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Dimitri et Rose.

-Non,tu ne comprends pas.Si je m'autorisais à t'aimer,c'est entre eux et toi que je me jetterais.

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" Pourquoi ne pas sortir avec lui, tout simplement ? Il était gentil, drôle et raisonnablement beau. Nous nous entendions bien. Pourquoi fallait-il que je joue avec le feu avec d'autres alors que j'avais sous la main un garçon sympathique qui ne demandait qu'à être avec moi ? Qu'est-ce qui m'empêchait de tomber amoureuse de lui ?

La réponse s'imposa aussitôt à mon esprit. Je ne pouvais pas sortir avec Mason parce que, dans mes rêves, l'homme qui me serrait dans ses bras et me murmurait des cochonneries à l'oreille avait l'accent russe. "

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" - Je ne t'ai pas vu pleurer depuis longtemps.

- Je n'étais pas entrain de pleurer.

Un sentiment de chagrin et de sympathie me traversa depuis le " lien " .

- Elle ne peut pas te faire ça, protesta-t-elle.

Je ris amèrement, à moitié-surprise de mon propre pessimisme.

" Elle l'a déjà fait. Elle a dit [...] que je ne serai pas capable de te protéger. "

P.173

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Et comme dans toutes les fois où je me sentais embarrassée, je jouai l'insolente.

-Tu aimes ce que tu vois?

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Chapitre 17

[...]

Nous quittâmes l'académie au lever du jour dans un car spécialement affrété pour nous et équipé de vitres teintées. Les Moroï ne vivaient pas tous à l'écart des humains, et il fallait sortir en plein jour si l'on voulait faire du shopping dans leurs magasins. Missoula se trouvait à deux heures de route de l'académie.

Nous étions neuf : Lissa, Victor, Natalie, Camille, Dimitri, moi et trois autres gardiens. Deux d'entre eux, Ben et Spiridon, étaient les gardiens personnels de Victor. Le troisième était l'un de ceux de l'école : Stan, le salaud qui m'avait humiliée le premier jour de notre retour.

— Camille et Natalie n'ont pas encore de gardiens attitrés, m'expliqua Dimitri. Puisqu'elles sont toutes les deux sous la protection de l'académie, celle-ci doit leur fournir un gardien lorsqu'elles en quittent les murs – en l'occurrence, Stan. Quant à moi, je suis là en tant que gardien personnel de Lissa. Il est rare que les filles de son âge en aient un, mais les circonstances ont rendu Lissa assez exceptionnelle...

Je pris place au fond du car entre Spiridon et lui pour qu'ils me dispensent un peu de leur sagesse de gardiens, en préparation à l'« exercice de terrain ». Ben et Stan s'installèrent juste derrière le conducteur et les Moroï se regroupèrent au milieu du véhicule.

Lissa et Victor discutèrent longuement des dernières nouvelles du conseil. Camille, à qui l'on avait appris à être polie devant ses aînés, se contenta de les écouter en hochant la tête et en souriant. Natalie, au contraire, semblait malheureuse d'être délaissée et passa son temps à essayer d'attirer l'attention de son père. Cela ne fonctionna pas; il semblait avoir pris l'habitude de faire abstraction de ses bavardages.

— Lissa devrait avoir deux gardiens, comme les autres princes et princesses, fis-je remarquer en tournant mon attention vers Dimitri.

Spiridon avait à peu près l'âge de mon mentor, des cheveux blonds coupés en brosse et une attitude plus décontractée. Son nom était d'origine grecque, mais il avait l'accent du sud des États-Unis.

— Ne t'en fais pas : elle aura tout ce qu'il lui faudra le moment venu. On lui a déjà attribué Dimitri et il y a de fortes chances pour que tu restes auprès d'elle à la fin de vos études... C'est d'ailleurs pour ça que tu es là aujourd'hui.

— L'exercice de terrain.

— C'est ça. Tu vas être la partenaire de Dimitri.

Sa phrase provoqua un silence gêné que dimitri et moi fûmes sans doute les seuls à remarquer. Nos regards se croisèrent.

— Partenaire de terrain, précisa inutilement Dimitri, comme si lui-même avait eu autre chose en tête.

— C'est ça, confirma Spiridon.

Complètement imperméable à la tension qui régnait au fond du car, il expliqua comment les gardiens travaillaient en binôme. J'avais déjà étudié ce qu'il me disait dans mon manuel, mais le fait d'être sur le point de le mettre en application dans le monde réel donna plus de poids à ses mots. Le nombre de gardiens que les Moroï se voyaient attribuer dépendait de leur importance. Le travail en duo était une situation très classique, à laquelle j'allais sans doute être régulièrement confrontée en protégeant Lissa. L'un des deux gardiens restait constamment proche de la cible tandis que l'autre prenait un peu de distance pour surveiller les environs. Sans grande imagination, ces deux postes étaient désignés par les termes gardien « rapproché » et gardien « éloigné ».

— Tu seras probablement toujours une gardienne rapprochée, m'annonça Dimitri. Puisque tu es une fille et, qui plus est, du même âge que la princesse, il t'est facile de rester près d'elle sans attirer l'attention.

— Et je suis censée ne jamais vous quitter des yeux, ni elle ni toi, conclus-je.

Spiridon éclata de rire.

— C'est une élève brillante que tu as là ! s'écria-t-il en donnant un coup de coude à Dimitri. Est-ce que tu lui as donné un pieu?

— Non. Elle n'est pas prête.

— Je le serais si une certaine personne voulait bien m'expliquer comment on s'en sert..., grinçai-je.

Je savais parfaitement que tous les gardiens de ce car portaient un pistolet et un pieu à la ceinture.

— Il ne s'agit pas seulement de savoir le manier, me répondit Dimitri avec son sérieux habituel. Tu dois encore apprendre à neutraliser un Strigoï et te préparer mentalement à le tuer.

— Pourquoi lui laisserais-je la vie sauve ?

— La plupart des Strigoï sont des Moroï qui se sont transformés volontairement, ou qui l'ont été de force... Ce que je veux dire, c'est qu'il y a toujours de fortes chances pour que tu connaisses au moins l'un d'eux. Te sens-tu capable de tuer quelqu'un que tu connais ?

Ce voyage était de moins en moins amusant.

— Je crois... Je n'aurais pas le choix, de toute manière... Si c'était Lissa ou lui...

— Mais tu risquerais d'hésiter. Et cette hésitation pourrait te coûter la vie, ainsi que celle de Lissa.

— Alors, comment fait-on pour ne pas hésiter ?

— Tu dois te répéter que cette personne n'est pas celle que tu as connue, qu'elle est devenue une créature perverse, contre nature et maléfique. Tu dois oublier tous tes liens affectifs et te contenter de faire le nécessaire. S'il restait la moindre parcelle de son ancienne identité à cette personne, elle t'en serait probablement reconnaissante.

— Que je la tue?

— Si quelqu'un te transformait en Strigoï de force, que voudrais-tu ?

Ne sachant pas quoi répondre, je gardai le silence. Il poursuivit sans me quitter des yeux.

— Que souhaiterais-tu si l'on voulait te transformer en Strigoï contre ta volonté ? Si tu étais sur le point de perdre le sens du bien et du mal et toutes tes convictions morales ? Si tu savais que tu allais passer le reste de ta vie, une vie éternelle, à tuer des innocents ? Dis-moi, que voudrais-tu ?

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je m'appelle dimitri belikov, déclara-t-il avec un léger accent russe. j'ai pour mission de vous ramener à l'académie de saint-vladimir, princesse.

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Son discours la fit réfléchir. Pour la première fois, elle se demanda vraiment à quoi la vie ressemblerait si le Moroï et leurs gardiens s'unissaient pour combattre les Strigoï et en délivrer le monde. Cela lui rappela Christian, qui voulait lui aussi se servir de la magie comme d'une arme. Pourtant, malgré la sympathie qu'elle éprouvait pour les convictions de Victor, ni elle ni moine pensions que cela mériterait le sacrifice qu'il exigeait d'elle.

—Je suis vraiment désolée pour vous, murmura-t-elle. Mais ne m'obligez pas à faire ça...

—Je n'ai pas le choix, répéta-t-il.

—Je ne le ferai pas, déclara-t-elle en soutenant son regard.

Sur un signe de Victor, quelqu'un se détacha d'un coin d'ombre: un Moroï que je ne connaissais pas. Il fit le tour du fauteuil et détacha les mains de Lissa.

—Je te présente Kenneth, dit Victor en lui tendant ses mains.S'il te plaît, Lissa... Prends mes mains et guéris-moi comme tu as guéri Rose.

Elle secoua la tête.

—Non.

Il répéta sa requête sur un ton moins aimable.

—S'il te plaît. Tu me guériras d'une manière ou d'une autre... Je préférerais que se soit selon tes termes plutôt que selon les nôtres.

La voyant secouer de nouveau la tête, il fit un signe à Kenneth.

Alors la douleur commença.

Je hurlai en même temps qu'elle.

La surprise fit faire un écart à Dimitri, qui commença à freiner en me jettent des regards inquiets.

—Non! m'écriai-je en me pressant les tempes. Accélère! Nous devons intervenir!

Alberta, assise à l'arrière, posa une main sur mon épaule.

—Que se passe-t-il, Rose?

Les larmes m'aveuglaient.

—Ils la torturent... avec l'air... Ce Moroï... Kenneth... est en train de faire pression dans sa tête... C'est intolérable! J'ai l'impréssion que ma... que sa tête va exploser...

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Mason s'arrêta net pour me dévisager.

- Tu vas t'entraîner avec Belikov ?

- Oui. Et alors?

- Alors ce type est un dieu !

- Avec quel degré d'exagération ?

- Aucun. Je suis sérieux. Belikov est mutique et asocial, mais quand il se bat...Tu crois avoir eu mal ce matin ? Tu seras morte quand il en aura fini avec toi.

Génial. Voilà qui allait égayer ma journée.

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Chapitre 13

[...]

Le lendemain matin, je m'empressai de rejoindre dimitri. Les entraînements supplémentaires qu'il me donnait étaient devenus les moments préférés de ma journée, en partie à cause du stupide béguin que j'avais pour lui, mais aussi parce qu'ils me permettaient d'éviter les autres élèves.

Il commença par me faire courir, comme d'habitude, et courut avec moi en me donnant des conseils d'une voix calme, presque gentille, comme s'il craignait de provoquer une crise de nerfs ou de larmes. J'étais certaine qu'il connaissait la rumeur, même si nous n'en avions jamais parlé.

Après le footing, il me proposa un nouvel exercice de combat dans lequel j'eus le droit de me servir d'armes improvisées pour l'attaquer. Je fus surprise de parvenir à lui donner quelques coups qui semblèrent lui faire moins mal qu'à moi ; aucun mal, à vrai dire, alors que chaque impact me faisait trébucher. Cela ne m'empêcha pas de monter à l'assaut encore et encore, presque avec rage, sans bien savoir qui je croyais frapper : Mia, Ralf ou Jesse. Peut-être les trois à la fois.

Dimitri finit par demander grâce. Alors que nous rangions le matériel dans la réserve, il jeta un coup d'œil dans ma direction et parut surpris.

— Tes mains... (Il jura en russe sans que je puisse comprendre, puisqu'il refusait obstinément d'enrichir mon vocabulaire de grossièretés.) Où sont tes gants ?

Je baissai les yeux vers mes mains qui souffraient du froid depuis des semaines. La violence de l'entraînement du jour n'avait fait qu'empirer les choses et plusieurs de mes gerçures s'étaient mises à saigner.

— Je n'en ai pas. Je n'en avais pas besoin à Portland.

Il jura encore, m'ordonna de m'asseoir sur une chaise et partit chercher une trousse de secours.

—nous allons t'en trouver une paire, déclara-t-il en nettoyant mes plaies avec un linge humide.

— Ça ne fait que commencer, n'est-ce pas ? murmurai-je en contemplant mes mains abîmées.

—Quoi?

— Ma transformation en Alberta. Elle... et toutes les autres. À force d'être toujours dehors et de s'entraîner tout le temps, elles ont cessé d'être jolies... Cette vie les détruit. Leur apparence, je veux dire.

Je le sentis hésiter avant de lever vers moi ces beaux yeux noirs qui remuaient toujours quelque chose dans ma poitrine. Il fallait vraiment que je cesse de fondre comme une idiote en sa présence...

—Ça ne t'arrivera pas. Tu es... (Pendant qu'il cherchait l'expression juste, je lui fournis mentalement quelques suggestions : belle à se damner ? supersexy ? Finalement, il laissa tomber.) Ça ne t'arrivera pas.

Il reporta son attention sur mes mains. Me trouvait-il... jolie? Je savais parfaitement quel effet je produisais sur les garçons de mon âge. Mais lui ? J'avais du mal à l'imaginer. Ma confusion empira.

—C'est arrivé à ma mère. Elle était très belle, tu sais. Je suppose qu'elle l'est toujours, à sa manière... Mais ce n'est plus la même femme. (J'esquissai un sourire amer.) À vrai dire, je ne l'ai pas vue depuis si longtemps qu'elle peut avoir complètement changé.

— Tu n'aimes pas ta mère.

— Tu l'as remarqué ?

— Tu la connais à peine...

— C'est bien ça le problème. Elle a laissé l'académie m'élever à sa place.

Lorsqu'il eut fini de nettoyer mes gerçures, il dénicha un tube de crème et j'achevai de fondre sous l'effet de son massage.

— Tu dis ça mais... qu'aurait-elle dû faire ? Tu veux devenir gardienne, et je sais quelle importance cela revêt pour toi. Ne crois-tu pas qu'elle éprouve la même chose que toi ? Penses-tu qu'elle aurait dû abandonner son travail pour t'élever alors que tu aurais passé la majeure partie de ta vie ici de toute manière ?

Je détestais qu'on m'oppose des arguments raisonnables.

— Es-tu en train de dire que je suis hypocrite ?

— Seulement que tu ne devrais peut-être pas être si dure avec elle. C'est une dhampir très respectée et elle t'a mise sur la voie qu'elle a suivie elle-même.

— Ça ne l'aurait pas tuée de me rendre visite de temps à autre, grommelai-je. Mais tu dois avoir raison... en partie. J'imagine que ç'aurait pu être pire.

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_ Oui, mademoiselle Hathaway?

_ Est-ce que les mesures d'isolement que vous avez prescrites m'empêchent d'aller à l'église?

_ Pardon?

_ Vous avez dit que je devais rester dans ma chambre quand je n'étais pas en cours ou dans le gymnase, mais vous n'avez pas parlé de la messe du dimanche. Je pense qu'il ne serait pas juste de m'empêcher d'assouvir mes... besoins religieux.

Ni de me priver d'une occasion, si brève et si rébarbative soit-elle, de voir Lissa.

_ J'ignorais que vous aviez des besoins religieux, ironisa-t-elle en rajustant ses lunettes.

_ J'ai trouvé Jésus pendant mon absence.

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