Shinobu Ohtaka
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Quelques chiffres
Note moyenne : 8.14/10Nombre d'évaluations : 1 542
0 Citations 502 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
L'histoire prend une tournure un peu plus sérieuse, reste à voir si cela va perdurer ou si cela va retomber dans une absurdité extrême.
Afficher en entierLes personnages n'ont presque aucune évolution et Kôshi est tout simplement insupportable...
Afficher en entierToujours aussi intéressant à suivre, j’attends que la série prenne encore plus d’ampleur car il y’a un potentiel monstre !
Afficher en entierLa tension est à son comble ! les enjeux deviennent de plus en plus importants et sérieux, il me tarde de lire la suite qui s’avère passionnante !
Afficher en entierOn est dans un autre monde, dirigés par les Oni, qui sont vénérés malgré leur côté maléfique. Bon, déjà pas le type d'univers qui me parle trop.
Et pour le moment une histoire basique, avec des "gentils" rejetés, qui ne cherchent rien d'autre qu'à sauver le monde.
En plus de ça, un univers assez particulier entre l'ancien (période des samurai), et le moderne avec des objets de notre époque/monde.
Et finalement, un rendu plutôt bizarre, avec une histoire et des personnages qui ne m'ont pas convaincue. Bref, c'est pas une lecture pour moi.
Afficher en entierEncore un tournant majeur dans la série et qui nous plonge dans une guerre à l’issue incertaine, toujours aussi bon à suivre !
Afficher en entierUn beau conte où on peut trouver les thèmes : fantastiques ,imaginaire,aventure,amitié,magie,et un peu d amour 💝💝
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2024/06/25/magi-the-labyrinth-of-magic-t-1-shinobu-ohtaka/
Magi : The labyrinth of magic est un shonen qui compte près d’une quarantaine de tomes. Celui-ci s’ouvre sur Aladin, un jeune garçon à l’air naïf et innocent, mais à sa manière redoutable, puisqu’il peut toujours compter sur l’aide d’Hugo, l’ami Djinn qu’il transporte dans une flûte, pour le sortir d’une situation épineuse. Cette puissance colossale va rapidement éveiller une certaine convoitise…
J’ai un peu hésité avant de faire l’acquisition de ce titre, étant donné que ce n’est pas du tout mon genre, mais je ne résiste jamais à une bonne promotion (3€ pour les trois premiers tomes), et ai donc fini par me laisser tenter. Qui sait ? On n’est jamais à l’abri d’une agréable surprise.
Ou pas. Ou presque. En l’occurrence, je dirais presque. Je n’ai pas autant apprécié cette découverte que Black Clover le mois dernier, mais ça se laisse lire, malgré un scénario prévisible qui, à bien des égards, m’a évoqué Moi, quand je me réincarne en slime et Mushoku Tensei, à ceci près que le héros semble appartenir à son monde, et non pas s’y être réincarné.
Pour le reste, il ressemble beaucoup aux protagonistes des œuvres susmentionnées. Il possède, comme eux, une apparence vulnérable / enfantine, sous laquelle se cachent d’impressionnantes capacités. Bon, pas les siennes (quoique…), mais celles de son Djinn de compagnie, pour le moment assez mystérieux. Et celles de son turban magique, aussi. Je n’ai d’ailleurs pas compris pourquoi Aladin ne s’en servait pas plus souvent, en particulier dans les dernières pages où il aurait pu se révéler fort utile.
Il faut dire que le scénario a un déroulé… Comment dire ? Qui n’est pas de ceux que j’apprécie. Trop rapide, trop plein de péripéties, trop de « je révèle mes facultés en mode deus ex machina ». Trop de personnages, également. En lisant le chapitre 1, je m’attendais à ce qu’on suive Aladin et les deux filles dont il fait la connaissance, sauf que non. On les quittera dans la foulée pour passer à complètement autre chose.
L’autre chose en question étant Ali Baba et sa soif d’exploration des Labyrinthes. Je l’ai légèrement préféré à Aladin. Même s’il ne réfléchit pas toujours et ne manque pas de défauts, il connaît son univers et sait comment éviter les ennuis la plupart du temps.
Au-delà de ça, j’ai bien aimé l’ambiance orientale, les références aux contes des Mille et Une Nuits, les Djinns… En revanche, j’ai été moins convaincue par l’humour lubrique, et même l’humour tout court. Aladin et les catastrophes qu’il provoque en raison de sa candeur m’ont vite lassée.
Quant à l’intérieur du Labyrinthe, il ne m’attire pas plus que ça. Autant je peux passer des heures à jouer à Pokémon Donjon Mystère, autant me « livrer » à une telle exploration au format manga, ça ne me séduit pas. Sans doute parce que le lecteur est passif, contrairement au joueur, et que je n’y vois par conséquent pas le même intérêt.
Je vais évidemment lire les deux prochains tomes, puisque je les ai dans ma PAL, après quoi je doute de poursuivre ce manga. Je vais paraphraser ce que j’ai écrit pour Black Clover : ce n’est pas que c’est mauvais, ce n’est juste pas pour moi. Si vous pensez que c’est davantage votre style, ne vous en privez surtout pas.
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)Sindbad serait donc à moitié un roi noir ? Dans son revêtmage on dirait vraiment un démon...
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2024/07/10/magi-the-labyrinth-of-magic-t-2-shinobu-ohtaka/
Aladin et Ali Baba ont pénétré dans le Labyrinthe dans ce deuxième tome de Magi : The labyrinth of magic, et ont déjà affronté plusieurs dangers. Le pire reste cependant à venir, puisque le gouverneur local s’est lancé à leur poursuite.
J’appréhendais la progression dans le Labyrinthe, qu’elle soit trop monocorde (un piège, on avance, un autre piège, on avance encore…), mais l’exploration des deux protagonistes est bouleversée d’entrée par l’arrivée du gouverneur.
Il s’empare d’Aladin (et de sa précieuse flûte), décide d’utiliser Ali Baba comme bouclier humain, et en parallèle de leur aventure, on en a apprend davantage sur leur passé à tous les trois. Celui de l’antagoniste est somme toute très classique (un ambitieux qu’on a pourri depuis l’enfance en lui assurant qu’il deviendrait roi un jour), contrairement à celui d’Ali Baba, plus intéressant et inattendu, qui permet au personnage de gagner en profondeur.
Aladin… J’accroche moins. L’être surpuissant qui s’ignore, et qui n’est pas non plus conscient du rôle qu’il a à jouer quand d’autres sont beaucoup mieux informés que lui sur son propre compte, ça me lasse un peu.
En revanche, j’ai apprécié Morgiane, l’esclave du gouverneur en proie à un conflit intérieur. Sa psychologie, de prime abord contradictoire, est finalement bien esquissée. J’espère qu’on la reverra dans le tome suivant, même si j’en doute.
Comme je l’évoquais dans ma précédente chronique, j’ai du mal avec les intrigues qui sautent sans cesse d’un endroit / groupe de protagonistes / objectif à un autre, or c’était ce que l’introduction m’avait donné matière à craindre, et ce que tendent à confirmer les dernières pages de ce second opus.
Au-delà de ça, j’ai trouvé le dénouement, ou plutôt le face-à-face avec le Djinn, assez confus. Disons qu’il y a bon nombre de révélations d’un coup, puis tout se précipite avec un rebondissement de dernière minute, provoqué par la soudaine intervention de parfaits (mais apparemment importants) inconnus.
Et bien sûr, on a toujours les facultés ex machina (le retour du turban volant, le sceptre magique sorti de nulle part pile au moment opportun…). Non, vraiment, ce n’est pas mon genre. Encore une fois, j’insiste là-dessus, c’est une simple question de goût. Je lirai le troisième tome parce que je l’ai dans ma PAL, mais mon exploration de Magi : The labyrinth of magic s’arrêtera là.
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Biographie
Mangaka débutante, cette jeune dessinatrice connaît très vite le succès des sa première oeuvre avec Sumomomomomomo, fer de lance de la nouvelle revue Young Gangan publiée par le célèbre éditeur Square-Enix. (FMA, Final Fantasy). Fan d'arts martiaux et de cinéma de série B, elle s'est illustrée auprès de ses éditeurs grâce à ses nombreux fanzines déjantés qui laissaient déjà entrevoir un talent pour le shonen manga que l'on compare déjà à celui de Rumiko Takahashi (Ranma ½, Lamu) parmi les lecteurs japonais.
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