Journal d'un prince banni
Auteur
- Moulay Hicham El Alaoui (Écrivain)
Thèmes
BiographieAcheter d'occasion
Classement en biblio - 5 lecteurs
extrait
Mais les néoconservateurs américains ont exploité le 11 septembre à des fins politiques pour forger l’union sacrée à l’intérieur et, à
l’extérieur, pour justifier leur mainmise sur le monde arabe, ce qui a fait le jeu d’Oussama Ben Laden. L’idée d’une « guerre »
contre le terrorisme d’Al-Qaïda était une aberration, un nonsens qui a gonflé le « monstre » Ben Laden en même temps que la cote de popularité de George W. Bush
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c'est un livre touchant le prince parle de sa vie au sein de la monarchie marocaine "sa famille" vivant parmi eux jouissant d'un staut de prince puis rejeté au regne de mohammed vi comme si il etait un renegat.
je suis vraiment interloquée par la forte memoire du prince c'est extrordinaire comme il arrive a se souvenir du moindre detail ..
j'ai un petit souci concernant le prince ; comment puisse t il travailler comme conceiller de bernard kouchner encore plus dans l'affaire kosovo c'est scandaleux d'autant plus que tout le monde sache le scandale de kouchner dans les massacres de kosovo enfin c'etait une lecture agreable a une exceptions faite pour beaucoup de details politiques
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Editeurs
Résumé
Rasons le palais s’il emprisonne la démocratie au Maroc ! Pour la première fois, un prince alaouite raconte le royaume vu du sérail dans un langage vif, humain et sans concession. Cousin germain du roi Mohammed VI, Moulay Hicham a été banni du palais pour avoir réclamé, à la mort de Hassan II en 1999, une vraie monarchie constitutionnelle - un royaume pour tous - à la place du makhzen, le pouvoir traditionnel, arbitraire et prédateur. Harcelé et menacé dans son pays, il vit depuis 2002 avec sa famille aux États-Unis.
Ce « journal » est bien davantage qu’un manifeste politique. Fil d’Ariane dans les méandres du palais, conte oriental de mille-et-une anecdotes, il campe un portrait de Hassan II étourdissant de grandeur indéniable et de cruauté perverse. Or, ce souverain excessif, prêt à « pendre ses ennemis par les cils de leurs yeux », n’a pas de successeur à sa mesure. Timide, écrasé par son père, le prince héritier n’aime pas le métier du pouvoir. En revanche, son cousin rue dans les brancards pour grandir en s'opposant à Hassan II, à la fois mentor et repoussoir. La suite se lit comme une tragédie shakespearienne.
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