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Commentaires sur ses livres

Serge Brussolo

Par Tense le 15 Décembre 2010 Editer
Tense
Après avoir lu ce livre, j'ai regardé les vaches differemment...
Par MissyBlueWorld le 14 Mai 2011 Editer
MissyBlueWorld
Dans mon opinion, le meilleur des Peggy Sue ! Je n'ai jamais cessé de regretter de l'avoir perdu ! C'est d'une originalité incroyable, avec les superhéros dans le mauvais rôle… bizarre… Super !
Par rachl le 5 Octobre 2010 Editer
rachl
Claustrophobe s abstenir!!!! ;-)
A nouveau Brussolo a su me tenir en haleine jusqu'au bout dans ce thriller haletant, oppressant, glauque... Les personnages sont bien décrits, l'ambiance, le décor planté magistralement.
Notre "héroine", Jeanne nous trouble par sa relation avec les hommes, son besoin d'emprise et à la fois de soumission joue un rôle important tout au long du roman.
On plonge à nouveau dans les bassesses de l'âme humaine, confrontés aux délires vicieux d'un gamin qui nous emplit à la fois de dégout et de révolte.
On retrouve les thèmes préférés de Brussolo, l'isolement, la séquestration, on est happé par une histoire étouffante, un huit clos plein de psychologie, un superbe bouquin!!
Un livre facile à lire que je conseille vivement!!!
A propos du livre :
Les Emmurés
Les Emmurés
Par Ophie le 9 Janvier 2011 Editer
Ophie
Un 2ème tome génial, tout comme le 1! Le récit est bien mené, et l'aventure dure jusqu'à la dernière ligne! Le fait que le chien bleu accompagne désormais Peggy m'a paru une bonne idée. L'histoire reste palpitante, et j'ai eu hâte de lire la suite...
Par SolenneLG le 18 Août 2016 Editer
SolenneLG
J'ai découvert cette saga étant jeune, mon père me ramenait les tomes au fur et à mesure de ses voyages d'affaire, mais il s'est arrêté au tome 3 il me semble.
J'ai donc relu ce premier tome au moins 10 ans après ma première lecture.
J'aime toujours beaucoup l'univers de Peggy Sue et les personnages que l'auteur a créé. Ce tome marque la rencontre avec le chien bleu et la présentation des Invisibles.
L'histoire est très originale et je trouve que l'auteur n'y va pas de main morte avec Peggy Sue. Heureusement que son amitié avec le chien bleu a commencé sinon elle aurait été bien seule.
Meme si c'est une saga jeunesse et plutôt facile à lire, les péripéties vécuent par notre heroine ne sont pas toujours évidentes et les événement sont parfois un peu glauque et tragique donc je pense que cette saga peut être lu par les jeunes adultes également. En tous cas moi j'ai pris du plaisir à relire cette saga.
Par ANGEL66 le 17 Juillet 2011 Editer
ANGEL66
Encore une fois Brussolo nous entraîne dans une époque obscure et sauvage, dominée par la superstition, la peur et la religion.
Les aventures d'Inga ne sont pas sans rappeler celles de Marion. L'ambiance est toujours sombre, l'histoire est parsemée de multiples rebondissements.
On remarque aussi un mécanisme désormais rodé chez Brussolo, l'héroïne face à une situation qui la dépasse...
Un livre magnifique.
A propos du livre :
La Princesse noire
La Princesse noire
Par nicofontaine le 25 Juin 2011 Editer
nicofontaine
Une histoire originale, qui nous depayse, qui nous change des livres qui se ressemblent tous ^^
Par Deniador le 2 Mai 2011 Editer
Deniador
J'ai beaucoup apprécié le parallèle fait entre : le rêve et la plongé.

Des rêves de différentes profondeur.. avec des paliers à respecter. Différents niveau de danger différentes sensation, différents univers à chaque palier..

Et cette envie incessante que le plongeur a, à peine remonté à la surface, sa seule envie est de retourner en bas. Mais qui a t il de s'y attrayant dans ces profondeurs?

Nous gens de la surface ne savons répondre, il faut y aller pour comprendre, et c'est ce que ce livre vous invite à faire.
A propos du livre :
Le Syndrome du scaphandrier
Le Syndrome du scaphandrier
Par Amnesia-x le 23 Février 2020 Editer
Amnesia-x
C'est une amie qui m'a conseillé cette série et qui souhaitait vivement que je commence cette saga. Connaissant mes goûts, je dois avouer qu'elle ne s'est pas trompée, j'ai adoré ce premier tome. Brussolo a le don d'être inventif et totalement déjanté dans ces récits. J'aime beaucoup ce côté "fantaisiste" chez lui. Il n'a pas peur de froisser le lecteur en lui soumettant sous les yeux, même si ce sont des jeunes lecteurs, une histoire qui n'a rien d'un récit enfantin. Il aime marquer les esprits avec des histoires où les hommes se montrent imparfait et où une certaine moralité sous-entendu dénonce les travers de notre monde actuel. Ici il est question de notre relation avec le monde animal et surtout de notre surconsommation alimentaire qui nous pousse à l’excès, au gâchis alors que tant d'animaux y ont laissé la vie...
Pour moi, bien que cette saga soit une série pour la jeunesse, je pense qu'elle n'est pas destinée à des lecteurs trop jeunes.
Par Cassy33 le 30 Juin 2018 Editer
Cassy33
Le papillon des abîmes est un tome si riche en action, en rebondissements, en surprises et en révélations que je dois avouer ne pas trop savoir par où commencer. Après deux volumes addictifs et extrêmement originaux, Brussolo ne s'arrête pas en si bon chemin et continue à nous épater avec de nouvelles idées toujours plus étranges et abracadabrantes qui font justement tout l'intérêt de cette série.
Ici, nous retrouvons Peggy Sue, le chien bleu et Sébastian (bien qu'il soit moins présent que dans le tome précédent) à Shaka-Kandarec, une curieuse ville que tout le monde semble fuir à cause de la foudre qui s'y abat régulièrement. Là-bas, nous faisons la rencontre de Granny Katy, un personnage qui avait su me marquer à l'époque, puisque je m'en souvenais encore avant d'entamer le tome. Celle-ci n'est autre que la grand-mère de Peggy Sue, et même si elle peut paraître un peu folle aux premiers abords, je la trouve tout de même très drôle et bien plus agréable que les autres membres de la famille de Peggy. D'ailleurs, je suis contente que cette dernière puisse enfin compter sur une personne qui l'apprécie pour ce qu'elle est et qui ne la rejette pas à cause de ses dons.
À part ça, j'ai bien aimé le passage dans cette ville. Même si les véritables rebondissements ne pointent le bout de leur nez qu'à partir du moment où Peggy arrive dans les nuages pour tenter de détruire la forge dans laquelle les éclairs s'abattant fréquemment sur Shaka-Kandarec sont créés, les premiers chapitres sont intéressants, permettent de faire plus ample connaissance avec Granny Katy et Sean, et nous en apprennent un peu plus sur le fameux papillon des abîmes.

Les chapitres qui sont ensuite consacrés à l'aventure qui attend Peggy Sue dans les nuages sont tout simplement excellents. La vie là-bas n'a strictement rien avoir avec celle que Peggy et ses amis menaient sur la terre ferme, et j'ai adoré découvrir toutes les particularités du monde sur les nuages. Le fait que tout y soit entièrement blanc ou le devienne au fil du temps représente déjà une idée pour le moins farfelue, exactement comme lorsqu'on se rend compte que les animaux emportés par les tempêtes provoquées par les puissants battements d'ailes du papillon géant y vivent tranquillement, et finissent par prendre la même couleur que tout ce qui les entoure sur les nuages. Toutefois, c'est à partir du moment où Angus occupe le devant de la scène que l'intrigue devient encore plus captivante et originale. Je n'avais aucun souvenir de cet homme, et pourtant il m'a fait froid dans le dos lors de ma relecture. Au début, je pensais qu'il pourrait peut-être aider Peggy Sue à détruire la forge, mais au fil des pages, j'ai compris qu'il n'avait rien de particulièrement sympathique, et que même s'il ne semblait pas foncièrement méchant, il était surtout devenu complètement fou. En même temps, ça peut se comprendre, quand on vit seul dans un monde entièrement blanc, où les loisirs sont très limités, étant donné que l'encre, les caractères imprimés sur les livres et les couleurs finissent tous par disparaître. Je ne sais vraiment pas comment Angus a pu supporter une telle vie, mais ce qui est certain, c'est que je n'aurais pas tenu longtemps à sa place.
En tout cas, même si ce personnage m'a paru bien plus flippant qu'attachant, il est évident que sa présence a apporté beaucoup de mystère et de suspense au scénario qui, sans lui, n'aurait clairement pas été aussi haletant.

Cependant, même après avoir détruit la forge, Peggy Sue n'est pas au bout de ses surprises ni de ses peines ! Pour sauver les villageois qui ont rejoint le papillon dans les abîmes où il se réfugie habituellement pour se reposer après son voyage sur Terre, Peggy et le chien bleu doivent encore affronter de multiples dangers que je n'aurais probablement jamais pu surmonter à leur place !
Pour commencer, la descente en montgolfière dans les abîmes représente une épreuve à elle-même, notamment lorsque l'orchestre de squelettes (qui là encore, m'a beaucoup surpris car je n'en avais pas le moindre souvenir) se rapproche un peu trop de Peggy et ne cesse de la coller tout au long de son périple, en espérant qu'elle acceptera de se laisser mourir afin de rejoindre ce groupe de musiciens d'outre-tombe.
La caverne que nos héros atteignent ensuite est aussi surprenante que les mirages du deuxième tome, et si elle était déjà emplie de dangers à cause des fruits et légumes se comportant comme des troupes d'animaux sauvages, elle le devient encore davantage lorsque le froid s'installe, en raison de la tristesse du papillon, pourchassé par les hommes désirant lui puiser toute son énergie vitale afin de profiter du bonheur que l'ombre de ses ailes leur octroie.
Pour finir, j'ai adoré le passage dans le château fantôme se reconstruisant chaque nuit pour tomber de nouveau en ruines au petit matin. Les pages consacrées à cet épisode étaient à la fois captivantes et stressantes, car en restant à l'intérieur du manoir trop longtemps, Peggy et le chien bleu risquaient de finir démembrés et écrasés par les décombres de la forteresse.
Néanmoins, et contrairement ce à quoi je pensais, l'aventure ne s'arrête pas là pour Peggy, car même une fois cette épreuve terminée et le papillon entièrement guéri, elle est vivement encouragée par l'insecte à se rendre sur la planète des Invisibles afin d'en apprendre davantage à leur sujet, mais aussi et surtout dans le but de s'en débarrasser une bonne fois pour toutes.
Son très court séjour (puisqu'il ne doit pas durer plus de 3 heures) dans leur monde d'origine était tout aussi insolite que le reste du roman, et puisque j'avais presque tout oublié, j'ai adoré redécouvrir cet espèce de pays morne et ennuyeux, où tout est identique, et où la vie ne semble avoir aucun intérêt. Connaître enfin les origines des Invisibles m'a également fait plaisir, et je dois avouer qu'en se mettant à leur place, même si je ne tolère pas leurs actes, il est facile de comprendre pourquoi ils ont choisi de se rendre sur la Terre et de se jouer des humains.

En ce qui concerne les personnages, je n'ai rien à ajouter sur Peggy Sue et le chien bleu puisqu'ils restent fidèles à eux-mêmes, toujours aussi attachants, courageux, déterminés et loyaux.
Sébastian, quant à lui, n'apparaît pas énormément dans ce tome, mais j'ai tout de même beaucoup aimé ses interventions. Il a beau se disputer parfois avec Peggy en lui conseillant de rompre avec lui étant donné qu'il tombe en poussière chaque fois qu'il n'est pas en mesure d'hydrater son corps régulièrement, on voit bien qu'il est jaloux de Sean et qu'il ne souhaite pas réellement que Peggy Sue le remplace par un autre garçon.
En parlant de Sean, j'ai trouvé ce personnage à la fois touchant et adorable, et même si je doute qu'on le revoie dans les tomes suivants (je n'en ai pas souvenir, en tout cas), j'aurais bien aimé qu'il se joigne à nos trois héros dans leurs prochaines aventures. Le fait qu'il soit amoureux de Peggy mais qu'il n'ose pas vraiment le lui avouer le rendait attendrissant, et j'ai beaucoup aimé le courage dont il a fait preuve pour aider notre héroïne dans la caverne, mais aussi dans le château.
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Je ne me souvenais pas du tout qu'il finissait le corps parsemé de fissures, comme un puzzle géant prêt à tomber en morceaux chaque fois qu'il agirait avec un peu trop de rapidité, mais je me dis qu'il aurait justement été intéressant de revoir ce personnage dans un autre volume, puisque cette espèce de malédiction, ressemblant un peu à celle de Sébastian, aurait pu rendre le récit encore plus mouvementé.


Pour conclure, Le papillon des abîmes m'a autant plu, bluffé et captivé que les volumes précédents. Avec de l'action, des rebondissements et du suspense à volonté, Brussolo a rendu son troisième tome très addictif et encore une fois extrêmement original et marquant. Les aventures de Peggy Sue sont toujours aussi farfelues et intrigantes que d'habitude, et ce n'est certainement pas pour me déplaire ! À présent, je suis impatiente de relire la suite afin de découvrir ce qui attend nos trois héros dans ce fameux zoo ensorcelé.
Par Adanson le 5 Décembre 2015 Editer
Adanson
J'avais découvert Serge Brussolo il y a quelques années avec "La nuit du bombardier" puis avait enchaîné avec "Le Syndrome du scaphandrier".
Ces deux romans de science-fiction sortaient vraiment de l'ordinaire et s'avéraient surtout pour "Le Syndrome du scaphandrier" être d'une imagination sans limite.
Serge Brussolo est un écrivain Français très prolifique et ses domaines de prédilection sont, le thriller, le Fantastique, la SF et les romans historiques.
"Ce qui mordait le ciel" que j'ai lu récemment est dans la logique des deux romans précités, c'est à dire complètement déjanté mais dans le bon sens du terme.
Début de l'histoire, La compagnie intergalactique de pompes funèbres se plante complètement et envoie sur la planète "Sumar" des implants-sépultures à la place de vaccins.
Ces fameux implants destinés à conserver les corps sont composés de souches cristallines et en étant activées, enveloppe les dépouilles.
Le malheur est que les implants ont été injectés à des "Thomocks", des ruminants inoffensifs de la taille d'un mammouth.
De plus le vétérinaire a multiplié la dose de l'injection par cent.
Un employé, "David" est envoyé sur place et constate que "Sumar" se recouvre de minéraux.
Ce qui est vraiment intéressant dans cet ouvrage, outre le début qui est d'une grande originalité, la réaction des habitants de la planète.
Comme dans tous les livres de Brussolo, "Ce qui mordait le ciel" déborde d'imagination avec cette description d'un monde se transformant en montagnes de cristal.
Le délire, l'absurde et la démesure sont la marque de fabrique de l'auteur.
En lisant ses romans, je me demande toujours, mais où trouve t'il toutes ces idées ???
Le livre se lit très facilement et le lecteur est porté par une histoire abracadabrante qui tient très bien la route.
Le style d'écriture de Serge Brussolo est très fluide et sans longueurs ni temps morts.
Pour s'évader et se divertir, il n'y a rien de tel qu'un roman de cet auteur.
Comme pour "Le Syndrome du scaphandrier" qui est un petit bijou, je vous conseille ce roman sans la moindre hésitation.
Adanson Marco.
A propos du livre :
Ce qui mordait le ciel...
Ce qui mordait le ciel...
Par cerise94 le 20 Décembre 2011 Editer
cerise94
J'ai beaucoup aimé ! Je suis une grande fan de la série de Peggy Sue !
J'ai adoré l'originalité de ce tome et je suis entrée dan l'univers de Peggy Sue dès le début !
Par Oonalachasseresse le 23 Juin 2011 Editer
Oonalachasseresse
super tome quoi que un peu decu de la fin et jespère que le prochain sera mieux!!!
Par MissyBlueWorld le 13 Juin 2011 Editer
MissyBlueWorld
Ça fait un peu la "Ferme des Animaux" d'Orwell, maintenant que j'y repense, mais je doute que George Orwell ait jamais imaginé des animaux bleus ou des Fantômes malicieux… ou en fait tout ce que l'imagination géniale et débordante de Brussolo a pondu ! Je conseille vivement ce livre !! Mais c'est vrai qu'au-delà de 13-14 ans, et encore, il devient plus un vague divertissement ou une façon de se rappeler de bon souvenirs.
Par MissyBlueWorld le 4 Juin 2011 Editer
MissyBlueWorld
Le premier et peut-être le seul livre à m'avoir jamais fait pleurer ! Autant que rire et frissonner, d'ailleurs. Je suis d'accord (com-plè-te-ment) avec Saphira.
Spoiler(cliquez pour révéler)
séparer Peggy et Sebastian a été une erreur de Brussolo, je pense

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