Il était une fois un roi qui se désolait de ne pas avoir d'enfant. Or, une nuit de Noël, son épouse mit au monde une fille. Hélas ! La reine mourut à l'instant même où la petite princesse commençait à vivre.

Les homme sont assis au pied d'un grand arbre et discutent. Le soleil va bientôt se coucher.

Grands et forts comme ils étaient, les trois Ivan ne pouvaient plus rester dans les jupes de leurs mères.

Ce soir là, Anne et Manu ont réfléchi et discuté pendant longtemps avant de réussir à s'endormir.

Autrefois, il y a tellement longtemps qu'on ne sait plus quand, Gertrude, la reine d'Apousie, mangea une pomme, avala un morceau de travers, et tomba raide à la renverse.

Les Tapajou arrivent au magasin. Ils s'arrêtent devant la vitrine. Paul ouvre de grands yeux. Soudain, son regard s'arrête sur un jouet.

Là, les choses se passent tout à fait comme dans les réclames de matelas à la télé. Je rebondis deux ou trois fois en douceur, avant de m'enfoncer au beau milieu du nuage.

Jeannot fonce pour arriver devant chez lui en même temps que le facteur.
-Bonjour, mon garçon ! Tiens : j'ai une carte pour toi !
-Oh ! chouette, alors !

Il y avait une fois, dans un petit village de Kabylie, un pauvre veuf et ses sept filles. Depuis que sa femme était morte, souvent il pensait : "Sept enfants à élever, c'est une lourde tâche pour un homme seul ! Et mes filles ont besoin d'une mère pour leur apprendre à tisser, à tenir le ménage, à faire la cuisine !"

Le lendemain matin, les tartines ne passèrent pas mieux que la soupe du soir. Olivier reste là, tout bloqué. Il tourne sans arrêt sa cuillère dans son bol de chocolat. Papa est pressé, il n'a pas le temps de s'occuper de lui. Il part à son travail. Maman questionne Olivier. Il finit par lui avouer que les autres l'embêtent à cause de l'imperméable.

Il était une fois un vieux bonhomme qui habitait une vieille maison couverte de roses. Près de la maison, il y avait un pommier. Et près du pommier, une chèvre qui broutait.

Il fait froid. La neige tombe à gros flocons. Ce n'est pas un temps pour labourer. Pourtant, au milieu du champ, là-bas, le père Jules guide la charrue tirée par son cheval Barnabé.

Pour aller à l'école, le matin, Antoine ne met que cinq minutes. Mais pour en revenir, ce n'est pas pareil ! Il revient avec son copain Émile, qui habite la même rue.

Elle décida d'acheter plus de pain encore. Toutes les heures, oui, toutes les heures, Ernestine entrait dans la petite boulangerie tiède, et elle demandait en tremblant d'émotion :
-Une baguette, s'il-vous-plaît ! ou plusieurs, trois baguettes ! ou même, dix baguettes !

La maison est silencieuse. Mick descend l'escalier dans le noir. Il a entendu miauler dehors. C'est peut-être Mine, la chatte! Est-ce qu'elle aurait fait ses petits ? Elle a disparu depuis plusieurs jours...

Tous les matins, le calife Biba Bedouba prend son petit déjeuner composé de dix-sept pétales de roses trempés dans du miel. Ensuite, il peut partir au travail.

Moussa et Guellé sont deux garçons afars. Ils vivent loin, très loin d'ici, dans la brousse africaine. Là-bas, la pluie oublie souvent de tomber pendant deux ans de suite.

Il y a très longtemps, quelque part dans l'Inde fabuleuse des maharadjahs, vivait un drôle de bonhomme très savant. Il avait une tête de bon gros chat tout fou, et pour cette raison on l'appelait Chabizâr, ce qui veut dire "chat bizarre" en français.

C'est dimanche, il est neuf heures, et on part che tante Huguette, à la campagne. Tante Huguette a invité tout ke monde à déjeuner.

C'est l'hiver en Sologne. La campagne est couverte de neige autour de la ferme des Ribaud. Dans la grande salle, Marie Ribaud aide sa mère à débarrasser la table.Elle range les restes du repas.

Ils se sont connus à l'école, la grande fille et le petit garçon, Mimosa et Estragon. Ils se sont d'abord vus de loin. Puis ils se sont parlé. C'était à la cantine.

Je suis une marchombre, fillette, et ma vie n'obéit ni à un vieux grimoire ni à un lac. J'ouvre les chemins et le destin se plie devant ma liberté.

Elle la laissa pleurer, car elle comprenait mieux que quiconque le rôle réparateur des larmes.

En se réveillant, ce jour là, Lassa comprit que sa vie allait complètement changer. Âgée de douze ans, elle avait terminé avec succès ses études de magie.

Atteindre le mur couvert de lierre lui prit presque une heure. Une heure épuisante. Lorsque enfin il se faufila sous un buisson d'ornement, au pied de la façade, juste sous la fenêtre, il respira plus librement.

-Je suis Asbeth ! rugit-il.
-Vous portez des noms, maintenant? ricana l'homme qui continuait d'approcher.