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Je n'ai tout bonnement rien aimé :
- Les personnages sont fades, inintéressant, répétitifs et superficiels. Je n'ai pas compris la mère, qui pour moi a un sérieux soucis psychologique qui mériterait d'être examinée par un médecin, sans toutefois que son état n'alarme qui que ce soit. Joseph est détestable et je n'ai ressenti aucune amitié pour lui, tant son égoïsme prévôt sur tout. Enfin, Suzanne est naïve, faible et plate, sans personnalité définie clairement malgré son statut de personnage principal.
- La "romance" entre Suzanne et M. Jo est tout ce qu'il y a de plus toxique, honteusement encouragée par la mère et Joseph qui ne semblent pas se soucier du bonheur de la jeune fille, obnubilés par la richesse du type. J'ai espéré plusieurs fois que Suzanne comprendrait que sa relation n'était pas saine ou qu'elle serait aidée par quelqu'un, sans grand succès.
- L'histoire est répétitive, tout comme le style d'écriture de Marguerite Duras. Le lecteur peut sans peine sauter plusieurs phrases, l'intrigue n'aura pas avancé. Les descriptions sont interminables, comme si l'autrice tartinait les descriptions le plus possible, les étirant au possible pour couvrir toute une page et permettre à son texte de sortir sous l’appellation de "roman" et non de "nouvelle". Bref, tout ça pour dire que toutes ces pages contiennent essentiellement du vide qu'on aura pu compiler en une centaine de pages, tout ne gardant l'essentiel de l'histoire.
- Histoire qui n'a ni queue ni tête, d'ailleurs : tout le monde est triste mais personne ne cherche à y remédier, la mère préfère se morfondre dans son coin en espérant que ses enfants sortiront de l'argent de leur chapeau (ou de la vente de leur corps, hein, Suzanne ?). Tout le monde se casse plus ou moins ailleurs une fois la
Enfin, j'imagine que l'on peut comprendre à ma critique que je n'ai tout simplement pas aimé ce roman et qu'il m'a donc été très très difficile à terminer (ma prof de français l'aura bien compris !) mais j'ai pu en avoir le dernier mot. Ouf !
Je tiens tout de même à préciser que le plus pénible pour moi s'est trouvé être la façon adoptée de décrire les scènes et le style de Marguerite Duras, ce qui me donne tout sauf envie de lire d'autres romans de cette autrice.
Un barrage contre le Pacifique
Bonne lecture.
Écrire
Pourtant, (hérésie !!) je ne peux pas dire que j'ai aimé "L'amant". Peut-être justement parce que je m'attendais à lire une histoire d'amour. Peut-être parce qu'il manquait finalement d'un rêel fil conducteur de l'histoire, des rebondissements, des péripéties.
L'Amant
L'Amant de la Chine du Nord
Ce roman est constitué de plusieurs nouvelles en rapport avec la guerre. J’ai aimé le style d’écriture un peu particulier tout comme le rythme de chaque histoire.
Une très belle découverte.
La Douleur
à découvrir car il fait parti des grandes œuvre classique.
L'Amant
Le Ravissement de Lol V. Stein
La Pluie d'été
Hiroshima mon amour
Hiroshima mon amour
L'Amant
L'Amant faisait indéniablement partie de ces romans qui nous intimides, qui semblent inaccessible mais également incontournables et qui pourtant restent des années sur une étagère de la bibliothèque, avec l'espoir d'un jour trouver le courage.
C'est donc intimidée que je commence la lecture de ce monument de la littérature française. Je n'ai pas pu lâcher le livre un seul instant, heureusement pour moi, il est assez court, 2-3h suffisent.
Le style est atypique. Marguerite Duras déconstruit le schéma classique du récit autobiographique. Les temporalités se mélangent, les paragraphes s'enchaînent sans lien et racontent en même temps une partie de la vie de son auteure. Le sujet change, altère entre la première et la troisième personne du singulier si bien que c'est parfois difficile de suivre.
Bref, un classique qui mérite bien son titre, à lire !
L'Amant
La Douleur
Qui est vraiment Lola Valérie Stein ? Elle semble quelque peu invisible aux yeux des autres et semblerait exister seulement à travers le personnage de Tatiana Karl.
Peut-être y verrais-je plus clair après mes cours !
Le Ravissement de Lol V. Stein
Il fait partie des rares romans où j'ai préféré le film, parce que ce dernier donnait plus d'âme et de sensibilité au texte que j'avais trouvé trop dépouillé, parfois morne même.
L'Amant