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Les extraits appréciés par Mag2403

"Vous voyez, quand j'avais dix ans, ma mère est morte. Le cancer l'a emportée avant que j'ai réellement le temps de la connaitre. Mon monde ne m'apportait plus aucune sécurité et j'étais toujours effrayée.

La personne qui a remis les choses en ordre, c'est toi.

Avec toi, j'ai connu le courage et la liberté. C'était comme si le morceau de moi qui était mort avec ma mère revenait à la vie quand tu étais à mes côtés. Et je n'avais plus mal. Rien ne me faisait mal parce que je savais que je t'avais avec moi.

Et puis un jour, tout d'un coup, je t'ai perdu toi aussi.

La douleur est revenue et ça me rendait malade de te voir me haïr. Ma pluie torrentielle s'est arrêtée et tu as commencé à devenir cruel. Il n'y eut aucune explication. Tu n'étais juste plus là et mon cœur me fut arraché. Tu me manquais. Ma mère me manquait. Mais ce qui fut pire que te perdre, c'est lorsque tu as commencé à me blesser. Tes mots et tes gestes m'ont fait détester vernir au lycée. Je n'étais même plus à l'aise dans ma propre maison.

Aujourd'hui, j'ai encore mal. Mais je sais que rien de tout cela n'est de ma faute.

Il y a beaucoup de mots que je pourrais utiliser pour te décrire mais le seul qui inclut triste, en colère, misérable et pitoyable, c'est "lâche". Dans un an, je serai partie et tu ne seras rien de plus qu'un fiasco que je me trimbalais au lycée.

Tu étais ma tempête, mon ciel nuageux, mon arbre sous l'averse. J'aimais toutes ces choses et je t'aimais. Mais maintenant ? Maintenant tu n'es qu'une putain de sécheresse."

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Parfois ça me tue, la façon dont les gens meurent.

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— J’ai envie de te toucher, moi aussi. Plus que tu ne peux l’imaginer. Te voir comme ça… si blessé et effrayé, Christian… cela me fait tellement de peine. Je t’aime tant.

Il fait courir son pouce sur ma lèvre inférieure.

- Je sais. Je sais, chuchote-t-il.

— C’est très facile de t’aimer. Tu ne le vois donc pas ?

— Non, bébé, je ne le vois pas.

— Pourtant c’est vrai. Et je t’aime et ta famille aussi t’aime. Comme Elena et Leila. Elles ont peut-être une étrange manière de le montrer, mais elles t’aiment. Tu le mérites.

— Arrête.

Il pose ses doigts sur mes lèvres et secoue la tête avec une expression déchirante.

— Je ne peux pas l’entendre. Je ne suis rien, Anastasia. Je ne suis qu’une enveloppe d’homme. Je n’ai pas de cœur.

— Mais si, tu en as un. Et je le veux, je le veux tout entier. Tu es un homme bon, Christian, un homme vraiment bon. Ne doute jamais de ça. Regarde ce que tu as fait… ce que tu as accompli.

Je sanglote toujours.

— Regarde ce que tu as fait pour moi… ce à quoi tu as renoncé. Je sais. Je sais ce que tu éprouves pour moi.

Il baisse sur moi ses yeux écarquillés et paniqués. On n’entend plus que le flot régulier de l’eau qui se répand sur nous.

— Tu m’aimes.

Ses yeux s’élargissent davantage et il entrouvre la bouche pour prendre une profonde inspiration, comme s’il avait le souffle coupé. Il paraît torturé. Vulnérable.

— Oui, murmure-t-il. Je t’aime.

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« Ma vie paraitrait vide de sens sans toi. Je t'aime tellement. Je ne te laisserai jamais partir.»

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— Qu’y a-t-il ? souffle-t-il.

Je secoue la tête.

— Je ne suis pas pour toi.

— Quoi ? fait-il, les yeux agrandis par l’inquiétude. Pourquoi dis-tu cela ? Comment peux-tu penser une telle chose ?

— Je ne peux être ce dont tu as besoin.

— Tu es tout ce dont j’ai besoin.

— Le simple fait de te voir avec elle…

Mais je ne parviens pas à finir ma phrase.

— Pourquoi tu me fais ça ? Ça n’a rien à voir avec toi, Ana. C’est elle.

Il inspire brusquement en passant encore une fois la main dans ses cheveux.

— Elle est très malade.

— Mais je l’ai senti… ce que vous aviez en commun.

— Quoi ? Non.

Il tend la main vers moi et je recule instinctivement. Il laisse retomber sa main en clignant des yeux. Il semble être en pleine crise de panique.

— Tu fuis ? chuchote-t-il, les yeux agrandis par la peur.

Je me tais et m’efforce de rassembler mes pensées éparpillées.

— Tu ne peux pas, m’implore-t-il.

— Christian… je… je…

Je lutte pour me ressaisir. Qu’est-ce que j’essaie de lui dire ? J’ai besoin de temps. De temps pour réfléchir à tout ça. Donne-moi du temps.

— Non. Non !

— Je…

Il jette des regards fous autour de lui. En quête d’inspiration ? Il espère une intervention divine ? Je n’en sais rien.

— Tu ne peux pas partir. Ana, je t’aime !

— Je t’aime aussi, Christian, c’est juste que…

— Non… non ! répète-t-il, désespéré, en portant les deux mains à sa tête.

— Christian…

— Non, souffle-t-il, les pupilles dilatées par la panique.

Et soudain il se laisse tomber à genoux devant moi, la tête baissée, les mains étalées sur ses cuisses. Il inspire profondément et ne bouge plus.

Quoi ?

— Christian, que fais-tu ?

Il garde les yeux baissés, il ne me regarde pas.

— Christian, qu’est-ce que tu fais ? dis-je d’une voix suraiguë.

Il ne bronche pas.

— Christian, regarde-moi !

C’est à mon tour de paniquer.

Il relève la tête sans hésiter et, avec un air totalement passif, me contemple de son regard froid et gris – il est presque serein… Il attend.

Bordel de merde… Christian. Le soumis.

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- J'ai échoué lamentablement en essayant de ne pas tomber amoureux de toi.

- J'ai échoué avant toi.

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- Dis-moi pourquoi tu ne lui as rien dit alors que tu pars à Seattle dans une semaine ?

- Je ne sais pas... Je lui dirai dès que l'occasion se présentera.

- Tu ne vas rien lui dire parce que tu sais qu'il va te quitter.

Zed regarde derrière moi.

- Il... enfin...

Je ne sais pas quoi dire parce qu'au fond de moi, j'ai peur qu'il n'ait raison.

- Eh bien , tu sais quoi Tessa ? tu me remercieras plus tard.

- De quoi ?

Je regarde ses lèvres se crisper en un sourir mauvais. Il lève le bras pour montrer un point derrière moi, et un frisson me parcourt le corps.

- De lui avoir dit pour toi.

Je sais que quand je vais me retourner, Hardin sera juste derrière moi. J'ai l'impression d'entendre sa respiration saccadée couvrier le souffle glacé du vent d'hiver.

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– Tu ne peux pas t’arrêter ? C’est quoi ? Une sorte de jeu pour savoir jusqu’où tu peux me pousser ?

Il recule d’un pas comme si je l’avais bousculé. La voiture de Trevor est encore là, à m’attendre.

– Non, ce n’est pas ça. Comment peux-tu seulement le penser après tout ce que j’ai fait ?

– Exactement, je pense ça à cause de tout ce que tu m’as fait.

– Je veux juste que tu me parles. Je sais qu’on peut arranger les choses.

Il s’est tellement joué de moi depuis le début que je ne peux plus distinguer la réalité, mais il reprend :

– Je sais que je te manque, ajoute-t-il en s’adossant à sa voiture.

Ses mots me stoppent en plein vol. Tant d’arrogance ! Alors je lui crie :

– C’est ça ce que tu veux entendre ? Que tu me manques ? Bien sûr que tu me manques. Mais tu sais quoi ? C’est pas toi qui me manques, c’est la personne que je croyais que tu étais et maintenant que je sais qui tu es vraiment, je ne veux plus avoir affaire avec toi !

– Tu as toujours su qui j’étais vraiment ! Ça a toujours été moi, tout le temps. Tu le sais !

Il crie aussi. Pourquoi ne pouvons-nous jamais parler sans nous hurler dessus ? Il me rend folle, voilà pourquoi.

– Non, je n’en sais rien. Si je le savais, je...

Je m’arrête avant d’admettre que je veux lui pardonner. Ce que je veux faire et ce que je devrais faire sont deux choses totalement différentes.

– Tu quoi ?

Bien sûr, il essaie de me forcer à finir ma phrase.

– Rien. Va-t’en.

– Tess, tu n’as aucune idée de ce que j’ai traversé ces derniers jours. Je ne peux pas dormir, je ne peux même pas exister sans toi. J’ai besoin de savoir s’il y a une chance pour que nous...

Je l’interromps avant qu’il ne puisse terminer. Comment peut-il être aussi égoïste ?

– Ce que t u as traversé ? Comment penses-tu que j’ai vécu ces derniers jours,

Hardin ? Imagine un peu ce que ça fait d’avoir ta vie entière brisée en mille morceaux en quelques heures ? Imagine ce que ça fait d’aimer quelqu’un au point de lui donner tout ce que tu as, pour te rendre compte qu’il ne s’agissait que d’un jeu, un pari ! Qu’est-ce que tu crois que ça fait ? Je m’approche de lui, mes mains vont frénétiquement de lui à moi.

– Qu’est-ce que tu crois que ça fait de s’aliéner sa mère à cause de quelqu’un qui n’en a rien à foutre de toi ! Qu’est-ce que tu crois que ça fait d’habiter dans une satanée chambre de motel ? Qu’est-ce que tu crois que ça fait d’essayer de tourner la page quand tu n’arrêtes pas de venir ici ! Tu ne sais pas t’arrêter !

Il ne dit rien, et je veux continuer ma diatribe. D’une certaine manière, j’ai l’impression d’être trop dure avec lui, mais il m’a trahie de la plus abjecte des façons, et il le mérite.

– Alors, ne viens pas ici me dire à quel point ça a été difficile pour toi, parce que c’est ta faute ! Tu as tout foutu en l’air ! Comme toujours. Et tu sais quoi ? Je n’ai aucune pitié pour toi... En fait si. J’ai pitié de toi, car tu ne seras jamais heureux. Tu seras seul pour le restant de tes jours et pour ça, j’ai pitié. Je vais tourner la page, je vais trouver un homme bon, qui me traitera comme tu aurais dû le faire et nous nous marierons et nous aurons des enfants. Et je serai heureuse.

Ce long discours m’a laissée à bout de souffle et Hardin, bouche bée, me regarde avec les yeux rouges. Je continue :

– Tu sais ce qu’il y a de pire ? C’est que tu m’avais prévenue. Tu m’as dit que tu me détruirais et je ne t’ai pas écouté.

J’essaie désespérément d’empêcher mes larmes de couler, mais en vain. Elles maculent mon visage, mon mascara coule et me brûle les yeux.

– Je... Je suis désolé. Je vais y aller.

Il a prononcé ces mots à voix basse. Il a l’air complètement et totalement abattu, comme je voulais qu’il soit, mais ça ne m’apporte pas la satisfaction que j’espérais.

~~ Chapitre 8

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« — Au contraire. Avec toi je ressens… quelque chose de différent. Je ne sais pas gérer ce genre de sentiments, Tessa, alors je réagis de la seule façon que je connaisse.

Il marque une pause et pousse un soupir.

— C’est-à-dire comme un sale con. »

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- Est-ce qu'il y a un bus qui passe pas loin ?

- Ouais, à environ un pâté de maison.

- Tu peux me dire où c'est ?

- Bien sûr. À environ un pâté de maison.

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