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Commentaires de livres faits par JulieTellier

Extraits de livres par JulieTellier

Commentaires de livres appréciés par JulieTellier

Extraits de livres appréciés par JulieTellier

"
-¡ Hola luís ! ¿ Qué Tal ?
Clic Clac
C'est insensé ! elle a l'air encore plus vielle de nuit ! Je vais pas y arriver...
"
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"
-Ben voilà ! Je vous ai mise là. Ca devrait aller. C'est juste à côté des toilettes.
- ¡ Luís Gracias por tu hospitalidad ! Dios te lo, devolverá.
-Heu...Plaît-il ?
- Elle dit à toi "merci pour ton accueillement. Dieu te paiera pour ça."
- Ah ! OK ! Mais mon prénom c'est Louis.. pas "Luísse".
- ¡Si ! ¡ Si ! ¡ Luís !
"
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"
-Bééé
-Tu vois ? Mireille Mathieu va bientôt mettre bas. Ses mamelles sont tellement gonflées de lait qu'elles lui font mal. Je vais la traire.
-Vous avez appelé votre chèvre Mireille Mathieu ?! Comme la chanteuse ?!?
-Elles ont un peu la même voix, tu ne trouves pas ?
"
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"
- C'est mon bras que tu regardes comme ça, princesse ? Je l'ai perdu en faisant un bras d'honneur à des gendarmes. Ce qui prouve bien, jeune fille, qu'il ne faut jamais faire de bras d'honneur. Pas même à des gendarmes !
"
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date : 22-09-2020
ça va passer.
"C'est que quelques insultes, t'as qu'à les ignorer, ça va passer.
tu vas à l'école pour travailler pas pour te faire des amis.
Dans quelques semaines tout le monde aura oublié."
C'est pas grave.
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“paquets de chips, boîtes de céréales et de burgers, capsules de bouteilles, barquette de riz, sachets de bonbons, briques de jus de fruits, plaquette de médicaments, aluminium d’emballage, essuie tout…”
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date : 15-05-2019
« Je vous présente une nouvelle élève, annonça le prof, elle s’appelle Haya. Elle vient de Syrie… »
C’est drôle, songea Gabriel, il y a des gens qui attirent l’attention sans qu’on sache pourquoi… Cette fille, il ne la connaissait pas, mais elle l’intriguait à cause de ses yeux graves et la manière dont elle relevait fièrement le menton comme un défi…
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"Quelques jours plus tard, l'exclusion de Marie prit fin."
-Oh mon Dieuuu !
-C'est elle !
-Mais quelle SALOPE !
- Excusez moi.
-Quoi t'as un problème ?
-Humm... En fait c'est quoi une salope ?
-...
-Marie, venez une minute dans mon bureau.
P.37
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"Plus tard, je veux faire des études pour devenir héroïne de roman. C'est un bon métier, et cela permet de vivre au passé simple. Tu ne trouves pas que c'est plus joli ?
- J'ai encore faim, dit à ce moment son frère. Maintenant, je veux une pizza."
-P52.
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J'en suis restée à ce que j'ai compris ce jour-là. Et rien n'a changé depuis mon enfance. Si, par un sinistre mois sans r, vous m'enfermez à double tour dans un F3 moisi du pire Nulle-Part-Land de la terre, il en sortira un roman. Je suis ainsi faite : que je voyage ou pas, l'ailleurs est en moi.
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" Mystérieuse permanence de l'amour, dans le tourbillon incessant de la vie."
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date : 08-11-2017
- Tu vois l'art c'est bien plus que ça !

-L'art c'est une transpiration... UN VOMI !! C'est quelque chose qui SORT de toi tu comprends ?
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PUTAIN DE DIEU, J'AI DIT QUE JE SAVAIS !
Ouvrez les yeux ! On n'a pas le temps pour ça ! Il faut qu'on se tire d'ici avant d'être tous condamnés !
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Tellement de gens, putain... Des faibles. Des putains de faibles. Qui pleurent. Qui ont peur. Qui font tout ce qui est possible pour se faire tuer.
-Negan (p46)
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date : 04-10-2017
Mais malgré cela, il reste convaincu des avantages que présente le raccourci et tient à tout prix à rejoindre Hastings au plus vite. Il ignore l'avertissement de son ami et se met en route avec le reste du convoi.
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date : 04-10-2017
Les survivants masquent les visages des morts, découpent des morceaux de leur corps et les mangent.
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Elle se dodelinait dans le vent, le laissant effleurer sa peau laiteuse. Aucune imperfection ne venait troubler la beauté de son visage. Elle aimait cette sensation. Elle était légère comme chaque fois où elle se retrouvait seule dans ce brouillard. Le vent était accompagné de quelques effluves colorées, ça sentait la rose et ensuite la lavande. Tout ça ressemblait au paradis, mais y avait-elle droit ? Pouvait-elle se retrouver impunément ici, sans aucune contrepartie ? En étant lavée de toute accusation ? Ainsi elle se sentait libre. Ils ne la rattraperont jamais, ils ne trouveront pas qui avait réussi à déjouer leur plan. Ils y sont déjà tous passés, un par un, l'implorant de les épargner. Mais une sirène aurait-elle déjà épargné son marin ? Non bien sûr, sinon elles n'auraient pas si bonne réputation
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Pendant les vacances de Pâques, je dois aller chez tonton Lucien et tatie Frida. Et ça ne me fait pas bondir de joie. Mais papa et maman ont décidé de s'offrir ce qu'ils appellent "une nouvelle lune de miel". Ça, ça veut juste dire qu'ils prennent l'avion sans moi pour aller voir les pyramides.
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date : 22-06-2014
Les banderoles, quand les supporters font preuve de créativité.
[...]
Banderoles parisiennes:
"Fabriquer du savon c'est bien, s'en servir c'est mieux" PSG-OM
[...]
Bel effort des Athéniens pour la traduction:
"14 Février, jour del'amour... Paris ce soir on t'encule" AEK athènes-PSG
[...]
"Dégage ta putain de caméra de ma banderole"
supporter britannique seul avec une petite pancarte.Comme quoi la taille... naaaan, on déconne.
page53-54
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date : 22-06-2014
Comment le détourner du match ?
(commencer par l'étape 1. Si elle ne marche pas étape 2.etc)

Etape 1: Les dessous chic,jarretelles+corset.
Etape 2: Les dessous cocs, la panoplie de supportrice coquine (la tenue d'ève et un simple ballon suffiront).
Etape 3: Le fouet.
Etape 4: Le fouet ET les menaces.
Etape 5: Le rabbit,meilleur ami de la femme.
Etape 6: gleeden.com.
Etape 7: Supporter l'équipe adverse.
page62
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date : 30-12-2012
Je me trompe peut-être, mais autour de la table,tout le monde s'est mis à parler de ça.
Sam a dit que c'étais de la faute à la télé. Patrick que c'était la faute au gouvernement. Craig que c'était la faute aux "médias institutionnels". Bob était aux toilettes.
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BennyCunningham: Alors la grosse question que tout le monde se pose. c'est :tu as fait un tour de poney ou pas ?
CallieVernon : Poney ?
BennyCunningham: C'est le nouveau surnom de Heath Ferro. Il se fait plus chevaucher qu'un poney à une foire.
CallieVernon : Beuh. J'ai pas couché avec lui, ça va pas non!! il est ignoble. Et toi?
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prologue
vendredi 17 février 22h15
quelque part dans les confins orientaux
l'entrepôtétaitplongé dans la pénombre. Dans un âtre de fortune creusé à même le sol, un feu de tourbe crachotait péniblement, menaçant de s'éteindre à chaque instant. Rien n'échappait à l'humidité réfrigérante qui faisait pourrir les poutres de bois, couvrait de rouille les murs en tôle, imprégnait jusqu'aux frusque mitées dans lesquelles étaient enveloppés les arpenteurs de glace.
Ils étaient trois, assis autour du feu - trois silhouettes emmaillotées dans d'innombrables couuches de tricots, tissus, curs : restes de ce qui avit été autrefois des vêtements. On eût dit trois momies, non pas rachitiques comme celles des anciennes pyramides, mais obèse et enflées de toutes ces épaisseurs de bandelettes qui leur remontaient jusqu'aux yeux. Au-dessus des paupières, la peau disparaissait à nouveau sous des turbans de laine et de fourrure. La survie était à ce prix-là, au prix de cette armure molle qui ralentissait chaque mouvement, qui tentait de protéger ces corps minuscules plongés dans l'immensité gelée des Confins.La tribu des arpenteurs de glace avait depuis des générations adapté non seulement son habillement, mais aussi son mode de vie à ces conditions extrêmes. Les hommes étaient trappeurs de pèren fils; les femmes enseignaient à leurs filles comment récupérer les débris des Temps anciens pour confectionner desvêtements et de yourtes à l'épreuve du froid. Mais depuis quelques années, le gibier se faisant plus rare, les lambeaux du passé étaient plus difficiles à dénicher sous la glace. Les chefs de la tribu avaient fini par comprendr que si les arpenteurs de glace demeuraient dans l'isolement, la banquise des Confins serait leur tombe. Il leur fallait nouer des liens avec le monde au-delà des glaces, même si cela allait à l'encontre des préceptes de la tribu. Perdre un peu de son indépendance pour sauver sa liberté : s'ouvrir au commerce avec ceux de l'extérieur.
CLONG!
Les trois arpenteurs de glace se relevèrent d’un bond en
entendant résonner la tôle. Ils saisirent les lances qu’ils
avaient posées à côté d’eux le temps de se réchauffer – de
simples bâtons au bout desquels étaient fermement fixés des
tessons de bouteilles.
D’un mouvement du menton, l’arpenteur de glace coiffé
d’une peau de renard des neiges ordonna aux deux autres de
se poster de part et d’autre de la porte de l’entrepôt. Les créa-
tures qui surgissaient du blizzard des Confins ne venaient
jamais en amies. En ces lieux désolés, chaque goutte de cha-
leur était bonne à prendre, qu’elle émanât d’un feu anémique
ou du sang d’un corps écorché. Ces derniers temps, les ours et
les loups s’aventuraient de plus en plus fréquemment à proxi-
mité des campements, aiguillonnés par la faim…
Toque-de-Renard poussa la porte d’un coup de lance.
Une langue de vent et de givre s’introduisit dans l’entrepôt,
comme si l’hiver perpétuel cherchait à laper les trois vies qui
lui échappaient au fond de cette coquille creuse.
« Qui c’est qui vient par là ? » hurla Toque-de-Renard.
En guise de réponse, l’hiver siffla plus fort, furieux de ne
pas parvenir à attraper ses proies. La porte ouverte, enca-
drée de stalactites de glace, ressemblait à une gueule béante

hérissée de crocs ; au-delà, le gosier de la banquise était noir
comme un puits sans fond…

Soudain, une lueur perça le blizzard.
C’était une lampe-tempête.
Mais le bras qui la tenait n’était pas garrotté par des
haillons ; le corps rattaché à ce bras ne disparaissait pas
sous des monceaux de guenilles. La combinaison noire qui le
recouvrait semblait fine et luisante. Quel que fût le matériau
qui la constituait, on le devinait plus chaud et plus isolant
que les innombrables loques dans lesquelles étaient emmitou-
flés les arpenteurs de glace. Une cape et une capuche rabattue
– noires elles aussi – complétaient l’uniforme du visiteur. Car
il s’agissait bien d’un uniforme, à en croire l’insigne cousu sur
la poitrine : une dague à la lame tournée vers le bas, dont le
manche dessinait une croix blanche tranchant sur le noir de
la combinaison.
« Vous !… souffla Toque-de-Renard. Y a près d’une lune
qu’on vous attend… »
Sans un mot, le visiteur se glissa dans l’entrepôt. Une nou-
velle lueur perça derrière lui dans la nuit mugissante, puis
une autre, et une autre encore, se substituant aux étoiles
qui depuis longtemps avaient disparu du ciel trop bas des
Confins. Bientôt, six silhouettes encapuchonnées se pressè-
rent dans l’entrepôt, toutes identiques dans leurs robes de
ténèbres.
La porte se referma.
Ce fut à cet instant que le premier visiteur prit la parole. Sa
voix aiguë, grinçante, sonnait comme un violon désaccordé :
« Avez-vous la marchandise ? »
Toque-de-Renard désigna trois volumineuses formes
sombres au fond de l’entrepôt, dans un coin que le faible
éclat du feu de tourbe éclairait à peine.
« Trois traîneaux pleins, comme convenu, dit-il. Trois mois
de travail pour toute la tribu. »
Il cracha.

Sa salive commença à geler à l’instant même où elle attei-
gnit le sol.
« Y a plusieurs de nos gars qu’ont perdu leurs doigts dans
l’affaire. Gelés jusqu’à l’os : on a dû les leur couper ! Et nos
femmes ont brûlé toutes nos réserves de tourbe pour obtenir
la quantité que vous demandiez. Pendant trois mois, leurs
marmites ont point cessé de bouillir, nuit et jour ! »
Celui qui semblait être le chef des ombres se dirigea en
silence vers le traîneau le plus proche. D’un geste sec, il tira
la bâche qui le recouvrait et souleva sa lampe au-dessus de la
cargaison. Des millions d’éclats minuscules scintillèrent dans
la nuit de l’entrepôt.
« Un travail de dément ! commenta Toque-de-Renard. Le
plus dément qu’on ait jamais eu à faire au village, de mémoire
d’homme… »
Le mystérieux commanditaire plongea sa main gantée de
noir dans les cristaux et les laissa doucement filtrer entre ses
doigts serrés, comme pour apprécier leur finesse – ou pour
mimer le lent écoulement d’un sablier.
« Putreflux ! continuait Toque-de-Renard dans son dos.
Vous imaginez la quantité d’eau de mer qu’il a fallu aller
puiser sous la glace, puis qu’il a fallu chauffer, pour obte-
nir tout ce sel ? Je sais pas ce que vous voulez en faire, et je
veux pas savoir. Mais j’espère que vous avez les moyens de
payer, sinon… »
Le chef des ombres se tourna lentement vers l’arpenteur de
glace. À la place de son visage, sa capuche ne laissait entre-
voir qu’un trou noir et impénétrable.
« Nous avons les moyens de payer, en effet, dit-il de sa voix
discordante. Mais nous n’avons pas les moyens de laisser des
témoins derrière nous… »
Il prit une inspiration sifflante :
« Tuez-les tous. »
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-Attention! Va sur ta gauche!
-Oui, ben si tu me passais l'oeil, Tempete, j'y verrais quelque chose! a rouspété celle qui conduisait.
Une seconde. Lui passer l'oeil
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date : 29-01-2012
<>
Anna acquiesça avec sérieux et s'imagina dans la maison de Mrs sharpe, surgissant de l'ombre lorsque sa patronne aurait besoin d'elle, pour s'effacer dès qu'elle aurait terminé. Le parfait Surplus. Un vrai Bon Elément.
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