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L'Amant
Les mots qu'elle a prefere d'utiliser sont tres simples, pose avec tellement des sentiments invisibles et indescriptibles, aucuns mots ne pourraient decrire ce que vous sentiriez vous quand vous passez par le livre. La methode de Duras est si naturelle que vous vous sentirez que sa narratrice est assise a cote de vous et comme si elle partage ses mémoires avec vous. L'amant fait sans doute partie des livres qu'il faut avoir lu dans sa vie.
L'Amant
L'Homme assis dans le couloir
Malheureusement, je ressors de cette lecture avec un sentiment mitigé.
—Hallucination—
En effet, si j’ai été totalement hypnotisée par la première partie du roman (qui est consacrée à *La Douleur* en elle-même). Celle-ci retrace l’attente. L’attente qu’a vécu Marguerite Duras à la fin de la deuxième guerre mondiale, au moment de la Libération, alors qu’elle se demandait si son mari, Robert Anthelme, allait revenir des camps. Et si oui, le retrouverait-elle vivant, ou bien mort ? On dérive entre ces pages comme dans un rêve, une hallucination où les choses sont loin de toujours avoir un sens. Mais parfois, ces choses sont aussi douloureusement brutes de vérité. *La Douleur* est un journal, des mémoires où l’on voit défiler les jours au fur et à mesure que Marguerite Duras dépérit en même temps que son espoir de voir Robert revenir. Cette lecture m’a plongée dans un état où j’avais constamment envie de pleurer et où je ressentais une profonde tristesse mêlée de nostalgie. C’était une sensation très bizarre et inconfortable, mais qui signifiait aussi que *La Douleur* avait réussi à m’attraper à la gorge, ce que je ne peux que saluer.
Cette première partie était donc assez géniale, avec son écriture hachée, écorchée, fuyante et crue dont le sens nous échappe parfois mais dont les émotions transpirent littéralement.
—Désenchantement—
Mais alors, d’où vient le sentiment mitigé que j’évoquais au début de cette chronique ?
Eh bien, de la seconde partie. Celle-ci est composée de quatre ou cinq nouvelles (toujours de la non-fiction) qui se déroulent également au moment de la Libération, et en particulier dans le milieu de la Résistance - dont Marguerite Duras était une figure importante. Et c’est là que le désenchantement a eu lieu. Je ne m’étalerais pas dessus, parce que ça n’aurait pas vraiment d’intérêt, mais pour résumer : C’était très long. Je n’arrivais pas à m’attacher ou à m’impliquer dans ces histoires, qui ont finalement altéré dans mon esprit tout ce que j’avais pu ressentir pour la première partie de *La Douleur*, ce qui est fort dommage.
—En bref—
En bref, *La Douleur* de Marguerite Duras fut une lecture mitigée dont la première partie m’a beaucoup touchée et marquée par la brutalité qu’elle dégage dans les émotions. J’ai toutefois regretté que la deuxième partie de l’œuvre constitue un tel désenchantement : Les quelques nouvelles qu’elle renferme ne sont pas parvenues à me toucher ou à faire en sorte que je m’implique dans ses histoires. Je ne suis pas parvenue à y voir un intérêt particulier, ce qui a finalement altéré le bon souvenir que j’avais de la première partie. Dommage !
https://desrevesdanslamarge.com/marguerite-duras-la-douleur/
La Douleur
Le Ravissement de Lol V. Stein
Je suis très intéressée par des histoires d'amour et au même temps je m'intéresse pour la Seconde Guerre Mondiale. Cette guerre m'a toujours fasciné. Dans ce livre on voit cette guerre de deux points de vues. Dans les yeux des français, mais aussi dans les yeux des japonnais. Les deux mondes se réunissent parce que l'actrice française tombe amoureuse d'un architecte japonais au moment où ils sont en train de faire un film sur la paix. Leurs souvenirs de la guerre se mêlent. Un soldat Allemand; l'ancien amant de l'actrice a été tué sous ses yeux. L'architecte a survécu le bombardement nucléaire de Hiroshima.. C'est un livre plein d'émotion. Les émotions de l'amour, de désir, de joie, mais aussi de peur, de la tristesse, de la confidence etcétéra. Ce livre est vraiment intemporel, de tout époque et je le recommande aux gens qui s'intéressent par la vie, l'amour et de la passion.
Hiroshima mon amour
Dans ce roman, on suit la vie d’une famille en apparence tout à fait banale, de Vitry.
Cet ouvrage est largement inspiré de L’Homme Sans Qualités de Robert Musil, dont on retrouve de nombreuses thématiques communes dans La Pluie d'Été.
Ainsi, Duras aborde trois thèmes principaux, qui sont à l’origine de cette dimension de “malaise” que l’on ressent à la lecture. En effet, l’inceste est représenté à travers la relation de Jeanne et Enesto. La shoah, et l’existence de Dieu ou sa non-existence, à travers l’histoire du livre brûlé et du roi d’Israël. Et enfin, la connaissance, et le changement de la vision de cette dernière au lendemain de la seconde guerre mondiale.
Je n’ai pas apprécié ce roman.
En effet, même si la plume de Marguerite Duras est fort appréciable, avec son style et sa syntaxe particulière. Plume, qui paraît faussement simple et négligé. Elle apporte davantage de profondeur aux personnages selon moi.
Il s'avère que j’ai ressenti un profond malaise lors de ma lecture. On ne sait pas où se situer par rapport aux personnages, sont-ils profondément stupides ou au contraire extraordinaires ?
De plus, ce roman est extrêmement sombre, les personnages s'enfoncent dans un gouffre de malheur et de désespoir, qui les conduisent inexorablement vers la folie, et la mort.
L’intrigue n’a pas réussi à me tenir “en haleine”, ma lecture fut assez laborieuse….
La Pluie d'été
Ce roman est court mais il se lit lentement; il se mérite. Le style de Marguerite Duras, que je ne connaissais pas jusqu'à présent, est original pour ne pas dire unique. je découvre ces aller-retour entre la 1ère et la 3ème personne du singulier lorsqu'elle parle d'elle. J'ai vraiment aimé.
Quant au récit, intimiste sans être délicat, il m'émeut.
Je ne l'avais pas encore lu; voila qui est fait; et j'ai bien fait.
L'Amant
Anne Desbarèdes, une jeune femme riche, accompagne son petit garçon à ses leçons de piano ; elle mène une vie bien rangée, routinière. Un jour, elle entend un cri, une femme est assassinée ; et Anne ressent le besoin de comprendre. Elle va faire la rencontre de Chauvin, témoin de la scène.
Qu’est-ce qui va pousser Anne à retourner chaque jour dans ce café pour retrouver Chauvin ? Quelle est cette attirance qu’elle éprouve pour lui ?
Je ne reviendrais pas sur la plume de Marguerite Duras, c’est bref, minimaliste et tout en non-dits, juste suggéré. Certes pas d’action, mais un véritable panel d’émotions. Un évènement qui chamboule la vie d’une femme, sans qu’elle même comprenne vraiment ce qui lui arrive. Comme un signal de départ, elle va irrésistiblement retourner dans ce café pour rejoindre cet homme , comme une parenthèse dans sa vie, pour comprendre comment un homme peut tuer par amour ? Pour fuir l’ennui d’une vie bourgeoise étriquée ?
Un très court roman sur un instant de vie, un moment d’égarement…
À lire avec un verre de vin, un peu de glace au moka (p. 111) en écoutant un air de piano.
Moderato Cantabile
L'Amant de la Chine du Nord
Un barrage contre le Pacifique
L'Amant
Hiroshima mon amour
L'Amant
La plume de Duras est incroyable,de part son style particulier . Sa syntaxe est déroutante avec ses nombreuses répétitions, sont abus de ponctuation, etc
Je ressort de ma lecture assez mitigé, je ne suis pas sûre d'avoir saisi tous les enjeux de l'histoire, tous les messages....De ce fait je ne pense pas l'avoir apprécié dans son ensemble, d'autant que ma lecture était assez laborieuse de part se sentiment de malaise constant.
⚠️publique avertis: inceste, mort, dépression, etc⚠️
La Pluie d'été