Commentaires de livres faits par pilue
Extraits de livres par pilue
Commentaires de livres appréciés par pilue
Extraits de livres appréciés par pilue
Comme dans les précédents tomes de la série, la narration est drôle, enlevée. Les deux protagonistes s'empêtrent dans un schéma d'amour vache pour notre plus grand plaisir et d'Éon apporte son lot d'épices. Bref, ça se lit sans faim.
La narration est pétillante, les femmes tiennent la barre dans ce cosy mystery très bien mené, et se dessinent des relations prometteuses pour les prochains tomes !
Dans ce beau et gros roman, vous ne trouverez pas de magie, mais un univers riche et maîtrisé par son autrice. Vous n'y trouverez pas non plus une débauche d'action. C'est un roman à l'échelle d'une vie, qui prend son temps. On ne s'ennuie pas pour autant, les personnages ont toujours quelque chose à raconter et le style aérien de Marie Tétart compose de somptueux tableaux.
La nouvelle enquête de Frédéric Lenormand est délicieusement troussée, pleine de malices, de clins d'oeils, d'anecdotes véridiques et de retournements de situations !
Lecture à déguster tranquillement en vacances !
Les personnages m'ont paru moins travaillés dans ce roman et un brin caricaturaux. Lev, beau, génial, polyglotte, autodidacte... pas un défaut sinon à la toute fin. Anastasia, belle, intelligente, le coeur sur la main. Macaire, naïf et pas grand-chose d'autre.
Enfin, les nombreux aller-retours dans le temps ne m'ont pas tous paru d'une utilité folle.
J'étais assez perplexe à l'idée de lire un tome 2 qui se situe avant les aventures du tome 1, mais finalement, c'était une excellente idée. J'ai beaucoup apprécié retrouver les personnages emblématiques des Magiciennes quelques années plus tôt, découvrir comment ils s'étaient façonnés. L'ajout de nouveaux personnages amène de l'inédit et du dynamisme, j'ai hâte à présent de tous les retrouver dans le tome 3, les Héritiers.
Coincé dans un village de montagne assiégé par de mystérieux démons, avec un assassin de surcroît, le juge Ti a fort à faire pour démêler les fils de la vérité.
J'ai beaucoup apprécié ce tome, habilement construit, tortueux, intrigant et parfaitement logique.
Nous retrouvons avec plaisir notre duo de détectives amateurs, entre deux peignes et bonnets. Cette fois, ils sont sur la piste d'un traité international qui a malencontreusement disparu des poches d'un espion américain mort assassiné.
Rose cherche à se marier et fait l'acquisition d'un philtre d'amour. Ne reste plus qu'à trouver l'homme idéal, pourvu qu'il ne soit pas coiffeur !
Ciel, Marie-Antoinette a la rougeole et doit se confiner ! Faut-il mettre un masque ou non ?
Nos héros courent partout, c'est succulent, drôle, cela croustille sous la dent, cela fourmille de bons mots et brille de clins d’œil plus ou moins appuyés.
Comment ne pas parler également de mes personnages préférés, la Ruche ? Sur le modèle des abeilles, l'autrice a inventé une société d'humanoïdes très différents ; leur référentiel culturel donne lieu à de savoureux échanges et questionnements sur le mode de fonctionnement humain. Leur société très figée se trouve à deux doigts de basculer dans le chaos.
Tous ces fils s'entremêlent en une vaste fresque toujours en mouvement qui s'arrête trop vite, sur la fin du tome 1. J'espère vite lire le tome 2.
C'est l'histoire d'une renaissance, d'une reconstruction, celle de Clara et de l'humanité. Dominique Lémuri aborde avec délicatesse mais d'une main sûre des thèmes durs comme le deuil, la discrimination, la tolérance entre espèces mais aussi à l'intérieur d'une même espèce. La fin est à couper le souffle, j'espère qu'il y aura une suite !
Les trois personnages principaux sont très attachants, mais je crois que j'ai préféré Olympe. L'autrice n'a pas choisi la facilité en optant pour le jeune Sanson, fils du célèbre bourreau. Elle intègre aussi pleinement le sinistre contexte à son intrigue, qui ne se résume pas à une pâle toile de fond.
Les deux peuples se rencontrent dans des conditions explosives et, sur fond de tensions, les personnalités vont se révéler. Entre animosité, amitié, amour, les Nilaks et les Aputis se mêlent, se découvrent, se jaugent.
A lire en plein jour ou dans le noir ! Au-delà de l'histoire, Sylvie Kaufhold délivre un vrai message de tolérance et appelle à vivre avec la Terre plutôt que sur la Terre. J'ai eu un vrai coup de coeur pour l'Aputi Naya, petit bout de femme volontaire, en prise avec son peuple et les animaux, capable de remettre en cause ses idées reçues.
Le roman commence, Dexter est en prison, injustement accusé du meurtre de Jackie (l'actrice), de Robert (l'acteur meurtrier de Jackie) et de Rita. Et les ennuis commencent, ou plutôt l'ennui du lecteur. Pendant 10-15% du livre, Dexter végète dans sa cellule sans penser à grand-chose.
Arrive enfin Brian (le frère de Dexter) et son super avocat, et Dexter sort.
Je ne vais pas vous mentir, je me suis ennuyée ferme, mais cela faisait déjà 2-3 tomes que je ne trouvais plus Dexter aussi pétillant qu'avant. Celui-ci est dans la droite ligne des précédents. Peu de péripéties, beaucoup d'auto-apitoiement. Et la fin...
[spoiler]tout est dans le titre.
Les deux personnages principaux ont réellement existé, comme l'attestent les notes historiques en fin de livre. Ils semblaient posséder un caractère bien trempés. Sous la plume de l'auteur, ils deviennent succulents, dans une galerie de personnages secondaires bien étoffée. Frédéric Lenormand les replace adroitement dans le contexte historique et on s'amuse de leurs tribulations. Il apporte un éclairage intéressant à la personne de Marie-Antoinette, moins potiche et gâtée qu'on ne le pense.
De nombreux clins d'oeil ponctuent le récit, sous la forme de titres détournés ou de personnages mystère. J'en ai sans doute manqué, mais ils font toujours mouche.
A lire et à relire !
C'est toujours un régal à lire et je crois bien que cette série arrive ex-aequo avec Voltaire dans mes Lenormand préférés. La plume de l'auteur est sautillante, pleine d'humour ; la solidité de l'intrigue, savamment tissée, n'est pas en reste. J'ai passé plusieurs soirées délicieuses à trouver le meurtrier !
Paris a faim, conséquence de la libéralisation du prix de la farine. Le prix du pain a explosé, les ventres grondent, la révolte aussi. Marie-Antoinette cherche par quel moyen résoudre la crise, puisque les ministres sont incompétents et son Louis XVI de mari, trop occupé à remonter des horloges. Voici donc notre Léonard, coiffeur audacieux, et notre Rose, modiste aux poufs en vogue, sur la piste d'un trésor inca en plein Paris. Las, le trésor est maudit et les morts s'accumulent.
C'est l'occasion pour nous de suivre leurs aventures, les piques incessantes qu'ils se lancent, leurs relations qui tiennent plus du poil à gratter dans le dos que d'une véritable association. Et pourtant, les sentiments et réflexions s'approfondissent et, à titre personnel, j'ai trouvé cet opus encore meilleur que le premier. Peut-être parce que, ô miracle, j'ai trouvé l'assassin (dans le dernier quart, il est vrai) !!!
Les deux personnages principaux ont réellement existé, comme l'attestent les notes historiques en fin de livre. Ils semblaient posséder un caractère bien trempés. Sous la plume de l'auteur, ils deviennent succulents, dans une galerie de personnages secondaires bien étoffée. Frédéric Lenormand les replace adroitement dans le contexte historique et on s'amuse de leurs tribulations. Il apporte un éclairage intéressant à la personne de Marie-Antoinette, moins potiche et gâtée qu'on ne le pense.
De nombreux clins d'oeil ponctuent le récit, sous la forme de titres détournés ou de personnages mystère. J'en ai sans doute manqué, mais ils font toujours mouche.
A lire et à relire !
Et puis, le soufflé retombe. Les personnages sont plats et sans saveur, pas vraiment fouillés, l'intrigue progresse gentiment sans qu'on sente les héros en danger. Le plan est merveilleusement exécuté et minuté, sauf que les personnages n'ont aucune idée même au dernier moment de la façon dont il vont voler le bijou et seul un imprévu viendra les aider.
Si les premières pages ont un ton intéressant, celui-ci s'efface assez vite au profit d'une narration au plus-que-parfait particulièrement indigeste.
Heureusement, le roman est court, si bien qu'il parvient à conserver un certain rythme malgré ses défauts.
Sauf que... si les chapitres du point de vue d'Apryl sont plutôt intéressants, avec une vraie graduation dans la tension qui est habilement distillée, à quoi servent les chapitres du point de vue de Seth ? Ils nous plongent très vite dans une ambiance horrifique très lovecraftienne, mais atteignent très vite leur apogée. Si bien que tous les chapitres suivants ne sont qu'une vaste redite des précédents et cassent toute la tension que les chapitres d'Apryl tentent de faire monter.
J'ai abandonné ma lecture, faute de rythme et d'intérêt renouvelé.
Cependant, malgré ces qualités, un défaut majeur m'a poussée à abandonner le roman à la moitié. L'intrigue est extrêmement délayée. Trop. Pour nous occuper entre deux "capitulos", l'auteur se perd dans les atermoiements du héros qui traînent en longueur, en longueur... J'ai terminé le roman en diagonale, sans rien voir qui me pousse à raccrocher. Dommage.
Le corps humain est décrit comme un royaume de fantasy, ainsi on y croise des trolls, des nains... Une idée bien sympathique.
À la fin de chaque chapitre, on trouve une petite énigme ou un jeu, allant des rébus au coloriage en passant par des "qui a vu Charlie". Chacun de ces intermèdes a pour but d'enseigner quelque chose, sous couvert de s'amuser.
On y apprend également les mécanismes de maladies qui touchent les petits et les grands : rhumes, allergies... Les thèmes actuels ne sont pas oubliés non plus : le harcèlement scolaire, l'addiction au téléphone portable sont traités intelligemment.
À mettre entre toutes les mains, de 8 à 99 ans !