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Commentaires de livres faits par ljs13

Extraits de livres par ljs13

Commentaires de livres appréciés par ljs13

Extraits de livres appréciés par ljs13

Plenty of humans were monstrous, and plenty of monsters knew how to play at being human.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Spoiler(cliquez pour révéler)
Nous sommes, cependant, des créatures de confinement. Nous voulons que toutes les choses de la vie soient emballées dans des boîtes qu'on peut étiqueter. Mais pouvoir coller des étiquettes ne signifie pas qu'on sache vraiment ce qu'il y a dans la boîte.
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
Si on y réfléchit dans une perspective historique, on voit bien que la façon dont le grand public perçoit les désordres de la chimie du cerveau a été aussi variée et bizarre que ses symptômes eux-mêmes.
Si j’étais né Amérindien à une autre époque, on aurait pu louer mes talents de guérisseur. Mes voix auraient été perçues comme celles d’ancêtres me faisant part de leur sagesse. J’aurais eu droit à de nombreux égards mystiques.
Si j’avais vécu dans les temps bibliques, on aurait pu me considérer comme un prophète, parce que, regardons les choses en face, il n’y a que deux possibilités : soit les prophètes entendaient vraiment Dieu leur parler, soit c’étaient des malades mentaux. Je suis sûr que si un prophète ou une prophétesse faisait son apparition aujourd’hui, on lui ferait un bon paquet d’injections d’Haldol, jusqu’à ce que le ciel s’ouvre et que les médecins se prennent une baffe dont ils se souviendraient de la main de Dieu.
Au Moyen Âge, mes parents auraient fait appel à un exorciste parce que j’aurais manifestement été possédé par des esprits malins, peut-être même par le diable en personne.
Et si j’avais vécu dans l’Angleterre de Dickens, on m’aurait jeté à Bedlam, qui n’est pas qu’une façon imagée d’évoquer la folie. C’est un endroit qui a existé – un « asile de fous » où les malades étaient emprisonnés dans des conditions inconcevables.
Vivre au vingt et unième siècle me garantit un bien meilleur pronostic de traitement, mais, parfois, j’aimerais vivre dans une époque d’avant la technologie. Je préférerais que tout le monde me voie comme un prophète plutôt que comme un pauvre malade comme les autres.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Tu vois des démons dans les yeux du monde et le monde voit un puits sans fond dans les tiens.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
J'écris un autre roman de YA intitulé The Fall Boys & Dizzy in Paradise à propos de deux frères et une soeur vivant dans une ville de vignobles du nord de la Californie, appelée Paradis. Leur père a mystérieusement disparu 16 ans plus tôt, et l'histoire commence quand cette fille étrange et énigmatique se montre et envoie toute sa vie dans le tumulte. C'est une sorte de course de relais d'une histoire d'amour, avec de violents jeux de violon, de fabrication de nourriture, de broyage de raisins, de bris et de ruptures, de rêves brisés et reconstitués, de temps perdus, d'amour perdu et trouvé "Hell Hyena et les meubles." Je suis vraiment excité à ce sujet!

Source: interview de l'auteure sur le site internet BookPage.com
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 14-04-2015 par romanedc
En me laissant tomber sur le siège, je repense à ce que Landon a dit au sujet des chagrins d'amour, que si on n'aime pas la personne, elle ne peut pas nous briser le coeur. Hardin n'arrête pas de me briser le coeur, même quand je crois qu'il n'y a plus rien à briser. Et j'aime Hardin. Je l'aime.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 14-04-2015 par romanedc
C'est bizarre de désirer et de détester quelqu'un en même temps.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
Qui es-tu Eden? Tu n'es pas sensée me comprendre. Personne ne le doit .

Tyler .
Avez vous apprécié cet extrait ? +11
Plus de conexion. L'ordinateur rame sans fin. C'est alors que j'entends qu'on tape à mon mur, celui qui me separt de Tyler. Toc, toc, toc.
Perplexe, je me rapproche. Je ne sais pas si c'est volontaire ou non de sa part, mais je tape à mon tour une fois, et j'attends. Il me répond quatre coups.
Qu'est-ce qu'il fabrique? Je doute qu'il soit en train d'apprendre le Morse, ce qui signifie qu'il tente de m'agacer, encore.
- Tu peux arrêter? Je demande assez fort pour lui et assez doucement pour que mon père n'entende pas.
- J'ai deconecter Internet, répond-il, hilare. Tu me donnais la migraine. Oh mon Dieu, Chicago c'est trop cool! J'adore aller à l'école! C'est génial! J'adore faire des disserte de psychologie!
Furieuse, je m'adosse au mur en tailleur.
- Je n'ai jamais dit ça, je dit avec un coup de coude.
Il cogne à son tour pendant au moin quinze secondes.
- Je peux faire ça toute la nuit, dut-il. Il paraît qu'on ne dort pas beaucoup à la fac, tu peux t'entraîner. Je te rends insomniaque en un rien de temps.
- On t'a déjà dit à quel point tu es pénible,

Sans comprendre pourquoi, je m'aperçois que lorsqu'il répond, son entrain me fait sourire.
- Non, je ne crois pas.
Si seulement je pouvais voir à travers ce mur. Est-ce qu'il sourit comme moi? Est-il debout, assis ou allongé par terre? Comment sont ses yeux, là?
- Alors petite étudiante, explique-moi à quel point je suis pénible.
Il a l'air de sourire mais je n'en suis pas certaine. J'appuie une oreille contre le mur pour mieux entendre sa voix. Il est rarement gentil.
- Déjà, tu as déconnecté Internet, et maintenant tu tapes sur mon mur sans t'arrêter.
- Techniquement, c'est notre mur à tous les deux.
Il tape une fois de plus.
- Ça reste extrêmement pénible. Arrête, s'il te plaît.
- Impossible
Avez vous apprécié cet extrait ? +15
Tandis que mon cerveau traite cent une pensées à la seconde, je parviens à dégager quelques faits: (1) Tyler est un crétin; ça, ça ne fais aucun doute, (2) c'est un crétin qui a un sérieux problème de gestion de la colère, ainsi que d'autre problème de comportementaux, (3) il est crétin parce qu'il le veut bien, parce que (4) il cache manifestement quelque chose, (5) ses passe-temps principaux sont se saouler et se défoncer, (6) il a de beaux abdos et j'aime la couleur de ses yeux, (7) parfois il est vraiment gentil, quand on rigole avec ses frères par exemple, (8) parfois il me gonfle, mais se n'est pas grave, parce que (9) il embrasse vraiment bien. Et pour finir (10), il m'attire bien plus que ce que je veux admettre.
Avez vous apprécié cet extrait ? +13
date : 23-08-2014 par Titys
C'est presque douloureux d'être consciente de sa présence. Je sent la moindre de ses hésitations, le moindre de ses mouvements pour placer un pion sur le damier.
Je brûle d'envie de lui prendre la main et de la poser sur mon coeur, là où ça fait le plus mal. Je ne sais pas si cela m'apaiserait ou si, au contraire, il se briserait en mille morceaux mais, au moins, cela mettrait fin a cette attente constante.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
- Qu'est-ce que tu as fait cette fois ? demande Jamie.
- Quelque chose que je n'aurais pas dû, marmonne Tyler en m'adressant une sourire complice.
Avez vous apprécié cet extrait ? +12
Je suis amoureuse de lui et je veux l'épouser. Et même s'il déteste être pris en photo, je veux mille clichés de lui que j'accrocherai sur tous mes murs et qui nous verront nous réveiller en riant tous les jours, exactement comme toi et maman. Je veux qu'il me fasse des beignets, comme sa mère le fait pour son père. Et je veux qu'on trouve notre truc à nous ou qu'on se rende compte que notre truc c'est tout, parce que je sens que si je l'épouse, même les choses les plus stupides auront leur importance.
Avez vous apprécié cet extrait ? +31
Son visage s'illumine et il donne un coup de poing victorieux sur son volant.
- Gagné ! Vas-y, balance !
Les joues en feu, j'entre mon numéro dans son téléphone.
- Ne t'inquiète pas, ce n'est pas un faux numéro.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Je veux savoir qui il est vraiment et non celui qu'il veut me montrer. Il fait semblant, il n'est qu'un acteur. Je veux savoir ce qui se passe en coulisse, quand le spectacle est terminé et que le rideau se baisse. qui reste-t-il ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +13
"Elle m'adresse un sourire triste. J'ai toujours trouvé ça bizarre, les gens qui sourient alors qu'ils sont tristes. Un sourire triste ça n'existe pas, c'est juste un sourire courageux."
Avez vous apprécié cet extrait ? +32
date : 17-05-2013 par JohannaIJK
Doucement je lui demande :
- Si tu avais une promise, tu penses qu'elle serait comment ?
- Comme toi, répond-il immédiatement. Ce serait toi.

Nous ne nous embrassons pas. Nous ne bougeons pas, nous restons là à respirer ensemble. Enfin, je sais.
Maintenant je ne peux plus continuer sans violence. Ni pour mes parents, ni pour ma famille.
Ni pour Xander.
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