Le lumineux destin d'Alexandra David-Néel
Auteur
- Jean Chalon (Écrivain)
Classement en biblio - 31 lecteurs
extrait
As-tu le pied assez sûr pour l'escalade ? Es-tu assez audacieux pour regarder en face n'importe quel danger ? Assez sage pour écarter les illusions ? As-tu surmonté l'attachement à la vie et te sens-tu capable d'allumer en toi-même, la lampe qui doit éclairer ta route ?
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Le livre est tellement mal écrit que la lecture en est pénible. Ce n'est pas le plus grave. Il affirme à de nombreuses reprises des choses inexactes, voire fausses, et dresse un portrait d'Alexandra David-Néel bien éloigné de la réalité, il suffit de lire sa correspondance à son mari pour s'en rendre vite compte.
Il faut reconnaître à ce livre le mérite d'avoir fait découvrir Alexandra David-Néel à de nombreux lecteurs, elle était bien oubliée lors de sa parution.
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Lu par obligation professionnelle et intéressé par le personnage extraordinaire. Les ouvrages d'Alexandra David-Néel sont souvent difficiles d'accès pour les novices en tibétologie, excepté le recueil de sa correspondance du "Journal d'une parisienne à Lhassa".
Dans ce livre, Jean Chalon nous offre un double cadeau : tout d'abord, il dévoile des facettes et des périodes de la vie de l'aventurière qui sont souvent méconnus (chanteuse d'opérette en Tunisie ou les années d'errance, en pleine révolution chinoise). Ensuite, il nous dresse un portrait de la femme, sans flatterie ni complaisance.
Ce livre se lit comme un bon roman et on l'achève avec la nostalgie d'un siècle si vite écoulé entre les pages.Cette biographie, est agréable dans son ensemble et m'a intéressé
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C'est un très beau livres
J'ai bien aimer le lire
Elle a vécu une belle vie
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Femme d'aventure et écrivain, Alexandra David-Néel vécut plus de cent ans. Enfant, elle connut Victor Hugo, sautant sur ses genoux. Plus tard, elle connut le géographe anarchiste Elysée Reclus, devint première chanteuse à l'opéra d'Hanoï, rencontra, à Aden, un négociant nommé Rimbaud et se passionna, à la fin de son existence, pour la révolte de mai 68 et les exploits des premiers astronautes sur la lune.
Mais la grande aventure de sa vie fut sa rencontre avec le bouddhisme. Elle fut la première femme à pénétrer dans la ville sainte de Lhassa et laissa une quarantaine d'ouvrages consacrés à cette religion ou traitant des différents aspects de la vie asiatique.
Jean Chalon consacre un livre à ce destin fabuleux, celui d'une aventurière qui, ne voulant pas d'enfant, laissa son mari derrière elle, pour suivre un chemin qui la mènera au milieu des tourments d'une Chine alors déchirée entre les troupes communistes, les seigneurs de la guerre et les armées japonaises. Accompagnée du lama Yongden, son fils adoptif, elle parvint à 56 ans sur le toit du monde, dans la cité mythique de Lhassa...
Cet ouvrage, paru aux éditions de la librairie académique Perrin en 1985, se lit comme un véritable roman d'aventure. Il est littéralement passionnant.
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J'ai lu ce livre tout à fait par hasard. Peut-être à cause de la couverture, ou des photos en noir et blanc, ou du Tibet...en tout cas je n'ai pas été déçu. C'est une belle histoire, un beau livre. Est-ce que des destins comme ça, des voyages comme ça sont encore possibles ?
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Date de sortie
Le lumineux destin d'Alexandra David-Néel
- France : 1985-03-01 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Dans Le Lumineux Destin d'Alexandra David-Néel, j'ai voulu surtout respecter le rythme de ce destin galopant. C'est d'ailleurs l'un des secrets de cette vitalité alexandrine qui tient du prodige : Mme David-Néel ne s'est jamais arrêtée. Comment aurait-elle eu le temps ? Elle s'incarna, en une seule existence, en tant de personnages : anarchiste, bourgeoise, bouddhiste, cantatrice, orientaliste, exploratrice (elle fut la première Parisienne à pénétrer à Lhassa en 1924), journaliste, écrivain... Comment aurait-elle pu perdre un instant alors que sa vie, sa vraie vie selon ses plus profonds désirs, ne commença qu'à quarante-trois ans ? Quelle leçon de patience et d'endurance ! Bondissant sans cesse en avant, sans cesse en mouvement, même quant on la croit immobilisée à sa table de travail, celle qui, centenaire, faisait, à l'étonnement de son entourage, renouveler son passeport, n'a consenti à se reposer qu'en consentant à mourir, en 1969. Et encore, rien ne prouve que la mort, pour Alexandra, soit un repos éternel !
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