Commentaires de livres faits par Carine-68
Extraits de livres par Carine-68
Commentaires de livres appréciés par Carine-68
Extraits de livres appréciés par Carine-68
Ce titre restera pour moi, une belle évasion et un bon début pour l’auteur dans ce style.
Déjà conquise par la plume de Vickie avec les deux premiers tomes de la série, celui-ci n’est pas en reste. Elle a réussi à me faire apprécier, l’odieux personnage de Zyna. Pour tous ceux qui l’ont déjà rencontré, tous vous diront que ce personnage est juste détestable, je l’ai moi-même pensé. Mais dans ce dernier tome, qui lui est réservé, nous allons en apprendre plus sur ce bout de femme, agressive, sûre d’elle, avec un langage tellement fleuri, qui ferait couler tous fleuristes à proximité, si chacune de ses joutes verbales serait sur le marché. Il faut dire, que l’auteure a savamment dosé et implanté dans la lecture, des retours dans le passé de cette dernière qui explique son devenir. La lecture de ce tome se fait avec fluidité et déclenche bien des émotions. Une très belle réussite que je vous invite à découvrir, si cela n’a pas été encore le cas.
J’ai été très touché par les pensées qui se bousculent dans sa tête. Elle se bat pour prouver qui elle est et, ce dont elle est capable. C’est une grande force de caractère que l’on décèle en elle. Puis, il est question de déchéance, comme pour Nolan, ce qu’il s’impose, comme une autodestruction. Son mal-être, son parcours font qu’il pense que la noirceur dans laquelle il se noie est juste ce qu’il mérite. Sans suit, l’amitié, ce que des gens bons sont prêts à faire pour aider leurs prochains sans rien n’attendre en retour que le respect. Puis, on parlera des apparences. Pourquoi juger une personne, pour ce qu’elle laisse entrevoir d’elle, prenons plutôt le temps de la découvrir, avant de juger. Et pour finir, de l’amour, l’amour familial, cette valeur tellement importante à mes yeux et bien sûr l’amour tout court, ce que l’on est prêt à faire pour l’être aimé (sans même savoir que l’on est amoureux), sans tenir compte d’une quelconque différence d’âge.
Je découvre aujourd’hui une plume addictive, qui nous conte le vécu des personnes que peut être nous rencontrons tous les jours, sans le savoir. Une réalité, des situations que l’on peut avoir déjà rencontrer et auxquels on peut facilement s’identifier. Les mots sont pesés avec justesse, ce qui fait que pour ma part, j’ai ressenti le mal être de certain, la gentillesse pour d’autres et un sentiment de mépris pour quelques protagonistes. Beaucoup d’émotions donc pour ce roman, que l’auteure a su très bien retranscrire. Et ce final, whoua !, il m’a tué... Je vais donc m’empresser d’en découvrir le 2 ème tome. En quelques mots : Pour moi ce fut un véritable coup de foudre
Trahisons, soutiens, reconstruction, jalousie, bonheur, voilà les mots qui décrivent ce dernier tome. Elise nous amène durant cette trilogie, loin dans la souffrance, les épreuves, mais surtout sur le chemin, semé d’embûches certes, du bonheur. Il est là à porter de main, là où on ne l’attend pas, mais il existe. A toutes ses femmes qui subissent, qui combattent chaque jour, survivent à leur bourreau, leur mal, cette trilogie est pour vous. Elle est la lumière au bout du tunnel, un soutien à travers des mots.
Il en résulte donc de cette lecture, que j’ai trouvé l’histoire magnifique, puisqu’il en ressort très clairement que quoi qu’il arrive dans la vie de nos pompiers, ils seront toujours là les uns pour les autres. Je pourrais vous parler des heures du langage dit « fleurie » d’Espé, des mots de l’auteure inconnus dans le dictionnaire, mais que j’affectionne tant. Comment dit-elle déjà ? ah oui ils sont « inventationnés », (hihihi mêle le correcteur s’y perd) parce qu’on ne dirait pas, mais sur de nombreux romans d’Ana, il y a de la recherche de sa part ! Une plume que je suis depuis son tout premier titre et qui me touche. Parce que derrière ces textes il y a toujours un message qui passe, on ne doit pas vivre en pensant aux mauvais côtés de ce que l’on a vécu, oui, ils existent, ils seront toujours en nous, mais pensez à tous ces bons moments, et ne pas hésiter à en vivre de nouveaux.
Je découvre la plume de Séverine et son personnage Chantal Thèbault. J’ai aimé le caractère de la capitaine, pour son autorité et sa capacité à se faire respecter, elle, la fine enquêtrice qu’elle représente. Car n’oublions pas, il y a le respect pour la hiérarchie mais aussi le talent de sa supérieure. Même si l’auteure nous laisse penser qu’elle est complétement démunie dans cette enquête, sa réflexion est tout autre. Dommage que Séverine, ne nous fasse pas suffisamment, à mon gout, rentrer dans la tête de Chantal. Car, le fait que son texte est à la troisième personne du singulier, ne m’a pas dérangé, mais dans ce roman, il aurait pu me permettre de mieux suivre le cheminement de son esprit. Après, peut-être cela aurait retirer du suspens, je ne sais pas, mais cela m’a manqué. Pour le reste, l’enquête est bien menée, tous les éléments ont été là pour me donner l’envie de poursuivre la lecture, surtout que je n’ai pas toujours vu venir tous les événements. Il me reste maintenant à découvrir les autres enquêtes du capitaine Thébault.
, décident de réquisitionner l’hôtel pour implanter leur cellule d’urgence, Babou, ne peut bien évidemment pas refuser. Il va de soi, que cela agace fortement Eli, de devoir vivre au milieu d’hommes qui transpirent la testostérone, et dont le chef, l’adjudant Fabien Merrenc, se montre très froid au contact de cette dernière. Elle en est convaincue, elle hait les mecs !
Attendez 30 secondes, j’essuie la bave qui coule au coin de ma bouche ! je suis conquise ! Entre le sérieux de l’histoire, on parle tout de même d’une enquête de la gendarmerie, et les pointes d’humour, je dois dire que je me suis régalée. Pour les descriptions, j’avoue, moi aussi j’aurais bien voulu découvrir la plastique de l’adjudant. Mais je me la suis bien imaginée, merci Marie. Quant à son caractère, il s’accorde parfaitement à celui d’Eli, et leurs joutes verbales sont des plus intéressantes. Concernant l’intrigue, même si j’ai eu des doutes sur la fin, je ne m’expliquais pas le lien, donc pour moi, c’est réussi. Un roman donc, coup de cœur, dont je vous en conseille vivement la lecture
Je dois dire que ce titre est tout aussi déstabilisant que son premier roman The boogeyman's psychoses. Même si un sujet bien différent est abordé ici. La folie, une folie qui raisonne en nous, mais justifiée pour notre tueuse, puisque pour elle, cela n’en est pas une. Elle créait des tableaux de l’horreur et purifie une âme, comme une belle peinture, avec des mises en scène de premier ordre. Car la psychologie des personnages est très bien travaillée et je suis saine d’esprit, mais j’ai compris la démarche de la tueuse aussi psychopathe soit-elle. Je n’y adhère pas attention ! Mais je suis parvenue à entrer dans son monde, grâce à sa prise de parole. L’auteure nous entraîne loin, très loin dans la manipulation, la déviance, la violence et je dois dire qu’elle est convaincante. Une scène restera malheureusement longtemps dans mon esprit, je crois qu’elle a réussi, à mon goût, à parvenir au summum de l’horreur. Alors moi qui voulais changer de registre avec cette lecture, j’ai été bien servie !
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire cette romance écrite par un « mec » (clin d’œil à Florian, que j’ai eu le plaisir de rencontrer, sur un salon). La plume de l’auteur est fluide, et je dirai direct. On ne s’ennuie pas avec des détails superflus tout est décrit avec précision et les sentiments, très bien exprimés. Même si ces derniers ont très vite éclos, le récit, fort de quiproquo, nous offre une relation qui ne sera pas sans heurts. Ceux qui donnent du rythme au roman, mais je rajouterai aussi que les personnages secondaires sont tout aussi séduisants. De plus, il est évident que le milieu, dans lequel se déroule le récit est plus qu’attrayant en tant que lectrice. Pour moi, une belle romance où l’on ne voit pas défiler les pages, sans temps mort, une belle plume, un récit à découvrir.