Commentaires de livres faits par sandyDK
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Commentaires de livres appréciés par sandyDK
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Je me rends compte en la prononçant de l’inanité de ma phrase. C’est souvent le propre des formules de soutien, de n’avoir d’autre utilité que de tromper son impuissance. Je n’ai jamais entendu autant de fois « c’est la vie » qu’au moment où j’étais confrontée à la mort.
Raphael ran his hand down Elena’s spine and over her lower curves, searching for lines and finding nothing but firm feminine flesh.
"You truly aren’t."
Elena’s shoulders shook, deep creases in her cheeks.
"Oh, my God, you’re scandalized!"
Eyes tearing up in the effort to fight her laughter, she pressed her hands to his chest and stared down at the floor.
"Should I tell you I did find a way to wear a knife? In a thigh sheath."
"Of course you did. What do panties matter so long as you have your steel."
"Tu ne portes aucun sous-vêtement avec un autre homme dans la pièce ?"
Raphaël fit descendre sa main le long de la colonne vertébrale d'Elena au dessus des courbes du bas, cherchant des lignes, et ne trouvant rien que la ferme chair féminine.
"Oh mon dieu, tu es scandalisé !"
Les yeux larmoyant à force de retenir son rire, elle posa ses mains sur sa poitrine et fixa le sol.
"Dois-je préciser que j'ai trouver le moyen de porter un couteau ? Dans un fourreau à la cuisse."
"Evidemment. Quelle importance de porter des sous-vêtements tant que tu as tes lames ?"
Déchirée, en miettes, stupide et morte de honte.
— Mieux.
— Viens, on va rentrer à la maison et appeler un toubib.
J'imaginais déjà la scène : j'ai eu un gros choc émotionnel quand j'ai découvert que l'homme dont j'étais follement amoureuse n'était qu'un trou du cul... Vous croyez que c'est grave docteur ?
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— Ça l'est.
— Pourquoi ?
C'était bien une question de démon. Pourquoi est-ce que j'ai pas le droit d'étriper les bébés alors qu'il y a un problème de surnatalité ? Pourquoi est-ce que je ne pourrais pas faire dérailler ce train, il est toujours en retard de toute façon ? Pourquoi est-ce que je ne pourrais pas m'amuser à déclencher une guerre alors que je m'ennuie et qu'il n'y a rien à la télé ?
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— Léo est un vampire plutôt puissant, tu voulais que je fasse quoi ? Que je lui colle une fessée ?
Il éclata de rire.
— Et dire que je pensais avoir des problèmes avec la mienne...
— Oh mais tu as des problèmes avec la tienne. Pour l'instant, elle est unijambiste, lui fis-je remarquer tandis que le serveur me tendait la carte d'un air un peu estomaqué.
Il avait visiblement saisi la fin de notre conversation et nous prenait pour des fous. (Ah non, j'oubliais, quand les gens sont riches, le terme exact est « excentrique ».)
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Il essuya ses yeux et repoussa ses boucles brunes et lâches derrière ses oreilles.
— Non, c'est ma filleule. Ses parents sont morts, je l'élève depuis qu'elle a 8 ans.
— Je vois...
Ce que je voyais surtout c'était qu'il avait merdé son éducation. »
- Tu connais beaucoup d'homme qui pourraient résister aux avances d'une gamine avec le physique de Leo?
- Oui. Toutes les créatures surnaturelles masculines de cette ville qui savent que c'est ta fille.
Là, elle marquait un point.
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(Rebecca et Baeten)
Une gigantesque baie vitrée donnait directement sur une piscine couverte et un jardin d'hiver japonais au charme luxuriant.
- Tu aimes ? demanda Baeten en se dirigeant vers le bar qui semblait sortir du mur.
Je hochai la tête.
- Beaucoup, fis-je sans pouvoir détacher mes yeux du Botticelli que je venais de repérer.
- Assieds-toi, je t'en prie. Que veux-tu boire? Jus de fruit? Champagne? Scotch? vin?
- Coca?
Il me lança un regard désapprobateur.
- Ben oui, j'ai un palais peu exigeant et un estomac en béton, expliquais-je en répondant à son reproche silencieux.
- Pas moi, rétorqua-t-il au tac au tac en me servant un verre de jus d'orange. Et tu devrais prendre un peu plus soin de toi, je trouve que tu as mauvaise mine.
Je souris.
- Je suis sur un enquête un peu difficile, admis-je.
- Une enquête? Je suppose que ça à voir avec ta charmante mais surprenante visite?
Je saisis le verre qu'il me tendait et souris.
- Pas uniquement. je n'ai pas eu le temps de vous remercier pour m'avoir sauvé l'autre nuit, j'aurais dû venir plus tôt, mais j'ai été un peu débordée, alors...
Il me jeta un regard surpris.
- Tu me remercies? toi?
- C'est la moindre des choses.
Il siffla et s'approcha à quelques centimètres de mon visage en plongeant ses yeux dans les miens.
- Qu'est-ce que vous faites? demandais-je.
- Je vérifie que tu n'es pas possédée, plaisanta-t-il.
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(Ali et Rebecca)
- Tu te sens bien? demanda soudain le tigre en me rejoignant tandis que je cognais rageusement sur le roue de ma voiture.
- Oui. Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment je suis à fleur de peau.
Il écarquilla les yeux.
- A fleur de peau? Toi?
J'esquissai une grimace un peu gênée.
- Oui, je reconnais que c'est étrange...
Ali fronça les sourcils, m'attrapa doucement par la taille et posa sa main subitement sur mon ventre.
- Je peux savoir ce que tu fais? demandais-je tandis qu'il glissait son visage dans mon cou.
- Je vérifie que tu n'es pas enceinte.
Je manquai une ou deux respiration.
- Pardon?
Il haussa les épaules.
— Peux pas. Vous venez de nous interdire de toucher à quiconque hormis à l'armée du Mortefilis, répondit-il très sérieusement tandis que ses neuf autres congénères hochaient doucement la tête en chœur.
Pourquoi moi ?
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— Encore deux et vous gagnez une peluche ! plaisantai-je en regardant les vampires un par un s'enflammer.
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- Tu pars déjà?
Je le regardai en souriant.
- J'ai un tueur à coincer, tu as oublié?
- On est au beau milieu de la nuit...
- Justement.
Il me dévisagea d'un air inquiet.
- Tu es certaine que tu n'as pas besoin d'un coup de main?
- Tu veux que je mêle le Tribain des vampires à une affaires interne au clan des muteurs ? Tu n'as pas peur des complications? dis-je en remontant la fermeture éclair de ma robe.
Il sourit.
- Complication est mon deuxième prénom.
- Ouais, eh bien comme je te l'ai dit, tu dois me laisser faire mon boulot et cesser de me considérer comme une petite chose fragile, fis-je en m'asseyant sur le rebord du lit pour enfiler mes escarpins.
- Tu es une petite chose fragile et adorable, lança-t-il d'un ton sincère.
Adorable et fragile? Moi?
- À tes yeux peut-être parce que tu es incroyablement puissant et terriblement vieux...
- Vieux? s'indigna-t-il en me lançant un coussin au visage.
J'éclatais de rire.
- A 2 500ans, on est vieux, ne t'en déplaise! m'esclaffais-je en lui jetant à mon tour le coussin en pleine tête.
Je lui jetai un regard furieux.
- Fiche-moi la paix et laisse-moi partir.
- Je t'aime.
Ouais et moi je suis la vilaine sorcière de l'Ouest. T'as intérêt à me rendre mes pompes vite fait bien fait Dorothy !
- C'est une humaine ?
- Non. Une chatte-garou
Une chatte-garou ? Bizarre... Elles jouaient à quoi toutes les deux ? Tom et Jerry ?
-Ali. Il m'a invitée au restau ce soir.
-Il n'en est pas question
-Quoi?
-Rebecca, je ne veux pas que tu sortes avec lui.
-Ne me dis pas que tu es jaloux!
-Si, il l'est, affirma Beth
....
....
-Je retire ce que j'ai dit. Bruce est aussi torride que l'est Ali, déglutit Beth.
-Qu'est-ce qui lui prend?
-C'est un loup Alpha. Qu'est-ce que tu t'imaginais.
Qu'il laisserait un autre métamorphe s'emparer de sa famille sans broncher?
-Je...non, mais...
-Mais quoi? Considère que tu as de la chance qu'il ne te pisse pas dessus pour marquer son territoire.
— Admets que ça a de la gueule, rétorqua le lion en souriant.
J'esquissai un rictus narquois.
- Vraiment?
- Non. Vous êtes coriace, impitoyable même, mais vous essayez de faire ce qui vous semble juste et de protéger les gens que vous avez sous votre responsabilité. J'imagine que c'est dans votre nature...
Non. Ma nature me poussait plutôt à lui sauter à la gorge et à lui faire bouillir lentement ses entrailles jusqu'à ce qu'il se décompose dans d'atroces souffrances. Mais bon, personne n'est parfait...
- On se lance dans la psychologie de bazar, Hector ? fis-je en me levant du fauteuil dans lequel j'étais affalée.
Il sourit.
- De toute évidence...
-Je te fais le serment, Nora Grey, en ce jour et pour l'eternite, de me donner a toi. Je t'appartiens. Mon amour, mon corps, mon ame sont desormais en ta possesion et sous ta protection.
Il me tendit la bague, un simple gage pour une promesse solennelle.
-Patch...
-Si je ne respecte pas min engagement, que le regret et le desespoir me servent de chatiment.
Son regard croisa le mien, profond, empreint d'une soncerite absolue.
Mais je ne te trahirai pas, mon ange. Je ne te trahirai pas.
Je pris l'anneau dans l'intention de me tailler la paume, exactement comme il venait de le faire. Puis je me remorais soudain le mysterieux conseil de Basso. Je fis rouler le metal jusqu'a mon poignet et appuyai le bord coupant sur la marque aussi fine qu'un trait de crayon que je portais depuis ma naissance : une preuve de mon ascendance nephile. Quelques gouttes ecarlatent tacherent ma peau. J'appliquai la blessure contre la sienne et une curieuse sensation de picotement se propagea la ou nos deux sangs se melaient.
-Patch, je te jure d'accepter ton amour et de le cherir.en retour, je me donne a toi, corps et ame. Tout ce que je possede, je te l'offre. Je suis a toi, tout entiere. Aime-moi. Protege-moi. Comble-moi. Je te prolets d'en faire autant.
Il passa l'anneau a mon doigt mais se raidit, comme sous l'effet d'u,e decharge electrique.
-Ma main, murmura-t-il. Ma main...
Ebahi, il leva les yeux vers moi, en proie a une etrange confusion.
-J'ai des fourmillements dans les doigts.
-Tu le sens ... ? repetais-je sans oser y croire.
Je n'osais pas esperer, terrifiee a l'idee que la magie se dissipe, que l'illusion s'evanouisse, que son corps cesse de repondre au mien.
Mais non. Car c'etait cela, le present de Basso.
Patch, un ange dechu, eprouvait a present des sensations. Il sentirait chacuns de mes baisers, chacune de mes caresses. Et aussi ma chaleur, mes reactions a son contact.
Une exclamation rauque lui echappa, entre un rire et un soupir. Ses yeux s'illuminerent, elerveilles.
Je peux te sentir.
Je l'embrassai d'un baiser éperdu, audacieux. Mes lèvres s'écrasaient contre les siennes et je me perdis dans leur goût. Il resserra mon étreinte et serra mon corps contre le sien. mes mains caressèrent la courbes de ses épaules, de ses bras, de ses cuisses, dessinant le contour de ses muscles, bien réels, puissants, vivants. Sa bouche cherchait ma mienne avec un empressement renouvelé inassouvi
— Je veux me réveiller chaque jour auprès de toi, m'endormir a tes côtés, déclara-t-il sur un ton solennel. je veux prendre soin de toi, te chérir, t'aimer comme personne d'autre ne pourrait le faire. Rien ne sera trop beau pour toi. chaque baiser, chaque caresse, chacune de mes pensées t’appartiennent désormais. je te rendrais heureuse. Jour après jour, je te promet de te rendre heureuse.
— Toi aussi. Je vois que tu t'es donné du mal.
Un petit sourire se dessina sur ses lèvres.
— Ça ne te plait pas? Je peux l'enlever si tu veux.
— Mmmh, c'est sans doute la proposition la plus tentante qu'on m'ait faite ce soir, répondis-je en me caressant le menton.
— Mes propositions ne se refusent pas, mon ange.
— Des mots que je ne me lasserai jamais d'entendre.
— Jamais je n'aurais imaginé ma vie aussi parfaite, me dit-il en écartant une mèche de mon visage. Jamais je n'aurais pensé avoir tout ce que je désirais. Et tu es tout pour moi, mon ange.
- Devine ou je suis!
- Pas besoin de deviner. Tu as la puce, répondit-il.
Un second message arriva.
- Donne moi 20 min. Dans quelle pièce es-tu?
- Ta chambre.
- Alors 10 min
— Oh, non mon ange, murmura-t-il en se penchant, laissant ses dents effleurer mes oreilles. attends que je me déshabille.
Il grogna, et appuya le front contre sa clavicule, luttant pour brider ses appétits.
- Cherches-tu délibérément à me torturer ?
- Tu ne m'as pas dit ce qui est arrivé à Levet.
Il releva la tête, le visage sévère.
- Layla, je t'aime et je t'adore de tout mon être, mais je ne parlerai pas de ce caillou exaspérant alors que nous sommes ensemble dans un lit.
- Mais...
Il posa un doigt sur les lèvre de la démone, les yeux plissés.
- Tu te rappelles notre première rencontre ?
Elle s'efforça de dissimuler son sourire. C'était un jour qui resterait à jamais gravé dans son esprit.
- J'en est un vague souvenir. Pourquoi ?
- J'ai promis que tu réclamerais mes caresses en me suppliant.
- Vraiment ?
- Oui.
Curran: "Jeune, con, et les couilles pleines."
kate: "Tu as raté ta vocation, tu aurais dû faire poète."