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Commentaires de livres faits par CoeurdeGivre

Extraits de livres par CoeurdeGivre

Commentaires de livres appréciés par CoeurdeGivre

Extraits de livres appréciés par CoeurdeGivre

Je dois avouer qu’il ne me fallut pas énormément de réflexion pour me lancer dans cette histoire qui me promettait une aventure palpitante dans un univers empreint du souffle de la mort, du murmure de la perdition mais aussi de la douce caresse de l’espoir et de l’amour…

Dans cet ouvrage, nous suivons les pas de Séléné, une jeune artiste rongée par la solitude, la tristesse et écrasée par le poids d’une réalité qu’elle ne parvient nullement à s’approprier malgré ses efforts. En proie au désespoir et à la résignation, elle va commettre l’irréparable… ou tout du moins, c’est ce qu’elle pensait. En effet, par un petit caprice du destin (nous ne pouvons pas appeler cela autrement), Séléné se voit infliger le pire des châtiments : l’errance. Perdue dans les méandres d’un royaume obscur situé entre les deux frontières distinctes de la vie et de la mort, elle trouve refuge dans un bar étrange peuplé de créatures dont elle fait désormais partie: les trépassés. Comment se libérer d’une damnation qui ne devrait pas lui être réservée ? Heureusement, sa situation n’est pas passée inaperçue auprès du prince du royaume des morts qui se lance à la recherche de cette âme égarée pour la ramener sur le droit chemin. Mais peut-elle réellement retrouver le fil d’une existence qui a été altérée à tout jamais ?

À l’image des Moires qui s’invitent dans son histoire, l’auteure nous tisse une toile aussi sombre que captivante où les destinées s’entremêlent avec les divers aspects de la vie et de la mort, et où les fils du passé flirtent avec ceux du présent pour former un futur inévitable. Ainsi, plusieurs histoires nous sont dévoilées, nous arrimant toujours plus fermement aux protagonistes afin de nous faire ressentir toute la puissance de leurs émotions et de leurs souffrances. Je suis d’ailleurs toujours aussi profondément émue par la détresse initiale de Séléné que j’ai trouvée poignante dans son intensité et son authenticité. En tout cas, notre attention est constamment sollicitée sur tous les plans, autant dans l’espace que dans le temps, et si cela nous garantit une meilleure compréhension du récit et des personnages, je crains également que cela ne nous éparpille un peu trop [...].

Je vous invite à lire la suite sur mon site ^^ : https://lesoupirduroman.wordpress.com/2023/12/30/le-bar-des-trepasses-amandine-clemente/
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Après avoir vécu une aventure aussi houleuse sur la terre ferme, il me tardait de découvrir ce que l’auteur nous réservait une fois sur des eaux tumultueuses, et ma foi, je n’ai pas été déçue…

Pour ce second tome, nous embarquons en compagnie de nos farouches résistants à bord d’un navire nommé le Liokûmkän. La destination ? Les terres sauvages de l’Australie. Au cours de leur périple, nos compagnons de voyage devront non seulement apprendre à survivre au milieu de l’immensité océanique capable de faire plier le plus robuste des guerriers mais également à cohabiter dans une paix plus ou moins relative. Toutefois, si la situation à l’intérieur du navire requiert une attention toute particulière, nos aventuriers ne peuvent se permettre de relâcher leur vigilance et doivent régulièrement tourner leur regard vers l’extérieur car d’innombrables dangers rôdent autour du Liokûmkän, sur la mer comme sur la terre. L’heure est donc à la prudence mais aussi à la persévérance mais ce n’est pas si simple lorsque les esprits s’échauffent, que la patience s’effrite et que les coups fusent, et pas uniquement sur les ennemis… Vous l’avez compris, cette traversée est loin de s’apparenter à une petite croisière de vacances ! Entre conflits internes, visites inattendues et troublantes révélations, Oriana et ses compagnons ne connaîtront décidément aucun repos, que ce soit celui du corps ou de l’esprit.

Ce second tome se présente comme l’occasion idéale pour nous rapprocher des protagonistes et en apprendre davantage à leur sujet car quoi de mieux qu’une odyssée à travers les mers et océans pour écouter les récits des uns et des autres sur le pont d’un navire au son du clapotis des vagues ? La proximité forcée des membres de l’équipage et les contacts inévitables vont favoriser la création – voire la dissolution – des liens entre les membres du groupe mais également délier certaines langues. Nous découvrons ainsi les faiblesses des uns et les blessures des autres et c’est avec une réelle émotion que nous entrapercevons de toutes nouvelles facettes complètement inattendues capables autant de nous attendrir que de nous terrifier. L’auteur profite de cet espace relativement restreint pour approfondir non seulement les personnages mais aussi l’ensemble de son univers, nous présentant une histoire d’autant plus riche et surprenante par son intensité. Cependant, si le voile est levé sur certains mystères, le maître de la plume veille à rejeter les pans de ce même voile sur d’autres parties de l’histoire afin de garder savamment mais ô combien cruellement son auteur en otage !

L‘action se trouve bien évidemment toujours au rendez-vous et les combats féroces au goût âcre de sang, de peur et de sueur ne cessent de nous faire frémir d’appréhension… et d’une sorte de fébrilité incontrôlable [...]

Je vous invite à lire la suite sur mon site:
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2021/02/02/chroniques-des-secondes-heures-de-tanglemhor-tome-2-lodyssee-du-liokumkan-azael-jhelil/
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date : 19-08-2020
Que peut-on dire sur Mytho Incognito ?

Tout d’abord, l’ouvrage attire le regard par sa présentation soignée et riche en images et autres joyeuses ornementations. Les illustrations d’Olivier Trocklé font preuve de créativité, de fantaisie et même d’une pointe d’humour qui non seulement parvient à égayer la mythologie d’ordinaire si sérieuse mais qui rend également le livre bien plus attractif et interactif.

Ensuite, le texte régale par son caractère bref, synthétique, qui permet une lecture relativement aisée et facile à comprendre (notamment pour les plus jeunes lecteurs). Grâce à cette clarté d’écriture, la mythologie devient accessible à tous les amateurs, petits et grands, et leur permet d’assimiler rapidement les connaissances.

Mais le plus gros point positif de Mytho Incognito selon moi est la faculté d’éveiller chez son lecteur une curiosité toute naturelle. La brièveté des histoires et les petites anecdotes sympathiques disséminées ici et là donnent envie d’aller plus loin et d’en connaître bien davantage. Cet ouvrage incite tout simplement les curieux à se pencher plus avant sur la question de la mythologie !

En somme, cette petite encyclopédie des mythologies régale par son aspect visuel comme par la simplicité de sa plume. En proposant un rapide tour du monde mythologique, elle offre au lecteur un premier contact avec cet univers plus ou moins connu tout en l'invitant à poursuivre son exploration des mythes...
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Profitant d’une petite pause dans mes lectures sentimentales, j’ai choisi de me consacrer à un genre que je n’ai pas souvent l’occasion d’explorer, à savoir la fantasy, et mon dévolu a été jeté sur l’Œuf de Tanglemhor qui m’a intriguée par la noirceur et la cruauté de son univers…

Tout commence lors de la prise de pouvoir impitoyable de Krûl, Premier vindicateur et prophète auto-proclamé du dieu de la Vengeance. Semant la mort et la destruction dans son sillage, annihilant peuples et villages entiers, le semi-lacertys ne recule devant rien pour asseoir sa domination et revendiquer son dû. Et quel meilleur moyen d’affermir son autorité que d’anéantir les derniers vestiges de la rébellion en s’appropriant non seulement l’ultime citadelle de l’Alliance mais également la fille du plus puissant et respecté des paladins ? Mais c’était sans compter la ténacité des hommes de la Marche, y compris celle d’une princesse dont la loyauté et le courage parviendront à tenir tête au plus redoutable des opposants. La Résistance parviendra-t-elle à raviver les braises de la révolte et à récupérer son héritage ? Et que représente donc ce trésor si précieux aux yeux du terrible Empereur ?

Indéniablement, ce premier tome a toutes les qualités nécessaires pour envoûter son lecteur et l’attraper dans ses filets démoniaques. L’aura ténébreuse que dégage le récit s’accorde à la perfection avec les notes d’espoir qui percent à travers ses voiles sanglants, créant ainsi un équilibre parfait entre la résignation et la lutte. Nous sommes rapidement entraînés par le mouvement imposé par l’histoire, et quand bien même nous tenons à prendre de la distance, nous nous retrouvons invariablement empêtrés de nouveau dans les affres de la guerre et de la désolation. À vrai dire, chaque chapitre nous présente une nouvelle histoire grâce à différents points de vue qui nous dévoilent les nombreux autres conflits qui règnent dans l’ombre. [...].

Je vous invite à lire la suite sur mon site:
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/07/23/loeuf-de-tanglemhor-tome-1-chroniques-des-secondes-heures-de-tanglemhor-azael-jhelil/
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date : 10-05-2020
Difficile de ne pas être séduit par Orphée, mon amour que ce soit pour sa couverture intrigante et ô combien magnifique ou pour son résumé alléchant qui ne donne qu’une seule envie: celle d’ouvrir enfin cet ouvrage et d’en dévorer le contenu…

Dans cette réécriture du célèbre mythe d’Orphée et d’Eurydice, Orphée est incarné dans la peau d’un jeune chanteur au charme ravageur dont la voix ténébreuse et envoûtante parvient à apaiser les esprits les plus tourmentés. Repéré par Hadès, le Dieu des Enfers, le virtuose se voit offrir la chance de développer son talent et d’étendre sa renommée au-delà des bars et des soirées étudiantes. Mais à cette promesse de gloire s’ajoute une contrainte de taille… En effet, en contrepartie, Orphée devra descendre dans les tréfonds du royaume des Morts et jouer pour la belle Perséphone. Le prix à payer semble bien dérisoire mais lorsque le chemin de l’artiste croisera celui de la ravissante Eurydice, celui-ci prendra alors la véritable mesure de l’ampleur de son sacrifice. Parviendra-t-il à se libérer de l’étreinte glacée de la mort et goûter à la douceur de l’amour ?

Orphée, mon amour est mon second livre de cette auteure et je dois dire que je suis une fois de plus fascinée par son imagination et sa créativité. J’ai été émerveillée par la façon dont cette dernière a réussi à réinventer ce mythe, à le moderniser, afin de nous rapprocher au plus près de ces illustres personnages. Cette nouvelle histoire pleine de douceur et de mélancolie nous révèle toute la beauté du lien intangible qui relit deux êtres aimants mais aussi la puissance de l’amour qui s’étend au-delà des murs du temps et de l’espace. Une fois aspiré par le récit, le lecteur ne peut s’en délivrer. [...].

Je vous invite à lire la suite sur mon site:
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/05/09/orphee-mon-amour-amandine-clemente/
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date : 05-04-2020
Je dois avouer que je m’engage bien peu souvent à chroniquer des ouvrages qui ne correspondent pas ou peu à mes préférences de lecture. Toutefois, j’ai décidé malgré tout de me lancer dans la découverte de Shutdown, et cela grâce aux thèmes abordés qui ont su susciter ma curiosité…

Il serait peu judicieux de prendre le risque de vous dévoiler plus de détails que nécessaire sur l’histoire, ainsi je me tiendrais uniquement au résumé afin de vous laisser tout le loisir de découvrir par vous-même la teneur du récit. Ce que je peux vous révéler en revanche, c’est l’intelligence dont a su faire preuve l’auteur en mettant à profit sa plume pour dénoncer – ou plutôt faire prendre conscience de la situation alarmante dans laquelle se trouve actuellement la Terre tout comme ses habitants. Avec une plume saisissante de vérité et une intrigue étonnante de réalisme, Shutdown pourrait aisément être décrit comme le miroir du XIXème siècle, celui qui révèle les torts et les injustices, la corruption et la destruction, l’horreur et la désolation. L’auteur se transforme en guide dévoué à ouvrir les yeux de son lecteur - et plus largement aux hommes.

Afin de s’approcher au plus près de son lecteur, l’auteur prend garde à mettre en scène des personnages communs avec leurs lots de joies, de peines et de malheurs, accentuant de cette manière l’idée que les dégâts occasionnés sur la Terre de manière directe ou indirecte s’élèvent à l’échelle mondiale, atteignant n’importe quelle personne, sans distinction aucune. Mais plus que cela, l’auteur tisse une véritable toile, mettant en corrélation l’homme et la nature, le peuple et le gouvernement, la communauté scientifique et les défenseurs de la Nature… Shutdown se joue sur plusieurs niveaux, et si le premier semble être celui des conséquences désastreuses des actions humaines sur la planète Terre, le second se dédie aux jeux gouvernementaux situés entre manipulations, mensonges et rapports de force.

Shutdown est assez persuasif dans sa tentative « d’éclairer » les esprits sur la chute progressive de Gaïa et de l’Humanité et de la nécessité d’imposer des changements radicaux afin de préserver la Planète. Cependant, l’histoire mériterait d’être davantage approfondie pour marquer davantage ces mêmes esprits. La seule énumération des maux divers dont souffre la Terre ne suffit plus et la distance est encore trop importante pour que le lecteur puisse être complètement atteint par le désastre annoncé. Intensifier l’histoire, s’appesantir sur les détails tragiques, favoriser la carte des sentiments seraient autant de manières différentes d’y parvenir. Pour libérer le potentiel réel de l’ouvrage, il est nécessaire de dépasser la simple persuasion et opter pour des arguments plus percutants et lourds de sens.

En somme toute, Shutdown délivre un message d’appel et de détresse, enjoint le lecteur à prendre ses armes et livrer bataille au nom de Gaïa. Grâce à sa plume, l’auteure transpose la situation présente sur Terre dans son histoire et la pousse à son paroxysme, forçant le lecteur à ouvrir ses yeux et affronter la vérité dissimulée derrière des faux-semblants. Le plus grand ennemi de la Terre, c’est l’Homme mais si l’Homme est la Faucheuse terrestre, il est également responsable de son propre trépas…
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Avec un titre aussi délicieusement tentant et une couverture éblouissante, je suis d’ores et déjà tombée sous le charme de Noël Sucré avant même de me lancer dans sa lecture…

Dans ce premier tome, nous sommes transportés dans les rues enneigées mais chaleureuses d’Amsterdam en compagnie de Tess, femme d’affaires accomplie au CV impressionnant, et Nolan, jeune confiseur en herbe guidé par le rêve et l’espoir. Si leurs parcours semblent complètement différents à l’image de leurs personnalités, une chose pourtant les unis: la douleur d’un cœur brisé. Vaccinés à l’amour dans la crainte d’une nouvelle blessure inapaisable, Tess et Nolan enferment leur souffrance et leurs émotions et affrontent le monde avec réserve mais nourris d’une détermination nouvelle. Leur rencontre inattendue éveillera en eux des sentiments aussi troublants que puissants. Entre altercations et confessions, la friction entre ces deux âmes meurtries remuera les braises des souvenirs et des amours perdus. Parviendront-ils à surmonter leurs appréhensions pour s’offrir une seconde chance ?

L‘histoire s’épanouit tout en douceur, s’écoulant paisiblement et régulièrement au fil des pages. Nous sommes rapidement imprégnés de l’ambiance conviviale et enivrante qui règne au cœur du livre. En effet, l’auteure créée un cocon de bien-être apaisant, un lieu de refuge non seulement pour les protagonistes mais également pour le lecteur. L’évasion est donc particulièrement simple et nous ne demandons qu’à être emportés par le récit. [...].

Je vous invite à découvrir la suite sur mon site :
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/03/28/aux-delices-damsterdam-tome-1-noel-sucre-emily-chain/
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Curieuse de connaître le prochain mouvement de Caleb et impatiente de découvrir la nouvelle existence d’Olivia, je n’ai pas attendu bien longtemps pour apaiser ma faim dévorante…

Nous retrouvons Olivia quelque mois après les événements désastreux de New York. Rompant tout contact avec son amant, la jeune femme tente de se reconstruire dans une nouvelle ville et de retrouver une certaine stabilité émotionnelle afin de réparer son cœur brisé. De nouvelles rencontres seront alors de mise et quoi de mieux qu’un agent de police séduisant doté d’une gentillesse et d’une générosité sans limites pour apaiser ses tourments ? Mais tirer un trait sur le passé n’est pas une chose aisée, surtout lorsque votre cœur refuse d’écouter la raison et se languit de l’être aimé… De son côté, Caleb, dévasté par le départ d’Olivia, entreprend des recherches actives afin de trouver sa belle intrépide et reconquérir cet amour perdu. Cependant, il ne sera pas au bout de ses surprises et découvrira que le destin peut décidément jouer de drôles de tours…

Si le tome précédent échauffait nos sens au moyen d’une relation tumultueuse et de protagonistes aux reparties cinglantes, ce second opte pour une approche plus sentimentale et pourtant tout aussi diaboliquement efficace. Jouant sur l’absence, le regret et la nostalgie, l’auteure met en scène des personnages fragiles à la volonté vacillante, éveillant la compassion du lecteur et l’entraînant dans un tourbillon émotionnel incontrôlable. [...].

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https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/03/11/olivia-kincaid-tome-2-parce-que-lamour-ne-meurt-jamais-helene-caruso/
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Après une période assez longue consacrée principalement aux romans de l’imaginaire, c’est avec un plaisir non dissimulé que je me suis plongée dans la romance contemporaine proposée par Hélène Caruso, Call me Livia.

Dans ce premier tome, nous faisons la connaissance d’Olivia Kincaid, psychologue pour célébrités renommée et véritable femme fatale à ses heures perdues. D’une beauté saisissante, Olivia fait chavirer le cœur des hommes et multiplie les conquêtes. Les relations amoureuses ? Hors de question ! En effet, la jeune femme chérit sa liberté et son indépendance et veille donc soigneusement sur son cœur, muselant ses sentiments et s’interdisant le moindre signe de faiblesse. Néanmoins, malgré toutes ses précautions, la stabilité de la jeune femme sera mise à rude épreuve lorsque sa route croisera celle de Caleb Prescott, un homme outrageusement attractif au tempérament des plus passionnés. De leur rencontre naîtra la foudre de la colère, la tempête de la frustration mais également la brûlure de la passion…

L‘auteure prend le temps nécessaire pour poser les fondements de son histoire et aménager la toile de fond, familiarisant progressivement le lecteur avec les protagonistes et leur environnement. Mais sitôt le premier contact amorcé entre nos deux personnages principaux, voilà que le rythme narratif s’emballe et s’échauffe, en adéquation avec le tourbillon émotionnel qui saisit nos protagonistes. Dès lors, nous sommes entraînés dans une relation tumultueuse ponctuée de révélations plus ou moins inattendues et de confessions troublantes. [...].

Je vous invite à découvrir la suite sur mon site :
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/02/27/olivia-kincaid-tome-1-call-me-livia-helene-caruso/
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Remise de l’avalanche d’émotions procurée par les deux tomes précédents, c’est avec une énergie renouvelée que je me suis lancée dans cette nouvelle aventure aux côtés de notre chère héroïne…

Ce qui m’impressionne dans les romans de l’auteure – et qui m’amuse également -, c’est ma difficulté à rédiger un résumé de l’ouvrage sans trop en dévoiler. Dès les premiers chapitres, le moindre événement semble revêtir à mes yeux une importance certaine – si ce n’est pas capitale -, nourrissant mon hésitation et troublant ma plume. Mais ne comptant nullement me défiler une fois de plus, je vous propose ceci : Suite à sa cérémonie d’initiation, Marie expérimente une période d’errance dans une solitude des plus pesantes jusqu’à ce qu’elle reprenne contact avec Rosalie. Celle-ci profitera alors de leurs retrouvailles pour lui révéler ses recherches scientifiques et lui proposer de rejoindre sa quête, quitte à provoquer le courroux de la Communauté. Parallèlement, Marie poursuivra la lecture du journal de son amie. De la fuite de l’asile psychiatrique au débarquement en Amérique, en passant par un séjour dans une maison close, c’est un pan bien sombre du passé de Rosalie qui sera dévoilé…

L‘intrigue demeure aussi palpitante qu’à l’accoutumée. Aucun essoufflement, aucune redondance ne pointe le bout de son nez et nous dévorons ce troisième tome avec autant de ferveur que les antécédents. Nous sommes aspirés par l’histoire et les péripéties de notre héroïne. Notre attention est sollicitée à chaque tournant de page. Entre la menace pesante du hacker DarkVisitor, la nouvelle quête de Marie et Rosalie, les aventures de Rosalie au XIXème siècle ou encore le dilemme amoureux de Marie, nous ne savons plus où accrocher notre regard ! De plus, des révélations surprenantes ponctuent régulièrement le récit, nous entraînant toujours plus loin dans ses profondeurs insondables. L’ouvrage se transforme en un véritable jeu de piste, et quand bien même nous penserions atteindre l’arrivée, de nouveaux obstacles se dresseront sur le chemin pour nous entraîner vers de nouveaux horizons. Une expérience des plus vivifiantes !

Cette « puissance » narrative s’explique par la plume prestigieuse de l’auteure qui ne cesse de m’émerveiller. D’une exquise fluidité, d’une richesse sans pareille, elle parvient non seulement à nous divertir mais également à enrichir notre culture personnelle. [...].

Je vous invite à découvrir la suite sur mon site:
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/02/16/ceux-den-haut-tome-3-loscillation-des-ames-luisa-gallerini/
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date : 19-02-2020
L‘incorporation de motifs musicaux dans les romans m’a toujours étrangement fascinée alors inutile de vous préciser la curiosité qu’a éveillé en moi l’alliance de la musique et d’un univers fantastique…

Animae Symphonia nous narre l’histoire de Stéphane, un jeune lycéen passionné de musique. Fils du concierge de l’école, il est continuellement sujet aux moqueries de la part de ses camarades de classe. De plus, son affection pour la belle Yseult accroît sa maladresse et lui fait perdre ses moyens bien trop fréquemment à son goût ! Exaspéré par sa faiblesse, Stéphane ne perd pourtant pas de vue son principal objectif, celui de fonder un groupe de rock alternatif. Mais c’est alors que son monde bascule en une soirée. Trouvant une guitare à l’allure des plus particulières, le lycéen se retrouve projeté dans un monde enchanté habité d’animaux étranges et de créatures insoupçonnées. Nourri par son courage et sa détermination à tirer l’affaire au clair, Stéphane se jettera à corps perdu dans cet univers aux innombrables et ténébreux secrets…

La musique joue un rôle prépondérant dans l’histoire ainsi que nous l’indique le titre assez révélateur. L’ouvrage est habité par les sons, les vibrations et les notes de musique s’entremêlent avec le texte littéraire. En outre, découvrir de nouvelles références musicales fut une activité ludique des plus agréables que j’ai rapidement appris à savourer. Mais le véritable atout de ce roman demeure l‘inventivité. [...].

Je vous invite à découvrir la suite sur mon site :
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/02/14/animae-symphonia-nicolas-bonin/
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Tout d’abord, je dois admettre que je m’engage plutôt rarement sur le sentier de la High Fantasy mais en découvrant le résumé de cet ouvrage, il m’était difficile de rester indifférente à son pouvoir d’attraction…

Ce premier tome s’ouvre sur un prologue assez conséquent relatant la chute d’un roi, d’un royaume et de toute une idéologie, inscrivant d’ores et déjà le roman dans un contexte de mensonges, trahisons et autres manigances. Nous reprenons le récit quelques années plus tard avec Darius, fils du roi disparu et héritier du trône d’Avalann. Intrépide, jouissant d’une liberté encore non entravée par les rênes du pouvoir, le jeune homme ne semble guère se souvenir de la tragédie ayant frappé son père par le passé. Cependant, de sombres prophéties semblent lui réserver une destinée hors du commun, bien que noyée dans une mer de sang et de douleur. Sa rencontre avec le peuple elfique, et plus spécifiquement avec Aldaël, le roi des elfes, scellera son destin et bientôt, Darius empruntera le chemin tortueux de l’amour et de la guerre, s’enfonçant dans les profondeurs inexplorées du royaume et dans les abîmes insondables de la magie…

Le roman porte incontestablement l’empreinte d’un travail intensif de la part de l’auteur. De la création d’un univers non seulement tangible mais aussi fertile jusqu’au tissage d’une intrigue captivante d’une redoutable efficacité, en passant par des personnages charismatiques aux multiples personnalités, nous ne pouvons qu’admirer le soin du détail apporté à l’ensemble tout comme l’énergie déployée afin de faire vivre l’histoire. Rien n’est laissé aux caprices du destin. [...].

Je vous invite à découvrir la suite sur mon site :
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/01/29/la-prophetie-de-la-comete-tome-1-le-galadael-william-ward/
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Après une première immersion dans un Ouest américain alimenté par la poudre, le feu et le sang, c’est pleine d’enthousiasme que je me suis lancée dans de nouvelles aventures en compagnie de Louise et de sa jument de cœur, Arizona-Dream.

Ainsi donc, nous retrouvons notre jeune héroïne, Louise, de retour à son époque suite à ses péripéties éprouvantes au Far-West du XIXème siècle. Si ses souvenirs regorgent des moments inoubliables passés aux écuries OK Corral en compagnie de John Montgomery, le propriétaire des lieux, et de Bastian, palefrenier de son état mais également ami proche et confident, voilà que de nouvelles visions viennent hanter ses pensées. En effet, depuis plusieurs nuits, Louise se voit en proie à des cauchemars aux allures prémonitoires des plus inquiétants. Son meilleur ami semble courir un grave danger et ses cris de détresse poursuivent la jeune cavalière de plus en plus agitée. Saisie par l’urgence, Louise n’attendra guère longtemps avant d’enfourcher sa fidèle monture et de se ruer au secours du jeune homme. Mais un problème persiste: comment parviendra-t-elle à rejoindre Bastian à travers la barrière du temps et de l’espace ?

Une fois de plus, l’auteur nous téléporte au sein des paysages arides de l’Ouest américain de 1881 aux côtés de notre fougueuse cavalière à la crinière dorée. Cependant, les enjeux changent et s’il n’est plus question de réparer l’Histoire, nous nous voyons tout de même embrigadés dans une affaire de vol de bétail avec mise à mort en bout de chemin. Les aventures dont se nourrira notre héroïne seront toujours aussi séduisants qu’auparavant, assouvissant toujours davantage notre soif de découverte et notre curiosité à l’égard de cet univers indomptable. [...].

Je vous invite à découvrir la suite sur mon site :
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/01/17/laventure-au-galop-tome-2-haut-et-court-nicolas-delalondre/
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Voyage dans le temps ? Far-West ? Cowboys ? Autant de mots que de motifs pour démarrer cette nouvelle lecture bien prometteuse en compagnie d’une jeune cavalière encourageante…

C‘est dans une atmosphère alourdie par la peine et le chagrin que nous lions connaissance avec Louise, une jeune fille de quinze ans passionnée par l’équitation. Accablée par la perte de son grand-père, la jeune cavalière tente de fuir sa douleur sur le dos de sa fidèle jument Arizona-Dream. Lancée à vive allure, sa monture file à travers les plaines, faisant siffler le vent aux oreilles de Louise. Mais alors que la jument franchit un obstacle sous forme de barrière, la jeune fille découvre, stupéfaite, des paysages désertiques s’étendant à perte de vue. Ployant sous le poids de la chaleur, tenaillée par la soif, Louise n’aura d’autre choix que d’avancer dans l’espoir de trouver un refuge. Mais quelle ne sera pas sa surprise lorsqu’elle apprendra que le saut de sa chère Arizona a non seulement été spatial mais également temporel, l’emportant au cœur de l’Ouest américain du XIXème siècle ! Bienvenue à Tombstone, ville des duels, des cowboys et des bandits de grand chemin !

Dans ce premier tome, l’auteur nous transporte à une époque lointaine et radicalement opposée à notre société contemporaine, celle de l’Ouest américain du XIXème siècle. Peu documentée sur ce sujet et l’auteur ayant réussi à m’intriguer par le biais de certaines anecdotes historiques intéressantes, ma curiosité m’a naturellement poussée à mener quelques recherches. C’est alors que tout un pan de l’Histoire américaine s’est déployée sous mes yeux éblouis, de la fusillade de OK Corral de 1881, jusqu’aux frères Earp en passant par l’as de la gâchette Doc Holliday. Quelques photos accolées à l’histoire ont d’ailleurs appuyé sa dimension réaliste en lui conférant une consistance plus tangible et achevant de transporter le lecteur au Far-West. L’histoire en elle-même est indéniablement attractive, animée par des péripéties en tout genre et tendue par un suspense délicieusement enivrant. [...]

Je vous invite à découvrir la suite sur mon site:
https://lesoupirduroman.wordpress.com/2020/01/16/laventure-au-galop-tome-1-ok-corral-nicolas-delalondre/
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Après un premier tome riche en découvertes, c’est avec une curiosité non dissimulée que je me lance dans ce second opus qui promet une aventure tout aussi ensorcelante que la précédente…

Comme pour La Momie de Pâques, je fais l’impasse sur un résumé personnel notamment par crainte de révéler de menus détails qui pourraient d’ores et déjà guider le lecteur sur une piste plus ou moins prometteuse. En revanche, je peux vous affirmer sans crainte que ce second récit est tout aussi surprenant que le premier. Si j’étais auparavant entraînée par le récit et ses merveilles égyptiennes, j’ai été ici littéralement aspirée par les aventures de notre chère Marie mais aussi d’Adélaïde, une jeune femme du XIXème siècle. Leurs histoires sont aussi singulières qu’addictives et nous avons bien du mal à nous détacher de l’une comme de l’autre. Je me suis longuement interrogée sur le lien pouvant unir les deux jeunes femmes et je dois avouer que l’auteure a su me surprendre. Je ne m’attendais certainement pas à un tel déroulement des faits et les dernières pages m’ont laissée quelque peu stupéfaite. À ce stade, la suite devient indispensable pour assouvir mon appétit !

La plume demeure aussi charmante qu’à l’accoutumée. Le soin du détail est toujours aussi présent et l’ouvrage se voit donc gratifié de passages descriptifs d’une profondeur indéniable. Je n’oublie pas les diverses illustrations qui jalonnent l’oeuvre et qui apportent cette touche d’originalité en plus. Quoiqu’il en soit, dans ce tome, nous changeons subtilement d’univers et cette fois-ci, c’est la modernité qui est de mise. L’auteure n’hésite pas à mettre à profit celle-ci pour jouer avec ses nombreuses spécificités et libérer tout son potentiel. De ce fait, nous allons explorer l’envers du décor moderne, la face cachée de notre monde contemporain, c’est-à-dire la sphère informatique. [...]

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Comment ne pas succomber à la vue d’une couverture aussi sublime que celle de ce premier tome des Héritiers de Nàdar ? Sans compter un résumé aguicheur prêt à nous emporter dans des lointains encore inexplorés par les simples mortels…

Commençons par le commencement. Nous rencontrons donc Alba, une jeune femme fraîchement engagée au poste d’assistante de production et d’assistante personnelle du producteur. Cette opportunité inimaginable lui ouvrira les portes d’un univers longtemps convoité mais uniquement contemplé de loin: celui du cinéma. Évoluant comme un poisson dans l’eau dans cet océan cinématographique, Alba trouvera rapidement ses marques et parviendra à instaurer une certaine stabilité dans sa vie plutôt chaotique. Cependant, la destinée de notre jeune héroïne semble s’étendre sur des horizons bien plus larges. En effet, des événements troublants surviendront régulièrement dans son entourage et de curieuses et incontrôlables crises de panique alimenteront ses journées, augmentant son inquiétude et son incompréhension. De plus, un étrange individu semble survenir aux moments les plus opportuns, la gratifiant de sa présence protectrice et apaisante le temps d’une rencontre. Mais qui donc est cet homme énigmatique et quel genre de lien pourrait-il avoir avec la jeune femme ? Quant à Alba, pourra-t-elle enfin libérer son essence véritable ?

S‘il m’était donné de décrire ce roman en quelques mots, « attirant, « captivant » et « haletant » seraient ceux qui me viendraient immédiatement à l’esprit. Mon corps, mon esprit, – que dis-je ! – mon être entier s’est vu aspiré par les aventures de notre héroïne. L’auteure veille à envelopper ses pages de mystère et le suspense peut rapidement devenir insoutenable. Notre attention est fragmentée et éparpillée aux quatre vents. Entre les interrogations sur l’état de santé d’Alba, les questionnements sur son passé et autres zones floues, nous ne savons plus où nous donner de la tête ! Sans compter les passages vibrants d’intensité ! Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis surprise à retenir ma respiration pour ensuite la relâcher dans un souffle de soulagement libérateur. L’intrigue est magistralement déployée, révélant une originalité certaine tout comme une profondeur indéniable. [...]

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Après un premier tome fortement marqué par un amour impossible mais également par le mystère, nous nous retrouvons désormais pour une suite tout aussi énigmatique mais surtout propice à bon nombre de révélations…

À l’instar du tome précédent, j’ai rapidement été plongée dans l’histoire. Si ma curiosité était initialement tournée vers le couple Léna/Rick et de la malédiction d’Azmel, cette fois-ci mon regard s’est davantage focalisé sur la complexité de l’univers des Élues. Séparer les deux tourtereaux fut une excellente initiative de la part de l’auteure. Cela apporte un vent de fraîcheur sur le récit et permet au lecteur d’élargir son horizon et de voir au-delà de la romance. En effet, nous pouvons désormais admirer la progression de Léna dans son apprentissage de la magie, apprécier les confidences familiales à leur juste valeur mais surtout contempler l’épanouissement des personnages secondaires, et notamment de Jason, le frère aîné de Rick, qui prendra une place non négligeable dans le récit. Pour faire court, j’ai été totalement happée par ce roman, trépignant d’impatience d’obtenir enfin le fin mot de l’histoire ! Mais comme à son habitude, l’auteure ne dévoile pas si facilement ses secrets, et si certains seront révélés à la lumière du jour, d’autres émergeront de l’obscurité afin de nous fournir une fin bien étrange…

Quelques mots sur la plume de l’auteure avant d’en venir aux personnages. Si elle reste aussi agréable et naturelle qu’auparavant, nous pouvons noter une légère amélioration du point de vue de sa profondeur. J’avais reproché un manque de développement au niveau des protagonistes mais également une tendance à la précipitation et à la répétition un tantinet problématique. Si certains passages mériteraient peut-être un soupçon de consistance en plus, le récit enchante dorénavant par un rythme plutôt soutenu et une diversité bienvenue, un mélange des plus attractifs. [...].

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Totalement envoûtée par le résumé pour le moins original promettant voyages et découvertes mais aussi un amour véritable en bout de chemin, Unis pour la vie s’était déjà frayé un chemin vers mon cœur. Mais a-t-il réussi à s’y loger au terme de ma lecture ? Telle est la question…

Il existe au Bergseeland ce qu’on appelle le Programme. Destiné à l’ensemble des Bergseelandais désireux d’en faire partie, il a pour objectif de réunir des hommes et des femmes aux intérêts et goûts communs, des personnes dites compatibles. En somme toute, l’intelligence artificielle permet de trouver à chaque individu son âme sœur. Une perspective bien alléchante, n’est-ce pas ? Pourtant, ce n’est pas du tout l’avis d’Amaryllis. Peu convaincue par le Programme et n’aspirant à rien d’autre qu’à une vie conforme à ses souhaits et non dictée par qui que ce soit – et sûrement pas par un ordinateur -, la jeune étudiante décide de prendre la poudre d’escampette. Malheureusement, ses responsabilités familiales la contraindront à retourner à la case départ et ni une, ni deux, la voici engoncée dans une robe immaculée prête à épouser un total inconnu. Qui est donc son mystérieux futur mari ? À quoi ressemblera désormais sa vie ? Pourra-t-elle réellement trouver ce véritable amour promis ?

L‘une des choses que j’ai apprécié dans cet ouvrage, c’est le Bergseeland lui-même. Cette contrée construite de toutes pièces par l’auteure m’a surprise par sa singularité tout comme elle m’a amusée par son système. Imaginez-vous un pays non seulement riche en paysages majestueux et en panoramas enchanteurs mais également totalement voué au service de ses habitants. Difficile à concevoir, n’est-ce pas ? Et pourtant, nous tombons rapidement sous le charme du Bergseeland et de ses particularités. D’ailleurs, j’ai pris grand plaisir à le découvrir plus intimement grâce à la petite fiche aux allures de brochure de voyage fournie en fin d’ouvrage par l’auteure. Une initiative qui m’a véritablement conquise et qui a rassasiée ma soif d’exploration. Mais plus loin que cela, l’auteure nous invite à nous interroger sur notre libre arbitre et sur la part non négligeable que prend l’intelligence artificielle dans notre existence. [...]

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La couverture sublime m’avait déjà conquise au premier regard mais la lecture du petit résumé des plus intrigants a éveillé en plus mon intérêt, aiguisant mon appétit pour cet ouvrage décidément bien aguicheur…

Dans La Malédiction d’Athéna, nous faisons la connaissance de Morgane, une jeune femme qui, après un long sommeil, se réveille dans un palais au beau milieu de la Grèce Antique. Frappée d’amnésie, étourdie et déboussolée, elle rencontre son « guide » en la personne de Dimitri, un jeune homme énigmatique qui se révèle être le fils de la déesse de l’agriculture et des moissons, Déméter. Entourée de demi-dieux, de créatures sorties tout droit de la mythologie grecque, Morgane découvre un monde étrange mais d’une indéniable beauté. Mais la belle n’est visiblement pas destinée à vivre une vie paisible. Entre manigances, avertissements et tensions, son séjour divin prend une tournure des plus inquiétantes. Une guerre semble sur le point d’éclater et Morgane se retrouve prise dans la tourmente, contrainte d’entreprendre un voyage périlleux afin de rétablir la paix. De plus, de curieux songes viennent la hanter, superposant temps archaïques et temps modernes. Mais qui donc est réellement Morgane ?

Surexcitée par la perspective d’un voyage dans un passé antique peuplé par les dieux et créatures mythologiques qui me tiennent tellement à cœur, je ne cache pas que mes attentes étaient assez élevées. C’est souvent le cas lorsqu’il s’agit de mythologie, et je m’en excuse. Toutefois, je vous rassure tout de suite, l’auteure a réussi à m’envoûter. Dès les premiers chapitres, il devient évident que celle-ci connaît véritablement son sujet et que la mythologie grecque n’a aucun secret pour elle. L’ampleur de ses connaissances permettent de façonner un univers étendu foisonnant de références aussi nombreuses que diverses. De plus, l’intrigue est relativement bien menée. La perte de mémoire de Morgane permet de maintenir le personnage tout comme le lecteur dans l’ignorance et le doute et les révélations s’en trouvent d’autant plus délicieuses qu’elles touchent simultanément le premier comme le second. Et s’il existe un mot qui est inconnu au bataillon, c’est l’ennui. [...]

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Que de questionnements dans le résumé ! Avide d’en connaître les réponses, ma curiosité piquée à son maximum, je n’ai pu résister à cet appel et c’est ainsi que La Porte du Temps s’est retrouvée entre mes mains impatientes.

Dans ce premier tome, nous sommes propulsés aux côtés d’une jeune fille nommée Léna. Endeuillée après la perte tragique de ses parents, elle rejoint la famille de sa tante Éléonore composée de ses deux cousines Andy et Jamie. Résolue à reprendre sa vie en main, Léna intègre le lycée de la ville et tente de nouer de nouveaux liens d’amitié. Toutefois, sa rencontre avec les « frères noirs » Jason, Ménas et Rick marquera un tournant décisif dans sa vie. Leur comportement mystérieux attise la curiosité de la jeune fille mais c’est son attirance croissante et inexplicable envers Rick qui fera frémir les tréfonds de son âme. Envoûtée par le jeune homme aux yeux ensorceleurs, Léna ressentira littéralement les battements de son cœur vibrer au diapason du sien. Mais c’est alors qu’elle découvre un secret de famille qui remettra en question non seulement son amour envers Rick mais également sa propre existence…

Au premier regard, l’intrigue est terriblement attractive et pour être sincère, j’ai été immédiatement entraînée par le rythme de l’histoire. L’action ne se fait absolument pas attendre tout comme le mystère qui ne tarde pas à nous accrocher et à abattre son manteau sur le récit, nous plongeant dans une obscurité piquée à l’occasion de quelques rayons de lumière. À l’instar de Léna, nous sommes rongés par les interrogations et notre intérêt envers les frères noirs ne cesse de croître au fil des pages. Les suppositions fusent, les événements s’enchaînent et avant même de nous en rendre compte, nous achevons notre lecture légèrement désappointés, abandonnés dans le doute et l’incertitude, bien qu’animés par une pointe d’espoir. La seule évidence qui s’impose dès alors est la nécessité de nous acquérir le prochain tome afin de soulager cette agitation née d’une fin exaspérante de suspense ! En somme toute, c’est une histoire tout à fait plaisante à lire.

Quelques mots peut-être à propos de la plume de l’auteure que j’ai trouvée bien agréable à suivre par sa fluidité irréfutable. L’unique chose que je regrette est le tempo un tantinet trop rapide. [...]

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Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas eu l’occasion de me détendre en compagnie d’une agréable romance mais L’Envol du Papillon a su combler ce manque et m’offrir un moment de pur ravissement.
L‘auteure nous présente une romance relativement douce à l’image de la couverture aux délicates nuances pastels, mais également très légère, ce qui explique en partie le choix du titre. Nous rencontrons donc Elisa, jeune femme pleine de joie et de vitalité, ainsi que tout son petit univers concentré sur une petite plantation en Guadeloupe. Mais ses longues promenades et vadrouilles en compagnie de son fidèle et bon ami Donatien se verront remplacées – à son immense désarroi – par des soirées mondaines interminables et autres visites de courtoisie. En effet – sur ordre de ses parents -, Elisa se doit de partir pour la France afin de rencontrer sa famille paternelle et tenter de reprendre une place convenable dans la société, place compromise par avance par le mariage déshonorant de son père avec une roturière quelques années auparavant. C’est alors qu’elle fera la connaissance d’Alexandre de Noyal, un comte au charisme ensorcelant qui ravira son cœur et son âme…
J‘ai énormément apprécié ma lecture et je m’y suis tout aussi rapidement immergée. L’histoire suit calmement son cours au fil des pages et naviguer au milieu de ces eaux tranquilles a été une expérience des plus plaisantes. L’œuvre entière est empreinte de sensibilité et d’élégance. Comme la plus légère des brises, l’univers de l’auteure vient effleurer les sens du lecteur pour lui offrir un moment de pure rêverie. […].

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Qui ne serait pas intrigué après la lecture d’un tel résumé ? Un soupçon d’ésotérisme, une touche d’archéologie et une pointe de romance, voilà une recette qui semblait tout à fait convenir à mes papilles gustatives…

L‘histoire est rien de moins qu’originale à l’instar de l’univers choisi par l’auteure. Afin de préserver le mystère, je m’en tiendrais au quatrième de couverture déjà bien fourni mais il faut savoir que le mélange de la religion chrétienne et de la mythologie égyptienne forme un cocktail assez étonnant au premier abord mais relativement délicieux une fois qu’on y a goûté. Posant un pied tantôt en Europe contemporaine, tantôt en Égypte du XIXème siècle, nous vagabondons à travers le temps et l’espace avec une fluidité étonnante. Le récit, rythmé par les nombreuses interrogations tout comme les découvertes surprenantes, enveloppe l’ouvrage d’un voile de mystère et de danger. Aventures, enquêtes, énigmes, romance… l’auteure pioche dans ses ingrédients afin de pimenter ou d’adoucir l’histoire au fil de son avancée. L’imprévisibilité est de mise et je ne compte plus le nombre de fois où j’ai été surprise par des rebondissements complètement inattendus ! Une expérience que je n’oublierai certainement pas de sitôt et je ne peux que remercier l’auteure pour ces moments inoubliables…

Je dois admettre qu’une grande partie de mon admiration et de mon enthousiasme a été engloutie par tout l’aspect didactique que nous offre le roman. [...]

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Comme à mon habitude, les séries traînent quelque peu dans ma pile à lire et Bane Seed n’a malheureusement pas fait exception à la règle. Alors qu’un nouveau livre vient de pointer le bout de son nez, je ne peux qu’épousseter ce second tome et tenter de rattraper le train.

Après un conflit farfelu entre Brownies et Leprechauns, c’est avec bonheur que nous retrouvons notre couple électrique Bane-Dorian qui régale toujours autant nos papilles. Mais alors que les étincelles crépitent de plus belle entre notre farouche Banshee et notre Incube irrésistible, voilà que le duo se transforme en un quatuor au seuil de l’explosion ! Entre une apprentie Banshee récalcitrante, Lorid – un sex-friend au flegme tout britannique -, un Incube curieusement amer et une Bane aux limites de sa patience, la tension au sein du groupe est à son paroxysme. Tirez un trait sur toute notion de calme et de tranquillité – y en a-t-il d’ailleurs déjà eu ? -, et jetez-vous dans une bataille héroïque pour la justice, l’amitié et… le privilège ? Décidément, Dorian ne cessera de nous surprendre ! Quoiqu’il en soit, dissimulation, frustration et affrontement sont les mots-clés de ce second tome qui continue de nous divertir par une histoire et une plume des plus pétillantes.

En effet, la plume de l’auteur demeure aussi fluide et vive que précédemment. Nous sommes facilement emportés par le fil de l’histoire et c’est avec une certaine stupéfaction et une pointe de regret que nous constatons l’achèvement de notre lecture. L’auteure capte facilement l’attention du lecteur et nous nous retrouvons rapidement sous son emprise. De plus, humour et légèreté nous accompagnent tout au long de la lecture. [...]

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L‘attirance fut immédiate. Comment ne pourrait-on pas être séduit par ce résumé si alléchant aux innombrables promesses ? Aventure, action, suspense… Tous les ingrédients semblaient réunis pour nous concocter une histoire des plus magnétiques.

L‘action ne se fait décidément pas attendre. Dès les premières lignes, nous sommes jetés au cœur d’une vente aux esclaves frénétique dans un univers totalement inconnu. Cependant, quelques pages supplémentaires suffiront pour nous y plonger jusqu’à l’oubli. J’ai été instantanément absorbée par l’histoire et tout aussi rapidement rongée par la curiosité. Celle-ci s’est insinuée dans mes veines comme le plus doux des poisons et dès lors, il m’a été impossible de lâcher mon ouvrage. Le désir d’en savoir plus, d’explorer plus en avant l’étendue de l’univers forgé par l’auteur, n’a cessé d’aviver mon intérêt. À l’instar du Joueur de flûte de Hamelin, l’auteur envoûte son lecteur et l’attire toujours davantage dans les profondeurs insondables de son récit. De plus, l’intrigue est menée avec une dextérité prodigieuse. Les révélations et autres explications se font au compte-gouttes et nous sommes constamment suspendus à ces petits caractères noirs qui détiennent la clé de notre affranchissement.

Le charme s’opère également au travers de l’univers qui nous étonne tant par sa complexité que par sa richesse. J’ai été enchantée au delà de toute raison par le soin apporté aux détails. Tout objet mentionné a une signification particulière et est placé à tel ou tel endroit pour une raison bien précise. Il peut tout aussi bien révéler le caractère d’un personnage ou bien un indice quant aux événements à venir. Quoi qu’il en soit, l’auteur ne laisse absolument rien au hasard. Mais la fécondité de cet univers va bien au-delà des simples accessoires. [...]

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Curieuse de connaître le prochain mouvement de Camille et de ses alliés suite à la provocation des Oneiroi, je n’ai pas bien tardé avant d’enchaîner ma lecture avec le tome suivant Le Réveil de Morphée.

Nous avions quitté précédemment nos héros tout juste après l’enlèvement de la mère de Camille, Carole. Déboussolés et accablés, leur confiance et leur aptitude à se défendre face aux divinités ont été sérieusement ébranlées. Sûrs de leur avantage sur les jeunes lycéens, les Oneiroi se sont alors permis de goûter à la douce saveur de la victoire et à l’amertume de leurs adversaires. Mais c’était sans compter la farouche détermination de Camille à sauver sa mère des griffes de ces êtres prêts à tout pour s’emparer de son médaillon. Déterrant le passé de sa famille, ressuscitant des souvenirs oubliés depuis longtemps, la jeune fille ne s’avouera pas vaincue et n’épargnera pas ses efforts pour découvrir la vérité sur son ascendance. Comme le dit Icélos, « ils me casseront les pieds jusqu’au bout ceux-là ! ». Accompagnée – entre autres – de sa meilleure amie Luna et de son chien Guinness, Camille emploiera tous les moyens à sa disposition pour placer sa famille et ses amis en sûreté et mettre un terme aux agissements des Oneiroi.

Ce second tome oscille entre mystère et révélation. Grâce à ses recherches intensives, Camille fera bon nombre de découvertes qui lui permettront de se rapprocher toujours davantage de sa mère mais aussi de son héritage. Mais tandis que certaines zones d’ombre seront éclaircies par ses soins, d’autres nuages viendront obscurcir le ciel, remettant de nouveau en question ses affirmations. Ainsi, le lecteur se voit toujours maintenu dans l’incertitude et le brouillard et ce n’est qu’en marchant sur les pas de nos protagonistes qu’il pourra espérer parvenir à déchiffrer les indices disséminés à travers le récit. L’action est également au rendez-vous. [...]

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Un résumé alléchant, une couverture accrochant efficacement le regard, que pourrait-on demander de plus ? Une histoire à la hauteur de nos attentes, bien sûr ! Il est donc temps de découvrir si le premier tome de L’Interne a su aussi bien capturer mon cœur…

Nous faisons donc connaissance de Julia, une jeune femme fiancée à James, avocat en devenir aussi talentueux que charmant. En suivant l’homme de sa vie à l’autre bout du pays, elle ne rêve que de deux choses : un mariage somptueux et une vie de famille épanouie. Mais c’est alors que tombe une nouvelle qui bouleversera sa vie à tout jamais. Stérile, Julia ne pourra mettre au monde ces enfants dont elle a si souvent rêvé. Voyant son plus cher désir se transformer en chimère, la jeune femme tombe en désarroi. Comment combler ce vide qui lui ronge l’âme et le cœur jour après jour ? La solution s’impose d’elle-même. Trouver un nouveau sens à sa vie. C’est alors que Julia décide de reprendre ses études de médecine, tentant d’oublier son chagrin en se consacrant corps et âme à son internat. Cependant, la jeune interne n’est pas au bout de ses peines. Entre un fiancé réel mais de plus en plus insaisissable et un médecin irrésistible tout droit sorti de ses fantasmes, saura-t-elle retrouver son équilibre ?

L‘atout incontestable de ce roman, c’est la facilité et la rapidité de l’immersion. Dès les premières pages, nous sommes entraînés par un courant des plus vifs et tumultueux. Nous plongeons directement au cœur de la tourmente et l’auteure ne nous laisse pas la moindre occasion de reprendre notre souffle. Les péripéties s’enchaînent les unes après les autres et l’ennui ne fait décidément pas partie du voyage. Absorbée comme je l’ai été, j’ai été étonnée d’arriver si vite au terme de ma lecture ! De plus, l’auteure manie l’art du suspense avec brio. [...]

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