Commentaires de livres faits par elana55
Extraits de livres par elana55
Commentaires de livres appréciés par elana55
Extraits de livres appréciés par elana55
M. Polochon : Un problème Boulard ?
Boulard : Oui ! Vous avez le numéro de téléphone de l'ancien proviseur ?
M. Polochon : Je l'ai mais je ne peux pas te le donner !
Boulard : S'il vous plaît m'sieur !
Je veux juste lui demander de revenir ici le plus vite possible !
M. Polochon : Il te manque tant que ça ?
Boulard : C'est surtout que la nouvelle proviseure, elle me harcèle !
M. Polochon : Elle te harcèle ? Comment ça ?
Boulard : Ben... Dès qu'elle me voit, elle me dit...
La proviseure : BOULARD ! Cette année tu auras ton bac, tu m'entends !
Boulard à Polochon : Vous voyez ?
M. Polochon : Hmm... cas de force majeure ! Ok , je te donne le numéro ! "
Monsieur Bernadin: Tenez ce langage à nos matelots, Madame, ils vous riront au nez! Combien de jours de sa vie un marin passe-t-il à l'ombre de son clocher? Combien de fois entre-t-il dans le lit de sa femme? Que sait-il de ses enfants? Quel esclave travaille plus que lui, alternant des nuits de quatre et huit heures de sommeil.
Le chirurgien: Hum! Vos idées sont nobles Isabeau! Mais l'origine de l'esclavage se perd dans la nuit des temps. Les tribus guerrières ont toujours asservi l'ennemi vaincu. Bien avant nous, les barbaresques avaient converti en commerce cette ancienne coutume, et l'arrivée des Européens n'a fait que déplacer sur le littoral un marché autrefois ouvert sur le Sahara! Pensez-vous réellement pouvoir changer une des plus dures, peut-être, mais des plus anciennes lois de la vie?"
Père de Maka: La raison est simple: nous formons une famille.
Crona: Une... Fa... Mille?
Père de Maka: Ce qui unit un parent et son enfant est bien pus résistant qu'une longueur d'âme. Même si on ne s'entent pas toujours bien, ce lien de filiation ne disparaît jamais totalement."
Immondes petites raclures de bidet! Ces satanées sorcières en profitent pour nous attaquer!
Excalibur: Bien le bonjour!! Des rumeurs sur ma personne ont vagabondé jusqu'à mes fières esgourdes. Atchi! Pas étonnant que je ne puisse stopper ces incessantes sternutations. Atchou!
Tezcatlipoca: Maître Shinigami... Je ne vous connaissais pas un vocabulaire aussi fleuri...
Shinigami: Je ne vois pas de quoi tu parles, Tezca... Euh...
Shinigami: Quel bon vent t'amène, mon cher Excalibur.
Excalibur: Je souhaite m'isoler un peu de la déplaisante cacophonie qui règne actuellement à travers le monde.
Shinigami: Excalibur... Si tu nous aidais à combattre Asura, notre victoire n'en serait que plus aisée...
Excalibur: Il en va de même pour vous, Shinigami très cher... En tant que grand ancien chargé de faire régner "l'ordre".
Shinigami (intérieurement): Ce serait totalement irresponsable... Si j'utilisais ce pouvoir, tout ce pour quoi j'ai œuvré jusqu'à présent serait réduit à néant... "
Kid: Une perfection absolue qui excède la symétrie... La négation de toute chose.
Ombre: Je sens une autre présence à la recherche de l'ultime pouvoir qui s'approche d'ici. Voici une bonne occasion de tester la puissance du néant, qu'en penses-tu? "
Est-ce que vous saviez que les martins-pêchers disparaissent?! Qu'on ne voit plus de loriots? Que les hannetons ont disparu?:!
Boule: C'est quoi des hannetons?
Le père: Sais-tu fils, que certaines hirondelles sont menacées? Qu'il est rare de trouver des bleuets dans un champ de blé?
Boule: C'est quoi des bleuets?
Le père: C'est comme les poissons... Il paraît qu'il n'y a plus de...
Bill: KAIII!
Le père: C'est Bill! Qu'est-ce qu'il a?
Bill: GARHGL! BEEURK!
Boule: Mais enfin qu'est ce que tu...
Bill: AHRGL!
Boule: Ah, je comprends!
C'est rien. Bill veut tout simplement dire que si on continue à acheter ces aliments en boîte il n'y aura bientôt plus de cockers non plus! "
Ryûnosuke: Il y a bien une différence... On finit toujours par rendre sa liberté au chat que l'on a recueilli. Mais toi, je ne te laisserai jamais repartir. Je veux vivre avec toi même si tu me supplies de te laisser partir. "
Sénateur: Sans histoires... A part deux attaques d'indiens, une de bandits, un pont en flammes traversé de justesse et un troupeau de bisons qui a barré le voie. Il n'y a pas eu d'incidents... L'ouest devient calme! C'est dommage! Mais c'est la rançon de la civilisation... "
C'est Bill que je regretterai le plus!
Bill: Caroline! Que se passe-t-il? Tu pars?
Caroline: Oui, à l'île de la tortue!
Bill! Mais c'est à l'autre bout du monde, ça!!
Caroline: Tant mieux! Plus il y aura de distance entre cette maison et moi, mieux cela vaudra!
Boule: M'man, P'pa, vous n'avez pas vu Caroline?
Père: Si, je l'ai vu s'éloigner, suivie peu après par Bill...
Je venais de dire à maman que j'aimerais bien manger un potage de tortue pour le déjeuner.
Boule: De tortue?!
Caroline! Reviens! Papa ne parlait pas de toi!
Caroline: On dit ça, on dit ça! "
Gendarme : Contrôle d'alcoolémie : Veuillez souffler dans le ballon s'il vous plaît !
Automobiliste : Vous permettez que j'enlève mes lunettes ?
Gendarme : Ben, faites comme vous voulez, mais je ne vois pas en quoi elles vous gênent pour souffler !
Automobiliste : Ah non, pour souffler, ça va ! Mais ça fera toujours deux verres en moins ! »
Gendarme : Dites-donc ! Vous n'avez pas vu le feu rouge ?
Automobiliste : Excusez-moi monsieur le gendarme mais je suis daltonien !
Gendarme (après avoir réfléchi) : Et alors, vous n'avez pas de feu rouge en Daltonie ? »
Le paysan voleur: J'vous dis: c'est pas moi! D'ailleurs c'est un lapin que je suis en train de plumer! "
" Gendarme: Qu'est-ce qu'il vous est arrivé ma sœur? Heureusement que vous aviez mis la ceinture! Le nez est peut-être cassé, mais il n'y a rien de grave! Dans 2 ou 3 semaines, il sera comme neuf!
Bonne sœur: Rien de grave? C'est vous qui le dites!
Ça va être dur d'avoir un "nouveau-né" pour une bonne sœur! "
Les ciseaux. J'en essaie plusieurs. Y en a de toutes sortes. Des petits trop petits, à bout rond qui coincent les doigts. Des grands moches en acier. Des mixtes, de taille moyenne, aux anneaux en plastique, aux branches en métal. Des trop chers qui coûtent les yeux de la tête. Des verrouillés qui ont du mal à s'ouvrir. Des fluos pas possibles. Des bizarres à tête d'animal.
La vendeuse me surveille du coin de l’œil. Je m'en fiche. Je prends mon temps. Mon but du moment, c'est ça. Choisir une bonne paire de ciseaux. Faut pas me demander pourquoi. Ça regarde personne. C'est mon histoire.
L'air de rien, je fixe la fille. En douce. Elle a un grain de beauté sur le bras. J'aime. Beaucoup. Je me demande si elle en a ailleurs. Des plus cachés. Des plus secrets à dénicher. J'aimerais bien mettre la main dessus."
(voit une photo) C'est votre fiston?
Automobiliste: Oui... Mon aîné...
Gendarme: Moi aussi, je viens d'avoir un petit garçon... Vous voulez voir les photos?
Automobiliste: Bien sûr...
Gendarme: Regardez celle-là, il avait 2 jours, et là, il est dans son bain...
Automobiliste: Qu'il est mignon...
Gendarme: Son premier popo... Et celle-là, risque pas qu'il le lâche son biberon... Ha! Ha! ...
Automobiliste: Qu'il est joli... Mais, dites donc, c'est normal qu'il soit aussi gros?
Gendarme (regardant ses photos): ??
Nous disions donc: Pas d'assurance! Pneus lisses! Plaque illisible! ... "
Vieille dame: Ça s'est passé hier: j'étais assise devant chez moi, sous la tonnelle... Lorsque ce petit jeune homme s'est approché de moi! Il avait tout au plus dans les 25 ans...
Gendarme: Et que s'est-il passé?
Vieille dame: Oh ben, il a commencé par passer son bras autour de mes épaules ... Très gentiment et tout... Puis il a glissé ses doigts dans mes cheveux... Et il m'a murmuré des mots doux à l'oreille tout en posant sa main sur ma cuisse!
Gendarme: Vous l'avez laissé faire?
Vieille dame: Vous savez, on m'avait plus fait des trucs comme ça depuis la mort de mon Grégoire, il y a trente ans de cela! ...
Gendarme: Et ensuite?
Vieille dame: Ensuite? Il s'est levé d'un coup en criant poisson d'avril!!
Et c'est là que je lui ai fracassé le crâne avec ma canne! ... "
De Bastille à République, je marche d'un pas régulier. Un soleil frileux perce à travers les nuages, l'hiver pointe son nez.
La rue s'anime. Devant moi, deux hommes couverts de crasse s'activent et soufflent.
«On vide les caves, servez-vous si ça vous tente !»
Ils déversent sur le trottoir leur flot de papiers humides, livres moisis, galets de charbon noir et meubles fatigués...
Au milieu des sourires jaunis par le temps, des mots poussiéreux, une boîte en carton attire mon regard.