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Sa vie dans les yeux d'une poupée
Tout pour plaire
J'avoue qu'au début j'ai hésité à le finir, il ne m'emballais pas trop.
J'ai persisté et je ne le regrette pas.
Une fois pris dans le livre, impossible de le lâcher.
Même si certains passages sont difficiles et que d'autres m'ont fait pleuré comme une madeleine.
A la fin, la couverture du livre prend tout son sens et on comprends mieux l'histoire...
Alors si ce livre est dans votre PAL, lisez-le.
La Prunelle de ses yeux
L'intrigue est bien construite et assez machiavélique .
L'écriture est fluide , très travaillée.
Mais je n'ai pas réussi à m'attacher à Garance, la profileuse.Je n'ai pas aimé sa personnalité et encore moins la relation qu'elle entretient avec Patrick , le flic. C'est peut être parce que je n'ai pas lu le premier tome " écho" où apparaît ces personnages.
Cela reste quand même un bon moment de lecture.
Potens
L'auteure nous embarque dans les méandres d'un groupuscule autant sectaire que mystérieux, sérieusement ébranlé par un meurtre particulièrement sauvage. Il n'en faut pas moins au commandant Vivier et à la psycho-criminologue Garance Hermosa, infiltrée de surcroît, pour s'intéresser aux actions de cette pompeuse communauté.
Potens
L’auteure nous immerge pleinement dans la folie de son héroïne, Barbara, dont le profil psychologique apparaît comme « classique » dans ce type de roman, avec une somme de traumatismes vécus dans son enfance et dans un passé plus récent.
Ces deux écorchés de la vie vont se rencontrer, et écrire une page de leur histoire commune dont on devine assez rapidement l’issue.
Rien de bien extraordinaire dans cette œuvre dont certains chapitres ne sont que la répétition de précédents. À noter que certaines scènes sont extrêmement crues et qu’elles peuvent heurter certaines sensibilités.
Sa vie dans les yeux d'une poupée
Manque d'audace au niveau de la forme, pour commencer. On est dans une enquête polar des plus classiques avec un enquêteur de police des plus fades, et totalement passif, et une profileuse totalement caricaturale qui n'est là que pour jouer la femme libérée (et parfaite, tant qu'affaire, c'est mieux). De plus, l'auteure s'attarde beaucoup trop sur la relation entre les deux protagonistes, qui est pourtant totalement inintéressante. Au lieu de quoi on a simplement une intrigue peu intéressante qui n'avance pas.
Beaucoup de clichés, des facilités scénaristiques, de la pédagogie inutile (merci, mais le mythe de Narcisse, je le connais déjà, pas besoin de me le faire raconter sur plusieurs pages)
Les chapitres extraits du journal d'un personnage qui n'a à première vue n'a rien à voir avec notre histoire aurait pu donner davantage de crédit au scénario. Mais malheureusement, le style vulgaire n'apporte rien, et finalement, à part nous retirer tout suspense par rapport à l'identité du meurtrier, ces chapitres ne nous apportent vraiment pas grand-chose.
Et après des longueurs qui n'en finissent pas, tout arrive d'un coup. La fin est très vite expédiée, on nous explique des choses qu'on avait très bien comprises tous seuls, et malgré une histoire trash et sale au possible avec des thèmes tabous, on ne peut être que déçus : tout est tellement extrême, de la psychologie de comptoir, mais pas d'approfondissement des personnages décrits comme pervers mais qui n'ont aucune subtilité ni crédibilité. Tout est tellement exagéré, comment peut-on y croire ?
Bref, très déçue, surtout que le sujet aurait pu donner quelque chose de vraiment mieux.
Echo
Dès le début on s'accroche aux personnages. On arrive à se les imaginer, tout est visuel et rend le tout encore plus vrai. Chaque personnage est intéressant. Même les histoires qui nous paraissent secondaires ont leurs importances. Si certains arrivent à deviner la fin, ce n'est jamais mon cas et je suis restée surprise jusqu'à la fin.
Tout pour plaire
Crimes au musée
Bien mal m'en a pris, car cette lecture ne m'a pas du tout intéressée.
Commençons par des personnages tous plus imbuvables les uns que les autres : Haiko est détestable, c'est une hystérique colérique qui s'enflamme pour un oui ou pour un non, et dénuée de toute empathie. Malheureusement, les autres personnages ne sont pas mieux, enfermés dans une idéologie moralisatrice et bien-pensante, qui se sentent obliger de juger tout le monde, et leur mode de vie (non, plutôt "critiquer la décadence et les vices de notre société actuelle"), des sermons totalement rétrogrades et arriérés, un peu irritants... Des scènes de sexe totalement gratuites qui n'apportent strictement rien à l'intrigue si ce n'est combler le vide scénaristique... Mouais... Je suis peu convaincue.
Au niveau de l'intrigue, ce n'est guère mieux. On est dans l'attente permanente. On nous fait languir les fameux secrets d'Haïko, cette fille ignoble, qui n'est soit disant pas ce qu'elle prétend, mais en fait si, mais en fait non. En fait, ces fameux secrets n'arrivent pas, jamais. L'enquête - si on peut parler d'une enquête - n'avance tout simplement pas, et en fait, le livre ne décrit que la relation entre Haïko et son garde du corps. Garde du corps qui n'est pas très utile dans un premier temps, parce que pour une fille menacée, y'a pas grand-monde qui tente autre chose contre elle que de la décréditer. Donc peu de suspense, peu de retournements de situation (ou si on peut les appeler ainsi, ils n'ont rien de spécialement étonnants, ni même intéressants.
Et finalement, on conclut sur la frustration la plus totale : beaucoup de zones d'ombres persistent
Après, peut-être que le sujet ne base - qui ne m'intéressait pas franchement - était un gros frein.
Mais clairement, je ne retire pas grand-chose de cette lecture.
Les Fauves
Parce qu'il y a du bon, c'est sûr, mais du nettement moins bon aussi.
On commence dans un cadre assez simple, avec un couple ordinaire, où on soupçonne le mari d'être un brin violent, et la femme d'être hyper soumise et sans personnalité. Le frère du mari et sa gamine s'ajoutent à ce quotidien pas forcément passionnant, et c'est long. L'histoire met un temps fou à se mettre en place, on apprend vraiment rien sur le sujet qui potentiellement pourrait nous intéresser : parce qu'on part quand même sur la disparition de la femme du frère du mari, mais tous les personnages passent tellement à côté qu'on ne sait pas trop ce qu'on est supposés attendre du récit, et où l'auteur va nous mener. Non, c'est vraiment du quotidien-tranche de vie, de la séduction, des problèmes de couple. Pas forcément ce qui nous intéresse lorsqu'on pense lire un thriller.
Et progressivement, le malaise apparaît. L'histoire se complexifie, mais ça reste lent, et assez confus. Faut le dire on part un peu dans tous les sens : le secret que gardent les deux frères, l'accident de l'épouse, les tourments du policier, les histoires du trafiquant, et j'en passe. Sans oublier certains dialogues écrits en italique, on sait pas trop pourquoi, les changement de points de vue constants et marqués par aucune transition... Beh, ça et les longueurs ça rend parfois la lecture complètement indigeste !
Quand aux personnages, je comprends bien l'idée de vouloir développer des personnages complexes et torturés. Et l'auteur s'y connaît en psychologie, donc pourquoi pas. Mais n'est-ce pas un peu trop extrême ? C'est bien joli de dire que personne n'est entièrement bon ou entièrement mauvais mais là, les personnages ont tous des caractères absolument imbuvables et peu modérés, qui manquent cruellement de subtilité.
Quant au scénario en lui-même, si on oublie tous les autres défauts, il est pas mal. Peut-être un peu extrême (comme ses personnages, cependant, donc ça reste assez cohérent). Pas mal de retournements de situation, et de fausses pistes, mais qui sont pour la plupart assez prévisibles. Oui, les révélations restent efficaces, avec une narration intelligente qui sous-entend des choses sans les dire, mais rien de bluffant, ou de vraiment marquant. C'est le genre de livre qu'on lit, dont on se dit "Oui, d'accord..." et on passe à autre chose.
Tout pour plaire
On a d'ailleurs une intrigue efficace et addictive.
Au niveau de la construction narrative, on reste dans du classique : plusieurs points de vue, mais des personnages importants (pas de jeu sur l'identité d'un narrateur par exemple) et des allers et retours entre le passé et le présent avec deux fils narratifs parallèles. Dans l'ensemble, l'intrigue est plutôt bien maîtrisée bien qu'elle soit bien moins originale qu'elle ne le laissait supposer.
Un récit bien rythmé, une ambiance toute particulière et une tension bien maintenue nous tient en haleine jusqu'à la fin. Les retournements de situation sont loin d'être imprévisibles (rien de spectaculaires, rien de renversant), mais ça fait le job et ça crée une histoire de fond intrigante.
Ce qui m'a posé problème, en revanche, c'est plus le caractère extrême et caricatural des personnages. On n'en a malheureusement aucun pour relever le niveau. D'un côté, on a un pur méchant qui est en plus d'une bêtise affligeante. Violent, sadique, raciste, antisémite, sexiste, pervers, c'est fou, on pourrait faire une liste de tous les défauts qui existent, et ça lui correspondrait ! Il n'a vraiment rien pour lui, le pauvre garçon ! Même si l'auteur essaie de décrire une relation assez conflictuelle avec sa mère (parce qu'il y en a toujours une, non ?), ça reste un personnage sans intérêt, tellement il est exagéré et sans nuance.
Evidemment, c'est le pire des personnages qui donne un côté extrêmement manichéen au livre. Dommage pour un thriller psychologique d'avoir un personnage autant dénué de vraisemblance.
D'autant que les autres personnes sont à peine mieux (un peu, quand même, faut pas abuser !)
Maya est la caricature même de la fille soumise. Et même si ses problèmes de conscience ont pu être intéressants à soulever, elle reste sans grand caractère, et a cette fâcheuse manie de tomber amoureuse de tous les hommes qu'elle rencontre (parce que ça facilite l'histoire, encore une fois, mais ça reste ridicule).
Et enfin Gabriel, qui est beaucoup trop ambivalent. Avec lui, on passe du chaud au froid. L'image de l'homme décrit en 2003 par les yeux de Victor, et l'homme du présent ne semblent pas avoir grand-chose en commun. Il a ce côté dragueur au début de l'intrigue, qu'il perd assez vite pour devenir un romantique. En fait, Gabriel est tout et son contraire, et même si ça aurait pu faire de lui un personnage intéressant car difficile à saisir, ce n'est pas le cas car il semble davantage s'adapter au scénario que développer un caractère qui lui est propre. Et au bout du compte, il manque seulement de contenance.
Même Victor est caricatural à souhait dans son rôle d'infiltré qui finit par s'attacher à un de ceux qu'il voulait faire tomber. Il avait néanmoins plus de potentiel que les autres personnages, mais je l'ai trouvé malheureusement trop survolé.
Bref, les personnages sont une grosse déception, et gâchent clairement la crédibilité du scénario, et c'est franchement dommage parce qu'à part ce (gros) détail, c'est une bonne lecture plutôt addictive.
La Prunelle de ses yeux
Je pense que j'ai trop attendu de ce livre et du coup je dois avouer que je suis assez déçue. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, le sujet est difficile à traiter sous forme de fiction et je préfère du coup les récits réels je pense. Cela dit j'adore le style de l'écrivain!
Les Fauves
Sa vie dans les yeux d'une poupée
La Prunelle de ses yeux