Une palette de personnages tous plus suspects les uns que les autres, un meurtre perpétré dans des circonstances étranges, et l'intelligence légendaire d'Hercule Poirot ; un roman d'Agatha Christie comme on les aime, court mais efficace et très bien organisé. L'identité du coupable m'a énormément surpris, mais les explications données à la fin rendent cela très plausible et bien ficelé.

Un bon roman policier pour les fêtes de Noël ; je n'avais encore jamais lu celui-ci, mais je n'ai pas su résister à l'appel d'un tome de Hercule Poirot. J'ai, pour une fois, réussi à déduire qui était le coupable avant la fin du roman. Comme à l'accoutumée, il s'agissait d'une fin inattendue très plaisante !

Je l'ai lu en version originale (espagnol) pour m'entraîner un peu et ne pas oublier tout ce que j'ai pu apprendre de cette langue au lycée, et j'ai beaucoup aimé ce livre. J'ignore si la version française m'aurait laissée une impression différente, mais quoi qu'il en soit, je le recommande à tout amateur de littérature hispanophone ou de littérature à suspense.

C'est une belle dénonciation de la peine de mort que cet ouvrage ; qui plus est, en laissant le lecteur dans l'ignorance du crime commis par le condamné, le plaidoyer de Hugo contre la peine de mort gagne en intensité.
Un bon livre qui se lit sans difficulté, et qui invite à la réflexion.

J'ai été transporté du début à la fin par cette lecture, c'était... Ouaw, je ne sais pas, violent, en quelque sorte. Violent et effrayant, mais tellement prenant et addictif en même temps. Je n'avais pas ressenti ça depuis un bon moment, en lisant un livre. Monsieur Carrisi est un maître !

Cet enchevêtrement d'histoires liées les unes aux autres par les fils du destin, c'est d'une telle puissance, et quelle maîtrise ! Le personnage de Marcus est fascinant du début à la fin. Aux enquêtes de Marcus et Sandra s'ajoutent celle du chasseur qui traque le tueur transformiste, passionnante sur tous les points, elle aussi.

La fin magistrale qui relie tout m'a complètement chamboulé. Rarement, en finissant des livres, je me suis dit que c'était un chef d'œuvre tout du long, mais là... je ne peux que m'incliner devant la qualité de cet ouvrage.

L'auteur m'a transporté dans un monde d'après-guerre où Andrew Ryan, idéaliste rêvant d'une utopie incroyable, décide de bâtir Rapture. Une cité où l'artiste ne craint pas la censure ; où le scientifique n'est pas arrêté par une quelconque éthique ; où le grand n'a pas à être menacé par le petit, comme le dit si bien la cinématique d'introduction de Bioshock premier du nom.

On retrouve l'univers du jeu avant la chute de Rapture suite à l'attentat du restaurant Kashmir par Atlas et ses hommes, et c'est avec plaisir que l'on suit quelques personnages connus, comme l'énigmatique Andrew Ryan ou d'autres figures clés de Rapture.

Un ouvrage à lire pour tout amateur de Bioshock et de son ambiance si unique.

A la sueur de votre front, Rapture peut devenir votre ville, à vous aussi.

Un excellent recueil de nouvelles fantastiques ou horrifiques, avec lequel j'ai découvert Lovecraft il y a quatre ans. J'en ai relu certaines il y a peu, et elles m'ont autant transporté qu'à la première lecture.

"Herbert West" notamment, est une nouvelle excellente et à l'atmosphère particulièrement oppressante ; il s'agit de mon texte de Lovecraft favori, et je ne me lasse jamais de le relire.

Les autres m'ont moins marqué, mais n'en restent pas moins, pour la plupart, très bonnes. "Dagon" et "Le Temple" figurant parmi mes favorites.

J'ai découvert ce livre grâce à la trilogie de jeux "Bioshock", en particulier le premier. La philosophie objectiviste d'Ayn Rand a énormément inspiré l'un des personnages centraux du jeu, Andrew Ryan - dont le nom est, à peu de choses près, l'anagramme d'Ayn Rand -, et sa ville sous-marine, l'impressionnante utopie qu'est Rapture.

Livre très long - plus de mille pages -, mais pas moins très captivant. Il s'agit de l'ouvrage littéraire, juste après la Bible, le plus influent aux Etats-Unis, si ma mémoire est bonne, et il n'a pas usurpé sa place.

Je l'ai terminé ce matin-même à deux heures, transporté par le discours vibrant de John Galt, qui ne dure pas moins de soixante pages, soit six pour cent du livre environ, ce qui est énorme.

Un livre que je conseille à tout amateur de philosophie ou de politique - et à tout fan de Bioshock qui se respecte !