On est encore les gentils ? dit-il.

Oui. On est encore les gentils.

Et on le sera toujours.

Oui. Toujours.

D'accord. »

*

Cormac McCarthy a une prose particulièrement originale.

J'ai aimé son écriture simple, très directe, épurée, économique en ponctuation. J'y ai même trouvé de la poésie.

Souvent intégrés dans la narration, les dialogues sont concis, vont à l'essentiel. Les propositions coordonnées sont comme des fragments de leur vie quotidienne, une juxtaposition de gestes mécaniques, répétitifs, d'une profonde monotonie, mais essentiels, vitaux.

Ce style d'écriture aurait pu amener une certaine lourdeur au texte, mais je l'ai perçu différemment. Il contribue, au contraire, à renforcer cette atmosphère lourde et oppressante. On ressent ce froid permanent, ce monde dépouillé et effrayant, et ces cendres qui se déposent partout.

Il marque aussi le courage, la persévérance et la ténacité des deux personnages.

« Les nuits étaient mortellement froides et d'un noir de cercueil et la lente venue du matin se chargeait d'un terrible silence. Comme une aube avant une bataille. La peau du petit était de la couleur d'une bougie et presque transparente. Avec ses grands yeux au regard fixe il avait l'air d'un extraterrestre. »

*

« La Route » est une histoire déprimante, certes, émotionnellement éprouvante, oui, j'en conviens. Mais elle est aussi profondément humaine, émouvante et poignante. J'en ressors particulièrement émue.

En créant un univers post-apocalyptique impressionnant, Cormac McCarthy a écrit une oeuvre très forte, certains diront un chef d'oeuvre. Je ne sais pas, mais ce qui est sûr, c'est qu'il ne faut pas hésiter à emprunter cette route et à vous faire votre propre avis.

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Commentaire ajouté par nightcore2626 2024-02-28T12:03:08+01:00
La Route

Ce genre de livre (adapté en film pour avoir le plus large public possible) c'est forcément un coup des dirigeants occidentaux à pousser le peuple à la dépression

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Commentaire ajouté par Delivrus 2024-03-09T14:45:44+01:00
La Route

Il y avait longtemps que j'avais envie de lire ce livre, bien avant d'avoir lu le magnifique roman de Sandrine Colette "et toujours les forêts".

C'est un livre surprenant : l'auteur va à l'essentiel surtout dans les dialogues. Le passé est très peu évoqué (quelques bribes de rêves et de souvenirs) et l'avenir encore moins : comment l'homme (on ne sait pas son nom) espère t-il s'en sortir ? Y a t'il d'autres possibilités qu'une errance sans fin, la peur, la faim, le froid dans un monde dévasté, détruit, dont il semble que les quelques survivants soient devenus des cannibales, sans aucune humanité, ni compassion ? Qu'espère t'il trouver au bord de la mer et au sud ? J'ai eu un sentiment d'absurdité tout au long de ce roman, comprenant mieux le suicide de la mer (que le petit semble vouloir "rejoindre") que la quête de survie à tout prix du père.

Par rapport au roman de Sandrine Colette, j'ai trouvé que celui-ci était plus axé sur la déchéance de l'humanité que sur la disparition de la nature. Il y a des scènes très glauques sur les derniers survivants alors que la nature semble pouvoir renaître (ils trouvent des pommes). Certains passages cependant d'une grande tristesse évoquent la destruction de la nature (quand ils parlent des oiseaux et le tout dernier chapitre qui surgit comme un cheveu dans la soupe !)

Les personnages de ce livre sont magnifiques par l'amour qu'ils se portent. Les dialogues sont succincts mais beaux. Ils ont une grande signification à chaque fois. Le père est touchant par sa volonté de sauver son fils. On voit son amour par son comportement, ses gestes. Le petit est attendrissant. Il est effrayé, affamé, frigorifié, traumatisé mais en même temps, il fait preuve d'un grand courage. Il fait preuve de compassion et garde foi en l'humanité. Il continue à croire qu'il y a des "gentils" quelque part.

J'ai aimé la fin, en partie "ouverte" mais qui justifie les espoirs de l'homme et du petit.

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Commentaire ajouté par Sebdelatour 2024-04-03T13:01:48+02:00
La route (BD)

Ce roman graphique est tout simplement EXCEPTIONNEL. Chaque case est une œuvre d'art. Un magnifique hommage émouvant à un des plus grands romans contemporains par l'immense Cormac McCarthy. Je ne trouve pas les mots. J'ai simplement envie de dire merci Manu Larcenet qui réalise l'exploit de restituer l'atmosphère oppressante et terrible du roman en suscitant la même émotion. On galvaude souvent ce mot, mais ici on peut parler de chef d'oeuvre.

Incroyable.

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Commentaire ajouté par lectures_du_soir 2024-04-05T11:25:39+02:00
La route (BD)

Ce livre fait parti de mes "classiques", de mes préférés. Je l'ai découvert presque pile l'année dernière et j'ai été bouleversée d'une telle façon, que je ne peux QUE le classer dans les incontournables.

Cette histoire m'a complètement brisée, j'ai été dans l'empathie avec chacun des personnages tout le long, j'en suis sortie épuisée.

Alors j'ai regardé le film. Parfait, il correspondait en tous points à ce que j'avais pu imaginer.

Mais cette BD ! Elle est juste... Magistrale. Elle donne encore une autre dimension au roman, à cette relation incroyable entre un père et son fils. @manularcenetestamour à parfaitement capté l'essence des personnages, et de ce monde post-apocalyptique.

Les dessins sont brutaux, les dialogues retranscrits sont essentiels, et même si je connais mal Cormac McCarthy je suis à peu près sûre que c'est comme ça qu'il imaginait son récit. En tout cas moi, c'est le cas.

Si vous ne connaissez pas encore cette œuvre, foncez

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Commentaire ajouté par EliseSch 2024-04-08T19:36:29+02:00
La route (BD)

Cette BD a clairement fait son effet, je me suis sentie vidée à la fin, comme si j'avais marché et souffert avec les personnages. Les dessins sont sombres, bruts, ils retranscrivent parfaitement cette ambiance angoissante et noire qui entoure l'histoire de cette route.

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Commentaire ajouté par Stayinbooks 2024-04-10T19:08:23+02:00
La route (BD)

Je ne connais pas du tout le roman d’origine, mais le roman graphique était vraiment agréable bien qu’assez glauque quand même dans un monde post-apocalyptique. Ça donnais une vibe de The Walking Dead mais sans les zombies mais certain passage mettaient vraiment sous pression, car c’était difficile de deviner ce qu’il pouvait se passer. Et puis, on voit vraiment l’horreur de l’humanité dans ce genre de situation difficile.

Malheureusement, j’ai trouvé que c’était trop court! J’aurai aimé continuer à les suivres.

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Commentaire ajouté par Sebdelatour 2024-04-11T15:12:56+02:00
Suttree

Il est impossible de donner un synopsis, il s'agit de la déambulation d'un clochard alcoolique dans les quartiers miséreux de la ville de Knoxville au début des années 50. Au gré des chapitres, on suit sa déchéance, ses douleurs, ses espoirs, ses rencontres et ses déboires. Quelques petites étincelles d'espoir, mais fugaces. La teinte de ce roman est viscéralement désespérée et pathétique. Aussi sombre que la plus noire des noirceurs, comme dans les visions hallucinées pandémoniaques qui traversent l'esprit de Suttree à certains moments du roman, roman où la mort et la souffrance sont omniprésentes. Mais cet enfer promis est-il pire que celui où vit Suttree?

Vous l'aurez compris, Cormac McCarthy n'est pas Jojo le rigolo. Et même si on sent une certaine tendresse pour les personnages (mention spéciale au petit Rat des villes, Harrogate); rien ne leur est épargné. Ils traversent les événements pathétiques, parfois complètement absurbes, souvent d'une violence crasse...ils n'ont pas de passé et encore moins d'avenir. Une vie qui tient à un fil, le fil de pêche qui dérive au gré du fleuve glauque et pollué où Suttree attrape des poissons-chats.

Vous l'aurez compris, ce n'est pas un livre orteils en éventail et cerveau au repos. C'est une expérience, il faut se battre pour y entrer. C'est plutôt une imprégnation déambulatoire dans un univers de désespoir et de misère. Et ce bon Cormac ne nous facilite pas la tâche, caractérisant peu les personnages dont certains ne font que passer, clochards célestes aux pieds lestés dans la merde. Les changements de narration, les longues descriptions démentes et dingues, des allers et retours dans le temps font de cette lecture une expérience quasi-mystique. Cela m'a évidemment fait penser au roman de Faulkner que j'ai lu il y a quelques mois.

J'ai recopié quelques passages dans les extraits pour que chacun puisse saisir que l'écriture est simplement incroyable. Il y a tant de passages remarquables et éblouissants que tout amoureux du style se prend une énorme claque et bave de bonheur en relisant des phrases parfaitement cisaillées agrémentées d'images flamboyantes. C'est au-delà de tout ce que j'ai lu. Cormac McCarthy est à les yeux le plus grand auteur.

Je n'oublierai pas Suttree.

" Toutes les âmes ne sont qu'une et toutes les âmes sont solitaires".

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On parle de Cormac McCarthy ici :

Nouveau format livre de poche
2011-04-28T11:29:26+02:00

Dédicaces de Cormac McCarthy
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Editions de l'Olivier : 10 livres

Points : 7 livres

Seuil : 6 livres

Actes Sud : 5 livres

Knopf Doubleday Publishing Group : 3 livres

Picador : 1 livre

Alfred A. Knopf : 1 livre

Sixtrid : 1 livre

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