Commentaires de livres faits par Nymphee
Extraits de livres par Nymphee
Commentaires de livres appréciés par Nymphee
Extraits de livres appréciés par Nymphee
Néanmoins, comme c’est souvent le cas pour des hommes ayant son tempérament, Thomas avait peu de temps à perdre en rêvasseries.
L’homme d’affaires obstiné s’était rué hors de son lit à cinq heures et demie du matin, aussi déterminé que jamais à s’occuper de son empire en expansion : trois pubs, deux magasins de spiritueux et une taverne dans le Main Mall, la rue commerçante.
Cette rue médiévale, légèrement recourbée, remontait du Blue Thunder, un fast-food graisseux vendant frites et burgers, jusqu’à la vieille église du XIVe siècle et au mémorial monolithique dédié à saint Patrick, sur la grand-place du village.
Entre les deux, on trouvait l’assortiment habituel de pubs, de magasins de chaussures, de boutiques de reliques religieuses, ainsi qu’une de ces
échoppes de souvenirs qui vendent des pulls Aran et qu’on s’attend à voir dans les villes irlandaises qui poussent à l’ombre des œuvres de Mère Nature.
Incapables qu’elles sont de rivaliser avec la grandeur d’une sédimentation millénaire ou celle des anciennes chaussées celtes, ces bourgades se contentent d’exister en périphérie et refusent le progrès d’un haussement d’épaules débonnaire, car pourquoi prendre la peine d’essayer ?
A Ballinacroagh, les phénomènes naturels sont dominés par le Croagh Patrick, la montagne de l’ouest de l’Irlande connue sous le nom de The Reek où saint Patrick s’était retiré pendant quarante jours et quarante nuits.
Ce sommet esseulé, solennel et monastique étend son ombre sur le village pelotonné à ses pieds, et la vallée en contrebas, où s’étale un patchwork de près, de routes bordées de murets et de bêtise humaine telle qu’on la pratique dans la rue commerçante, ne fascine plus son âme fatiguée.
Incapable de fermer l’œil, Marie Jacques Michel laissait le tangage du Saint-Antoine raviver les souvenirs de sa traversée de l’océan. Quatorze ans plus tôt, elle avait ainsi rejoint André Mignier, l’homme qu’elle aimait. Jamais elle n’aurait pensé qu’elle embarquerait à nouveau sur un navire, et encore moins qu’elle le ferait en sa compagnie et celle de leurs six enfants pour, cette fois, redescendre le fleuve Saint-Laurent en direction de l’Acadie.
Tous deux originaires de l’île de Ré, ils ne s’étaient jamais habitués à vivre entourés de champs et d’arbres. Et par-dessus tout, André souhaitait pêcher. Ils avaient donc pris la décision d’accepter l’offre de Michel Leneuf, sieur de Lavallière, et de s’établir dans la seigneurie de Beaubassin.
À présent, étendue aux côtés d’André sur une couchette de planches arrimée àla coque du pont inférieur de la goélette, elle s’efforçait de chasser soninquiétude devant leur avenir.
Il était incapable de s’abstenir de regarder dans sa direction plus de deux minutes. Les nombreuses personnes occupées à faire leurs achats et à discuter dans l’enceinte du marché l’empêchaient pourtant de l’apercevoir, la plupart du temps. Normalement, il prenait plaisir à marchander avec les clients, mais ce jour-là, il était trop préoccupé.
Soudain, une éclaircie dans la foule, au moment même où elle relevait la tête, lui permit d’accrocher son regard quelques secondes. De toute évidence, c’était un bon présage. Son cœur s’emballa lorsqu’il comprit que le moment était venu.
Avant de perdre courage, il se leva d’un bond et contourna les étals d’un pas décidé, ne saluant que d’un mouvement de tête les nombreuses connaissances qu’il rencontrait. Il se dirigeait vers elle lorsqu’il la vit relever la tête et scruter l’endroit qu’il venait de quitter. Il n’aurait pu souhaiter un meilleur signe d’encouragement que la déception qui se peignit sur son visage lorsqu’elle constata son absence. Il s’approcha silencieusement derrière elle et lui chuchota à l’oreille:
— Quelle est la personne que tu souhaiterais voir en ce moment? Elle sursauta, et un sourire se dessina sur ses lèvres.— Notre roi, Louis le Quatorzième, pour sûr!
— Désolé, ce n’est pas lui...
— Je me contenterai donc d’André Mignier, déclara-t-elle d’une voix espiègle en se retournant pour lui faire face.
Réjean Duquet pénétra dans la salle de billard avec un plateau chargé d’une théière et de cinq tasses en argent. Ce fut le moment que choisit Grison, le vieux chien de l’Hôtel, sourd et à moitié aveugle, pour quitter sa place favorite au coin du poêle et se diriger vers la porte. Ne s’apercevant pas de l’entrée de Duquet, qui lui-même ne l’avait pas vu venir, il le percuta et lui fit perdre l’équilibre. Gendron et Lizotte se précipitèrent. Le premier empêcha l’hôtelier de tomber, et le second rattrapa le plateau au vol..
— Maudit Grison ! pesta Duquet.
Toujours dans les jambes ! Au bout du compte, rien de fâcheux n’était arrivé, et sa mauvaise humeur se dissipa à la vue de l’animal qui gémissait, désorienté. Il lui caressa la tête.— Allons, mon vieux, ce n’est rien. Le geste rassura Grison. Ayant oublié pourquoi il voulait quitter la pièce, il retourna au coin du poêle.
tête pour toute couronne, s’arrêta soudain à quelques pas d’elle. Jolie, mais pas très belle, son regard fixait intensément le nourrisson accroché au sein de la bohémienne, sa mère certainement. Elle restait là, maladroitement, comme réquisitionnée par cette scène qui l’intéressait. Elle se triturait les mains puis alla jusqu’à sourire, petitement d’abord. La femme l’avait bien repérée mais n’osait pas lui parler encore. Puis elle se décida enfin à lui adresser un accueil aimable.
Mille parfums enveloppaient la ville, les oiseaux nichés dans les bosquets faisaient retentir leurs échos joyeux, les enfants jouaient dans les parcs, quelques amoureux se bécotaient au fond des ruelles. Cette vie citadine que Mado avait presque oubliée ranimait son espérance en un avenir plus paisible. L’air de cette fin de journée de juin se faisait si doux qu’elle eut envie de tout recommencer, de croire de nouveau que la douceur de vivre n’était pas un rêve impossible ni une tromperie de son imagination, mais qu’elle pouvait retrouver la paix, peut-être même la joie en aimant la vie qui s’offrait à elle. Même si cette reconquête de la liberté et de la simplicité des relations familiales lui semblait un immense défi à surmonter, elle devait se faire violence et se montrer digne de l’affection et de l’amour dont on l’entourait. Trouver un équilibre, jongler entre l’ombre et la lumière, retrouver sa place, voilà d’autres combats à mener, d’autres frontières à franchir. Un pas à la fois, se répétait Mado, je dois gagner cette ultime bataille entre le douloureux passé et le présent réconfortant. Son récent retour à la maison familiale lui pesait et, malgré le respect et la discrétion que chacun manifestait envers elle, revenue de si loin, la jeune femme peinait à réintégrer la vie à Sherbrooke. La mort de Jacques, son frère, enrôlé à son tour en 1942, alourdissait le fardeau que portait la famille Genest depuis le début de la guerre. L’atmosphère était oppressante, de longs silences coupés de sanglots enveloppaient la maisonnée d’un voile de tristesse. Mado la valeureuse, Mado la guerrière qui peinait à porter sa propre souffrance étouffait dans la maison aux volets fermés, aux pas éteints, aux rires interdits. Elle avait impérieusement besoin de respirer, de retrouver le calme de la nature afin de ne pas sombrer dans une mélancolie dévastatrice.
— Maman, je ne trouve pas mes bas noirs, ceux avec le ruban vert.
— Regarde dans le tiroir du haut, Huguette.
— Je viens de regarder, ils ne sont pas là.
— Oui, ils sont dans le fond du tiroir, je les ai vus hier.
Laurette savait qu’elle finirait par aller voir elle-même, mais en attendant elle devait s’occuper de Roger et Emmanuel qui se chamaillaient encore. Bien qu’étant deux années plus jeune, Roger tenait tête à son aîné, au grand déplaisir de celui-ci, qui ne se gênait pas pour le frapper. Or, le cadet rendait coup pour coup. Partageant la même chambre, ils avaient plus d’une occasion de se colle tailler. La pauvre Madeleine, née deux ans après Roger, semblait perdue dans ce cirque. La jeune fille avait un caractère très différent de ses frères aînés et de sa sœur. Elle avait toujours le nez dans ses livres et elle s’isolait le plus souvent possible pour ne pas avoir à endurer le constant tintamarre de la famille.
Avant le coucher du soleil, j’atteignis une petite cabane blanche qui se dressait, solitaire, au milieu de l’immensité de la prairie : un gîte minuscule destiné aux voyageurs. Il ne semblait pas avoir été fréquenté depuis des lustres, et il ne s’y trouvait à l’intérieur qu’un vieil androïde lourdaud chargé de veiller sur les lieux. Fatigué et affamé, je commençai à avaler mon dîner, mais à peine arrivé à la moitié de mon repas, la jeune femme m’interpella et me demanda de sortir sur-le-champ pour assister au coucher du soleil.
« Contempler les dernières lueurs du crépuscule, avant que la nuit ne tombe lentement sur la forêt, c’est écouter la plus belle symphonie de l’univers », dit-elle, comme sous le coup de l’ivresse.
(dans "Le Caïd")
Elle balaya la salle des yeux en soutenant le regard de chacun des agents présents. Phoenix était noyée dans la foule, mais elle eut l’impression que la directrice examinait le fond de son âme. Elle devait soupeser ses forces et ses faiblesses, se remémorer les éléments de sa carrière brève et peu glorieuse à l’agence, son évaluation psychologique, et se demander si elle était à la hauteur de la tâche.
Elle se demandait sûrement quelles étaient les réelles capacités de Phoenix, qui n’était qu’à demi Dhampir — avec un quart de sang opir et trois-quarts de sang humain — et à qui l’on n’avait jamais confié de véritable responsabilité. Etait-elle capable d’accomplir une mission dont dépendait la survie de l’Enclave, la plus grande colonie humaine de ce qui avait été la côte Ouest des Etats-Unis ?
La directrice détourna les yeux et hocha sèchement la tête.
Ivre du sentiment d’être libre, je volette de trottoir en trottoir dans ce quartier populaire que je connais bien puisque mon hôte y habitait depuis sa plus tendre enfance.Il y menait une existence morne, un long fleuve tranquille sur lequel je me berçais d’ennui dans l’attente du jour inéluctable où viendrait sa fin...
La nuit darde son œil unique sur moi, sa grande pupille grise et sans paupière me fixe avec insistance. Les humains, eux, me frôlent et me traversent sans me voir ni me sentir ; tout au plus suis-je un éclair de désir inexpliqué qui les frappe au creux des reins,là, en pleine rue. Certains se retournent, d’autres s’arrêtent, l’un rougit, l’autre sourit.Chacun réagit différemment aux plaisirs charnels.
Toujours est-il que c'est le langage de prédilection de beaucoup de développeurs : il est devenu quasi-incontournable dans la création de jeux vidéo. On l'enseigne d'ailleurs dans la plupart des écoles d'informatique. Alors vous y voilà vous aussi ? Vous voulez tout savoir sur le C++ mais vous n'avez jamais programmé ?
Cela peut sembler difficile au premier abord étant donné le nombre d'ouvrages, certes intéressants mais complexes, qui existent sur le sujet. Il faut dire que le C++ est un langage très riche qui demande de la précision et de l'organisation.
Peut-on débuter en programmation avec le C++ ? Oui, bien sûr que oui !
Nous l'avons d'ailleurs déjà prouvé ces dernières années grâce à la version de ce cours disponible en ligne sur le Site du Zéro. Elle a permis à de très nombreux débutants en programmation de se former avec succès sur ce langage.
on accorde de plus en plus d’importance à l’intelligence artificielle, aux systèmes experts, à la résolution de problèmes, à la cognition, à la théorie des systèmes, à la simulation, à l’intelligence collective, aux expérimentations et aux simulations, à
l’usage généralisé des nouvelles technologies, aux organisations apprenantes et à leurs variantes, à l’intelligence des systèmes ; bref, à de nouvelles approches du management. Certains auteurs n’hésitent pas à parler, à ce sujet, d’un nouveau
paradigme (au sens où l’entend l’épistémologue Thomas Kuhn), que seraient les sciences cognitives dans leur acception la plus large. Une abondante littérature internationale en témoigne. Dans beaucoup de langues et dans de nombreux pays, de multiples articles, sites et ouvrages spécialisés s’ajoutent les uns aux autres. En particulier, depuis le début des années 1980, d’abondants travaux ont été consacrés aux
démarches de projet et à l’apprentissage organisationnel. Ces idées ont marqué, en profondeur, la fin du xxe siècle ; elles prennent encore de l’importance dans des domaines variés, de plus en plus nombreux. Elles sont aujourd’hui au cœur d’une
pratique nouvelle de la gouvernance en guise de management des systèmes.
Il nous a semblé qu’il y avait nécessité et place pour une monographie sur ces sujets, accessible à un large public de cadres d’organismes variés (publics et privés) ; un texte rédigé sans faire appel à un vocabulaire trop pointu, en évitant, autant que faire se peut, ce qui pourrait s’apparenter à du jargon de techniciens, de chercheurs ou de consultants en organisations. Le présent ouvrage est donc destiné à des responsables d’équipes, de structures (entreprises, laboratoires, collectivités territoriales, établissements publics, hôpitaux...) et du management de systèmes complexes (syndicats de communes, entreprises multisites, espaces de projet, etc.), qui souhaitent concevoir et
accompagner des changements en s’appuyant sur les travaux internationaux les plus récents des sciences du management.
S’initier à cette philosophie aide non seulement à ne pas succomber à la logique de performance, mais aussi à se défaire de bon nombre d’idées surannées.
Aujourd’hui les limites de l’éducation traditionnelle telle que nous la vivons en France sont atteintes. C’est pourquoi il nous faut revisiter ce qui a été dit, mais non entendu, il y a longtemps déjà.
Maria Montessori, grande femme visionnaire, avait ouvert la voie au début du xxe siècle : par sa démarche scientifique d’observation et d’expérimentation, elle avait su rendre à l’enfant sa dignité et lui faire révéler son potentiel en aménageant les Casa dei Bambini, espaces étudiés, structurés et organisés à son intention.
Si la pédagogie Montessori demeure toujours aussi actuelle, c’est parce qu’elle se base sur les lois naturelles de développement de l’espèce humaine : la pensée Montessori est une anthropopédagogie qui vaut pour tout homme, de tout temps, de tout lieu.
La force d’une croyance tient au fait qu’on pense qu’elle est vraie.
Un esprit scientifique et rationnel se doit de rejeter les croyances infondées mais le faites-vous vraiment?
Ceci n’est pas un livre « New Age » sur le pouvoir de l’esprit. Ni un livre sur la pensée positive. Ceci est un ouvrage pratique dédié aux croyances et à leurs influences. J’ai l’intention de vous montrer comment on peut se défaire de ses croyances et comment cela peut contribuer à l’amélioration de votre vie.
Ce sujet a déjà été visité par différents auteurs et de nombreuses fois. Ce livre est différent parce qu’il ne vous donnera pas des clés pour utiliser mieux vos croyances, ou pour penser positivement. Ce livre ne va pas vous donner d’autres croyances, prétendument meilleures, mon but est l’exact opposé.
Ce livre est là pour vous permettre de trouver un chemin en dehors de vos programmations inconscientes.
En tant que thérapeute, j’essaie d’aider mes patients à trouver leur voie, à se libérer de leurs problèmes physiques, émotionnels et mentaux. Dans le cadre de ce travail, je donne beaucoup de cours pour enseigner à ceux qui le souhaitent ma méthode de travail
sur les croyances et sur les mécanismes créatifs.
Ce livre est l’aboutissement de plusieurs années d’enseignement. Il est le premier chapitre d’une méthode de développement personnel, de transformation et de guérison plus globale.
Le travail que je vais vous proposer est surtout d’ordre pratique. Je vais vous inviter à faire différents exercices que vous pourrez utiliser comme une sorte d’anti-virus pour nettoyer votre « système d’exploitation », c’est-à-dire votre esprit, votre être et votre
corps.
La chapelle du couvent était aussi chaude qu'un dortoir d'hôpital. Le climat à l'intérieur était moite et lourd d'une série d'effluves, fleurs défraîchies, désinfectant, manteaux mouillés, amidon de la chasuble immaculée de l'évêque, odeur de sainteté de sa mitre,
arôme suffocant de l'encens. La célébration de l'eucharistie succéda à un sermon manquant à la fois de véritable conviction et de sincérité. Anna Calvert promena son regard sur la file de religieuses qui attendaient de recevoir le saint sacrement avant de
regagner leur place de l'autre côté de l'allée centrale, et se moucha.
La plus âgée d'entre elles venait de mourir ; certes, elle avait succombé à un âge et dans un état qui faisaient de la mort un événement idoine, le soulagement d'un inconfort enduré avec courage et l'étape finale d'un long, d'un étroit chemin vers le paradis, mais cette mort marquait néanmoins le dernier souffle d'un cœur bon. On célébrait le décès d'une femme dont l'évêque avait choisi de passer sous silence les accomplissements et la
profonde influence, et Anna se demandait pourquoi. L'heure aurait dû être aux éloges, mais il paraissait avoir de la peine à se souvenir des noms et donna à la place une homélie sur l'état de l'Église catholique, saupoudrée d'un bout à l'autre de lugubres
messages sur le fait que chacun d'entre nous, défunts compris, devait expier ses péchés.
Adolf Hitler naquit en Autriche par un pur hasard de l’histoire, le 20 avril1889. Sa ville natale, Braunau am Inn, avait appartenu au duché de Bavière pendant des siècles avant d’être cédée à la monarchie des Habsbourg lors de la signature du traité de Teschen, qui mit fin à la guerre de Succession de Bavière en 1779. Elle changea de mains à plusieurs reprises pendant les troubles liés aux guerres de la Révolution française et de l’Empire, avant de revenir définitivement à l’Autriche en 1815. Sur le plan culturel et ethnographique, la frontière courant le long de l’Inn, entre l’Allemagne et ce qui devint l’Empire austro-hongrois, marquait une distinction de pure forme, du moins à Braunau et dans ses environs. Le dialecte germanique et les coutumes traditionnelles différaient peu d’une rive à l’autre. Même si Hitler partit rapidement plus à l’est et résida dans nombre d’autres localités, il demeura en Haute-Autriche, à savoir dans la zone dialectale de la « Bavière centrale »1. Plus tard, il se désignera souvent comme bavarois.