Stephen Baxter
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Note moyenne : 7.39/10Nombre d'évaluations : 332
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Les derniers commentaires sur ses livres
Une intelligence artificielle est envoyée à l'intérieur du Soleil, afin de découvrir la raison de son dysfonctionnement (sans qu'on sache comment l'humanité l'a remarqué). La sentence tombe : l'astre vieillit trop vite, mille fois plus que ce qui était prévu. Le système solaire n'a plus que cinq millions d'années à vivre, et ce qui reste de notre espèce va devoir défier la théorie de la relativité pour ne pas s'éteindre.
Afficher en entierTrès agréablement surpris par cet ouvrage que j'ai trouvé par pur hasard.
Je recommande vivement à ceux ayant aimé l'Odyssée de l'espace et/ou la BD Kenya de Léo. Vous trouverez beaucoup de similitudes.
Afficher en entierToujours aussi enchanté par cette série.
Tout comme pour le premier tome de la série, la narration a tendance a devenir un peu longuette vers les trois quarts du livre. A part ça, rien à dire. Ça se lit vite et les détail scientifiques sont assez justes et plutôt bien expliqués.
Afficher en entierFinale très décevante pour cette série avec un livre qui se termine avec un clifthanger monumental et sans suite. De quoi péter une durite!
J'ai l'impression que la collaboration de Clarke et Baxter a été très limité pour ce livre et que Baxter s'est contenté de balancer ses notes avant le décès de Clarke.
J'espère sincèrement qu'il y aura une suite parce qu'on reste largement sur sa faim et le livre laisse une très sale impression d'inachevé.
Afficher en entierCette (longue) novella fait partie d’un cycle plus vaste, que je n’ai pas lu. En l’an 3685, Michael Poole a développé des trous de ver qui permettent à l’humanité de se rendre d’un endroit à l’autre du système solaire en quelques heures. Mais le trou de ver près de Saturne n’est pas rentable, car personne n’y va. Aussi Michael et son père Harry projettent de prouver que l’exploitation de Titan, satellite de Saturne, serait intéressante… Mais pour y parvenir, il faut d’abord démontrer qu’il n’y a pas de vie sapiente à protéger, alors même que l’exploration en est interdite car justement, on pense que la vie sapiente y serait possible. Alors Michael et son père enlèvent Jorik, membre de l’organisme chargé de la protection des espèces sapientes, car ils le savent corrompu et ils le soumettent au chantage.
Accompagnés de deux acolytes de longue date, Michael et Jorik voyagent vers Titan et embarquent sur un mini-vaisseau, une « gondole », qui doit voler dans l’atmosphère du satellite. Rien ne se passera comme prévu.
Ce récit s’inscrit dans la « hard-SF » et fait appel à de nombreuses notions scientifiques expliquées avec simplicité, sans omettre quelques conjonctures sur l’univers et les sources de vie, qui s’intègrent parfaitement dans l’histoire et qui créent un « sens of wonder » épatant. Le suspense est constant, l’intrigue fascinante, et la fin n’oublie pas la petite touche d’émotion qui marque le lecteur.
Un bon cru de la collection « Une Heure Lumière ».
Afficher en entierC'était assez particulier parce que j'avais vraiment l'impression d'être dans un épisode sauf que je ne savais pas à quel moment de la série parce que le docteur, ni est pas fort décrit et les personnages qui l'accompagnent ne sont pas ceux de la série. Du coup, un peu perdue mais pas vraiment. On est vite plongée dans l'action, l'écriture est très fluide comme un épisode de série.
Pour ce qui est de l'histoire, on se retrouve sur une lune de Saturne dans un avenir très lointain vu que les terriens ont colonisés cette même lune pour en extraire un minerai très spécial. Voilà, je ne vous en dis pas plus, parce que je risque de vous spolier l'histoire et l'intrigue.
Bon, vous imaginez bien que j'ai adoré cette histoire et que je trouve dommage qu'elle n'ai pas été adaptée. Mais bon ! Peut être un jour ! Qui sait.
Afficher en entierLe début pour moi est très long à commencer. Je trouvais l'intrigue plutôt lent et très descriptif. Mais à partir de la 240ème page l'intrigue a pris une tournure différente. Là j'ai sentie que j'étais dans l'action de l'histoire, j'étais entrainée dedans et je voulais connaître la suite.
Ce que j'ai beaucoup apprécié dans ce tome c'est les chapitres courts. Honnêtement c'est ce qui m'a permis de terminer le livre et de découvrir l'aspect intéressant de celui-ci.
La fin me donne envie de connaître la suite. Donc à voir comment se déroule l'histoire mais je pense que l'intrigue va être plus dynamique car il y a eu pas mal de chamboulements.
Afficher en entierAbandon, le début m’a bien plu, à la moitié ça devenait de plus en plus ennuyant, les dialogues deviennent plats, l’idée est là mais je suis passé à côté.
Je vais lire le tome 2 quand même.
Afficher en entierPlus une thèse , contrairement a ce que dit l'auteur, qu'un livre et encore moins un roman...Un voyage de 645 millions d''années absolument passionnant et instructif. Ce roman (??) donc, qui mêle avec talent réalité et imaginaire, force néanmoins la réflexion sur notre propre considération de la vie. Darwin lui-même a du se régaler. La lecture est facile et captivante dans un style simple et dynamique. De la science-fiction intelligente et vraisemblable comme on aimerait en lire plus souvent
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/07/09/les-univers-multiples-t-1-temps-stephen-baxter/
Temps est le premier tome des Univers multiples, une trilogie de hard science-fiction signée Stephen Baxter. Reid Malenfant a décidé de se lancer à la conquête des astéroïdes pour en extraire des métaux précieux susceptibles de financer l’expansion de la vie à travers la galaxie, mais sa rencontre avec Cornélius Taine, eschatologiste, le pousse à bouleverser ses plans initiaux.
Il était peut-être présomptueux de ma part de songer que j’étais apte à me plonger dans un roman de ce genre, moi qui ne suis ni une dévoreuse d’œuvres de SF, ni dotée de connaissances très poussées en science, malgré une certaine curiosité et inclination à l’égard de l’astronomie et de la conquête spatiale.
Quoi qu’il en soit, ce livre m’a dépassée, tant au niveau des théories qu’il met en scène que… Eh bien, de tout. Plus j’avançais dans ma lecture (qui s’est très vite faite en diagonale), plus j’écarquillais les yeux au rythme des « WTF ?! » qui résonnaient dans ma tête.
Après avoir vu cet ouvrage qualifié de mélange entre science-fiction et philosophie, je m’attendais à un récit à mi-chemin entre Interstellar (Christopher Nolan) et Lucy (Luc Besson), mais on est plus proche d’un crossover entre Midnight Special (Jeff Nichols) et Mimzy, le messager du futur (Robert Shaye).
Car oui, la « clé », ce sont les enfants. Des enfants spéciaux, super intelligents, capables d’inventer n’importe quoi à partir de n’importe quoi. Peut-être que ça tient la route, j’ose croire que l’auteur sait mieux que moi de quoi il parle, mais j’ai eu du mal à l’accepter. M’enfin, j’avais déjà décroché depuis un moment.
En fait, ce roman m’a rappelé Idéalis (Christopher Paolini), à qui j’avais reproché ses pans de scénario avortés, comme si l’auteur avait changé d’idée et/ou de direction en plein milieu de son histoire (ce qu’il confirmait d’ailleurs dans ses notes explicatives).
Ici aussi, il y a trop d’éléments, et trop de sous-intrigues qui ne mènent nulle part, si ce n’est à des rétro-pédalages, sauf que si, chez Paolini, ces changements relevaient de la maladresse, je n’en dirais pas autant chez Stephen Baxter. Ils me semblent avoir été faits consciemment… et bon sang que c’était long ! Et lourd ! Et tellement superflu !
On va aller sur tel astéroïde. Sauf que d’abord, on va créer une radio pour communiquer avec le futur. Et du coup, on a reçu un message qui nous envoie sur un autre astéroïde. Où y a un truc bizarre. Et où le caillou se fait coloniser par des céphalopodes intelligents (oui, oui). Du coup, on y va aussi. Et le plan d’expansion à travers la galaxie ? Oh, bah c’est bon, on a vu ce que ça donne en accéléré en sautant à travers un trou de ver, du coup on peut le laisser de côté et passer à la suite. Ah, y a pas de suite, parce que pendant que les adultes font des trucs (dont je n’ai absolument pas compris la pertinence), les enfants sortis d’on ne sait d’où ont pris le contrôle des opérations ?
Et on en arrive au paradoxe temporel. Pourquoi les gens de l’aval ont poussé Malenfant à détourner sa mission vers Cruithne ? Parce qu’ils avaient besoin de l’intelligence des céphalopodes pour conférer aux enfants celle qui leur permettra de mettre leur plan à exécution ? Sauf que les enfants commencent à apparaître avant. Et les céphalopodes, eux, font leur vie dans leur coin…
Le plus déconcertant, là-dedans, c’est que la fin est bonne. Très bonne. L’idée qu’elle véhicule, le pourquoi, le comment, tout ça, ça ne m’a pas déplu, bien au contraire. Le problème, c’est le cheminement pour en arriver là. Comme si l’auteur avait voulu inclure dans son intrigue toutes les théories possibles et imaginables, même quand elles desservent la fluidité du récit. D’accord, il y a « multiples » dans le titre, mais c’est justement cette multiplicité qui m’a dégoûtée de l’histoire.
Oui, oui, dégoûtée. Comme sous-entendu plus haut, j’en attendais beaucoup, or dès que j’ai vu défiler le futur dans le trou de ver, j’ai lâché prise. Je crois que c’est la première fois que je ressens et que j’écris ces mots, mais j’aurais pu adorer ce livre s’il était passé directement de son introduction à sa conclusion. Tout le reste n’est qu’une manière inutilement complexe (à mon goût) d’y parvenir, autant de parties qui auraient pu être condensées, voire supprimées.
À cela viennent s’ajouter des protagonistes qui m’auront laissée de marbre. Emma, Malenfant, Cornélius, Maura… Ils n’ont pas vraiment de personnalité, ils sont surtout là pour débattre et émettre des hypothèses (toujours plus d’hypothèses…), ce qui ne les rend ni attachants ni intéressants.
Amateurs de hard-SF, vous y trouverez peut-être votre compte, mais en ce qui me concerne, j’ai conclu cette lecture vraiment désappointée. Je m’étais préparée à découvrir quelque chose de totalement différent, et au final, seule la fin aura été à la hauteur de mes espérances. Le reste, en revanche, fut d’une pénibilité indescriptible.
Afficher en entierOn parle de Stephen Baxter ici :
2018-01-01T12:42:09+01:00
2012-02-08T23:30:38+01:00
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Editeurs
Pocket : 17 livres
Bragelonne : 12 livres
J'ai lu : 9 livres
Le Bélial' : 7 livres
Presses de la Cité : 6 livres
Milady : 5 livres
L'Atalante : 5 livres
LGF - Le Livre de Poche : 4 livres
Biographie
Stephen Baxter est néà Liverpool en 1957. Ingénieur et mathématicien, il a été enseignant pendant de longues années avant de se consacrer pleinement à l'écriture en 1995. En 1991, il a tenté de devenir astronaute, mais la Station Mir lui a échappé? Il reste cependant très investi dans la recherche pour la conquête spatiale et donne beaucoup de conférences en Europe. Auteur d'une quarantaine de romans, Stephen Baxter est l'un des plus grands auteurs de SF d'aujourd'hui. Il a obtenu des dizaines de prix, dont les British SF, John W. Campbell et Philip K. Dick Awards. Il a également écrit plus d'une centaine de nouvelles, dont beaucoup ont été récompensées.
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