Une affaire pour la commissaire Bombardier, Tome 8 : Crime café

un cosy un peu différent des autres, une enquêtrice haute en couleur et nous voilà partie sur une série de crimes le suspense est assez bien maintenu, et le récit est assez bien documenté et étayé

l'écriture est fluide et le livre se lit facilement - pas de prise de tête

Comme le titre le laisse supposer, tout tourne autour du café ...

Dans le désordre: le servir, le boire, le récupérer, l'utiliser pour cultiver des champignons ... ou pour décorer la mort ...

Donc le travail est intense pour la commissaire Bombardier et son équipe : dans quel sens faut-il suivre le café pour résoudre l'enquête des disparitions et morts ?...

J’ai adoré retrouver Josiane Bombardier son caractère soupe au lait. J’ai trouvé qu’elle se dévoilait un peu plus dans ce tome ce qui m’a bien plu ; j’aime bien avoir un petit aperçu de la vie privée des personnages, cela les rend plus proches de nous je trouve.

Concernant l’enquête, Josiane et toute son équipe vont avoir du fil à retordre! Trois hommes ont disparu, les pistes se multiplient, les suspects aussi, on va de rebondissements en fausse pistes.

Le tout est parfaitement ficelé, le suspense est prenant, les pistes tiennent la route tout s’imbrique parfaitement, j’ai été baladée d’un bout à l’autre de l’histoire jusqu’à cette fin inattendue ! Mon égo de super enquêtrice en a pris un coup.

C’est rythmé, sans temps mort (notez le jeu de mots pour un polar 🤭 ) avec une bonne dose d’humour, le caractère bien trempée de Josiane s’accorde parfaitement avec le côté exubérant de Elvis Turner, j’ai adoré leur joutes verbales pleine de pep’s ! J’aime vraiment de plus en plus cette commissaire bourrue au grand cœur .

J’en ai également appris beaucoup sur la Course nationale des Serveuses et Garçons de Café et je tiens à saluer le travail de recherches de l’auteure qui nous livre de nombreux détails très intéressants.

↪️ En bref, cette enquête réunit vraiment tous les ingrédients pour nous faire passer un excellent moment de lecture !

Un polar comme je les aime qui m’a fait passer un très bon moment.

C’est la 8ème enquête de la commissaire Bombardier. Je ne connaissais pas et ça ne m’a pas gênée du tout dans ma lecture. Je me suis très vite fait une idée assez précise des personnages. Mais je pense que j’ai raté quelques petits détails, qui sont sans conséquences sur l’enquête et qui m’auraient permis de mieux connaitre la commissaire.

J’aime beaucoup ce genre de polar. Frais, non dénué d’humour, avec des personnages sympas et parfois un peu atypiques. Ne vous fiez pas à l’apparente légèreté, l’enquête est sérieusement menée, bien pensée, et plus complexe qu’il n’y parait. Bref une lecture divertissante comme on les aime.

La commissaire enquête cette fois dans le domaine du café, au sens large du terme. Une petite start-up, Pleukirote (culture de champignons sur du marc de café) dont les deux patrons ont disparu à 15 jours d’intervalle. Puis quelques jours après, c’est le corps d’un garçon de café qui est découvert. Le lien ? La victime, qui se préparait à participer à la traditionnelle course des serveuses et garçons de café, travaillait dans un restaurant où les employés de Pleukirote allaient récupérer le marc de café…

« Les disparus du XVIème » sont-ils victimes d’un tueur en série ?

On va suivre l’enquête « pas à pas », avec la découverte d’indices, de témoignages, de fausses (ou vraies !) pistes et les cogitations de l’équipe de Josiane Bombardier. Un personnage que j’aime beaucoup. La cinquantaine, mère et grand-mère, souvent intransigeante. Fonceuse, et « tête de mule », elle persiste à accompagner son équipe sur le terrain.

Le petit côté vie privée des personnages ajoute encore un peu plus de réalisme à l’ensemble.

Un polar « soft » qui est un excellent divertissement. Tout est réuni pour passer un bon moment. L’écriture est légère et dynamique. L’auteure profite de son intrigue pour nous parler de cette culture de champignons sur marc de café, ce que l’on connait assez peu finalement, et c’est intéressant. Bref, je me suis laissée emporter dans cette intrigue qui réserve quelques surprises…

Une excellente découverte d’une auteure que je n’avais encore jamais lue.

Quel plaisir de retrouver la Commissaire Bombardier, Josiane pour les intimes.

Pour rappel, je n'ai pas lu les 6 premiers tomes et cela ne m'a pas gêné dans la découverte du tome 7. De même, ici, l'histoire est indépendante (une enquête par livre),et peut donc se lire indépendamment (mais je vous invite a découvrir toute la série).

J'ai adoré l'univers décrit dans ce tome. Nous enquêtons ici dans l'univers du recyclage (de café pour faire des champignons) et donc des bistrots qui fournissent la matière première : le marc de café.

Le patron de cette petite entreprise disparaît subitement, puis une seconde personne, puis une troisième qui deviendront "les disparus du XVIeme". Combien vont encore disparaître ? Et pourquoi? Quel est le lien entre les disparus ?

J'ai aimé ce polar frais, plein d'humour, de bonne humeur, de jeux de mots.

Les personnages sont toujours aussi attachants et nous suivront les histoires de cœur de notre chère Commissions (on en savait un peu dans le précédent tome).

J'ai aimé découvrir cette culture de champignons dans Paris, cette Course Nationale des Serveuses et Garçons de café.

C'est original, c'est frais, sans prise de tête mais avec une réelle enquête.

Ne vous méprenez pas, ce n'est pas parce que ce n'est pas un polar noir que l'enquête n'est pas élaborée. Elle est suffisamment complexe pour ne pas découvrir la vérité avant que l'auteure ne l'ait décidé.

Bref une lecture que j'ai dévorée en moins de 24 heures et que je vous conseille vivement.