Commentaires de livres faits par Raynna
Extraits de livres par Raynna
Commentaires de livres appréciés par Raynna
Extraits de livres appréciés par Raynna
— Ça me va. Je n’ai pas peur d’un peu de concurrence… contrairement à certaines.
— Nous ne sommes plus en concurrence. Ça ne vous est peut-être pas encore bien rentré dans la tête, dis-je avec un soupir, avant de marmonner entre mes dents : c’est vrai que l’information devrait traverser beaucoup de gel pour les cheveux avant d’arriver là.
Je pense que la piscine sera finie pour cet été.
Mais ils ne disent jamais "je ne veux pas ".
- Bah quoi, tout le monde regarde...
- Oui mais toi, tu prends des notes quand même !
Je pense qu'il y a moyen de bien se marrer.
Je me suis arrêtée et je lui ai dit : "T'as rien d'autre à foutre que de liker les voitures ? "
(Extrait proposé par les éditions XYZ)
Je croyais que l’amour suffirait
Comme la présence d’un ami,
Comme un nom sur qui compter
Malgré les aléas de la vie.
Je croyais que le cœur aiderait
Comme l’essence d’un être cher,
Comme une pierre où l’on a gravé
Deux noms survivant aux enfers.
Je croyais que la douceur allégerait
Comme la main d’un confident,
Le poids de ces tristes années
Et qu’il n’y aurait que le présent.
Je croyais que la tendresse userait
Ces murailles trop souvent bâties,
Ce répit que l’on ne s’accorde jamais
Parce qu’on ne nous l’a pas appris.
Je croyais que les caresses effaceraient
Comme la gomme sur le crayon,
Ces multiples coups que l’on tait
Comme on en cherche la raison.
Oui, je croyais que l’amour suffirait
Comme le sourire d’un confident,
À froisser comme un vulgaire papier
Tout ce qu’il y a eu avant…
— Ange Edmon –
Quand mes lèvres rencontrent les siennes, mon cœur explose de bonheur. Ce baiser est comme un retour à la maison, comme toucher le ciel, comme un morceau de paradis. Un paradis qui aurait pour seul nom : Victoire !
Quand tu trouveras un grand arbre capable de te protéger, tu devras t'arrêter pour le regarder et l'aimer.
Car c'est cela le but de la vie, aimer...
Aimer de tout son cœur.
- T'as vu beaucoup de poissons qui avancent à reculons ?
- Ben non... .... C'est vrai, ça ! Ils n'avance jamais comme ça...
- Dis, à ton avis, j'ai quoi dans les bras ?
- Du maïs.
- Tu devines ce que je vais en faire ?
- Tu vas le griller. C'est même écrit là.
- NON C'EST POUR T'ÉCLATER LA TÊTE ! AU TRAVAIL ! ET PLUS VITE QUE CA !!
J’ouvre le battant de ma porte, Thomas est là et il est beau à se damner.
Une bulle d’air se bloque dans ma trachée. Il n’attend pas que je l’invite à entrer et se rue sur mes lèvres. Ses mains attrapent fermement l’arrière de mon crâne tandis qu’il appuie encore plus son baiser.
Je me sens me liquéfier entre ses bras, je dégouline. Mon dos heurte le mur, et Thomas se plaque contre moi. Je sens sa puissante érection. Sa langue se fraie un passage dans ma bouche, et il intensifie sa prise.
Je gémis contre ses lèvres et me laisse porter. Mes doigts se glissent entre ses cheveux et viennent se plaquer de chaque côté de son visage carré. Mes jambes flageolent, et il me soulève. Il remarque le meuble de l’entrée, balaie les clés qui s’y trouvent et me dépose dessus.
– J’ai envie de toi, putain, j’ai envie de toi, gronde-t-il de sa voix rauque et pleine de désir.
***
(Source: Decitre)
— Tu sais quoi mon vieux, t’as les couilles en ébullition et t’arrives plus à penser avec ta tête.
Quoi ?
C’est à mon tour de la dévisager ahuri en esquissant une grimace. Elle a sorti ça comme ça, même pas gênée par les insanités qui s’échappent de sa bouche. Je n’arrive pas à le croire ! C’est écrit puceau sur mon front ou quoi ? Bon sang, c’est évident, tout le monde le sait. Je rampe comme un caniche stupide aux pieds de Marcy et ils ont tous pitié de moi.
— Tu sais quoi… tu as raison, m’entendis-je souffler.
Je n’en reviens pas d’avoir dit ça et en plus je continue comme si les mots étaient incapables de rester confiné plus longtemps.
— Marcy, elle est vraiment sublime… enfin, c’est la fille parfaite… y pas mieux… C’est juste qu’elle n’est pas vraiment prête pour… enfin tu sais quoi…
Comme si j’avais besoin de me justifier. Zut !
— Et tu crois vraiment qu’une gonzesse avec un balai dans le cul peut aussi baiser comme une déesse ? Tu rêves mon pauvre, ce n’est pas compatible. Tu sais ce qui t’attend ? Tu vas céder à ses conneries de pureté avant le mariage et une fois que t’auras bien vidangé la bête, tu réaliseras quelle monumentale erreur tu as commise. Ça y est, elle recommence. Ses mots sont pires qu’une gifle. Comment pourrais-je savoir ce que je ressentirais en le faisant ? Ce qu’il se passera entre Marcy et moi à ce moment-là ? Et en plus, elle continue.
— Tu veux un conseil, trouve-toi une fille, n’importe laquelle, vide tes bourses et remet la machine à penser en route.
Prince : C'est ça.
Escroc : Maintenant vous allez regarder mon dos, pas vrai ? Virez 200 000 dollars sur un compte à l'étranger et faîtes-moi sortir de ce pays !
Prince : Je ne pense pas que je puisse faire ça... Tu sais, je n'ai rien à gagner en négociant avec un escroc.
Escroc : MAIS... VOUS AVEZ PROMIS !
Prince : As-tu déjà vu un politicien tenir ses promesse ? Et je n'ai jamais confirmé. J'ai dit que j'allais y penser.
Je pense que seule Lida connait vraiment son passé et que les autres savent seulement qu'il est à moitié russe. Je ne pense pas pouvoir m'échapper de sa toile. C'est comme une ombre...
... Tu t’apercevras un jour que tu es passée à coté de ta vie.
Ne prends pas le risque de devenir une petite chose dépendante...
... qui vit dans la crainte d'être abandonnée.