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Résumé
« Comment savoir si l’on est toujours de ce monde ? », s’interroge Michel Baglin au seuil d’Un présent qui s’absente. Comme pour se donner des preuves de vie, le poète établit au fil des textes la carte d’une géographie personnelle toujours en mouvement : quais de gare, trains en partance, quartiers où l’on musarde, chemins de halage, routes et ponts… Poète fraternel, inlassable compagnon de route des gens qui passent, l’écrivain n’oublie pas les êtres qui occupent ces espaces et qui connaissent parfois une difficile présence au monde. Il sait que bon nombre de ses semblables subissent cet ailleurs qu’il aura passé sa vie à rechercher. Et je me plais à rêver que son « Chant des migrants » offre une terre en partage à ceux qui ne connaissent que l’exil. La poésie, cette possibilité d’une patrie en archipel.
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