Commentaires de livres faits par Irene-Adler
Extraits de livres par Irene-Adler
Commentaires de livres appréciés par Irene-Adler
Extraits de livres appréciés par Irene-Adler
Son particularisme est vécu comme une menace pour l’intégrité de la nation ou la puissance politique, mettant en danger la stricte égalité entre des éléments d’une nation indifférenciée.
Pèse sur lui, dès lors, un soupçon de non-allégeance, qui justifie à terme son départ ou son élimination physique.
À l’instant même où le Juif paraît dans le texte, surgit avec lui comme dans un même souffle, son ennemi, fruit d’une gémellité littéraire troublante. Le duo Mardochée/Haman est comme scellé dès l’origine : cherchez le Juif, l’antisémite n’est jamais très loin.
Son "pas-comme-moi" apparaît au raciste comme un "moins-que-moi" ; il a tôt fait de le juger inabouti ou inférieur. Il est un barbare au sens où les Grecs l’entendaient : un homme dont le langage semble bégayer, de façon primitive et ridicule, bar… bar… Changez sa couleur de peau, gommez son accent et la haine pourrait bien disparaître ou s’apaiser.
Le Juif au contraire est souvent haï, non pour ce qu’il N’A PAS mais pour ce qu’il A.
On ne l’accuse pas d’avoir moins que soi mais au contraire de posséder ce qui devrait nous revenir et qu’il a sans doute usurpé. On lui reproche de détenir et d’accaparer le pouvoir, l’argent, les privilèges ou les honneurs qu’on nous refuse.
On l’imagine, dès lors, propriétaire d’un "en plus" dont il nous prive.
Puisque, par définition, le groupe qui domine exerce une violence sur le dominé, comment ce dernier peut-il se libérer sans affrontement ?
Dans les pages qui suivent, nous parlerons notamment des nombreuses énigmes que contient ce tableau célèbre et très discuté, peint en 1495.
Qui était sérieusement menacée, maintenant, par les forces obscures et agressives du Premier Chaos, de l’Oubli – la Desmentegansa –, comme on dit ici. Mais il ne restait plus personne pour résister, pour vendre cher sa peau, comme nous le faisions nous-mêmes.
Rien que Salaï et moi, un frère, une duchesse sans duché, personne d’autre, barricadés à l’intérieur.
Par chance, tout était bien organisé.
L’ennemi arriverait de tous les côtés, il pointerait de toute part contre les murs ses terrifiantes gueules de feu…
— Le siège de l’âme…
— ... et les drogues, me coupa Vidocq.
— Cette aventure avec Adrénaline nous a un peu faite réfléchir sur notre orientation...
— Tout compte fait, j'essaierais bien le métier de forgeron...
— Et moi, la poissonnerie.
— Ce serait bien. On n'aurait que la rue à traverser !