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Commentaires de livres faits par whymsical

Extraits de livres par whymsical

Commentaires de livres appréciés par whymsical

Extraits de livres appréciés par whymsical

Ce tome 2 est exceptionnel. Du début à la fin, j'ai adoré me plonger dans sa lecture, retrouver les personnages d'Enndray, principaux et secondaires, en découvrir de nouveaux et en apprendre davantage sur cet univers incroyable, riche et si bien construit, tellement bien pensé. Comme dit pour mon avis sur le tome 1, je ne suis pas une grande fidèle de la fantasy, mais cette autrice, sa plume, son travail et ses personnages forment le cocktail parfait pour me séduire et m'emporter complètement. Malgré la tension, malgré le danger, malgré la terreur et malgré les péripéties plus ou moins difficiles à digérer. Jusqu'à la fin, ce tome nous tient en haleine et nous promet un final des plus grandioses. Il faut à tout prix que cette trilogie soit lue, partagée et recommandée. J'en suis totalement amoureuse !
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Je ne suis pas une experte du genre, je ne lis pas beaucoup de fantasy, encore moins de dark fantasy, mais connaissant le style de l'autrice, le cœur qu'elle met dans son travail et toute la complexité des personnages qu'elle peut créer, j'ai foncé tête baissée dans ce premier tome pour découvrir l'univers d'Enndray. L'aventure de Kaylor et de Jaïke, qui n'est pas des plus faciles à vivre, autant à la lecture que pour les personnages eux-mêmes, mais débordante de richesses, d'émotions et d'intensité. De la création du monde, de l'univers, au bestiaire et aux enjeux, tout dans ce roman peut nous tenir en haleine. Pour une novice comme moi dans le genre, il m'a complètement passionnée. J'ai adoré détester Jaïke pour mieux le comprendre, lire entre les lignes la psychologie de son personnage. Mon cœur repose entre les mains de Kaylor, ce petit bout de femme, que je trouve tout bonnement exceptionnel et que nous suivons principalement dans l'histoire. Cette lecture n'est vraiment pas de tout repos, et si le tome 1 aide à introduire l'histoire et à faire comprendre l'univers dans lequel nous plongeons, il promet aussi une montée en puissance des évènements et des rebondissements auxquels les personnages principaux et secondaires seront amenés à faire face.
Une lecture que je recommande autant pour les passionnés du genre que pour les novices comme moi. Je suis certaine qu'il peut atteindre tous les cœurs et tous les esprits.
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date : 03-06-2022
J’ai découvert Marion Délias sur Wattpad, à l’époque où j’envisageais de quitter la plateforme. Je n’avais donc jamais lu son roman, mais il me faisait de l’œil depuis longtemps. Dès que j’ai appris qu’il serait édité, j’ai su que j’allais l’acheter pour enfin y remédier.

Comme je le présumais, ça a été une très belle découverte. J’ai beaucoup aimé les personnalités des deux protagonistes. Daria et Álvaro m’ont intriguée dès le départ. À travers leurs deux points de vue, j’ai adoré suivre leurs histoires (leur romance autant que leurs vies personnelles respectives), mais aussi et surtout leur passion commune pour le cinéma (à des places différentes). J’ai aimé suivre les débats et les discussions autour des films, des représentations et des avis divergents (avec même les autres étudiants).

Ce roman est à la fois enrichissant de culture et satisfaisant de références, ce qui, à mes yeux, en fait un livre hyper intéressant de prime abord.

Concernant la romance et son développement, j’ai tout de suite été embarquée par le duo que formaient Álvaro et Daria. J’étais curieuse de savoir comment leur relation allait naître et surtout évoluer. Je n’ai clairement pas été déçue. Le début montre beaucoup de respect, de recherche, de compréhension et de douceur, selon moi (si on omet peut-être le moment de leur rencontre et de leur premier échange, perçu assez tendu du PDV de Daria haha), ce qui m’a agréablement surprise et permis de m’attacher aux deux personnages.

Il m’a peut-être manqué un tout petit peu plus « d’actions » une fois le début du roman bien entamé, mais c’est aussi ce qui nous permet de les découvrir et d’apprécier les moments où ils ne sont que tous les deux. Par contre, quand la moitié du roman est dépassée, les pages s’enchaînent au rythme des questions que je me suis posée, des pressentiments et des actions qui débarquent.

J’ai avalé la fin comme une vorace. Je ne peux pas décrire le sentiment qui m’est arrivé au terme de ma lecture, mais cela m’a fait le même qu’un film regardé il y a quelques années (que je ne citerai pas hehe).

J’ai eu besoin d’un peu de temps pour écrire mon avis, pour plusieurs raisons : la première étant que j’ai hésité à le détailler sur certains points (un en particulier) ; et la seconde : pour remettre en ordre toutes mes pensées. Je n’ai donc pas détaillé certaines parties, pour, je pense, le bien de l’histoire et de la découverte personnelle des nouveaux lecteurs, mais je peux confirmer avoir été séduite par les personnages de l’autrice, ses références, et sa façon de raconter une histoire comme celle-ci. En douceur, en richesse, en passion et, au fur et à mesure du développement, en tension.

J’ai envie d’en lire davantage, de continuer à creuser les univers que Marion Délias peut nous partager et apprendre à connaître d’autres de ses personnages. Et j’ai vraiment hâte de me plonger dans ses futurs romans !
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Après ma lecture de LA VÉRITÉ SUR L’AFFAIRE HARRY QUÉBERT, que j’avais beaucoup appréciée, j’avais hâte de me plonger dans une nouvelle histoire de Joël Dicker, mais j’avais du mal à me lancer dans ses livres déjà parus. J’ai donc profité qu’une amie me prête son exemplaire de L’AFFAIRE ALASKA SANDERS et veuille en discuter pour le lire.

J’avoue qu’à part les chapitres consacrés au moment du meurtre en 1999, j’ai trouvé le début assez long, entre les flashbacks pour lesquels j’ai eu du mal à trouver de l’intérêt et tout le blabla un peu lassant avant d’entrer dans le vif du sujet… Ce n’est que la première centaine de pages passée que je me suis plongé dans l’histoire.

Comme pour mon premier roman de cet auteur, j’ai trouvé l’enquête tellement bien ficelée et développée au fur et à mesure de ma lecture ! Elle nous intrigue, nous fait nous poser des questions, nous amène sur de fausses pistes, nous fait douter, nous apporte des suspects, des questionnements, des recherches, puis vient tout balayer. C’est passionnant de voir toutes ces ficelles se nouer, se délier, puis s’étendre. J’admire beaucoup Joël Dicker pour cette capacité à tenir en haleine, et surtout, tenir ses liens jusqu’au bout de l’histoire.

Cependant, même si tout est logique et limpide à la dernière page, j’avoue avoir gardé un certain goût de mitigé. Je suis à la fois convaincu et sceptique sur le scénario, le meurtre, tout ce qui le lie, le pourquoi du comment. Difficile de m’exprimer sans spoiler, donc mon avis doit paraître flou et insensé, même pour moi, il l’est d’une certaine manière, puisque, je le répète, tout est logique, chaque élément se relie. Mais parfois, j’ai trouvé que c’était trop. Que certaines choses se répétaient et servaient trop le scénario. Et ça m’a un peu agacé.

Paradoxalement, pour un polar, je me dis qu’il est parfait, que toutes les ficelles du scénario collent bien au genre. Et en même temps, ça m’a quand même laissée dubitative. Ça reste une lecture formidable que je conseille à tout le monde. L’écriture de l’auteur la rend accessible à un large public et son côté haletant pourrait en séduire plus d’un, comme il me séduit aussi en grande partie.

Je tiens à souligner que ce n’est que mon avis, puisque après discussion, mon amie en a un divergent du mien. Je me suis, peut-être au fond, trop pris la tête sur certains points de l’histoire, là où ça n’avait pas lieu d’être.
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date : 20-04-2022
Cœurs Écarlates, c’est l’histoire d’une rédemption.

Cœurs Écarlates, c’est l’histoire d’un renouveau.

Cœurs Écarlates, c’est l’histoire d’un cri du cœur, d’un cri de l’âme, d’un cri du passé et des traumatismes.

Cœurs Écarlates, c’est l’histoire qui heurte les cœurs pour verser des larmes écarlates.

Cette histoire, c’est celle de deux garçons, William et Kiëran, qui se sont trouvés, heurtés, blessés, déchirés, séparés, détruits chacun à leur façon. Puis celle de deux garçons qui se retrouvent. Ou plutôt qui se redécouvrent. L’un sous le masque et le caractère d’Isaac, l’autre complètement changé. Leur histoire est dure, sombre, haineuse, émouvante, touchante, affligeante, tragique, magnifique… Elle est d’une beauté et d’une vérité rares.

En toute honnêteté, je n’ai pas pour habitude d’être tendre et conciliante avec des personnages (ou même des personnes) qui ont autant fauté que Kiëran dans leur passé et d’accepter que les personnes qu’ils ont brisé les aiment, et ce, malgré leurs propres traumatismes. Leur pardonnent, oui. Les aiment, c’est autre chose. C’est toujours délicat, je pense, d’expliquer la sincérité de sentiments purs au milieu de la haine, de la rage, du sang, de la douleur, du passé toujours présent, des fautes et du malheur. Or, avec Cœurs Écarlates, on comprend que c’est possible et que ça peut tout autant être beau. La psychologie qui est développée l’atteste. C’est grâce à ça qu’on y croit. Grâce à ça qu’on s’y plonge. Et grâce à ça qu’on aime cette relation. Parce que rien est facile, mais tout est sincère. Dans les questionnements, les rancœurs, le pardon… Ce n’est qu’après de nombreuses lectures de cette histoire qu’une question importante m’est venue en tête : « Pourquoi/Comment William est tombé amoureux de Kiëran au tout début ? »

L’amour ne se choisit pas et je suppose que William (Isaac) en est le premier surpris par rapport à Kiëran. Autant dans le présent que dans le passé.

Si l’on peut considérer l’acceptation de cette relation « rapide » par la maman de William, j’ai trouvé qu’il s’en dégageait une beauté incroyable. Avec d’autres personnes « imparfaites » présentes autour pour aider cette mère à faire confiance, d’abord en son fils et en ses envies, mais aussi en Kiëran et en son évolution ou en sa guérison (ou les deux à la fois).

Cette histoire montre aussi que derrière tout bourreau peut se cacher des démons tout aussi effroyables.

« C’est comme ça, le bourreau est devenu martyr. »

Elle évoque la violence d’un père, l’addiction à l’alcool et les dégâts irrémédiables que cette maladie peut causer. Autant sur soi-même que sur les gens autour, surtout les personnes aimées.

Ce roman met aussi très bien en évidence l’impact psychologique et la dissociation qu’un traumatisme peut provoquer.

William, ce garçon si doux, si solaire, si touchant, qui, après avoir été trop cabossé, voit sa façon d’être changer pour appliquer autour de lui, en lui, l’aura protectrice de quelqu’un d’autre. Toujours lui, mais différent. Isaac.

Ça n’a pas toujours lieu, mais très souvent, un changement s’opère. Bénéfique ou non. Et à travers le personnage de William/Isaac, on le ressent parfaitement. Dans cette dualité qui au final n’en est pas une.

Cette histoire est importante. Cette histoire mérite d’être lue. Elle est d’ailleurs racontée par une magnifique plume, alors n’hésitez pas à le sortir de votre PAL ou à vous le procurer pour découvrir les mots de Garance et le combat qu’elle porte avec Kiëran et William.
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Ce roman, c’est le premier que j’ai lu de cette auteure. Avant même que le premier tome de cette saga (DERRIÈRE UN SOURIRE) soit publié. J’ai eu la chance de le bêta-lire et depuis, Tania et Gabriel n’ont pas quitté mon cœur. Eux, et bien évidemment, le petit Ben.

Cette histoire, c’est l’histoire de Tania. Mais aussi celle de nombreuses femmes dans ce monde.

Cette histoire, c’est une histoire d’amour, mais aussi et surtout une histoire tragique. Une histoire dans laquelle Emma nous plonge au cœur d’un foyer où la peur et la violence a pris le pas sur l’amour et la bienveillance. Au cœur d’une vie qui a basculé du tout au tout. Du jour au lendemain, et en même temps, progressivement.

Emma nous raconte l’horreur qui se dévoile jour après jour, l’enfer des violences conjugales, d’une femme qui un jour est tombée amoureuse d’un homme, mais découvre, au fil des années, ce que le masque peut cacher derrière les apparences, derrière les sentiments. L’histoire d’une femme qui se tait par peur, mais aussi pour protéger son enfant et cette famille qu’elle espère tout de même retrouver.

Cette histoire, c’est un coup de poing. Une histoire qui nous rappelle la réalité de beaucoup de foyers, de beaucoup de femmes, de beaucoup de gens.

Et pourtant, malgré l’effroi, malgré le sang et la douleur, cette histoire, c’est aussi l’histoire d’un ange. Gabriel. Le rayon de soleil de ce roman. La main tendue, le regard doux, le cœur pur, les bras tendres, le soutien, le pilier, le bouclier.

Grâce à Gabriel, même si ce n’est pas simple, même si c’est long, même si c’est dur, Tania renaît. Tania revient à la vie et à la lumière. D’abord en tant qu’ami, puis en tant qu’amant. Et enfin en tant qu’homme.

Ce roman est dur, poignant, mais il en est tout aussi beau. Porté par les mots justes d’Emma. Certaines scènes sont compliquées et douloureuses, mais d’autres sont bienfaitrices et tendres.

C’est une histoire à lire, à découvrir et à chérir. À tous ceux qui n’ont pas peur d’être confrontés à la réalité et à ses pires vices pour lire une sublime et émouvante histoire d’amour et de vie, je vous le recommande !
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Je me souviens de la toute première fois que j’ai lu cette histoire, ses premiers mots, son prologue, et que j’ai fait la rencontre de Rose et Thomas, mais surtout, et pas des moindres, de la plume de cette auteure. C’était sur Wattpad et il s’agissait de la toute première version. Il a suffi de quelques lignes pour que je tombe amoureuse.

À mes yeux, cette histoire est une pépite, un diamant brut, que j’ai eu la chance de lire plusieurs fois et de suivre l’évolution. Elle est particulière, originale, touchante, émouvante, destructrice et juste merveilleuse.

On embarque au début aux côtés de Rose, proche de la trentaine, qui tient son propre cabinet dentaire, a son lot de patients, ses collègues, une vie bien accomplie, et pourtant... le bonheur n’est pas de la partie. La solitude, elle, est pesante. Jusqu’au jour où une vieille dame fait irruption dans son cabinet avant de s’évaporer en un clignement de cils.

Une boîte, un carnet, une photo d’un garçon et de sa grand-mère, ainsi qu’une lettre de cette dernière. C’est ce bouquet d’éléments qui nous permet de plonger dans l’histoire. De remonter le temps. De traverser l’univers et de nous retrouver auprès d’une Rose dix ans plus jeune.

Si les lettres ont pour but initial de sauver un garçon parti trop tôt, en réalité, c’est le destin de deux adolescents qu’elles bouleversent. Deux jeunes parmi tant d’autres frappés par les foudres de la vie. Deux jeunes qui se confrontent au quotidien à leurs démons, chacun à sa façon. Deux jeunes que la solitude et la détresse enfoncent un peu plus dans les limbes, au fur et à mesure. Deux jeunes dont l’avenir est déjà défini quelque part dans l’univers. À moins que les lettres ne parviennent à totalement modifier leur histoire.

Cette histoire, c’est l’histoire d’une lueur d’espoir, c’est l’histoire d’une autre vie.

Le roman est partagé entre les chapitres de Rose et les extraits du journal de Thomas. Cette dynamique est un point saisissant du livre, puisque tout le long de notre lecture, c’est ce qui nous pousse à retenir notre souffle. Malgré les sourires, les rires et les joies que plusieurs passages m’ont offert, j’ai surtout beaucoup souffert face à tant de vérités, tant de réalités. Mes larmes ont coulé, et pas qu’une fois sur cette histoire. Surtout sur la fin.

Je n’ai eu aucun mal à aimer les personnages principaux et à les comprendre. Rose est une fille qui m’a particulièrement touchée. Si au début de l’histoire elle peut paraître froide, elle est juste terriblement bouleversante. Sa souffrance, ses émotions, ses pensées... je les ai trouvés douloureusement justes et percutantes. C’est un personnage féminin que j’aime énormément et que j’ai plusieurs fois eu envie de serrer dans mes bras. Concernant le personnage de Thomas, à travers ses mots à lui, j’ai reçu claque après claque. Avec lui, c’est mon cœur qui s’est serré un nombre incalculable de fois. Thomas, je l’aime autant qu’il m’a détruite. Autant qu’il m’a émue. Je les ai adorés tous les deux, ils m’ont fracassé l’âme pour y graver leurs noms et je ne suis pas prête de les oublier !

Si Hajar a un don, c’est celui de directement parler à mon cœur de lectrice. À travers ses personnages, les mots qu’elle emploie résonne en moi avec un grand bruit et un grand fracas. Vous l’aurez compris, il s’agit d’un incroyable coup de cœur, et même au-delà puisqu’il s’est confirmé à chacune de mes lectures. J’attendais depuis des années de l’avoir entre mes mains, maintenant, je ne suis pas prête de le lâcher !
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J’ai commencé cette lecture sur un coup de tête. J’en avais beaucoup entendu parler, mais sans trop en connaître les détails et le résumé. Dès que je me suis penchée dessus pour en savoir plus, j’ai tout de suite été intriguée par ce petit aspect revisite de Roméo et Juliette et j’ai pris énormément de plaisir à découvrir cet amour à la fois maudit et interdit. Il est compliqué, dur et intense, semé de grosses embûches et de drames, même d’actes impardonnables.

C’est une histoire où deux familles se déchirent complètement, qui n’ont plus la notion du juste quand ça concerne l’ennemi et qui ne répondent que par la vengeance peu importe qui a commencé à la base.

J’avoue avoir eu peur que ce soit « trop » au bout d’un moment, que ça ne devienne qu’un effet ping-pong, mais au final, durant ma lecture, j’ai trouvé que c’était construit avec un très bon équilibre et une certaine justesse, malgré les gestes effroyables et les paroles cruelles.

J’ai beaucoup aimé les deux personnages principaux. Surtout Lior. Parce qu’il faut que je le reconnaisse, j’ai failli détester Daël au début. Pendant plusieurs chapitres, j’ai eu du mal à l’apprécier, à presque ressentir de l’empathie pour lui, mais il a fini par me cueillir au bout d’un moment, et je l’ai adoré. J’ai toujours un petit élan de tendresse et de protection envers Lior qui pencherait ma préférence pour lui, mais je suis sous le charme des deux garçons, de leurs fragilités et de leurs forces... Leur relation est tout sauf tranquille et assurée, mais en même temps, elle est émouvante et poignante.

J’avais aussi surtout hâte de découvrir la plume de l’auteure, et quelle belle découverte ! J’ai été conquise rien que par les premiers mots. La plume m’a tout de suite embarquée et emportée dans son histoire. Je n’ai pas hésité longtemps à dévorer ce premier tome. Je crois que, dès les premières pages, j’ai su que je n’allais pas le lâcher. En effet, je l’ai lu en quelques heures, sur le temps de deux nuits. Je me suis surprise à rire, à avoir mal au cœur, à ressentir tout un panel d’émotions, et je suis impatiente de lire le second tome !

À tous ceux qui aiment ou qui sont intéressés par ce genre d’histoires compliquées où l’on rencontre un amour interdit/maudit, je vous conseille vivement ce roman, il est très beau et envoûtant. J'ai hâte de découvrir la suite.
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J’ai beaucoup de choses à dire sur ce roman. C’est le premier d’Emma et pourtant, je connaissais déjà sa plume pour avoir eu la chance de bêta-lire les suivants. Cela ne m’a pas empêché de tomber amoureuse une nouvelle fois de ses mots, de l’histoire qu’elle raconte.

Emma est une auteure engagée, que j’admire beaucoup pour sa volonté de se battre pour les autres, pour elle, pour les plus démunis et même ceux qui ont besoin que les mots soient posés pour eux.

Ici, dans « Derrière un sourire », elle nous livre l’histoire d’Amy, une adolescente au passé bien chargé qui fait la rencontre d’un YouTubeur très connu, Anthony.

J’avais hâte de me plonger dans cette lecture pour voir comment Emma abordait les sujets de ce roman. Et j’ai été une nouvelle fois bluffée. Elle a merveilleusement retranscrit tout ce que les réseaux sociaux peuvent apporter, surtout sur le plan néfaste, et ce point est affreusement percutant et poignant. Les mots peuvent détruire, mais la haine qu’ils engendrent provoque des actes tout aussi horribles. Et leur victime n’en est que plus submergée.

Amy n’a déjà pas une vie facile, alors, ajouté à ça tout ce qui suit durant notre lecture, les émotions ne peuvent être qu’au rendez-vous. J’ai souffert avec Amy, avec Anthony. Pour leurs histoires individuelles, puis pour leur histoire commune. Ce sont tous les deux des personnages attendrissants, forts et admirables.

Je suis tout de suite tombée sous le charme des deux. J’ai adoré être plongée dans la tête de notre héroïne, même si ça n’a pas été simple à plusieurs reprises. Mais j’ai aussi beaucoup aimé faire la rencontre d’Anthony à travers elle. Il m’a beaucoup émue et touchée. C’est un homme bienveillant, attachant et juste... incroyable.

Ce roman est puissant, c’est une leçon de vie. Il ne nous épargne pas la douleur, nous fait nous mettre à la place des personnages et nous terrorise face à la cruauté humaine, qui n’est, certes pas nouvelle (et c’est très triste à affirmer), mais tout de même choquante.

J’ai aimé et « détesté » découvrir les autres personnages, ceux qui font le monde d’Amy et Anthony. Dans les côtés les plus beaux autant que les plus sombres. Ils apportent tous quelque chose à l’histoire, à leur vie. Et même si ceux qui sont là pour le pire nous donnent des fourmis dans les mains et envie de hurler tant l’injustice est horrible, je ne peux que remercier Emma du travail qu’elle a fait avec cette histoire. C’est d’un réalisme saisissant, d’une puissance renversante.

C’est un petit bijou, un réel coup de cœur pour l’ensemble de ce roman. De ses personnages principaux, à ses thématiques dures, mais surtout essentielles dans notre société actuelle. Je suis très heureuse d’enfin avoir pu le lire, de m’être immergée un peu plus dans l’univers d’Emma.

J’espère que les mots de cette auteure toucheront beaucoup de monde !
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Je ne sais pas à quoi je m’attendais avant que ce roman atterrisse dans ma boîte aux lettres, mais malgré ses jeunes personnages, j’ai tout de suite pensé qu’il se démarquerait de son originalité. Ça n’a pas loupé !

S’il faut quelques chapitres pour rentrer dans le vif du sujet, au cœur de la relation principale, ça ne m’a pas empêché d’apprécier le début, de découvrir ces deux sœurs obligées de tout quitter et de se reconstruire dans un pays qui n’est pas le leur. J’ai aimé suivre le personnage de Lucy à travers le point de vue de Serena, j’ai trouvé intéressant que l’histoire lui donne sa place. À elle et à Hayden, un garçon que j’ai aussi beaucoup apprécié.

Les personnages secondaires ont tous un rôle plus ou moins essentiel à jouer dans ce roman, et j’ai aimé voir le monde de Serena et Lucy s’élargir, prendre des couleurs.

Si la forte curiosité de Serena m’a un peu perturbée au départ, j’ai adoré me plonger dans sa tête et faire la rencontre du mystérieux Aaron. Lui et sa personnalité bien complexe. Sans aucun doute, c’est le personnage dont j’ai le plus aimé découvrir l’histoire, le caractère. J’ai aimé leur relation, belle, déchirante, émouvante. Un amour passionnel, rêvé, évident. Leur façon de communiquer est sublime, passionnante. Quand les mots nous manquent, ceux des autres, de la musique, ont une résonance puissante et percutante. Les extraits choisis sont magnifiques. Ce point du roman est très original et captivant. En plus, j’ai pu me rappeler de quelques morceaux que j’adore et poursuivre ma lecture en leur compagnie.

Ce roman m’a fait sourire, mais il m’a surtout noué le ventre à l’approche des dernières pages. Même si on comprend, l’émotion est au rendez-vous. Elle nous cueille doucement, puis grimpe en intensité.

Petite mention spéciale pour Uriel et Jay, deux personnages secondaires, qui ont su me toucher plus que je ne m’y attendais.

J’ai beaucoup apprécié découvrir la plume de Lily, me plonger dans son univers, à travers ses lignes, ses personnages et ses références musicales. Et j’ai déjà hâte de dévorer les autres !
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J'ai eu la chance et l'opportunité de lire ce roman en avant-première, alors que je ne connaissais pas encore la plume de Morgane. Que dire si ce n'est que j'ai été agréablement surprise et conquise par ses mots. Dès le départ, je n'ai eu aucun mal à me plonger dans l'histoire à travers ces lignes. Et quelle histoire !

Le prologue nous met tout de suite dans l'ambiance du titre. Dans l'alternance entre passé et présent que je trouve merveilleusement bien gérée par l'auteure. Elle offre une dynamique et une complémentarité au roman qui est extra.

Dans Les Cicatrices du passé, nous plongeons dans la tête de Casey, une jeune femme à qui la vie a réservé son lot de mésaventures. Déchirantes et dévastatrices. Si le prologue nous donne un premier indice sur ce qu'elle a dû traverser, c'est au fil des chapitres que nous découvrons petit à petit l'horreur de son vécu. Les raisons de ces "cicatrices". Et elles nous glacent le sang.

C'est un livre qui parle de traumatismes, de sujets durs. Il est très compliqué. À lire et à découvrir en sachant qu'on n'en ressortira pas complètement indemne.

J'ai dévoré ma lecture, bien que plusieurs fois, j'ai dû la couper pour respirer un peu. Elle est poignante et augmente en intensité. Elle ne nous laisse pas de répit. Hormis peut-être grâce à la présence d'Armand. Le garçon qui vient tout changer dans le présent de Casey, qui vient lui prouver qu'elle a le droit d'être aimée, qu'elle n'a pas à avoir peur ou même honte de ses cicatrices. Qui va l'encourager à aller de l'avant et à croire au bonheur. Surtout, à découvrir ce qu'est le véritable amour.

Leur relation est douce, respectueuse, bienveillante, et je l'ai adorée. Je les ai aimés ensemble, j'ai aimé les voir se chercher, s'apprendre, se connaître...

Si elle m'a émue, plusieurs fois serré le ventre et noué la gorge, j'ai beaucoup apprécié cette lecture, parce que je l'ai trouvée très vraie, très belle et sombre à la fois. C'est le genre de lecture qu'on n'oublie pas. Et je félicite Morgane pour ça.
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Je ne suis pas particulièrement passionnée par l’Écosse, mais c’est un pays dont l’histoire me fascine tout de même beaucoup et que j’aimerais visiter un jour. Je savais en me lançant dans cette lecture que la romance ne primerait pas sur le récit, ce qui ne me dérangeait pas et ne m’a pas du tout dérangé non plus au fil des chapitres. Certes, mon genre de prédilection est la romance, mais j’ai surtout voulu me plonger entre ces lignes pour découvrir l’univers qu’elles dépeignaient.

J’ai été tout de suite intriguée par cette histoire de voyage dans le temps et j’ai été curieuse d’en apprendre davantage sur les Gardiennes du Temps. On suit donc Héléna McFinigan, née à notre époque. Âgée de la vingtaine, orpheline, elle rend visite à sa tante lorsque celle-ci se manifeste par le biais d’une lettre. De ce voyage dans les Highlands, c’est toute une nouvelle existence qui s’offre à la jeune femme. On quitte 2019 pour être propulsé en 1742 et dans le vif du sujet.

J’ai apprécié découvrir l’existence et le « fonctionnement » des Gardiennes, leurs origines, tout comme celles de leurs ennemis jurés (bien détestables, faut se le dire, même s’ils ne sont pas les seuls à l’être). Davantage de moi-même reconnaître quelques références historiques qui m’ont fait sourire !

Ce qui m’a le plus passionnée dans ce roman, c’est d’en apprendre plus sur l’Écosse et surtout sur l’Histoire en général. J’ai trouvé que le récit était très enrichissant de ce côté-là, très intéressant, et j’en ai dévoré les paragraphes pour m’abreuver des connaissances de l’auteure. Rien de mieux que d’apprendre à travers la fiction et la lecture.

Je le recommande à tous les amoureux de l’Écosse, les passionnés d’Histoire, et même ceux qui veulent découvrir tous ces sujets de façon entraînante. J’ai hâte de lire le deuxième tome et voir ce qu’Eloeïz nous a réservé pour cette suite !
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Quand j’ai commencé les premières lignes de ce roman, j’ai immédiatement senti ce bonheur et ce sentiment d’euphorie qui me saisissent chaque fois que je redécouvre la plume de Valentine.
Dès les premiers chapitres, je me suis vu recommander le livre à ma meilleure amie, passionnée par ces mots à la fois si beaux et si amusants.
Valentine a le don indéniable de me transporter dans n’importe lequel de ces romans. Une simple phrase m’embarque et je dévore tout jusqu’au point final. Ça n’a pas loupé là encore, je suis totalement subjuguée par ma lecture.
En lisant le résumé, je me revois plisser les yeux en me demandant comment elle allait faire cette fois pour me surprendre avec cette histoire, me donner un nouvel aperçu de son univers et en chamboulant tous les codes. Parce que c’est ça sa spécialité à Valentine, elle crée des histoires qui peuvent vous sembler légères et simples aux premiers abords, puis elle bouleverse toutes les idées que vous vous faisiez dans votre tête pour vous coller une claque.
Il est certain qu’on ne sort jamais indemne d’un Valentine Stergann. En tout cas, je n’ai pas réussi, et pourtant, j’ai bien essayé.
J’adore, tout simplement. Et même si je sais qu’elle a le don de prendre tous ses lecteurs de court, j’arrive encore à en tomber le cul par terre. Du début à la fin.
Je ne veux pas risquer d’en dire trop en parlant directement du contenu de l’histoire, mais je peux assurer qu’en quelques heures à peine, j’ai encore une fois tout dévorer. Je me suis attachée aux personnages, j’ai ressenti mille émotions, et j’ai hâte que la suite soit publiée.
IL M’EN FAUT UNE !!!!!! Je suis à la fois curieuse et très excitée de voir ce que Valentine nous réserve pour le second tome. Je veux à tout prix connaître la suite des aventures de Capucine et en apprendre davantage, encore et encore, sur ce Sexy Docteur Tanguy.
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date : 23-01-2021
Cette histoire m’a retournée. Je ne m’attendais pas à ça en lisant le résumé et en tournant les premières pages. Ça m’a décontenancé, mais surtout, ça m’a plu ! C’est peu de le dire !

Dans « Journey to crossroads », nous découvrons deux personnages brisés à qui la vie n’a pas fait de cadeau et continue de malmener. Cependant, elle a décidé de leur donner la chance de se reconstruire ensemble, puisque leurs chemins se croisent. Malgré un début difficile à leur rencontre, les doutes, les regrets, la colère, la rage et le chagrin, arrive l’instant où leur destinée s’enclenche et nous n’avons qu’à dévorer les pages pour découvrir comment cette relation qui débute va permettre à chacune de ces deux âmes détruites de se redresser, de retrouver espoir et d’avancer.

Avec cette histoire, on ne tombe pas en manque de rebondissements, et c’est, je pense, ce qui m’a le plus surprise. Je ne m’attendais pas à tout ce qui allait se passer, mais ce n’est pas pour me déplaire ! Au contraire. J’ai adoré, même si ça n’a rien de joyeux. J’ai apprécié beaucoup de personnages secondaires, et détesté certains (un surtout). J’ai aimé découvrir chacun d’entre eux, ils apportent tous quelque chose de spécial à nos deux héros ou tout simplement à l’histoire.

Je n’ai pas vu les pages défiler. Je l’ai dévoré du début à la fin et je ne peux que le conseiller. Le seul petit point que je pourrais relever, c’est qu’il y a un poil trop de scènes de sexe à mon goût, mais ce n’est qu’un avis personnel. Elles sont toutefois très belles et vraiment bien détaillées. Comme les descriptions des lieux, précises au point où je n’ai eu aucun mal à visualiser les paysages californiens !

Mention spéciale à Clark, ce héros. Je suis tombée sous le charme de cet adorable compagnon à quatre pattes ! Et je rêverais de vivre dans le ranch de Josh.

En bref, une magnifique lecture dont je suis ressortie conquise !
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« Kalliopée » est le premier roman que je lis de cette auteure. Même si j’ai eu l’occasion de découvrir sa plume à travers des extraits, j’avais hâte de me plonger pour de bon dans cette histoire. Et quelle histoire !

L’univers et les idées m’ont tout de suite intriguée. Que ce soit depuis le résumé ou le premier chapitre. Koko Nhan nous y expose, à travers les mots de son personnage, la princesse Kalliopée, les règles de ce monde. Celles où les femmes sont asservies, condamnées à la place de leur mari, considérées pour le sexe faible, maltraitées et humiliées. Un monde où la guerre fait ravage, change et massacre les hommes.

Immédiatement, on est immergé dans ce décor terrible qui se confronte à la volonté ferme et ardente de Kalliopée d’améliorer la condition des femmes et instaurer la paix entre son propre royaume (Viridia) et le royaume ennemi (Lapisia). Pour ce faire, elle accepte de sacrifier sa liberté en se fiançant au prince de Lapisia, Karel, qui n’est autre que son premier amour.

Comme tout être humain face à la guerre, Karel est transformé par le combat, par la vie qui lui a arraché une grande partie de son cœur, par ses traumatismes et ses failles. Il n’est plus le garçon que Kalli a connu. Il est même pratiquement tout l’opposé. Il est devenu un homme dévoré par son désir de vengeance qui ne laisse plus la place à ses sentiments de s’exprimer, si ce n’est sa rage et sa colère. Pourtant, il a su me conquérir dès le départ. Certes, il est loin d’être facile, d’être un enfant de chœur ou doux comme un agneau, mais il est aussi effrayant que passionnant, aussi intransigeant que touchant. La psychologie de son personnage m’a directement embarquée à travers les lignes des chapitres dédiés à son point de vue. Je l’ai adoré très vite, lui et son comportement impulsif, lui et son côté sauvage, lui et ce feu qui l’anime, lui et sa façon de ressentir à fond toutes les émotions qui l’atteignent. On apprend à le connaître au fur et à mesure, et c’est, je crois, l’un des personnages de roman que j’aime, qui m’intrigue et me passionne le plus.

Face à lui, l’espoir, la détermination et le grand cœur de Kalliopée font front alors que la jeune femme est en terre aussi inconnue que grouillante d’un peuple qui la déteste. Ses ignorances la confrontent très vite à la dure réalité de la vie et surtout de son rôle. Son père, le roi de Viridia, en voulant la protéger du monde extérieur, l’a privée d’armes et de boucliers avant de l’envoyer hors des frontières où elle pouvait exister en toute paix et liberté. Cependant, elle ne se laisse pas abattre et forge ses propres armes sur le terrain. Elle est admirable de force et de courage. C’est une battante qui met tout en œuvre de ne pas ployer sous la souffrance qu’elle endure, pour son peuple et ceux des autres royaumes. Elle peut et veut changer les choses, c’est sa motivation, son objectif, et rien ne peut l’en détourner, malgré tout ce qu’on lui fait subir, y compris Karel.

Leur relation est aussi intense qu’explosive. Exceptionnelle, puissante, émouvante. Entre ça et tous les sujets qui sont abordés dans ce roman, à commencer par l’histoire elle-même, cette lecture a été une incroyable découverte. J’étais persuadée que je ne serais pas déçue, mais c’est allé au-delà de mes attentes. Je l’ai dévorée du début à la fin. Ce roman m’a pris aux tripes, à tel point que les seules pauses que j’ai pris entre quelques chapitres, c’était pour reprendre ma respiration et contrôler mes propres émotions. Si mon cœur a beaucoup tremblé et a failli me lâcher à un certain moment, je sais d’ores et déjà qu’il n’est pas prêt à encaisser la suite, pourtant, j’y foncerai sans réfléchir.

C’est un très gros coup de cœur que je recommande vivement, même pour ceux qui ne lisent pas forcément de romance dans un univers dystopique. Cette histoire est une pépite, que je relirai très sûrement rapidement et dont je ne pense jamais me lasser.
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« Si belle, Sybille » est un réel coup de coeur. C’est mon livre doudou que je lirai et relirai sans lassitude.

À ma première lecture sur Wattpad, j’ai été perturbée par la diversité des points de vue. Je ne comprenais pas pourquoi le titre ciblait Sybille alors que nous découvrions l’histoire à travers quatre personnages principaux et même des secondaires. Puis, au fil des chapitres, la réponse s’est imposée à moi. Ces nombreuses paroles qui se succèdent, c’est l’une des forces et des richesses du roman. Parce qu’il nous permet d’entrevoir plusieurs facettes de la réalité, pas seulement la nôtre. Là où je pouvais m’identifier totalement en Sybille, je me croyais différente de Sofia, Samuel et Soren. Or, j’ai appris avec elle et grâce aux autres personnages à comprendre que je pouvais tout aussi bien m’identifier à quelqu’un dont l’apparence ne le présageait pas.

« Tu m’as fait comprendre que la couverture d’un livre est secondaire. »

C’est, je pense, l’une des plus importantes phrases de ce roman. En tout cas, ce sont les mots qui appuient la morale que j’en tire. Que ce soit Sybille, Samuel, Sofia, Soren ou les autres, ils m’ont affirmé qu’il ne fallait pas juger d’une apparence. Une allure, une tenue ou un physique ne devrait pas nous empêcher de nouer une relation avec quelqu’un. Certes, les actes ne sont pas tous excusables, mais comme dit Samuel, certaines raisons peuvent les expliquer. Nous ne sommes pas tous fondamentalement bons ou mauvais, nous avons nos défauts, nos qualités, nos intolérances (à la violence, au harcèlement, à la grossophobie, aux “propageurs” de rumeurs…), et les aléas de la vie nous placent face à tout ça. C’est ce qui se passe ici, dans cette histoire aux multiples voix. C’est ce qu’on comprend et ce qu’on expérimente avec les personnages de Valentine.

« Ensemble, nous sommes invincibles. Et seuls, nous avons appris à connaître notre valeur. »

Ce roman nous rappelle aussi qu’il faut savoir entendre sa propre voix, écouter celles des autres et, peut-être, s’unir à elles. Nous avons tous quelque chose à apporter et à offrir à quelqu’un ou à recevoir d’un autre. C’est l’apprentissage et l’expérimentation de toute une vie, parce que notre entourage et nos futures rencontres (y compris les passagères) ne cesseront de nous enrichir. Quitte à commettre des erreurs, nous devons suivre notre instinct, nos désirs, nos rêves, nos espoirs et nos ambitions, elles nous mèneront toujours quelque part.

Merci, Valentine, pour ce roman encore très réussi, très important et magnifiquement écrit. Ta plume est sublime, tes phrases percutent et ta touche d’humour a toujours raison de mes abdomi(nable)s.

Foncez lire ou acheter « Si belle, Sybille ». Plongez dans cette superbe aventure aux côtés de ses héros. Et n’oubliez pas : « la loi du talion, c’est que des conneries ».
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Ça faisait un moment que je voulais me lancer dans cette lecture. Je m’y suis jetée dessus dès que j’ai eu le format papier entre les mains. Rien qu’avec la couverture j’étais conquise, mais mon intuition s’est confirmée au fil des pages et des chapitres.

J’ai adoré me mettre dans la peau de Lana, découvrir le monde des Porteurs d’Âmes à travers elle, d’apprendre leur histoire depuis le tout début, de ressentir ses émotions, de me poser les mêmes questions qu’elle sur ses sentiments, ses sensations, les nouveautés auxquelles elle a été confrontée.

Comme elle, je suis tombée sous le charme d’Aidan. À la fois sexy et doux. Il se dégage de lui une force aussi tranquille que saisissante. J’ai été tout de suite intriguée, dès sa première apparition. Et quel plaisir d’en apprendre plus sur lui, de le découvrir et de l’aimer au fur et à mesure !

Ce roman est riche d’un nouvel univers et d’une nouvelle façon de vivre. Le sujet de l’écologie est très bien mené, approfondi, intégré dans cette société admirable. J’ai été happée du début à la fin, concernée par notre environnement. J’ai rêvé que leur mode de vie soit le nôtre, qu’il nous soit possible de nous connecter aux animaux. Ce lien est juste magnifique, merveilleux. Je les envie de détenir ce don extraordinaire. C’était magique ! J’en ressors des étoiles plein les yeux, avec ce besoin de replonger dans l’univers, d’en apprendre davantage, de rencontrer d’autres personnalités…

Dans ce premier tome, les personnages secondaires sont tout aussi adorables que les principaux. Mentions spéciales à Malek et Anna (j’inclus également Isha et Cheveyo, je les aime si fort). J’ai hâte de découvrir l’histoire de Naya et Malek dans le tome 2.

De plus, la plume de l’auteur est sublime. Chaque ligne donne envie de dévorer la suivante. Je ne peux que le conseiller.
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À bord du Romantica, on embarque dans un univers aussi drôle qu’émouvant, et pas n’importe lequel : celui de Valentine Stergann. Autant vous dire que le voyage vaut toutes les heures d’insomnie qui ont défilé sous mes yeux en même temps que les lignes. Je l’ai déjà lu et relu, de sa version Wattpad à sa version éditée, et j’en suis dingue. Je doute un jour pouvoir m’en lasser. Je ne peux que vous le conseiller.

L’histoire de Gaspard et Lino est sublime, bourrée d’humour et d’émotion, comme son auteure sait si bien le faire. Des personnages au déroulement du roman, j’ai tout adoré.
Gaspard est unique en son genre. Il ne peut y avoir que lui. Cet enfant dans un corps d’adulte trentenaire (ce qui, à mes yeux, le rend tellement attachant et fait tout son charme). Cet homme qui, en apparence, n’a peur de rien, mais doté d’une sensibilité touchante. Dont les blagues pleuvent sans cesse et nous secouent dans un tumulte de fous rires. Qui vous surprend même quand vous essayez de vous préparer à sa repartie et qui aime draguer les femmes, à sa façon bien à lui (mention spéciale à son anaconda). Son duo avec sa mère, Rosa, est aussi magnifique qu’hilarant, puisque les chiens ne font pas les chats. Rosa est tout autant délurée, voire davantage selon les moments, que son fils.

Au contraire, Lino est un bel italien d’une vingtaine d’années dont l’homosexualité a fait naître des tensions entre lui et son père, Giacomo, mais leur relation houleuse est plus profonde que ça. Lino est tout l’opposé de Gaspard. Loin d’être extravagant. Calme, introverti, réservé, il aime se placer dans l’ombre pour dissimuler ses failles, ses blessures, afin que personne ne brise cette carapace qu’il a été forcé de se forger pour affronter un passé qui le hante encore.

Manque de pot, il tombe sur la tornade française, le gars qui entre dans sa vie en déglinguant la porte pour entrer dans son monde.

Et c’est alors que tout démarre. Parce qu’un Gaspard rencontre un Lino à un bar et que Dalida s’en mêle. Parce qu’un entêté ne lâche pas la grappe à un garçon qui voulait juste faire son job tranquille. Quatre existences réunies dans une balance, quatre personnalités confrontées à des émotions décuplées durant une croisière de quinze jours, quelque part sur la mer, là où la réalité n’existe pas. En vacances, là où tout nous semble possible.

C’est haut en couleurs, déjanté, mais captivant. Si vous hésitez encore, foncez ! Achetez votre billet et courez embarquer sur le Romantica, vous ne le regretterez pas.
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