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Commentaires de livres faits par Reven

Extraits de livres par Reven

Commentaires de livres appréciés par Reven

Extraits de livres appréciés par Reven

date : 20-08-2016
On m'a offert ce livre dédicacé par l'auteur. L'amie qui m'a fait ce cadeau avait adoré au point de vouloir me faire découvrir.

J'ai bien aimé le fond de l'histoire. L'univers avait l'air sympathique et bien réfléchi, j'aurais vraiment aimé le découvrir plus, plutôt que de rester coincer avec Enki dans son bordel.

Le début du livre m'était difficile à lire car il ne consiste pratiquement que de longues scènes de sexe. Certes, bien écrites, avec un côté romantique pas désagréable à lire, mais malgré tout un sujet qui ne m'intéresse pas plus que ça pour m'en farcir plusieurs dizaines de pages, voire facile la moitié du livre. Surtout quand les personnages se connaissent à peine. À savoir donc, un prostitué et son beau client mystérieux et charmant.

Si on aime ce sujet, il n'y a pas vraiment à hésiter. Il est bien amené, l'écriture est fluide et soignée, et l'intrigue qui se tisse en dessous était sympathique et bien présenté. Elle séduit même si elle n'est ni particulièrement innovante ou surprenante. Les émotions des personnages sont bien rendues, et l'auteur a réussi à me faire compatir au sort d'Enki alors que son côté négatif m'exaspérait plus qu'autre chose.

Bref, en soit, je n'ai pas accroché outre mesure à l'ensemble, mais non pas parce que la qualité en soit est mauvaise, mais parce que je ne suis pas le public cible du genre.
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date : 30-12-2014
Kai Meyer est un des plus grands auteurs fantasy des allemands. Ses livres sont de qualités, bourrés de bonnes idées, maniés d'une très jolie plume. Meyer m'a accompagnée depuis que je suis haut de trois pommes, j'ai dévoré ses livres, et j'attendais celui-là avec impatience !

"Die Seiten der Welt", les "pages du mondes" est son dernier livre en date, sûrement pas encore traduit en français.

Cela s'annonce prometteur : Furia Salamandra Faerfax vit dans un monde de livre, entourée de livre, dans une bibliothèque qui s'étire dans les catacombes du manoir familiale. Furia a un talent très spécial : Elle est une "bibliomantin". Elle est capable de tirer de la puissance des livres, de s'en servir, de l'utiliser. Dans sa chambre se trouvent une lampe de lecture et un fauteuil vivants grâce à ces pouvoirs. Dans sa bibliothèque se trouvent des origamis vivants, ainsi que Yppzillon, un tas de lettres qui arpente les rayons.
Son petit frère se voit kidnappé, et dans sa quête de le sauver, Furia rencontre la voleuse Cat et le rebelle Finnian dans la cité des livres libropolis, et ensemble, ils tentent de sauver le monde des livres.

Bref, cela s'annonçait très bien. Comme une petite ode à la lecture. Magique, onirique, bien écrit.

Le soucis, c'est que cela ne dure que quelques chapitres.
Le soucis, c'est qu'après, cela vire dans un massacre gratuit, des personnages superficiels, des fils rouges entamés et jamais finis, une course-poursuite hollywoodienne sans profondeur qui laisse pas la place à la description, au développement ou à la familiarisation de l'univers et des personnages. Les livres sont utilisés pour tuer gratuitement, ce que la petite Furia de 15 ans fait sans sourciller et sans répercussion morale palpable. D'ailleurs, il ne lui faut même pas ses pouvoirs pour se faire : La plupart des personnages se font tuer comme du bétail à coup d'épée et de feu.

Pour être "bibliomant", il faut aimer, adorer lire. Pourtant, aucun des personnages ne touchent à un seul livre au cours de l'histoire. Outre le fait pour tuer, bien sûr. Furia se trouve dans un cité entièrement constituée de magasins de livres, et elle n'en ouvre aucun. Tous les adorateurs de livres ont des bibliothèques de collections et leur contenu est trop précieux pour lire. Les gens qui lisent, qui aiment lire sont à l'origine du massacre.

Rien n'a vraiment été exploité. Le livre a l'air d'avoir été écrit à la vitesse grand V, et l'écriture est très instable : très joli au début, elle vire dans un espèce de yoyo étrange où des jolies tournures côtoient des expressions familières bas de gamme. C'est bourré d'action vide, et on lit 500 pages pour finalement ne rien avoir du tout. Il passe sur des éléments importants à une vitesse déconcertante, mais s'attarde à vous expliquer l'évident qu'on a saisit 50 pages auparavant. Les personnages apparaissent et disparaissent sans laisser de trace alors qu'ils ont pourtant l'air importants (le directeur de libropolis par exemple), d'autres, on a à peine le temps de connaître leur nom avant qu'il leur arrive une tuile si énorme que cela change le bienfondement de toute leur vie, sauf qu'on a beaucoup de mal à apprécier la chose, ne connaissant rien du personnage d'avant ! Les personnages en eux-mêmes restent très creux, superficiels, sans évolution. La fin arrive comme un cheveux sur la soupe, a été jeté sans amour, comme s'il voulait seulement en finir. L'histoire est très inconsistante, certains revirement très tirés par les cheveux.
Un personnage meurt dans une explosion pour revenir vivant sans explication aucune à la fin.
On a le temps de rien apprécier. Aucun personnage, aucun lieu, rien. Il passe par dessus tout comme s'il écrivait une rédaction à l'école et que la fin de l'heure était sur le point d'arriver. Libropolis est une joli métaphore, une ville délabrée, ensevelit de livre que personne ne veut lire mais que collectionner. Pourtant, il s'attarde tellement peu dessus que ça fait jeté. Que cette ville est si laide, si délabrée que même l'auteur ne s'est plus pris la peine pour essayer de lui donner un sens, une beauté dans sa laideur.

Certains comparent ce livre à Coeur d'Encre, l'Histoire sans fin, ou alors Moers "Stadt der träumenden Bücher". Pourtant, ce livre n'a rien à voir : C'est très superficiel, il n'y reste rien de l'amour qu'on ressent au début. On a l'impression qu'il a écrit un premier jet, qu'il ait pu peaufiner 3 chapitres avant d'avoir été obligé de publier. Pour avoir lu beaucoup de ses autres livres, je n'avais sincèrement pas l'impression d'avoir un livre de Kai Meyer entre mes mains tellement la qualité était bas de gamme comparé ce qu'il a écrit avant (et pour quoi il a eut un prix en France, d'ailleurs). Il manque le soin de l'écriture, le soin de l'histoire, le soin du déroulement, le soin de finir les fils rouge entamés. Un premier jet écrit à la va-vite qui suffit à l'auteur pour avoir une idée de comment se présente et fonctionne l'histoire, avec des détails omis exprès, vu qu'il les connaît. Sauf que ce premier jet n'a jamais été retravaillé. Et que tous les trous sont restés, et la vitesse hallucinante avec laquelle se déroule l'histoire comme s'il voulait surtout surtout en finir pour ne plus jamais s'en occuper.

Pourtant, les idées étaient là : Le pouvoir qu'on tire des livres, la bibliothèque dans les catacombes, la forêt des livres morts, une correspondance entre une fille du présent et un garçon 200 ans en arrière, les Exlibris, Libropolis. Des idées clairement Kay Meyeresque. Et pourtant, présenté et écrit comme s'il s'agit d'un script du prochain film d'action d'Hollywood qui se sert de quelques noms d'auteurs (citer Shakespeare est toujours cool) et des livres comme excuse de faire de la profondeur, mais qui veut surtout faire sensation, avoir beaucoup de combats, de sang et de morts pour avoir beaucoup de combat, de sang et des morts, car c'est la mode en ce moment.

Parait-il qu'une suite va sortir.

Plutôt que de faire une suite, il aurait mieux fait d'écrire un premier livre fini et lisible.
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Je n'ai vraiment, vraiment pas du tout aimé ce livre. Cet avis est donc complètement subjectif et ne représente que mon point de vue :)

Cela commençait bien, c'était plus rythmé que le trois que je trouvais plutôt ennuyeux. Le quatre était pourré d'action, mais d'action vide comme je ne les aime pas.

Plein de sujets abordés n'amènent strictement rien, le sujet de l'esclavage n'était pas pertinant à part celle d'avoir une carte de torture gratuite pour les personnages. Alec m'agace toujours autant, et je retrouve toujours pas la saveur du Seregil des deux premiers volumes qui étaient pourtant très sympathiques.

Il y a plein d'éléments qui tombent comme un cheveu sur la soupe, pareil pour certains personnages qui n'ont servi à rien, outre pouvoir amener des disputes superficielles et gratuites entre Seregil et Alec. Certains éléments, on dirait qu'ils ont été ajoutés là que parce que cela arrangeait bien l'auteur pour sortir les héros du pétrin.

J'ai lu 400-500 pages pour avoir l'impression d'avoir eu du contenu que pour 200. La fin était insatisfaisante car elle insinue qu'elle a quand même plus réfléchi à la chose que le livre ne laisse paraître, mais elle coupe avant de donner quelque chose de concret (et je ne doute absolument pas qu'elle y a réfléchi, mais cela fait trop cheveu sur la soupe dans le livre même pour que j'aie réussi à vraiment y croire)

En gros j'ai l'impression d'avoir lu un livre à moitié fait, et coupé bien trop tôt, alors que le contenu était assez maigre. Elle s'est étalé trop sur certains détails superflue et la fin fait très hâtée.

Malgré tout, l'auteur a toujours une plume aussi agréable à lire (je lis en anglais :) ), et ça se lit toujours aussi rapidement et facilement, si bien qu'on ne perd pas plus que quelques heures sur le livre. Et des personnages que j'aime bien comme Thero ou Micum restent toujours très plaisant à suivre, même si on a l'ipression qu'ils sont là que parce que "vite vite il faut conclure la chose !"

Je vais m'attaquer au suivant, en espérant que le livre conviendra plus à mes goûts (car au fond, tout cela n'est qu'une question de goût personnel après tout ^^)
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date : 07-06-2014
Il s'agit là d'un livre plutôt sympathique. Mais au contraire de coeur d'encre et Reckless, il est vraiment destiné à un publique de jeune adolescant. Le ton est vraiment très leger, les évènements s'enchaînent rapidement, on ne s'attarde pas sur des détails ou des belles descriptions.C'est très fluide, et ça va droit au but. Les gens qui aimaient l'écriture de coeur d'encre risquent de se retrouver un peu deboussolés.

Ca reste du très bon Cornelia Funke. Nous somme dans la peau de Jon Whitcroft, un tout jeune adolescent (de 11 ans, si je m'abuse). Son père et mort et sa mère a un nouveau copain qu'il apprécie très peu. À vu de toutes ses tentatives de se débarasser de lui, Jon se voit confiné à un internat par sa mère. Le même où son père a déjà été tout jeune. le garçon boude sa mère fort évidemment, mais il a pas le temps de s'attarder sur ça : Des fantômes apparaissent lors des premières nuits dans son nouveau lieu de vie. Des fantômes qui en veulent à sa peau. Jon se voit contraint d'appeler le fantôme d'un ancien chevalier à l'aide pour espérer survivre son séjour dans l'école.

Le ton est leger, ce qui fait qu'on le fini très vite, mais l'histoire est captivante parsemé de tâche d'humeur pas mal drôle. La fin se traînait un peu en longeur selon moi.

Comme c'est l'air d'être la mode, Funke a décidé d'y aller à la narration de la première personne du singulier, narration que j'apprécie toujours aussi peu, mais elle s'en sort bien. De plus, Jon est un personne vraiment très sympathique à suivre, et ses états d'âmes sont bien amusants.

Le livre est bien dosé aussi, ne s'attardant pas trop sur certains points, mettant l'accent sur le nécessaire et l'important, et aucun sujet ne devient lourd. Ni les crises d'adolescence, ni le soubçon de romance entre Jon et une fille de l'internat.

Les personnages sont tous très réussit, et il y en a aucun qui je n'ai pas aimé. Mention spéciale à la grande mère Zelda et son tempérament ainsi que ses crapauds :)

Bref, à lire pour tout ceux qui ne sont pas refuté par une lecture de jeunesse. Parfois, il faut redevenir un enfant de dix ans :)
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un très beau livre, très bien écrit (même s'il faut aimer le style de l'époque, j'imagine :) ), et avec un très beau message de tolérance, de famille, de rêve et d'imagination.

Le livre se lit rapidement, il n'est pas bien gros, de ce fait je peux que conseiller de jeter un coup d'oeil dessus. Cela sera vite lu au cas où vous apprécierez moins, et si vous aimez vous passerez un très agréable moment en compagnie de Gaspart et de Drapeur ainsi que quelques d'autres personnages sympathiques, et du magnifique cheval de pie.

Je peux peut-être lui reprocher le style de l'époque qui reste très détachés des personnages, du coup certains peuvent sans doute éprouver des difficultés à se plonger dedans et à sentir les personnages. Dhôtel a cependant réussi à me captiver dès les premières lignes.

Bref, une très belle découverte que j'ai faite grâce à ma mère qui l'avait lu à l'école, à l'époque. :)
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date : 17-03-2014
Les fantômes apparaissent soudainement, son préavis. Les fantômes des morts, des millions sur la terre entière et chaque seconde il y en a des nouveaux. Ils sont immobiles, lumineux mais inoffensifs. Chaque fantôme apparait là où il a lâché son dernier souffle. Le monde se voit illuminé par la lumière des morts. Dans l'unique désert d'Europe, Raine et sa soeur Emma rencontrent Tyler. Tous les deux sont venus à cet endroit pour voir les fantômes de leur proche qui devraient apparaître. Les parents pour les deux soeurs, l'amoureuse pour Tayer.
Mais quand fantomes apparaissent, ils sourient… méchamment. Tout humain qui se trouvent dans un rayon de dix-sept mètre mourra.
Et c'est ainsi que députe l'apocalypse de Kai Meyer.

Le livre est en soit très prenant et a un petit côté glauque qui vous fera trésaillir. Il se lit rapidement et bien. Cependant, je trouve qu'il lui manque ce petit côté onirique que j'ai toujours apprécié chez Meyer. Il a certes crée l'apocalypse la plus originale que j'ai lu jusqu'à présent, mais il manque ce petit quelque chose que jai toujours aimé lire chez lui.

Je n'arrive pas non plus à apprécier l'héroïne que je trouve plus au moins insupportable. J'ai aussi une avérsion naturelle à la narration en première personne, narration pour laquelle Meyer a penché pour cette histoire (et il se débrouille bien, en soit), ce qui n'a pas arrangé les choses pour moi.

Malgré tout je le récommande. Il passe bien le temps, il se lit vite, il n'est pas bien gros. Meyer captive toujours aussi bien aussi vite, les personnages sont attachant (à part Raine), et c'est le genre d'histoire qui vous laisse un sentiment de malaise une fois le livre fermé, au point que vous le rouvrez pour le finir !
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date : 03-02-2014
Il s'agit là du premier roman de Berg. Ecrit avant "Esclave", même si publié après. Aidant est le héros qui lui à montrer la voie de l'écrivain (dit-elle dans l'intro rajoutée de la seconde impression).
Il s'agit donc d'une lecteur très intéressante.

Le récit est poignant depuis le début. Aidan, musicien, est anéanti et brisé. Il sort de brison, après dix-sept ans de torture où on lui a brisé regulièrement tous ses doigtrs, où on a fait taire sa voix au point qu'il est devenu muet. Abandonné par son dieu, Aidan n'a plus de repère dans le monde, plus d'idée quoi faire de sa vie.
Et il ne sait pas du tout pourquoi il a mérité ça.

On y retrouve déjà le style particulier de Berg en narration première personne, une écriture qui dit beaucoup de chose en peu de mot et arrive facilement à créer des images des scènes et des actions. On ne peut qu'être touché par Aidan, et on est très vite pris dans lel ivre et l'univers.

Impossible à lâcher le livre une fois commencé !
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J'ai lu ce livre grâce aux recommandations de Mikaua. Comme j'aime beaucoup le thème d'esclavage et que j'écris une histoire mettant l'accent également sur un relation maître/esclave, j'ai dévoré le livre.

Il était vraiment excellent à mon avis !
La narration à la première personne que je n'apprécie pas trop était ici fait à la merveille, bien dosée et bien écrite, sans nous enfermer complètement dans la tête du narrateur qui se ferme au monde (comme c'est le cas, par exemple, avec les Hunger Games).
C'est un roman qui se base plus sur la psychologie et les relations que sur l'action même, et c'est quelque chose que j'ai vraiment beaucoup aimé.
L'univers est très bien retranscrit, il est saisissant, et il est dur de ne pas s'attacher à Seyonne ou Zander et d'être émerveillé par le monde qui les entoure !
Un de mes livres préférés de la fantasy :)
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J'ai été, globalement, déçue de la Moïra.
Pourtant, il y avait de quoi faire. L'univers était très sympathique et l'histoire avait des bons points.
Cependant, j'ai trouvé l'histoire malgré tout fade. Les personnages manquaient tous d'un petit quelque chose pour que je m'attache à eux. La plupart, au contraire, m'ont même terriblement ennuyée au bout de quelques répliques. Et si les personnages m'ennuient, c'est très mal partie pour que j'apprécie le reste !

Globalement je dirais qu'il s'agit d'un bon livre, mais qu'il a manqué, à mon goût, de souffle. Du petit quelque chose qui rendait tout ce qu'il avait de bien vraiment unique et particulier. Je le lisais avec un peu d'intérêt, mais je n'ai pas été transporté. La magie de l'univers ne m'a pas prise et j'en suis sortie plus au moins indifférente.
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Hé bien, c'est bien triste, il me semble que les français n'ont jamais édité la suite de la fille de l'alchimiste.
L'originale est une trilogie dont le dernier volume est sorti cette année, mais je n'ai trouvé que le premier tome en français en faisant des recherches.
Comme je les possède, je me permets d'ajouter les versions allemandes :)

J'espère que la suite verra le jour chez les francophones, car Kai Meyer est assurément un vrai délice à lire, et manquer la suite des aventures d'Aura est bien triste ! Si vous maîtrisez l'allemand, n'hésitez pas à aller vous la procurez ! De plus, en 2011 ils ont ressortis les deux premiers tomes en retravaillés, avec des documentations très intéressantes en guise de bonus !
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Parce qu'on ne dirait pas que le 3ième livre est sorti chez vous, j'ai gardé le titre allemand (dans le doute qu'ils le changeraient), en espérant qu'ils suivent les volumes allemands (sans les séparer en 4 volumes chacun encore).
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date : 16-08-2012
Il est bien dommage que les français ne sont pas encore pris la peine de traduire la série des Three Worlds de Ian Irvine. Il s'agit - à mon goût - d'un des diamands que le genre fantasy a su produire !

L'histoire est intéressante, bien construite et devient très vite addictive, les personnages sont tous attachants et profonds, et l'évolution de son univers au cours du cicle vraiment très réussi !

Le seul bémol que je peux donner, est qu'il est important de commencer sa série par le début (le premier quartet qu'est "The View form the Mirror"). Si vous faites comme moi et commencez par le quartet qui suit, vous risquez d'être un peu perdu dans son univers qu'il ne prend plus la peine de présenter en détails, et vous serez assaillis par des noms avec lesquels vous ne pouvez rien faire.

Il s'agit d'une lecture que je conseille à tout ceux qui nont pas peur et aiment lire l'anglais !
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