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Mortelle machination



Description ajoutée par antoine18 2022-11-14T09:52:07+01:00

Résumé

Manhattan, mercredi 10 novembre, 9 h 34. Alors qu'il vient de quitter le Rockefeller Center et s'apprête à rejoindre sa Rolls Royce, Pedro Hernandez, un richissime industriel US d'origine mexicaine, assiste, impuissant, au meurtre de Tyler Burton, son garde du corps. Appelée sur les lieux, l'inspectrice de la NYPD, Sarah Walker, est vite convaincue que la victime n'est pas celle visée. Pour elle, cela ne fait aucun doute : le multimilliardaire était dans le collimateur. Mais pourquoi ? L'enquête s'avère complexe. La jeune femme doit de surcroît faire face au FBI, qui exige la direction des investigations. Tous veulent comprendre pourquoi on a tenté d'éliminer l'un des milliardaires les plus en vue de Wall Street. Les policiers s'embarquent alors sur les traces d'un terrifiant assassin et d'un engrenage mortel. Dans ce thriller au suspense angoissant, Jean Da Luz-Figueiredo nous invite à explorer les méandres d'une enquête captivante et nous plonge dans une histoire à l'atmosphère mystérieuse... Entre vérités cachées, soupçons et secrets, saurez-vous démasquer l'assassin ?

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Classement en biblio - 1 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Bibounine 2023-11-11T20:00:27+01:00

La silhouette était habillée d’un sweat à capuche avec des lunettes noires et coiffée d’une casquette à longue visière. Elle portait un étui de guitare dans la main droite et s’avança jusqu’à l’entrée du Select Hotel, un modeste

établissement réservé aux hôtes de passage, à l’angle de la 56e rue. L’individu demanda une chambre pour la nuit à la réception. L’horloge affichait vingt-deux heures trente.

— Carte de crédit ou cash ? interrogea un homme âgé, de couleur, tiré de son sommeil et contrarié par le son strident de la clochette, posée sur le coin du comptoir.

— Cash, répondit le client, sortant une liasse de la poche de son pantalon. Il posa l’instrument et compta quatre-vingt dollars en petites coupures. Le tarif

était affiché en gros.

Le gardien de nuit lui remit une lourde clé métallique au bout de laquelle pendait une rondelle en bois. Elle indiquait le numéro mille quatre centcinquante et un. Le genre d’accessoire dont on peut parier qu’on ne partira pas avec…

— L’ascenseur se trouve au fond du couloir, précisa-t-il, montrant la direction de la main.

Un néon blafard, à la peine, éclairait l’endroit. Quelques tableaux avec des photos défraîchies de New York décoraient les murs sombres, tapissés d’un tissu vaguement bleuté. Il aperçut un engin souffreteux d’une capacité maximale de quatre personnes. Avant de l’emprunter, il étudia quelques instants l’issue de secours latérale qui débouchait sur Madison avenue et s’assura qu’on pouvait l’ouvrir de l’intérieur.

Il remarqua au passage le miroir grand-angle au niveau de la réception. Cela permettait de vérifier que des clients indélicats, sortant de l’escalier d’urgence et de l’élévateur, ne quittaient pas l’établissement avec des effets qui ne leur appartenaient pas.

Le gardien avait repiqué du nez. Il entra et appuya sur le bouton indiquant le quatorzième étage. L’engin hoqueta, avant de démarrer avec un grincement strident. Sa lente progression avait de quoi agacer le commun des mortels, mais son occupant n’était pas pressé. Sa concentration était maximale et il désirait se fondre dans le décor.

Pendant la montée le musicien jouait avec dextérité avec la rondelle en bois, attachée à une ficelle, qu’il s’amusait à passer d’un doigt à l’autre.

Parvenu au quatorzième étage, l’homme marcha une bonne cinquantaine de mètres dans le couloir et stoppa devant le numéro cinquante et un. Après un coup d’œil à droite et à gauche, il tourna la clé dans la serrure et la porte s’ouvrit sans difficulté. La surface de la chambre ne devait pas dépasser une dizaine de mètres carrés. L’odeur d’humidité et de renfermé lui sauta à la gorge.

Au-dessus de la couchette on pouvait admirer une reproduction bon marché

d’un tableau de Frida Kahlo, avec son célèbre autoportrait dédié à Léon Trotski.

Il ne put s’empêcher de sourire, y voyant presque un signe du destin. Deux souffrances dont la conjugaison se matérialiserait peut-être par une délivrance prochaine… Du moins l’espérait-il.

Le lit, aussi précaire fût-il, l’attirait comme un aimant. Il était épuisé, mais son plan exigeait la validation d’une dernière étape, avant une nuit et un sommeil réparateurs.

Il enleva les lunettes de soleil puis ouvrit la porte avec mille précautions, afin d’éviter qu’elle grince, et se dirigea vers l’escalier de secours. Ensuite, il se concentra et déclencha le chrono à son poignet pour grimper à toute vitesse les quatre étages qui le séparaient du toit. Parvenu au sommet, essoufflé, il stoppa le défilement des aiguilles et consulta sa montre. Moins de deux minutes. Pas mal.

Il pourrait quasiment diviser ce temps par deux au retour. Mais il fallait ajouter le délai nécessaire pour redescendre jusqu’au rez-de-chaussée. Il ne tenait pas à

se faire piéger comme un rat dans l’ascenseur.

La porte métallique, close, n’opposa pas de résistance. Il la crocheta et sentit l’air froid de la nuit s’engouffrer dans la cage d’escalier et lui piquer le visage. Il remonta la capuche et sortit sur le toit.

Tout autour, des infrastructures en acier soutenaient d’énormes néons multicolores, vantant les mérites de la célèbre maison Gallagher, un

établissement à quelques blocs de là, qui proposait les meilleurs Tbones de la Big

Apple. Une adresse incontournable pour les connaisseurs.

Le scintillement des lumières vertes et orange lui procurait un camouflage parfait si, d’aventure, compte tenu de l’heure avancée, des témoins ou des caméras épiaient les parages.

Il s’approcha, observa quelques instants le gratte-ciel en face et examina attentivement les lieux. Son regard se concentra sur l’angle de l’encadrement de la porte et de la murette, dont le rebord formait un décrochage plus élevé,

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par antoine18 2022-11-14T10:35:17+01:00
Diamant

Je tiens à remercier les éditions Librinova pour m'avoir permis de lire ce livre, de découvrir la plume de l'auteur si addictive.

L'histoire se déroule en plein mois de novembre à Manhattan. On y retrouve Pedro Hernandez qui assiste sans pouvoir faire quoi que ce soit au meurtre de son garde du corps.

L'inspectrice Sarah Walker dépêchée sur les lieux n'est pas sur que ce soit la bonne victime. Cette enquête est compliquée pour la police. Surtout que le FBI veux à tout prix reprendre l'enquête. Ils veulent tous savoir pourquoi on à voulu éliminer un milliardaire. La police va s'embarquer dans une drôle d'enquête.

Ce que j'ai aimé en lisant ce livre :

Dès le départ on n'entre direct dans l'action, l'auteur nous entraîne dans cette enquête avec brio.

Une histoire captivante, prenante, remplie d'action, de suspens et de rebondissements, des personnages attachants.

Conclusion :

Si vous aimez ce genre de livre où il y à de l'action, de la vengeance, des meurtres c'est ce genre de livre qu'il faut lire.

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