Commentaires sur ses livres

J'avais aimé, adoré, été émerveillée devant "Pardon" d'erica Boyer et j'étais donc très pressée de commence sous le même ciel.

Mais la sauce n'a pas vraiment prit avec moi, j'ai mis du temps à entrer dans le livre et m'attacher aux personnages, j'ai même failli arrêter.
J'ai bien fait de continuer.

La première moitié du livre m'a semblé laborieuse, aucun personnage ne m'a émue plus que ça, l'histoire était mignonne mais pas forcément très entraînante pour moi et surtout, moi qui avait adoré sa plume, j'ai trouvé qu'ici y avait pas mal de tournure de phrase assez lourde. Notamment pour désigner les personnages ("le plus âgé des acostas-fuentes" par exemple, régulier dans le livre)

Mais la seconde partie ! Ohlalala elle rattrape bien l'ennui sur j'ai ressenti au début ! Je me suis finalement laissée prendre par le drame qui se jouait, par la douceur et la force d'Alejandro.

Encore une fois Erica Boyer et son style d'écriture ont réussi à me transporter au travers d'une situation pas banal (comme dans pardon finalement) et réussi encore une fois à émouvoir avec brio

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais Erika a le don de faire de belles couvertures pour ses romans. Bien évidemment celui-ci ne fait pas exception. Il est épuré mais si beau. Il laisse deviner autour de quoi tourne le roman.

Sous le même Ciel c'est une histoire d'amour un peu particulière entre deux hommes, Alejandro et Hugo. Pourquoi particulière ? Parce que leur histoire s'étale sur plusieurs années et date de leur adolescence. De plus elle est si profondément ancrée en eux que ça en est émouvant. Les deux jeunes hommes sont voisins et se lient très vite d'amitié.

Parmi ces deux personnages, il y a un grand contraste de personnalités et en même temps pas vraiment. L'un est timide et introvertie tandis que l'autre est plutôt ouvert et très sociable. Pourtant une grande compréhension de l'autre les unie. Mais aussi un amour mutuel du Ciel (petite référence au titre du roman).

D'autre part, le livre est très centré sur le personnage d'Alejandro qui se sent mal dans peau, est timide et préfère les écrits à la parole. Cependant il n’est pas seul, car il est entouré de sa famille et surtout de son petit frère Benito, qui à l'exemple de Hugo est son opposé. Il n'hésite pas à soutenir son frère dans ses épreuves et à lui monter son amour. Dans leur cercle, il y a aussi un autre personnage, Melody. Qui a d'abord été amie avec Hugo avant de connaître les deux frères. De ce fait, autour d'eux se forme une petite clique bien soudée et attachante.

Alejandro et Hugo, quand aimer veut dire bien plus
Pourquoi donc ce roman m'a-t-il ému à ce point ? Eh bien, ces deux personnages principaux sont très attachant tout comme les autres. Ensemble ils font face à de nombreuses difficultés, l'incompréhension, la distance, etc. Mais à aucun moment jamais ils ne se tournent le dos.

Ainsi dans chaque aspect de la vie de l'autre, on peut voir le rôle joué par l’être aimé. Le soutien qu'ils s’apportent mutuellement. C'est sans compter sur Erika qui arrive avec brio à toucher nos sentiments. Lorsqu'elle nous livre Sous le même Ciel, c'est toujours avec sa plume légère mais percutante. Ses mots touchent le coeur et m'ont bien souvent menés aux larmes.

Grâce à toutes leurs preuves d'amour mutuelles, la lectrice que je suis a pu ressentir quel lien profond les lie. Sans oublier les écrits de Alejandro au sujet de Hugo qui sont débordants de sincérité. Mais aussi ceux de Hugo à travers ses chansons. En fait, les deux, ne cessent de s'alimenter mutuellement.


Erika, cet amour....

Ce roman est assurément l'une des plus belles histoires d'amour que j'ai eue à lire et je vous le recommande vraiment. Vous verrez qu'il ne s'agit pas d'une banale romance comme en lit souvent.

En plus Erika ne s'est pas contenté de nous écrire une belle histoire. Elle nous démontre à quel point ces personnages comptent pour elle aussi. Vous aurez l'occasion de le voir en lisant le roman. Ils me manquent comme des personnes physiques me manqueraient...

Par ailleurs, elle nous a concocté une petite playlist à la fin qui est bien en adéquation avec le livre. Ça pourrait intéresser ceux qui lisent en musique. Ce qui n'est pas un crime comme certains voudraient le faire croire.

Alors pour finir sur cette bonne note, je vous invite à vous procurer le livre sur Amazon. Et surtout dites-moi ce qui vous poussera à le lire, ce qui vous aura plu durant votre lecture. Votre ressenti en somme (je suis curieuse ^^ !).

N'oubliez pas, likez, commentez, partagez !
http://1motalafois.com/sous-le-meme-ciel-erika-boyer/

Les commentaires/ notes qu’on trouve partout sur ce livre sont excellents. Il fallait bien qu’un avis dénote un peu. Parce que si l’histoire est jolie, je ne serais pas aussi dithyrambique que les autres lecteurs.

Je n’ai pas vraiment accroché à l’écriture de l’auteure. C’est bien écrit, je ne dis pas le contraire. Mais c’est vraiment très fleur bleue, ce qui confère à l’histoire un côté naïf et un peu désuet. Il y a pas mal de redondances aussi, comme le fait de répéter à presque toutes les pages à quel point Alejandro est amoureux d’Hugo.
D’ailleurs Alejandro parlons-en. De par sa douceur, son innocence et son grand cœur Il touchera la corde sensible de beaucoup sans aucun doute, mais sensible il l’est justement trop à mon goût. Il pleure/ a les larmes aux yeux presque autant qu’on nous répète son amour pour son ami. Ce n’est pas vraiment ma tasse de thé. Hugo, en revanche je l’ai adoré.

Mais tout ceci est très subjectif et ne remet pas en cause la qualité de l’histoire ou la beauté de cet amour qui lie Hugo et Alejandro. Le genre d’amour pur et sincère dont on rêve toutes et tous. C’est beau et un peu douloureux à lire. C’est un livre bouleversant, qui va au-delà de la romance classique (mais il faut attendre un peu pour ça). Donc malgré ce que j’ai pu dire plus haut je conseille ce livre à tous, même à celles (et ceux) qui, comme moi, ne raffolent pas des excès de sentimentalisme et de sensiblerie. Allez, pour une fois, laissez-vous tenter.

Ce n'est pas un sujet anodin, comme ce n'est pas un livre qu'on lit par hasard. C'est un livre duquel on apprend. Le courage, l'intelligence, le rejet, l'acceptation, le dégoût, l'indifférence, le pardon. On a tous nos secrets, certains pèsent plus lourds que d'autres. Eux aussi. Ceux-là, là-bas, à Bordeaux. Ceux que vous croiserez au détour d'une ligne dans ce prisme de lucidité. Un peu plus de 200 pages pour résumer et analyser avec douceur, délicatesse et subtilité une société où la morale prime sur l'amour.

Trois mots pour décrire mon état à la fin de ma lecture ? Bouleversée. Le cœur directement connecté à celui de Will, j'ai l'impression d'avoir vécue une partie de sa vie, d'avoir éprouvé les mêmes choses. Éreintée. C'est fatiguant d'être aussi tendue, d'autant pleurer, de vivre des montagnes russes émotionnelles. Perturbée. Ne vous y trompez pas, le sujet principal est loin de me déranger. Seulement il y a tellement à analyser, à comprendre dans ce livre. J'ai la vague impression que le moindre détail, le moindre son de cloche, la moindre brise de vent a son importance. Et comme dans votre vie, il y a autant d'histoire que de personnages. Autant de vies et autant de secrets...

C'est un vrai, un grand coup de cœur. Ce livre est une perle. Mieux, une plume. La plume d'un oiseau rare, retrouvée par hasard lors d'une balade hors des sentiers battus.

Pardon est un roman fort qui évoque un sujet tabou celui de l’inceste. Ce sujet peut dérangé, au premier abord je dirais que c’est parce qu’Erika parle de ce sujet que j’ai voulu me plonger dans son livre. C’est un sujet très peu évoqué dans la littérature, le seul livre que j’ai lu sur le sujet remonte à l’année dernière et je n’avais pas vraiment aimé l’histoire (non pas à cause de la relation incestueuse un peu plus éloigné que frère/soeur, mais la narration et l’histoire).

Je suis une personne ouverte qui arrive à me mettre à la place de l’autre. Un sujet comme celui-ci ne laisse pas indifférent, je ne peux pas dire que je sois pour ni contre. J’arrive à concevoir que l’on puisse aimer à ce point une personne comme son frère ou sa soeur, même si j’ai du mal à m’imaginer dans cette position.

Erika prend le parti de nous offrir un narrateur masculin, Will est un personnage torturé (oui c’est le premier mot que j’ai choisi pour le qualifier), il part étudier à Bordeaux loin de sa soeur pour laquelle il voue un amour interdit. Jamais je n’ai été aussi proche d’un personnage, Will est un personnage touchant conscient de ses sentiments et soucieux du bonheur de sa soeur, il nous livre ses pensées.

Sarah est un personnage que j’ai moins apprécié par rapport à Will, du fait qu’elle était le fruit de défendu de Will. En réalité, ce n’est pas la raison pour laquelle je l’ai moins apprécié, Will a juste ma préférence. Nous découvrons Sarah décrit à travers les yeux de Will qui nous montre un doux personnage, belle et intelligente. Quand nous la rencontrons en cher et en os, Sarah m’est apparu différemment, elle sait ce qu’elle veut et elle sait passer au-dessus des préjugés.

Les personnages secondaires sont tout aussi bien construits, Erika ne laisse pas ce sentiment d’inachevé sur ses personnages. David, Kelia tout comme la famille d’Achir sont des personnages que j’ai apprécié. Je me doutais du secret de David. La famille d’Achir st sympathique et on comprend la décision d’Achir.

Erika a une belle plume, en finissant son livre, j’ai cherché les mots qui pourrait qualifier cette histoire, époustouflante, émouvante, hors du commun. J’ai été envoûté par la plume d’Erika, elle a un don pour l’écriture c’est indéniable.

Je dirais que cet amour interdit aurait pu ne pas me plaire. Pourtant, la façon dont l’auteure amène le sujet permet de mieux comprendre cet amour. Cette sensation de ne pas être né dans le bon corps et de savoir votre bonheur condamné. C’est avec beaucoup de délicatesse qu’Erika nous livre cette histoire. Ce roman peut heurté et c’est tout à fait normal. Si vous pensez que le sujet n’est pas pour vous, laissez-vous porter par les mots choisis par Erika et si ça ne suffit pas, refermer ce livre mais vous ne pourrez pas dire que ce livre est mal écrit. Si vous êtes curieux, laissez-vous tenter.

Ce livre a été une excellente lecture.

Premier roman calendrier de l'avent et je suis fane du concept. Je suis encore plus impatiente qu'un enfant qui va ouvrir son chocolat ...
Pour ce qui est de l'histoire j'ai trouve ça trop mignon !!
J'ai adoré nos deux protagonistes, leur amitié à tout épreuve et leur complicité magnifique.
J'avais plus ou moins deviné la fin mais je me suis laissée porter au fils des chapitres et j'ai hâte de lire le tome 2.

Comme à chaque fois que je me plonge dans les histoires d’Erika Boyer, sa plume toute douce me transporte et je craque pour ses personnages. D’Alec ou de Jude, il a été difficile de savoir lequel je préférais durant ma lecture.
Les deux jeunes hommes ont chacun un caractère et une sensibilité qui leur sont propres, tout comme leurs amis et leur famille. Si j’ai adoré découvrir Alec en même temps qu’il se découvrait lui-même au contact de Jude, c’est lui qui m’a surtout touchée. Il a des sentiments pour Alec depuis des années et voilà que ce dernier lui demande de “sortir” avec lui pour de faux, histoire de monter un dossier pour devenir coach en relations amoureuses et pouvoir aider les couples avant qu’ils se séparent.
Ses sentiments sont mis à rude épreuve, car il veut éviter à tout prix de tomber amoureux… Mais l’amour ne se contrôle pas et c’est plus compliqué à dire qu’à faire. Alec, quant à lui, est adorable avec son côté complètement fan de Japon et des mangas. Sa tendance à tout ressentir de manière presque exacerbée pourrait être agaçante, mais je me suis identifiée à cet aspect de sa personnalité en un sens, et je l’ai beaucoup apprécié. Je n’ai pas compris toutes les références citées dans le roman mais j’ai apprécié les notes de bas de page !
Les personnages secondaires ont aussi leur importance, chacun à leur manière, du meilleur ami grincheux à la sœur fofolle, en passant par la drag queen et le patron souriant…
Tout n’est que douceur malgré les quiproquos et les mensonges, ça fait du bien de voir des personnes aussi soudées et de sentir une telle alchimie entre eux, quelles que soient les relations !

Très beau roman qui m'a beaucoup émue. La romance entre Hugo et Alejandro est décrite toute en poésie, subtilité et délicatesse. On la sent prendre vie et s'épanouir au fil des années.
Les personnages sont attachants les principaux comme les secondaires. La ville est belle. Tout est magnifique, merci à l'auteure pour cette prouesse.

J’ai très peu lu la plume d’Erika, je sais qu’elle a du succès et je ne pouvais donc passer à côté de la lecture de ce roman qui est en partenariat avec les jeux olympiques 2024.

Dans ce roman, l’auteure va aborder des sujets qui nous ferons relativiser notre existence, du moins à ceux qui ne connaissent pas la douleur de la différence, celle du rejet et celui de l’injustice.
Jen est une lycéenne qui ne vit que pour rider, elle est dans la pleine adolescence et surtout elle fait de son future sa passion. Avec son meilleur ami Rayen, qui lui est en fauteuil roulant et qui joue au basket, ils vont s’aider mutuellement à atteindre leurs objectifs d’assister aux jeux olympiques pour elle et aux jeux paralympiques pour lui.
Mais voilà même si elle a le soutien de sa sœur, ses parents ne prennent pas au sérieux ses rêves. Ce qui va la rendre par moment assez rebelle face aux paroles de ses géniteurs.
Cependant ce n’est pas la seule chose qui la rend si particulière, elle souffre de psoriasis, une maladie qui atteint la peau, elle est non contagieuse mais elle se manifeste par l’apparition de plaques rouges recouvertes de lamelles de peau qui se détachent de notre épiderme et forcément pour les parents de Jen ce n’est pas compatible avec le skate et son risque de chute.

Il est toujours compliqué de parler des affres de la cruauté au sein des établissements scolaire et surtout d’en dehors, bien trop souvent banalisé par les adultes. Mais non il faut enfin comprendre que les mots sont encore plus indélébiles que les coups.
En effet la pauvre Jen, subit quasi quotidiennement le mépris de ses camarades du fait de sa maladie, bien trop associé à un « monstre », comment garder confiance en soi avec des mots si lourds de conséquences ?
Ça va être tout le problème de Jen face à l’arrivé de ce nouveau qui semble vouloir passer du temps avec elle.
Comment un garçon comme lui peut la trouver intéressante et attirante ?

Eren est un jeune homme qui débarque dans ce nouveau lycée, il est un rêveur, sa passion c’est de dessiner, notamment des nuages, ce qui lui vaut d’être souvent ailleurs. Même si ses premiers jours ne seront pas parfaits il va se prendre d’affection pour sa voisine de table et très vite un lien va se construire entre eux, il va démontrer que par sa gentillesse et sa largeur d’esprit rien n’est impossible. Pour lui admirer le ciel est d’un apaisement certain mais regarder celle qu’il admire rider est d’autant plus hypnotique.

L’auteure a su nous entrainer dans son monde, celui qu’elle a créé pour nous montrer que dans la vie rien n’est acquis, qu’avec des mots on peut détruire une personne et la faire douter d’un rien. Quand on interprète sans connaitre la vérité est souvent ce qui provoque les quiproquos et peuvent nous amener dans un vrai labyrinthe.

La romance est si belle, elle évolue à son rythme, elle nous enchante car entre Eren et Jen c’est presque d’une évidence, deux belles âmes qui ne trouve leur place que à travers leurs passions, des passions qui vont se rejoindre pour former de beaux instants. La plume de l’auteure est si juste, l’histoire forte en émotions, on est en colère face à ces attitudes méprisables, on se réjouie de cette relation qui naît et on rigole avec les pitreries de Rayen dont j’aurai aimé en apprendre plus.
Et quoi de mieux que cet épilogue qui nous fait fleurir un sourire sur le visage.

Ce livre parle de thèmes importants et pour certains peu connus : handicap, psoriasis, harcèlement scolaire, confiance en soi, relation parents adolescents.

Tout cela dans un méli-mélo de passions pour le basket, le dessin, le skateboard.
L'amitié entre Rayan, Eren, Lalie et Jen est magnifique.

Un roman qui prône l'amitié et l'amour au premier plan, la bienveillance et la solidarité.

Ce roman, c'est l'histoire d'une jeune adolescente qui va devoir être forte face aux épreuves douloureuses que la vie met sur son chemin, et qui va trouver l'amour et l'amitié en chemin. Et plus que tout ça, elle va enfin pouvoir entamé le plus long des travails, et pourtant nécessaire, celui de la confiance en soi. Quelle preuve de courage, cette adolescente nous transmets de part sont ressenti face à tout ce qu'elle traverse, à l'amour qu'elle a pour ses proches, à la passion dévorante qui la dévore celle du skateboard.

L'amour naissant entre Eren et Jen est magnifique, doux. Chaque mot entre eux, est comme un câlin d'un être cher , aussi puissant que l'amour qu'ils se portent.

Cette histoire est emprunte de beaucoup de sujets importants dans notre société actuelle, dont on doit plus parler, afin d'éviter par exemple le harcèlement, car personne ne mérite d'être harcelée, car personne ne doit être rabaissée, car chacun mérite d'être aimé à sa juste valeur en étant lui-même.

Les passions qui s'entremêlent ici, donne au récit une intensité nouvelle dans une romance, et le rapport avec les jeux olympiques est super bien travaillé.

La fin n'est que plus sublime, les messages de cette histoire sont beaux ,et j'espère que beaucoup apprécieront celle-ci.

Une pression qui monte crescendo, avec des sentiments plus forts à chaque pages, et une fin en apothéose.

Un énorme coup de cœur

« Tout ira bien, j’en suis certaine. Nous sommes faits pour être ensemble, notre amour n’a aucune limite »

Cette romance c’est une histoire d’amour peu commune mais que j’ai trouvé si belle ! C’est un amour pluriel, un amour décuplé entre trois personnes qui s’aiment !

Je suis tombé par hasard sur ce livre en librairie et je dois dire que le résumé m’a tout suite interpellé ! Je me suis dit que le polyamour est si peu évoqué dans les romances et qu’il pourrait être intéressant d’en apprendre plus sur cet amour !

Jules et Nicky s’aiment depuis si longtemps mais Nicky a besoin d’aimer une femme en plus de Jules pour être enfin complète. De son côté Jules pratique le couple libre et a des relations non affectif.
Et si une jeune femme du nom de Santana était en réalité la part d’amour qu’il manquait à leur couple ?

J’ai trouvé ce livre si beau dans sa façon de bouleverser les codes de l’amour ! Il aborde également les clichés sur les gitans ainsi que leurs traditions !

En résumé, je vous recommande cette romance qui vous fera tomber amoureux de Jules, Nicky et Santana !

Cette nouvelle ne fera malheureusement pas partie de mes préférées. Des 4, c’est bien celle qui m’a le moins touché et qui m’a parut la plus « ordinaire ». Les personnages étaient très sympathiques mais le schéma ne m’a pas convaincu… En bref : un ennemies to lovers un peu trop classique pour moi :(

Chaque fois que je lis un roman signé Erika Boyer, j'y trouve de la magie dans des moments simples du quotidien. C'est ce qui fait que j'aime autant sa plume : la joie de m'émerveiller pour un rien.

Dans ce roman, nous suivons Jen alors qu'elle débute sa vie de lycéenne. Dans cette période parfois cruelle qu'est l'adolescence, l'attention des autres ne l'aide pas à prendre confiance en elle. La seule chose en laquelle elle croit, c'est en son skateboard. Pour l'encourager, elle n'a que Rayen et Lalie. Jusqu'au jour où Eren et ses nuages entrent dans sa vie.

Être passionné.e est une belle chose dont Jen mesure l'importance au contact d'Eren. Elle va aussi apprendre à regarder mieux autour d'elle et peut-être y voir des choses dont elle ne soupçonnait pas l'existence.

Jen grandit. Jen vole sur sa planche, tombe, se relève et repart dans les airs. On se laisse transporter par les émotions avec la plume douce d'Erika Boyer.

Recueil de nouvelles feelgood de qualités égales qui abordent différents aspects autour du cancer du sein sans jamais tomber dans la morosité

Une nouvelle assez sympa. L'histoire est assez classique, mais au vu du peu de pages, je trouve que les auteures se sont très bien débrouillées.