Commentaires sur ses livres

Tout comme dans Moderato Cantabile, l'auteure nous met face à une féminité vulnérable et qui se sent déjà déchue de ses attraits, bien loin des charmes conquérants des héroïnes de l'amant et d'un barrage contre le Pacifique.

Que peut-on voir de plus triste que la mort d'un amour ?

La plume de Marguerite Duras m'a beaucoup touchée dans cette œuvre.

Cette histoire se lit facilement même si le style d'écriture peut être déroutant par moment. J'ai passé un agréable moment en le lisant mais il m'a fallut un peu chercher le sans de la fin pour bien comprendre toute l'histoire.

Un immense vide, voilà ce qui se détache de cette lecture. Vide de l'existence d'Anne et de Chauvin, écriture dans la vague Nouveau Roman vide... Je me suis demandé tout du long où l'auteure allait nous mener. J'ai passé un bon moment même si ça ne sera pas le roman que je préfère de l'auteure.

Commencé il y a longtemps, je m'y suis remise lundi après-midi pour finir cette histoire tout à l'heure. Dès le début, on plonge dans la misère de cette famille pauvre de tout et qui n'espère plus rien. Dans cette vie si dénuée de tout, on survit, on va à l'essentiel, telle la narration de ce récit.

Il faut s'accrocher un peu au début pour le lire mais si on s'y donne vraiment, c'est une vraie bonne lecture. J'ai trouvé le style un peu froid bien que l'histoire soit passionnante.

un livre très poétique !

Une belle adaptation du roman de Marguerite Duras par Kan Takahama.

Hélas, malgré son génie et son style, Duras a part moment tendance à s'autoparodier, et pousser un concept qui marche un peu trop loin, jusqu'à l’écœurement

Un livre captivant, toujours dans le style unique de Duras. Je suis toujours aussi fascinée par ses mots.

Coup de coeur absolu pour ce roman d'une grâce sublime. L'écriture de Duras magnifie jusqu'à la douleur la plus exquise, et nous livre son âme sur un plateau.

L'histoire est simple, mais d'une beauté époustouflante. Duras livre ici un roman intime, sensuel, déroutant. Une formidable expérience de lecture et de vie.

Hélas, malgré son génie et son style, Duras a part moment tendance à s'autoparodier, et pousser un concept qui marche un peu trop loin, jusqu'à l’écœurement. Tout est lent et contemplatif, jusqu'à parfois perdre le lecteur.

Duras a toujours plus brillé dans l'ambiance moite et chaude de l'orient, fantasmé dans son esprit entre souvenir et imaginaire. Il reste à la fin de cette lecture une impression singulière, celle d'une expérience plus que d'un livre

Hélas, malgré son génie et son style, Duras a part moment tendance à s'autoparodier, et pousser un concept qui marche un peu trop loin, jusqu'à l’écœurement. L'intérêt ici est l'exploration de cette relation particulière avec YAS, leur différence d'âge, et l'amour impossible que s'est fabriquée l'auteur

Hélas, malgré son génie et son style, Duras a part moment tendance à s'autoparodier, et pousser un concept qui marche un peu trop loin, jusqu'à l’écœurement