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Les amours de Zelinda et Lindoro



Description ajoutée par anonyme 2012-05-05T18:54:17+02:00

Résumé

Zelinda a dix-sept ans, Lindoro dix-huit. Ils sont de bonne naissance et s'aiment depuis l'enfance. La guerre a fait de Zelinda une orpheline, recueillie à Pavie par un grand seigneur. Lindoro a quitté Gênes et sa noble famille pour la rejoindre. Mais dans la demeure où ils se sont fait engager comme domestiques pour survivre, leur ardent et chaste amour est vite découvert. Chassés, ils sont ballottés d'un quartier à l'autre de la ville sans toit ni repos, avant que leur ancien maître n'accepte finalement de les marier. Mais la jalousie grandissante de Lindoro sera un nouvel obstacle à leur bonheur...

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Classement en biblio - 1 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par anonyme 2012-05-05T18:56:18+02:00

Zelinda est assise à sa table en train de coudre, Lindoro est assis à la sienne en train d’écrire.

ZELINDA (l’appelant après qu’ils sont restés quelque temps sans rien dire)

– Lindoro.

LINDORO (écrivant). – Que voulez-vous ?

ZELINDA (cousant) – Vous avez beaucoup à faire ce matin ?

LINDORO – Oui beaucoup.

ZELINDA – Mon cher mari, je ne voudrais pas que votre excès d’application vous fasse du mal.

LINDORO (écrivant) – Quand le travail est là, je ne ménage pas ma peine.

ZELINDA Mais détendez-vous un peu : respirez, parlez un peu avec moi.

LINDORO – Laissez-moi écrire, je n’ai pas envie de parler.

ZELINDA – En vérité, Lindoro, vous me mettez grandement en peine. Voici quelques jours que je vous vois taciturne, inquiet. Qu’avez-vous qui vous trouble, qui vous tracasse? Nous sommes mari et femme depuis un mois, et votre tendresse pour moi semble déjà s’être refroidie.

LINDORO – Non, Zelinda, vous vous trompez, je vous aime de plus en plus, et je ne cesse de remercier le ciel que vous soyez à moi.

ZELINDA – Mais d’où vient votre tristesse présente ?

LINDORO – Je ne sais pas, j’ai quelque chose qui me met en peine…Vous voyez bien, mon père n’a pas voulu approuver mon mariage. Malgré les lettres et les prières de Don Roberto, il n’a pas encore voulu vous reconnaître pour belle-fille, il ne m’a encore alloué aucun subside, et nous sommes toujours obligés de servir.

ZELINDA – Oui, c’est vrai, mais servir ici est si doux, et pour vous et pour moi ! Notre adorable maître, qui nous a traités avec douceur, nous aime encore plus depuis que nous sommes mariés, et il nous garde ici comme ses enfants. Rendons-en grâce à la Providence et ne nous affligeons pas hors de propos.

LINDORO – Ah, chère Zelinda, vous ne me parlez que des roses, et moi, ce que je sens au cœur, ce sont les épines.

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