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Commentaires de livres faits par mylouno

Extraits de livres par mylouno

Commentaires de livres appréciés par mylouno

Extraits de livres appréciés par mylouno

Que se passe-t-il si l’on se contente de se plaindre ?
Nous risquons de gâcher notre vie et de nous sentir toujours plus impuissants. Et ça, c’est vraiment dommage.

S’il est une chose qui fait mal dans la vie, c’est bien de ne pouvoir exprimer son talent et sa richesse intérieure. Lorsque vous découvrez et que vous valorisez votre talent, votre vocation, c’est extraordinaire car vous avez quelque chose à offrir.

Ce qui est vraiment dommage, c’est de bloquer sa vie avec la répétition aveugle d’une habitude qui ramène toujours au point faible. Une ombre constante…

Se plaindre, cela veut dire : grogner, bougonner, gémir, récriminer, accuser, s’affliger, désespérer, râler, ronchonner… Entendez-vous l’effet de ces paroles ? Elles sont hautement démotivantes.

À force de vous plaindre, vous avez tendance à montrer une « tête d’enterrement », vous vous avilissez et vous diminuez votre motivation positive.

Cherchez en revanche les moyens opposés pour faire face à la vie. Utilisez des mots qui ouvrent et conduisent à des états d’âme positifs comme : opportunité, possibilité, résultats, solutions, compréhension, réalisation et gratitude.

Optimiser ce que nous avons pour en faire quelque chose de plus. Telle est la mission de notre vie.
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Je voudrais surtout présenter la figurer de Marie de Magdala comme l'amante extatique, comme celle qui sort précisément au-delà d'elle, au-delà de toutes les mesures humaines, de toutes les conventions, de tout le discours du "politiquement correct", pour accomplir des gestes de dépassement et connaître ainsi le coeur de Dieu, en le faisant connaître à son tour. (p. 31-32)
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Neuf passagers voyagent à bord d’un train VIA Rail entre la Gaspésie et Montréal. Ce n’est pas le hasard qui les réunit dans ce luxueux wagon. Invités à titre de légataires potentiels d’un riche prospecteur sur le point de décéder, ils se rendent à son manoir des Laurentides.
Mais qui sont ces hommes et ces femmes ? Quel rapport ont-ils avec Edward Morris, qui vit en reclus depuis quelques années ? Même si tous ne le connaissent pas, cet homme a, avec chacun d’eux, des liens étroits que le fil des évènements fera éclater au grand jour.
Dès l’arrivée au manoir, les mystères se multiplient, provoquant l’angoisse et la grogne. Les invités vivent difficilement cette séquestration déguisée en hébergement cinq étoiles. Leur emploi du temps a été implacablement planifié, dont la participation à un rituel inquiétant auquel ils doivent se soumettre… sine qua non.
Les nerfs à vif, les passions exacerbées, les tensions à couper au couteau, découvriront-ils la véritable raison de leur présence au manoir Morris ?
L’héritage anticipé n’est-il qu’un mirage ?
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date : 21-10-2017
— Je ne suis pas sûre de trouver ce qui a poussé votre fille à commettre son geste, mais je vais essayer. De votre côté, je voudrais que vous vous engagiez à respecter le rapport, à ne pas le contester, même si les conclusions ne vous conviennent pas.
— Vous voulez dire insister pour qu’on continue à chercher ? »
Vicky ne répond pas. Isabelle Gosselin sait très bien de quoi il est question, nul besoin d’expliquer davantage. Un voile de tristesse assombrit son regard. Elle soupire et déclare que si elle n’obtient pas de réponse, elle cherchera toute sa vie. Toute seule, s’il le faut, mais toute sa vie.
« Avez-vous des enfants ? »
Chaque fois qu’on lui pose cette question, Vicky serre les dents. Dans l’exercice de son métier, on la lui a posée mille fois et toujours, c’était pour insinuer qu’un certain aspect du problème lui échapperait puisqu’elle ne connaissait pas la maternité de l’intérieur. Elle répond ce qui s’est avéré la vérité la plus efficace pour contrer ces préjugés : « Je sais ce que c’est, perdre un enfant.
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date : 24-09-2017
Il met à nouveau son pied sur la chaise et un silence se fait entendre. En guise de rappel, il entame de sa voix-violoncelle Le tour de l’île. La tête posée contre le mur de la coulisse, je le regarde, et la petite fille que je suis comprend à ce moment précis qu’il est toute ma vie, pour le reste de ma vie.
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date : 05-12-2015
"Y avait pas de mots, pis c'est toute".
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(MUSIQUE) "Ne me kiiiiiiiiilte paaaas" (p. 30)
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"On s'apprivoise, on se reconnaît, puis on partage des jouets, des paroles et des émotions. On se comprend, on se découvre et on passe à l'action ensemble. Voilà le sens de la pédiatrie sociale, une méthode qui est une science, mais également un art: l'art de l'écoute, de l'échange humain et de la consolation."
Dr Gilles Julien
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...Puisque dès l'instant où mon génial cerveau s'éveille, un grand jour commence d'office! (p. 45)
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j'aide la science et c'est ma joie! (p. 19)
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date : 03-07-2013
"Pouvoir zapper, c'est un grand pas vers l'autonomie!"
p. 37
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date : 03-07-2013
"je croyais que le pire qui puisse m'arriver, c'était qu'un patient soit pris de l'envie de me tuer. Mais c'était avant qu'un psychopathe m'enlève pendant ma grossesse et m'enferme dans un souterrain dans l'idée de fonder une famille avec moi.
Elle soupira.
- Mais, maintenant, je me sens juste... Je ne sais pas... Faible? Impuissante? Je ne sais pas..."
(p. 287-288)
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date : 14-05-2013
Guillaume demeura immobile sur les degrés de Saint-Séverin. Il suivait des yeux une chevelure blonde que la clarté du matin faisait briller comme un chapeau de lumière sur la jeune tête qu'elle couronnait.
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date : 14-05-2013
Mathilde soupira, prit des mains de Maroie un miroir d'étain poli où elle observa un moment ses traits, avant d'y poser, du bout des doigts, une touche de fard blanc, fait de froment broyé, délayé dans de l'eau de rose, qu'elle étala de façon uniforme avec l'habileté que donne l'habitude. Si elle ne portait pas de cicatrices sur sa peau, de façon visible, c'était au fond d'elle-même, en son âme, à des profondeurs où l'œil humain ne pouvait les déceler, qu'il s'en trouvait.
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"La foi inébranlable, la loyauté, la vérité et la sagesse de Marie Madeleine nous interpellent tous: croyants ou non, hommes ou femmes, de tout âge. Sainte chrétienne et incarnation métaphorique du retour de la Sagesse biblique, Marie Madeleine inspire et lance des défis encore aujourd'hui. Sa foi, sa vérité et sa lumière durables s'épanouissent à jamais, alors que son mythe universel continue de se développer au XXIe siècle." (p. 173)
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date : 15-04-2013
«Un pays, c'est plus qu'un pays et beaucoup moins, c'est le secret de la première enfance…»
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J'aimerais trouver les mots, le ton, la force afin de dire pourquoi m'afflige décidément la désespérance contemporaine. Elle est un gaz toxique que nous respirons chaque jour. Et depuis longtemps. L'Europe en général et la France en particulier semblent devenues ses patries d'adoption. Elle est amplifiée, mécaniquement colportée par le barnum médiatique. Oui, mécaniquement. Par définition, le flux médiatique est un discours attristé, voire alarmé. Il s'habille en noir. Or la réalité n'est jamais aussi sombre. Elle est faite d'ombres et de lumières. Elle mêle le pire au meilleur. Partout. Toujours. A n'insister que sur les ombres, on pèche - et on ment - par omission. En toute bonne foi. Vieille question ! Cette insuffisance n'est pas facile à corriger. L'optimisme n'est plus «tendance» depuis longtemps. On lui préfère le catastrophisme déclamatoire ou la dérision revenue de tout, ce qui est la même chose. Se réfugier dans la raillerie revient à capituler en essayant de sauver la face. Après moi le déluge...
Cette culture de l'inespoir - avec ses poses et ses chichis - me semble aussi dangereuse que les idéologies volontaristes d'autrefois. Elle désigne le présent comme un répit, et l'avenir comme une menace. Elle se veut lucide, et même «raisonnable». Qui croit encore aux lendemains qui chantent ? Pourquoi perdre son temps à rêver au futur ? Telle est la doxa («ensemble des opinions communément admises») du moment. Les affligés professionnels tiennent le haut du pavé et, de ce promontoire, toisent tout un chacun. Il est de bon ton de citer Arthur Schopenhauer, sa référence au «temps cyclique» et son (prétendu) pessimisme, ou encore Émile Cioran, auteur de Sur les cimes du désespoir. L'écrivain anglais Gilbert Keith Chesterton (1874-1936) n'avait pas tort de dire qu'il existait une «Église du pessimisme».
Ajoutons que ce renoncement au goût de l'avenir peut devenir une injonction discrètement idéologique. En dissuadant les citoyens de trop penser au futur, elle les invite à s'accommoder du présent, c'est-à-dire de l'ordre établi. Elle promeut pour ce faire quantité de formules passe-partout qui sont devenues autant de slogans conservateurs. On se souvient du There is no alternative, «Il n'y a pas d'alternative», de Margaret Thatcher. Citons aussi l'inévitable «C'est plus compliqué que cela», qu'on oppose aux citoyens indignés par une injustice et révoltés par la prédation des virtuoses de la finance. Ou encore le «Face au chômage, on a tout essayé», exclamation malheureuse de François Mitterrand en 1993. Pendant plusieurs décennies, les élus de droite et de gauche auront tenu et conforté ce que l'économiste Jean-Paul Fitoussi appelle le discours de l'impuissance. A force d'insister sur les «contraintes», il aggrava la crise de la démocratie et jeta les citoyens dans une langueur dont nous ne sommes toujours pas guéris.
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date : 30-03-2013
" Tout homme doit, un jour, découvrir qu'il porte en lui un " cœur de prière "
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date : 28-03-2013
"La signature est absolument parfaite, pas trop soignée. Erreur que font presque touts les faussaires. Ils la reproduisent avec tans d'exactitude qu'elle en paraît artificielle. Ici, elle coule en toute liberté."
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«Un soir que la pluie tombe à verse, Rachel Picher monte dans sa voiture et, laissant les Laurentides derrière elle, prend la route vers Montréal. À un tournant de paysage, c'est l'accident, imprévu, qui bouleverse toutes les données de son existence. Dans l'état comateux où elle se retrouve, de multiples questions jaillissent, qui demandent d'urgentes réponses, puisque la vie ne tient plus qu'à un fil risquant de se couper... mais par quoi et par qui, pour quel incident venu de quel passé que la mémoire n'a pas retenu et qui refait surface dans un onirisme aussi étrange qu'envoûtant? »
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L'enfer c'est de ne plus aimer
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date : 04-03-2013
Ses longs bras se croisent derrière ma nuque, les miens emprisonnent son dos puis, jambes enchevêtrées, cheveux et salive entre nos bouches, nous basculons sur le lit. Nous restons ainsi un bon moment, nos langues exprimant sans paroles l'émoi que jettent en nos abîmes la nostalgie de mes automnes et la souillure de son adultère.
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date : 11-02-2013
GASTON — T'as accusé ta mère, maintenant je veux que tu m'accuses.
PIERRE — Tu ne devrais pas attacher d'importance à ses paroles.
GASTON, qui, pour la première fois, se fâche — Ferme-toi, Florence veut me parler, je veux qu'on la laisse me parler.
FLORENCE — Regarde papa, regarde tout ce qu'il y a autour de nous. Regarde les meubles, les murs, la maison : c'est laid, c'est vieux, c'est une maison d'ennui. Ça fait trente ans que tu vis dans les mêmes chambres, dans la même cuisine, dans le même « living-room ». Trente ans que tu payes le loyer mois après mois. T'as pas réussi à être propriétaire de ta propre maison en trente ans. T'es toujours resté ce que tu étais : un p'tit employé de Compagnie qui reçoit une augmentation de salaire tous les cinq ans. T'as rien donné à ta femme, t'as rien donné à tes enfants que le strict nécessaire. Jamais de plaisirs, jamais de joies en dehors de la vie de chaque jour. Seulement Pierre qui a eu la chance de s'instruire : c'est lui qui le méritait le moins. Les autres, après la p'tite école, c'était le travail ; la même vie que t'as eue qui les attendait. Ils se sont mariés à des filles de rien pour s'installer dans des maisons comme la nôtre, grises, pauvres, des maisons d'ennui. Et pour moi aussi, ce sera la même chose si je me laisse faire. Mais je ne veux pas me laisser faire, tu comprends papa ! La vie que t'as donnée à maman ne me dit rien, je n'en veux pas ! Je veux mieux que ça, je veux plus que ça. Je ne veux pas d'un homme qui se laissera bafouer toute sa vie, qui ne fera jamais de progrès, sous prétexte qu'il est honnête ; ça ne vaut pas la peine d'être honnête si c'est tout ce qu'on en tire ...
ANTOINETTE — Tu vas trop loin, Florence !
FLORENCE — Je préfère mourir plutôt que de vivre en esclavage toute ma vie.
ANTOINETTE — Tu ne sais plus ce que tu dis. Tu ne sais plus ce que tu dis parce que tu ne connais rien de la vie. Mais moi je vais t'apprendre ce que c'est. Pour avoir parlé de ton père comme tu viens de le faire, faut pas que tu l'aimes beaucoup, faut pas que tu le connaisses. Je vais te dire ce qu'il est ton père, moi !
GASTON — Je ne te demande pas de me défendre, ma vieille. Ce que Florence a dit de moi est vrai.
ANTOINETTE — C'est peut-être vrai dans un sens, mais ça ne l'est pas dans l'autre... Ton père, Florence, est d'une génération qui va s'éteindre avec lui... Pas un jeune d’aujourd’hui pourrait endurer ce qu'il a enduré. A vingt ans, c'était un homme qui avait déjà pris tous les risques qu'un homme peut prendre. Avoir une situation stable, sais-tu ce que ça représentait alors ? T'en doutes-tu ? Ça représentait le repos, la tranquillité, le droit de s'installer et de vivre en paix. Ton père, Florence... c'est pas un grand homme. Jamais été riche mais toujours resté honnête. Trois fois au cours des années il aurait pu gagner beaucoup d'argent à travailler pour un député rouge. Deux fois pour un député bleu. Il l'aurait achetée sa maison s'il l'avait voulu, mais il a refusé… Tu peux lui en vouloir pour ça, tu peux encore lui faire des reproches?... Parle! Réponds! (Accablée, Florence penche la tête incapable de répondre.) (p. 84-86)
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« SATAN : Vous oubliez une chose, monsieur le directeur : vous avez une âme qui m'appartient dans votre auberge, c'est mon dû, signé comme un contrat. (Il montre la brochette.) L'âme de l'écrivain! Il m'a donné son âme : c'est à moi. Respectez au moins les écritures.
CÉLESTIN : Dehors!
SATAN : Si source, source celle, feu, piff, paff! / CÉLESTIN, il hurle : Dehors. »
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