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Dario Argento: Le Magicien de la peur



Description ajoutée par LIBRIO64 2018-12-15T23:42:44+01:00

Résumé

Avec Suspiria, en 1977, Dario Argento marque une étape fondamentale dans l'histoire du cinéma fantastique.

Il a depuis réalisé le deuxième volet, Inferno (1980) puis conclu sa trilogie des mères avec La Terza Madre (2007). Des cinéastes, et non des moindres comme John Carpenter et Brian De Palma, avouent leur admiration pour lui et de nombreux amateurs lui vouent une sorte de culte.

Italien, fils d'un producteur et d'une photographe, d'abord critique de cinéma, il coécrit le scénario de Il était une fois dans l'Ouest au moment où les genres hollywoodiens moribonds viennent chercher en Italie un second souffle.

Depuis son premier film en 1969, L'Oiseau au plumage de cristal, il a principalement œuvré à l'intérieur d'un genre, le giallo, récit criminel où la violence se teinte de sadisme, et caractérisé par des codes immuables, connus du spectateur qui vient y chercher des sensations fortes et jouir pleinement de sa peur.

Mais loin de rester confinée à l'intérieur de ces frontières, l'oeuvre d'Argento, au confluent d'influences multiples, tant de la peinture maniériste, de l'art baroque que des nouvelles vagues européennes, constitue une synthèse entre la modernité et le cinéma de genre.

De la modernité, il a su tirer une audace formelle, le goût de l'expérimentation, du cinéma de genre, il a conservé les personnages, criminels, victimes, enquêteurs, et les récits à base de complots occultes et de rituels sanglants.

Argento a le goût de la greffe et du métissage entre matières nobles et triviales. Chez lui, l'opéra côtoie le roman-photo entre chef-d'oeuvre et chromo.

La beauté des films d'Argento ne tient qu'à un fil, à condition que le spectateur croie ce qu'il voit, qu'il accepte que ses sens prennent le pas sur la raison.

Alors, un monde nouveau et enchanteur prend naissance, le réel révèle une part d'énigme, le spectateur plonge au cœur d'un cauchemar métaphysique.

200 photographies, la plupart en couleurs

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Commentaires récents

Bronze

Cet ouvrage est sans doute l'analyse filmique la plus pointue que j'ai eu à lire de toute ma vie. L'auteur est visiblement (et le prouve dans ses exposés et conférences) un très grand amateur de l'oeuvre d'Argento. Je lui reprocherais toutefois de nombreuses redites, un vocabulaire qui se veut volontairement doctoral et donc, pas à la portée de tous, ce qui est dommage pour un réalisateur qui s'adresse à un auditoire vaste, malgré un style et, bien sûr, un «sous-texte» qui va plus loin que l'image. Intéressant, mais trop didactique et in fine (comme le dirait à répétition l'auteur) trop répétitif et trop long.

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