Park Avenue

Puis elle sentit des mains fermes sur ses épaules, massant, pétrissant, caressant. La tension quittait graduellement son corps. Les mains devenaient plus importunes, de petits murmures s'échappaient de ses lèvres. Verushka, les yeux fermés, sut que l'on retournait délicatement son corps, sentit l'air frais sur sa peau lorsque son soutien-gorge fut dégrafé et son slip retiré. Des mains caressaient maintenant ses pieds et ses jambes, se déplaçaient vers ses hanches, son ventre, sa taille, glissaient sur ses bras, se rapprochant de plus en plus. Elle sentit le bout de ses seins se dresser avec impatience, le nœud brûlant de son ventre se resserrer. Puis des lèvres douces prirent ses seins, une main fraîche glissant le long de son ventre pour s'enfouir en elle profondément, caressant, cajolant, doucement d'abord, puis avec plus d'insistance. Elle sentit le nœud se resserrer puis se briser en un million de pièces alors qu'elle se tordait sous les doigts habiles. Un cri s'échappa de ses lèvres alors qu'elle explosait et le corps au-dessus d'elle s'affaissa. Lentement, ses yeux s'ouvrirent, puis se refermèrent tandis que la bouche de Paulette descendait pour délivrer le coup de grâce.