Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
Le sable avait une teinte triste. Grise, éteinte. Les grèves de Breskal n'ont pas le sable doré de Terra. Au-dessus du dôme transparent qui recouvrait l'Arène, il neigeait. Le ciel était couleur de fiente.
Les spectateurs hurlaient comme des loups en folie. Plus une place, sur les gradins, derrière le champ de force qui protégeait les voyeurs de ce qu'ils étaient venus contempler. Un combat incluant une femme était spectacle assez rare pour avoir rempli l'Arène à son maximum.
J'avais le bouclier emboîté sur l'avant-bras gauche. Un rectangle de déryl à bords courbes, qui me protégerait de la queue venimeuse. Si je ne faisais pas d'erreur. L'épieu se logeait dans ma main droite.
Ma jumelle avait la même arme, et le même bouclier. Nous étions liés par la taille. Un mètre cinquante de chaîne, qui nous unissait, et nous rendait solidaires. Que l'un meure, l'autre mourrait aussi.
Afficher en entier