Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
Evoquer le groupe des Doors, c'est avant tout parler de Jim Morrison, leur chanteur. Sa beauté, ses attitudes provocantes, en scène comme hors de scène, firent de lui le plus violent symbole de sexualité et de révolte des jeunes générations américaines de la fin des années soixante.
Les Doors, ce sont des chansons comme "Light my fire", "The end", "When the music's over" et tant d'autres cris dont le délire se teinte d'un troublant réalisme. Face à la béatitude hippie où baignait, en ces années 1966-1967, la Côte Ouest des Etats-Unis, seuls les Doors exprimaient la sombre réalité de l'Amérique.
Les Doors, en effet, c'est l'Amérique des villes, l'univers écrasant de Los Angeles, que reflète la voix puissante de Jim Morrison, un Morrison vêtu de cuir noir, qui fait scandale à Newhaven, à Miami et ailleurs, un Morrison barbu et immobile au festival de Wight, ce Morrison, enfin, qui meurt brutalement à Paris en juilet 71, à l'âge de 27 ans...
Mais, au-delà des Doors, au-delà de cette image surhumaine, il y a la personnalité bien plus complexe, plus vulnérable de Jim Morrison, tout ensemble homme à la sensibilité extrême et à l'intelligence exceptionnelle, poète étonnant, cinéaste passionné, créateur inépuisable, bref, un être profondément torturé et parfaitement lucide...
C'est à cet être humain d'une richesse intense que l'auteur, qui a connu Jim Morrison à Paris, au cours des derniers jours de sa vie, veut ici rendre justice.
Afficher en entier