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Craft Sequence, Tome 6 : The Ruin of Angels



Description ajoutée par Gkone 2021-04-25T09:19:02+02:00

Résumé

Max Gladstone returns with The Ruin of Angels, the sixth novel in the Craft Sequence, which The Washington Post calls "the best kind of urban fantasy" and NPR calls "sharp, original, and passionate"

The God Wars destroyed the city of Alikand. Now, a century and a half and a great many construction contracts later, Agdel Lex rises in its place. Dead deities litter the surrounding desert, streets shift when people aren’t looking, a squidlike tower dominates the skyline, and the foreign Iskari Rectification Authority keeps strict order in this once-independent city―while treasure seekers, criminals, combat librarians, nightmare artists, angels, demons, dispossessed knights, grad students, and other fools gather in its ever-changing alleys, hungry for the next big score.

Priestess/investment banker Kai Pohala (last seen in Full Fathom Five) hits town to corner Agdel Lex’s burgeoning nightmare startup scene, and to visit her estranged sister Ley. But Kai finds Ley desperate at the center of a shadowy, and rapidly unravelling, business deal. When Ley ends up on the run, wanted for a crime she most definitely committed, Kai races to track her sister down before the Authority finds her first. But Ley has her own plans, involving her ex-girlfriend, a daring heist into the god-haunted desert, and, perhaps, freedom for an occupied city. Because Alikand might not be completely dead―and some people want to finish the job.

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Or

Ceux qui me suivent depuis un moment savent que j’adore cette série.

C’est l’une de mes meilleures découvertes en VO de ces dernières années, même si le début n’a pas été facile à lire (je vois clairement la différence de facilité de lecture en VO entre ma lecture du premier et celle ci).

Pourquoi avoir attendu si longtemps -2 ans- avant de me lancer dans ce 6ième tome?

Parce que les 5 premiers formaient un tout, ils ont un ordre de lecture original (on peut lire la série suivant les numéros dans les titres ou par ordre de publication, donnant à l’ensemble 2 visions du monde) et sont liés. Et du coup le 6ième, qui n’entre pas dans ce cycle la, me faisait un peu l’impression d’être optionnel (ce qui n’est pas le cas !)

Du coup il a traîné, mais j’ai enfin fini par le sortir et je ne regrette pas !

Alors dans ce tome nous retrouvons deux personnages des tomes précédents. Kai Pohala (vu dans Full Fathom Five) et Tara Abernathy (dans Three Parts Dead entre autre), en personnage principaux, ainsi que d’autres un peu plus secondaires, Izza (aussi dans Full Fathom Five), par exemple.

Ceux qui connaissent un peu la série savent que les villes sont pratiquement des personnage à elles-même, tellement elles sont particulières dans leur façon de vivre et de concevoir les choses.

La ville de ce tome est Alikand … ou plutôt Agdel Lex car Alikand a été détruite il a un siècle et demi à l’issue de la guerre des Dieux qui a fondée le monde moderne que l’on connait depuis le début de la série. Tout ce qu’est le monde dans le présent de la série vient des conséquences heureuses ou désastreuses de la guerre.

Il se trouve qu’Alikand est la ville de départ de la guerre. C’est ici que le premier craftman a défié un dieu et l’a détruit. Cette destruction a été si terrible, si absolue, que Alikand c’est retrouvée comme bloquée dans le temps. La même seconde du moment de la mort des dieux (ceux qui étaient présents pour aider le dieu contre le craftman) a été étirée à l’infini créant une faille dans la réalité. Dans l’espace où le temps a continué à se dérouler normalement, une nouvelle ville, nommée Agdel Lex s’étend et prospère à sa place.

Mais Alikand est toujours la d’une certaine façon, elle existe comme en surimpression d’Agdel Lex. C’est le souvenir de ce qu’elle était avant qui maintient la connexion entre l’ancienne Alikand et la nouvelle Agdel Lex. D’ailleurs il existe encore un désert entourant la ville, où les restes mythiques des créatures créées par le craft pendant la guerre, ainsi que les restes pseudo vivants de dieux continuent leur bataille. C’est devenu une zone interdite et la traverser même en train grande vitesse protégé est à vos risques et périls. Aucun train n’en ressort indemne, même si ils sont obligé de le faire vu qu’il s’agit de la seule voie pour rejoindre la ville par la terre.

Le gros problème est que les restes figés dans le temps d’Alikand sont la Mort personnifiée. Toute personne « tombant » et restant bloquée dans une des failles dans la réalité qui s’ouvrent en fonction de la récurrence de son souvenir ne peut survivre que quelque secondes. Du coup la ville ancienne est parsemée de cadavres de personnes de toutes les époques qui s’y sont retrouvé prisonnières.

Et ça pour les gérants d’Agdel Lex, c’est un fardeau contre lequel ils luttent au quotidien.

Car oui, plus personne n’étant capable de s’occuper de la ville au lendemain de la guerre, celle ci a été occupée pour être reconstruite, par les Iskaris. A l’aide de leur dieu poulpe (oui oui xD), ils ont tout reconstruit de zéro et ont forgés la ville de maintenant. La Rectification Authority apporte l’ordre et les règles strictes à respecter dans la ville.

Ils n’ont pas l’intention de rester pour toujours dans la zone, non, Agdel Lex n’est pas leur ville, et d’ailleurs son fardeau commence à sérieusement leur peser. En fait ils aimeraient bien que la stabilité revienne une bonne fois pour toute, dans ce but.

Pour les habitants aussi cette cohabitation est lourde. Il y a clairement une problème de classe entre les Iskaris et les habitants de la zone. En plus ceux ci ne supportent plus les adeptes du dieu poulpe. Ils se sentent menacé et voient avec horreur leurs enfants petit à petit se retrouver recrutés dans son culte rien que pour avoir la chance de sortir de leurs ghettos. Pour eux Agdel Lex restera Alikand, ils n’ont pas l’intention d’oublier ce qu’ils étaient, malgré le danger de l’existence même de ces souvenirs. En plus ils détestent le coté beaucoup trop ordonné des Iskaris, Alikand était une ville d’art et de savoir avec les plus belles et riches bibliothèques du monde, donc un peu à l’opposé de ce qu’elle est devenue : un quadrillage sans vie rempli de grands boulevards droits et linéaires et de bâtiments utilitaires.

Du coup l’intrigue ne tourne pas uniquement autour d’un envahisseur colonialiste qui s’agrippe à son pouvoir, mais aussi et surtout sur l’interprétation de ce qu’est la zone. Le souvenirs d’Alikand et l’ordonnée Agdel Lex trouveront-elles un moyen de cohabiter?

C’est le thème général du roman.

Pour ce qui de l’intrigue, nous suivons plusieurs personnages. A noter que 90% sont des femmes (dont une trans en personnage principal).

Kai Pohala, prêtresse spécialisée dans la fabrication d’idoles (artefact/machine magique donnant des effets précis si on les vénère) et banquière d’investissement se rend à Agdel Lex dans le but d’investir dans le boom des start-up du système Nightmare (un système récent mis en place permettant de se connecter directement à quelqu’un via les rêves).

Mais arrivée sur place elle est contactée par sa sœur, Ley, dont elle n’avait pas eu de nouvelles depuis des années. Les deux sœurs, autrefois si proche sont maintenant des étrangères. Et en plus Ley lui en met plein la vue, repas dans un restaurant chic, champagne hors de prix… tout ça pour lui réclamer des sous !

Kai est très en colère car elle garde un grande affection pour sa sœur. Mais la c’est un peu la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Elle la quitte sans un mot de plus.

Mais le lendemain, a tête reposée et en ayant quelques doutes, elle décide de retrouver sa sœur pour en savoir plus sur les fonds qu’elle demande et pourquoi elle a besoin d’autant d’argent de façon urgente.

Et quel n’est pas son horreur quand elle la surprend en train s’assassiner une autre femme … et de prendre la fuite …

Kei, aidée par Tara, son amie nécromancienne, décide de partir à la recherche de Ley pour tenter de la retrouver et de comprendre la situation, le tout avant que les forces de l’ordre Iskaris mettent la main sur elle …

Franchement les romans de cette série sont si riches !

Le thème de la vision de la ville et de ce qu’elle représente pour ses habitants est vraiment bien exploité. On comprend bien tout les problèmes et les différentes façon de les régler suivant les mentalités. Il n’y a pas vraiment de gentils et de méchants, juste des points de vue différent qui s’opposent.

Aucun des « camps » n’est à l’aise dans ce qu’il fait et tout les deux aimeraient être libérés de cette situation interminable qui les oppressent.

Les personnages sont divers, vivants, variés dans leurs caractères et surtout très attachants.

J’espère bien que l’auteur va continuer cette série ! Surtout que normalement d’après les informations qu’il a donné, ce tome ci était le début d’un second arc pour la série.

https://delivreenlivres.home.blog/2021/04/25/craft-sequence-book-6-the-ruin-of-angels-de-max-gladstone/

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